Ewald Frank
Krefeld le 08. 08. 1984 à 19:30
LA DIFFÉRENCE ENTRE CEUX QUI SERVENT DIEU ET CEUX QUI NE SERVENT PAS DIEU N°2 (Malachie 3:18)
(Retransmis le 08 janvier 2025)
Frère Russ
Avant tout, je voudrais lire de 1 Thessaloniciens chapitre 2 :
« Vous savez bien vous-mêmes, frères, que notre première arrivée parmi vous n'a pas été sans résultat.
Mais après avoir, comme vous le savez, enduré des souffrances et des mauvais traitements à Philippe, nous avons trouvé en notre Dieu le courage de vous annoncer le message de salut de Dieu, au milieu de lourds combats.
Car notre prédication ne repose pas sur l'erreur ou sur des motifs impurs, ni sur des arrières pensés,
non ; de même que Dieu nous a jugés dignes en nous confiant le message de salut, ainsi nous parlons, non pour plaire aux hommes, mais pour plaire à Dieu qui sonde nos cœurs.
Car, comme vous le savez, nous n'avons jamais usé de paroles flatteuses, ni désiré de gain caché. Dieu est notre témoin.
Nous n'avons pas non plus recherché la gloire qui vient des hommes, ni de vous, ni d'aucun d'autre, bien que, en tant qu'envoyés de Christ,
nous aurions pu prétendre des honneurs, au contraire, nous avons agi parmi vous avec douceur (ou avec amour), comme une nourrice (ou une mère) qui prend soin de ses enfants.
Nous nous sommes sentis conduits vers vous par l'amour, et nous avons eu le désir de vous offrir non seulement le message de salut de Dieu, mais aussi nos propres âmes, car vous nous étiez devenus chers.
Vous vous souvenez, frères, de nos peines et de notre charge de travail, tandis que nous étions occupés jour et nuit à des travaux manuels pour n'être à charge à aucun de vous, nous vous avons annoncé le message de salut de Dieu.
Vous êtes nos témoins, et Dieu aussi est témoin de la fidélité, de la justice et de l'intégrité de notre conduite à votre égard, vous qui avez cru.
Nous avons agi, vous le savez, comme un père envers ses enfants, vous exhortant, vous consolant et vous conjurant de marcher d'une manière digne de Dieu qui vous appelle à son royaume et à sa gloire.
C'est pourquoi nous ne cessons de rendre grâce à Dieu de ce que, après avoir reçu la parole de Dieu que nous vous avons annoncée, vous l'avez reçue, non pas comme une parole d'homme, mais comme ce qu'elle est véritablement, comme la parole de Dieu qui agit en vous maintenant que vous êtes croyants.
Car, frères, vous êtes devenu des imitateurs des églises de Dieu qui sont en Christ dans la Judée, parce que vous aussi, vous avez subi de la part de vos propres concitoyens les mêmes souffrances qu'ils ont souffert de la part des Juifs,
qui ont même tué le Seigneur Jésus et persécuté les prophètes, comme nous. Ils ne plaisent pas à Dieu et sont hostiles à tous les hommes,
parce qu'ils veulent nous empêcher de prêcher aux païens pour leur salut, afin qu'ils ne cessent de mettre le comble à leurs péchés, mais la colère de Dieu s'est abattue sur eux.
Mais nous, frères, après avoir été quelques temps séparés de vous physiquement, il est vrai, mais non de cœur, nous avons désiré avec d'autant plus d'ardeur vous revoir.
C'est pourquoi nous avions l'intention de vous rendre visite, moi, Paul, même plus qu'une fois, mais Satan nous en a empêchés.
Car qui est notre espérance et notre joie et notre couronne de gloire, si ce n'est vous devant la face de notre Seigneur Jésus à son avènement ?
Oui, vous êtes en effet notre gloire et notre joie ».
Jusqu'ici, ces précieuses et saintes paroles de Dieu. Que Dieu bénisse Sa parole en nous ce soir. Nous voulons remercier Dieu de ce qu'Il nous permet de lire de telles paroles, et de ce que nous puissions nous sentir connectés avec les croyants de tout temps.
Levons-nous pour la prière d'ensemble.
