Misiunea Liberă

Isus Hristos este acelaşi ieri, azi şi în veci. Evrei 13:8

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Le mariage: problème ancien / Ewald Frank

10. Un exemple Biblique en tant qu'exhortation




L’apôtre écrit sous l’inspiration de l’Esprit: “Mais comme l’assemblée est soumise au Christ, ainsi que les femmes le soient aussi à leurs maris en toutes choses“ (Eph. 5.24). Il n’y a pas davantage d’exception pour l’Eglise que pour la femme. Il y a tout au plus des prétextes, mais avec cela on se trompe soi-même et peut-être encore les autres. Dieu, Lui, s’en tient à Ses commandements et à Ses décisions. Frère Branham ajoute encore pour nous une comparaison, cherchée bien en arrière dans le temps, qui fait ressortir l’obéissance ordonnée a la femme:

Citation: «Vous vous rappelez que dans la Bible, le roi épousa Esther parce que la reine l’avait refusé. Alors, il en prit simplement une autre. Qu’arriva-t-il quand elle refusa de paraître avec le roi et de lui obéir? C’est pareil avec une femme qui refuse d’être l’épouse de son mari» (p. 34, § 210). C’est une parole dure, qui peut l’entendre? Dieu doit mettre de l’ordre au milieu de l’Eglise-Epouse, et cela arrive avant l’enlèvement. Il laisse aller les autres; de toute façon ils ne L’écoutent pas. Par contre, les Siens s’alignent a chacune de Ses Paroles et ils en vivent en agissant d’après ce qu’Elles disent.

Nous nous demandons: Qu’a donc à faire avec nous l’histoire du roi Perse Assuérus et de sa femme Vasthi? C’est visiblement un événement auquel frère Branham ne serait pas venu du tout de lui-même; le Seigneur l’a renvoyé à cet exemple. Et il demeure que toute Ecriture a été donnée par l’Esprit de Dieu pour servir à notre instruction.

Le roi avait organisé un festin, et de son côté la reine avait organisé parallèlement un festin pour les femmes dans le palais royal (Est. 1). Lorsque le roi envoya sept hommes pour chercher la reine, elle refusa de venir. Mais en faisant cela elle avait scellé son propre destin (v. 10-12). Le conseil royal fut aussitôt convoqué — dans l’Eglise du Seigneur ce seraient les anciens — pour décider de ce qui devait être fait avec la femme désobéissante qui avait jeté publiquement la honte sur son mari, lequel occupait la position la plus en vue de l’empire. Les versets suivants nous donnent les raisons de cela: “Car cette affaire de la reine se répandra parmi toutes les femmes, de manière à rendre leurs maris méprisables à leurs yeux, en ce qu’elles diront que le roi Assuérus a commandé d’amener la reine Vasthi devant lui, et qu’elle n’est pas venue (Est. 1.17).

La fin de l’histoire, sur laquelle le Saint-Esprit a renvoyé frère Branham, est que la reine a été déchargée pour toujours de sa dignité royale. Elle s’était élevée a dessein contre l’ordre divin. C’était impardonnable et elle ne put plus entrer en présence du roi. Il y a des actions de désobéissance, commises intentionnellement par les femmes contre leurs maris, qu’il est impossible de réparer. Par cela une limite placée par Dieu est transgressée de propos délibéré. Si l’on avait laissé la chose en demeurer là, tous les hommes auraient été traités de la même manière méprisante par leurs femmes. C’est ainsi que c’est écrit. Vasthi, qui était une personnalité connue, aurait été en tant que “Première Dame” leur modèle. Une autre qui sera meilleure qu’elle…” prendra sa place, c’est ce qui nous est relaté.

Une désobéissance faite à dessein est sous tous les rapports comme le péché de divination. Cela ne va pas si simplement, comme beaucoup se l’imaginent, selon la Parole de Dieu qui est valable pour toujours. “Et l’édit du roi, qu’il avait fait, sera connu dans tout son royaume, car il est grand, et toutes les femmes rendront honneur à leurs maris, depuis le grand jusqu’au petit. Et cette parole fut bonne aux yeux du roi et des princes. Et le roi fit selon la parole de Memucan, et il envoya des lettres à toutes les provinces du roi, à chaque province selon son écriture, et à chaque peuple selon sa langue, portant que tout homme serait maître dans sa maison…” (Est. 1.20-22). Après cela on chercha pour le roi une vierge tout particulièrement belle parmi les jeunes filles, et le choix tomba sur Esther.

