La grande tragédie et le plan du salut de Dieu à la lumière du Message du temps de la fin
/ Ewald Frank
Kieli Ranskan
Muut kielet
- The Great Tragedy and God’s Plan of Salvation in the Light of the "Endtime Message"
- Velká tragédie a Boží plán spásy vo svetle "Zvesti konečného času"
- VELIKA TRAGEDIJA I BOŽIJI PLAN SPASENJA U SVETLU “PORUKE ZADNJEG VREMENA”
- ՄԵԾ ՈՂԲԵՐԳՈւԹՅՈՒՆԸ ԵՎ ԱՍՏԾՈ ՓՐԿՈւԹՅԱՆ ԾՐԱԳԻՐԸ ՎԵՐՋԻՆ ԺԱՄԱՆԱԿՆԵՐԻ ՊԱՏԳԱՄԻ ԼՈւՅՍԻ ՏԱԿ
11. La confirmation surnaturelle exige une décision
- La grande tragédie et le plan du salut de Dieu à la lumière du Message du temps de la fin
- Première et deuxième création. Comment cela a-t-il commencé? Comment cela va-t-il finir?
- La chute dans le péché et sa réparation
- Les deux semences
- Tout va de nouveau bien
- Dieu agit toujours conformément à Sa Parole
- Vue claire
- Classification juste
- Dieu nous fait connaître Son plan
- Témoins contemporains
- La confirmation surnaturelle exige une décision
- Les signes indiquent le but
- Les caractéristiques d'un vrai prophète
- Le ministère dans le Nouveau Testament
- Faux prophètes et faux christs
- Maintenant tout doit être éprouvé! Le témoinage doit être vrai et l'enseignement exact
- Le point culminant de la tromperie
- Le critère principal
- Le défi
Si cela concorde et qu’il est vrai que William Branham a été destiné dès sa naissance à être prophète et messager pour ce dernier âge de l’Eglise, cela a donc été la décision souveraine de Dieu, comme elle l’a été pour tous Ses serviteurs des temps passés.
Si cela est vrai — et c’est vrai — que la Nuée lumineuse surnaturelle, le 6 avril 1909, vint peu de temps après sa naissance, vers environ 5 heures du matin, et entra dans la pièce par l’ouverture de la fenêtre, visible aux parents et à la grand-mère, laquelle était en même temps la sage-femme, et que cette Nuée planait au-dessus de l’enfant, pouvons-nous l’ignorer?
S’il est vrai que le petit Billy à l’âge de 7 ans, entendit la Voix puissante venant d’en haut, de la couronne d’un gros peuplier, disant: «Ne bois pas, ne fume pas, et ne souille ton corps d’aucune manière, car lorsque tu seras plus âgé, tu as une oeuvre à accomplir», pouvons-nous passer avec indifférence à côté de cela?
Si c’est exact que depuis son enfance Dieu lui a montré beaucoup de choses en visions, lesquelles se sont chaque fois révélées être authentiques à cent pour cent, c’est que cela n’est pas venu de l’homme, mais bien de Dieu dans l’homme, comme le dit T.L. Osborn.
S’il est vrai qu’il a été envoyé avec le Message de la Parole promise et révélée qui précède la seconde venue de Christ, alors, que tous ceux qui ont des oreilles pour entendre reçoivent ce que l’Esprit dit aux Eglises.