Dieu fidèle, nous Te disons merci de tout cœur pour cette heure du soir. Nous Te remercions pour Ta précieuse et sainte parole. Nous Te remercions, Seigneur, de ce que Tu nous as parlé par Ta précieuse et sainte parole.
Seigneur, Tu as envoyé Tes serviteurs au commencement et à la fin. Tu as envoyé Tes apôtres, Tu as envoyé Tes élus, Tes prophètes : On les a persécutés, on leur a fait ceci et cela, mais ils n'ont pas tenu compte de tout cela, ils ont regardé vers Toi, ils T'ont fait confiance, ô Seigneur. Et nous aussi, nous ne voulons pas regarder à un homme, mais nous voulons nous appuyer sur Toi, ô Seigneur, car Tu es notre consolation et notre paix, Tu es devenu pour nous tout en tous, ô Seigneur ; et c'est pourquoi nous T'adorons et Te prions intimement que Tu continues à nous parler ce soir, que Tu nous exhortes aussi, Seigneur, que Tu nous amènes là où ils étaient, Seigneur, Dieu fidèle. Ils ont dû endurer beaucoup de choses, souffrir beaucoup à cause de Ta parole, Seigneur. S'il doit en être ainsi, nous porterons nous aussi tout ce qui pourra arriver. Aide-nous seulement, ô Seigneur, accorde-nous Ta grâce et Ta force. Nous voyons, Seigneur, qu'ils ont beaucoup souffert et enduré, et nous pouvons apprendre de tout cela.
Aies pitiés de nous, Seigneur, et bénis-nous ! Enlève au milieu de nous tout ce qui dérange. Seigneur, donne Ta parole à Ton serviteur, notre frère, ce soir, pour qu'il dise ce que Tu veux dire, Seigneur. Nous ne savons pas ce que nous devons dire, mais Toi, ô Seigneur, Tu sais ce que Tu as à nous donner. Tu es notre Dieu, Tu es le Dieu fidèle, Seigneur.
Nous voulons Te donner l'honneur, la louange et l'adoration, au nom de Jésus, amen ! Amen !
Frère Frank
Loué et remercié soit le Seigneur pour la grâce de pouvoir être à nouveau ici pour adorer et pour écouter Sa précieuse parole !
Lorsque j'ai lu cette phrase avec nous tous, le 2 Thessaloniciens 2 verset 18 : « Nous avions l'intention de vous rendre visite… mais Satan l'a empêché », alors, effectivement, la question vient tout de suite à l'esprit : « Homme de Dieu, toi, grand apôtre, appelé par le Seigneur, confirmé de manière surnaturelle, et puis le diable t'a empêché de visiter les frères ou les gens ? ». Si quelqu'un disait cela ici aujourd'hui, ah ! Alors tous les héros de la foi penseraient qu'il lui manque de confiance en Dieu ! Il aurait mieux fait de ne rien dire, ou de ne même pas l'écrire. Mais, ce qui est grand et sublime, précieux en Dieu et tous Ses serviteurs, c'est la véracité absolue. C'est ce qui est particulier.
Dieu, comme je l'ai très souvent dit, a toujours le même visage, Il est toujours véridique ; et il en va de même pour Ses serviteurs. Ici, Paul admet et dit : « Moi, Paul, j’ai même déjà… oui, je me suis déjà imaginé de le faire... », attendez, lisons le verset 18. 1 Thessaloniciens 2 verset 18 :
« C'est pourquoi nous avions l'intention de vous visiter, moi, Paul, même plus d'une fois, mais Satan nous en a empêché ».
Tous ceux qui ont vaincu et qui se tiennent déjà de l'autre côté en tant que vainqueurs, diraient : « Homme de Dieu ! Où te tenais-tu ici avec ta foi ? Pourquoi la victoire de Dieu ne s'est-elle pas manifestée ? ». Bien-aimés, nous ne pouvons jamais nous poser cette question de pourquoi ; alors, nous pourrions commencer à nous demander pourquoi Dieu a permis que Caïn tue Abel, Abel dont le sacrifice a été agréable à Dieu ! Et on pourrait prendre toute la Bible et trouver un pourquoi après l'autre pourquoi, jusqu'à ce que l'on voie la décapitation de Jean-Baptiste, le plus grand homme de Dieu né d'une femme, jusqu'à ce moment-là.