Mais oui, cela se trouve dans notre Bible. Toutes les femmes sans exception devaient témoigner au “chef du couple”, du plus grand au plus petit, l’honneur qui lui est dû. C’est ce qui fut publié dans toutes les langues connues en ce temps-là: “… tout homme serait maître dans sa maison…”. La même chose doit être publiée au peuple de Dieu dans toutes les langues. Sarah employait le même langage plein de respect à l’égard de son mari. “Etant vieille, aurai-je du plaisir?…mon Seigneur aussi est âgé” (Gen. 18.12). C’est aussi ce que le Saint-Esprit a dicté sous la plume de Pierre: “Car c’est ainsi que jadis se paraient aussi les saintes femmes qui espéraient en Dieu, étant soumise à leurs propres maris, comme Sara obéissait à Abraham, l’appelant seigneur, de laquelle vous êtes devenues les enfants, en faisant le bien…” (1 Pier. 3.5,6).

Dieu a estimé nécessaire de s’élever contre l’esprit de ce temps, qui comme au temps de Vasthi se fait de nouveau particulièrement connaître, et qui s’est aussi glissé dans les milieux des croyants. Cela avait été révélé par le Seigneur à l’homme de Dieu déjà en 1933, comme le savent tous les initiés. Les hommes et les femmes doivent prendre la place que Dieu leur a assignés; c’est pour cela que les rapports ont été mis en évidence. Maintenant l’ordre que Dieu avait solidement établi à l’origine, et que Satan avait détruit, doit être rétabli. Paul écrit: “Que la femme apprenne dans le silence, en toute soumission; mais je ne permets pas à la femme d’enseigner ni d’user d’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence” (1 Tim. 2.11,12). Aujourd’hui on cherche une femme qui apprenne “dans le silence” — c’est sur cela qu’est mis l’accent! On entend dire sans retenue: «Dans l’Eglise nous devons nous taire, mais à la maison nous ne nous laissons pas fermer la bouche!», «Nous avons été opprimées assez longtemps; maintenant nous avons le dessus!», «Maintenant nous avons obtenu nos droits!». Ainsi, et plus particulièrement des soeurs qui se pensent “spirituelles”, mènent une double vie en se trompant elles-mêmes.

L’apôtre mentionne quel devoir les personnes âgées ont en rapport avec “l’enseignement”: … afin qu’elles instruisent les jeunes femmes à aimer leurs maris, à aimer leurs enfants, à êtres sages, pures, occupées des soins de la maison, bonnes, soumises à leur propres maris, afin que la parole de Dieu ne soit pas blasphémée” (Tite 2.4,5). C’est ainsi que se présentent les signes de bénédictions d’une femme bénie: en enseignant les jeunes soeurs qui vont entrer dans le mariage, en partageant avec elles leurs propres expériences dans le chemin de la vie, afin qu’elles aussi soient bénies dans leur famille. Mais qu’en est-il de celles qui font exactement le contraire de ce que dit l’Ecriture et qui, au lieu d’enseigner l’obéissance, invitent directement à la désobéissance? Seule une sœur en Christ, qui a pris une position biblique à l’égard de son mari et de ses enfants, peut apprendre aux jeunes soeurs, conformément à la parole de l’apôtre à servir réellement d’une manière bénie dans son union et sa famille. Autrement, elle causera exactement le contraire, comme nous pouvons l’expérimenter depuis des années dans le développement de ces temps de la fin.

L’homme devrait être le chef de la femme et de la famille, non pas le tyran de la maison, lequel n’a même pas le contrôle sur lui-même, mais qui voudrait soumettre par force sa famille à subir son contrôle. L’ordre divin ne peut être établi que là ou réellement chacun occupe sa place conformément à la Parole de Dieu, et dans l’amour divin. Alors, on s’épargne toutes les exigences mutuelles parce que chacun contribue à sa part du bien-être.

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