Ce que le rév. Gordon Lindsay relate dans son livre est vrai: le 24 janvier 1950, dans un grand rassemblement où se trouvaient 8.000 personnes environ, au Coliseum de Houston, au Texas, le Seigneur descendit dans une Nuée lumineuse surnaturelle. Quelques-unes des personnes présentes lui témoignèrent avoir vu la Lumière qui reposait sur la tête de William Branham. Ainsi Dieu Lui-même a rendu témoignage pour Son serviteur et prophète. Avant cela, avait eu lieu sur le podium un violent débat public entre le rév. W.E. Best, qui niait la guérison divine en notre temps, et le rév. F.F. Bosworth, un collaborateur de William Branham, qui soutenait que le salut et la guérison sont une partie de la rédemption. Deux photographes, James Ayers et Ted Kippermann, qui étaient également des critiqueurs, devaient sur ordre du rév. Best prendre des vues de lui. Après le développement du film il apparût qu’aucune des prises de vue n’avait été impressionnée à l’exception d’un instantané que J. Ayers avait fait de William Branham lorsqu’il était monté au pupitre. Sur la prise de vue était clairement visible la Colonne de feu au-dessus de l’homme de Dieu. William Branham dit: «Je ne suis pas ici pour me défendre. Le Seigneur Jésus, qui m’a appelé et envoyé, me défendra». C’était l’instant où James Ayers a pressé sur le déclic. Le négatif fut développé dans le «Studio Douglas» par J. Ayers lui-même et remis à l’examinateur officiel des documents douteux le Dr. Georges J. Lacy, qui l’examina. Celui-ci confirma qu’il n’avait pas davantage été soumis à une double exposition qu’à une retouche. N’avons-nous pas à faire ici en dernière instance à Dieu? Moi-même, l’auteur de cette brochure, j’ai vu la photo de cette Colonne de lumière en décembre 1969 dans une salle d’exposition du «Hall of Art» à Washington, D.C., et je sais qu’elle est accessible au publique. L’employé qui m’a montré la photo ignorait sa signification, parce qu’aucune description ne l’accompagnait. Cela m’attrista, et je pensais: «Qui donc en somme remarquera l’action surnaturelle de Dieu et le but qui s’y rattache?». Le Seigneur n’a-t-Il pas par cela apporté la preuve qu’Il est encore aujourd’hui le Même qui accompagna Israël pendant 40 ans dans la Colonne de feu et la Nuée? (Ex. 13.21-22; Néh. 9.12-20). N’était-ce pas Lui qui apparu à Saül sur le chemin de Damas, dans une Lumière surnaturelle et lui adressa les paroles bien connues concernant sa mission (Act. 22.6-21)?
S’il est vrai — et cela est vrai — que le 28 février 1963 une Nuée surnaturelle descendit sur la Sunset Mountain en Arizona, dans laquelle sept anges-chérubins étaient enveloppés, comme William Branham l’avait vu en vision le 22 décembre 1962, c’est donc que cela est arrivé afin que le monde entier soit rendu attentif, et qu’il apprenne ce que Dieu fait. La Nuée lumineuse, qui apparut dans un ciel bleu éclatant, était si inhabituelle en grandeur, en hauteur, dans sa forme et sa couleur, qu’elle fut photographiée par beaucoup d’observateurs. Le météorologue Dr. James E. McDonald de l’Institute of Atmospheric Physics à Tucson, fit l’évaluation des photos du phénomène et ne trouva aucun éclaircissement scientifique logique pour cela. Encore 28 minutes après le coucher du soleil la Nuée était visible, brillante et claire dans le ciel du soir — exactement au dessus de la place où s’était trouvé William Branham.
La revue professionnelle Science, dans son édition du 19 avril 1963, et le magazine hebdomadaire Life du 17 mai 1963, qui se trouvent les deux devant moi, nous informent à ce sujet. Un des titres se trouve être: «… And a High Cloud Ring of Mystery», c’est-à-dire: «… Et un mystérieux haut nuage en forme de cercle». Pour les incrédules c’était une mystérieuse apparition dans le ciel, pour les véritables croyants c’est un signe biblique comme autrefois à Bethléhem lorsque une Lumière surnaturelle éclaira toute la contrée, que le choeur céleste chanta et qu’un ange annonça l’événement du salut (Luc, chap. 2). Quand le Seigneur ressuscité fut élevé vers le ciel, une Nuée surnaturelle Le reçut (Act. 1.9). Lorsqu’Il reviendra pour entrer dans Son Règne, c’est à nouveau sur une Nuée surnaturelle qu’Il reviendra (Mat. 24.30; Luc 21.27). Alors tout oeil Le verra (Apoc. 1.7-8). Nous vivons encore et toujours dans les temps bibliques! C’est pourquoi cela ne devrait pas nous surprendre lorsque Dieu agit de manière surnaturelle. Quel sens y aurait-il donc à prêcher sur ce que Dieu faisait dans les temps d’autrefois, si nous passons à côté de ce qu’Il a fait en notre temps et qu’Il continue à faire?
