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Lettre circulaire Octobre - Décembre 2014

C’est de tout cœur que je salue tous les frères et sœurs du monde entier dans le précieux Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, par Ses propres paroles prononcées dans la prière sacerdotale:

« Je t’ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire » (Jean 17:4).

C’était le Plan de Dieu qui « … a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même – en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix » (Col. 1:20).

Cela s’est aussi réalisé pour l’éternité: « … il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche » (Col. 1:21-22).

Sa victoire est notre victoire. « Il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix » (Col. 2:15).

« … attendant désormais que ses ennemis soient devenus son marchepied. Car, par une seule offrande, il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés » (Héb. 10:13-14).

La résurrection du Seigneur fut la preuve visible et triomphale que la mort, l’enfer et Satan sont vaincus. Dans sa première prédication, Pierre s’est référé à ce qui est déjà écrit dans le Psaume 16:8-11: « Car tu ne livreras pas mon âme au séjour des morts, tu ne permettras pas que ton bien-aimé voie la corruption » (Actes 2:27).

Le Seigneur ressuscité pouvait annoncer aux Siens le message de la victoire: « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre » (Mat. 28:18). Nous aussi, lors de l’enlèvement nous nous exclamerons: « Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ! » (1 Cor. 15:57). 

Notre Rédempteur a accompli l’œuvre de la rédemption, comme cela est écrit dans Ésaïe 42:1-4 et a été confirmé dans Matthieu 12:17-21. Il n’éteindra pas même un lumignon qui fume, jusqu’à ce qu’Il ait tout accompli et fait triompher la justice avec tous les vainqueurs. Amen.

Après que notre Seigneur ait parlé avec les apôtres pendant quarante jours touchant le Royaume de Dieu, après Sa glorieuse résurrection (Actes 1:1-8), Il fut élevé au ciel sur une nuée qui le déroba à leurs yeux (verset 9). Tout de suite après, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent et ils dirent: « Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, reviendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel » (Versets 10‑11).

Notre Seigneur resta avec eux, « jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel, après avoir donné ses ordres, par le Saint-Esprit, aux apôtres qu’il avait choisis » (Actes 1:2).

En cette circonstance, Il mit l’accent sur la promesse du Père, d’être baptisé et rempli du Saint-Esprit (Versets 4-5), pour recevoir la puissance divine, afin d’être Ses témoins. Ensuite Il fut élevé sur une nuée pendant qu’ils Le regardaient. Conformément à l’Écriture, Il reviendra de la même manière, et nous serons enlevés sur des nuées à Sa rencontre dans les airs (1 Thes. 4:17) – non pas quelque part sur la terre.

Dans Actes 2, nous lisons le récit de l’effusion du Saint-Esprit, tel qu’il a été annoncé d’avance par le prophète Joël, au chapitre 2, et par Jean-Baptiste par ces mots: « Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu » (Mat. 3:11), ce qui a aussi été confirmé par notre Seigneur: « … car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit » (Actes 1:5). La première prédication suivie de la repentance, de la foi, du baptême et du baptême du Saint-Esprit est pour toujours le modèle valable dans l’Église de Dieu. Au travers de la prédication, trois mille âmes s’ajoutèrent aux croyants ce même jour. Ensuite nous trouvons les quatre critères de l’Église primitive: « Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain (= Repas du Seigneur), et dans les prières » (Actes 2:42).

L’enseignement des apôtres était en accord parfait avec ce que les prophètes avaient prédit. C’est pourquoi l’Église est édifiée « sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire » (Éph. 2:20).

Pour tous ceux qui appartiennent à l’Église du Dieu vivant, cela était et est toujours très important de ne croire que ce que l’Écriture dit et d’observer ce qu’elle enseigne. L’Épouse de l’Agneau (Apoc. 19:7) est une Épouse-Parole et elle n’a absolument rien à voir avec des interprétations personnelles (2 Pierre 1:20). Dans Apocalypse 21:4, Jean vit descendre la Nouvelle Jérusalem comme une épouse parée pour son époux. La ville sainte a une muraille avec 12 portes sur lesquelles sont écrits les noms des 12 tribus d’Israël. La muraille a 12 fondements et sur ceux-ci sont écrits les noms des 12 apôtres de l’Agneau.

Il est bon de savoir que le Rédempteur n’a qu’une seule Église, qui est Son corps (1 Cor.12:12-31), que Lui-même bâtit (Mat. 16:16-18) et qu’Il a rachetée par Son sang (Éph. 1:7), « … pour faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable » (Éph. 5:27).

 

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