S’il est vrai — et cela est vrai — que frère Branham, pendant qu’il se trouvait sur la montagne quand descendit la Nuée lumineuse suspendue devant lui en forme de pyramide, reçût du septième ange cette directive: «Retourne à Jeffersonville, car le temps d’ouvrir les Sept Sceaux de l’Apocalypse est venu», c’est que cela signifiait quelque chose. Du 17 au 24 mars 1963 William Branham a parlé sur les Sceaux de l’Apocalypse. Les évangélistes américains de la première vague de réveil avaient connaissance de cela — tout comme le rév. T.L. Osborn — et ils n’en ont rien dit au monde. Visiblement, ce que Dieu avait à dire et à faire ne convenait pas à leur programme, bien qu’ils rendent témoignage à la mission particulière et au ministère extraordinaire de l’homme de Dieu. La Lumière surnaturelle les aurait-Elle aveuglés parce qu’ils se sont élevés contre cela? Nous devons marcher avec la Lumière, car ce n’est qu’ainsi que la Parole de Dieu sera une Lumière à nos pieds.
Nous vivons maintenant dans la période pendant laquelle s’accomplit ce qui est écrit dans la Bible, et en particulier dans l’Apocalypse. Le Lion de la tribu de Juda a vaincu; l’Agneau a pris le Livre mystérieux et a brisé les sceaux. Le Livre ne devait donc pas demeurer scellé pour toujours, mais bien jusqu’au temps de la fin (Dan. 12.4,9), et c’est là que nous nous trouvons maintenant. Lorsque les temps sont accomplis, Dieu révèle ce qui était caché. Pour l’Eglise-Epouse c’est une réalité vivante. Dieu a agi d’une manière surnaturelle, et le peuple de Dieu doit l’apprendre.
En 1946 le monde n’avait encore rien entendu des évangélistes qui devinrent renommés plus tard. Cependant, dans les années suivantes, des centaines de prédicateurs furent inspirés au cours d’une réunion de Branham, lorsqu’ils virent de leurs propres yeux l’action surnaturelle de Dieu. Parmi ceux-ci se comptent Oral Roberts, T.L. Osborn, Tommy Hicks, Morris Cerullo, et beaucoup d’autres. En 1950 le rév. Gordon Lindsay publia le livre: «William Branham — A man sent from God», c’est-à-dire: «William Branham — Un homme envoyé de Dieu». Dans ce livre sont relatées les réunions extraordinaires depuis l’année 1946 jusqu’au commencement de 1950, lesquelles eurent lieu en différents pays. Pendant des années le même auteur informa continuellement ses lecteurs dans le périodique: «The Voice of Healing», c’est-à-dire: «La Voix de la Guérison» (devenu ensuite: «Christ pour les Nations»), sur ce qui se passait dans ce ministère extraordinaire. Cependant, jusqu’à aujourd’hui aucun d’entre eux n’a demandé quel était le but véritable relié à ce ministère. Mais c’est précisément de cela qu’il s’agit. Les grands évangélistes eux-mêmes demeurèrent dans leur christianisme traditionnel et ne prirent que la prédication de la guérison, mais non point la prédication de la Parole. Malgré les choses puissantes qui arrivèrent sous leurs yeux, ils ne reconnurent pas ce que Dieu faisait présentement parmi Son peuple et conformément à Sa Parole.
Tous les évangélistes, et particulièrement ceux de la première phase, de 1946 à 1965, qui reçurent l’inspiration de Dieu lorsqu’ils virent Son action surnaturelle, portent une grande responsabilité parce qu’ils n’ont pas dit au peuple de Dieu ce qu’Il a fait en notre temps. Nous devons prendre conscience qu’il ne s’agit pas ici d’un homme, mais bien de Dieu Lui-même qui, dans Sa souveraineté, a suscité une vocation et a envoyé Son messager. C’est Dieu qui produit le surnaturel — et non l’homme — et cela afin de diriger l’attention du peuple sur ce qu’Il dit. Dans tous les cas s’accomplit ce que notre Seigneur a dit dans Jean 14.12: "En vérité, en vérité, je vous le dis: Celui qui croit en moi fera, lui aussi, les oeuvres que moi je fais, et il en fera de plus grandes que celles-ci…".