Mais tout cela sont les voies de Dieu sur lesquelles les non-croyants s'égarent et sont confondus, et aussi les voies par lesquelles les croyants sont purifiés, éprouvés, mis à l'épreuve. Et on dit, vous le savez, dans notre temps, le plus grand homme de Dieu de tous les temps, et il n'y a aucun doute, j'ose le dire bien que je sois assez bien informé sur tous les prophètes, j'ose dire qu'aucun n'a été utilisé de manière aussi complète et puissante que frère Branham ; et Dieu a permis que ce jour, après un accident de voiture dont il n'était pas responsable, mais que d'autres avaient provoqué, Dieu a permis qu'il soit repris du temps vers l'éternité. Et là aussi, on pourrait demander : « Homme de Dieu ! Dieu a révélé à des milliers de personnes ce qui s'est passé, ce qui devait se passer, Il a donné des avertissements, Il a donné des instructions, tout était clair pour beaucoup » ; et on pourrait continuer à poser ces questions.
Non, nous n'avons qu'une seule demande, et aucune question dans ce sens : Ce que Dieu vienne à ce qui Lui revient de droit en nous et à travers nous. Comment le chemin sera en détail ? Quelles phases nous devrions traverser ? Tout ce qui en fait partie, que cela soit laissé à Dieu.
Celui qui lit dans Hébreux chapitre 11 sait de toute façon que tous les hommes de Dieu ont dû passer par des chemins difficiles, et il semble vraiment que le monde entier ait été épargné, seulement les serviteurs de Dieu et le peuple de Dieu ont eu la vie dure sur la terre ; et c'est parce que Satan est le dieu de ce monde.
Et cela ne cesse de devenir grand pour moi, cette révélation de ce qui s'est passé dans le jardin d'Éden, et en général les traces de Lucifer qui est tombé. Et nous savons que Dieu a confirmé à Adam la domination sur tout ce qui se trouvait sur la terre, mais le serpent a pris Ève sous sa domination, et cela a continué de sorte qu'à la fin, Adam a perdu ce domaine d'autorité, cette position de fils de Dieu, et a été livré à la mort ; et celui qui l'a piégé a pris la domination, et c'est l'ennemi. Et c'est pourquoi le Seigneur a dû verser Son sang sur cette terre pour racheter légitimement les deux, l'humanité et aussi la terre de laquelle l'homme a été pris. Et le jour vient ou s'accomplira ce qui est écrit dans l'Apocalypse au chapitre 11 verset 15 : « Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et son oint ». Lui, le propriétaire originel, n'a pu faire valoir Son droit qu'en rachetant tout légitimement. Oui, j'écrirai tout cela dans un livre. Ce sont des pensées précieuses.
Les non-croyants ne comprendront jamais que Dieu a permis toutes ces choses uniquement parce qu'Il voulait et devait révéler tous Ses attributs. Il était Sauveur. Si rien n'est perdu, comment peut-Il se manifester comme Sauveur ? Il est Guérisseur. Si rien n'est malade, comment peut-Il être révélé comme Guérisseur ? Toutes ces attributs étaient en Dieu. Être père, mais où sont les fils ? Où sont les filles ? Tout devait se passer comme ça s'est passé à cause du grand plan de salut de Dieu.
Et même si les choses se sont mal passées dans le jardin d'Eden, aux yeux de Dieu, tout se passait bien. Nous ne pouvons pas le comprendre avec notre compréhension ; mais vous pouvez me croire : Dieu est Dieu ! Il n'aurait jamais permis ou laissé faire quoi que ce soit, si cela n'avait pas été dans Sa volonté, et si cela ne servirait pas à la fin à glorifier Son nom. Alors nous pouvons nous reposer en Dieu et savoir que tout sera bien.
Mais, nous voyons que d'autres sont passés par les mêmes épreuves. Ils ont eu des combats à mener et ont dû traverser des hauts et des bas dans leur vie, afin que nous aussi, nous ne soyons pas confondus, mais que nous sachions que Dieu est le même, et qu'Il est avec nous.
Parfois, je me sens un peu impuissant face à certaines situations, et j'en suis profondément attristé ; et je préférerais –je crois que c'est le cas pour nous tous– je préférerais pouvoir exalter et louer en tout temps, comme nous l'avons chanté dans l'avant-dernier cantique : « Oui, les rayons du soleil de grâce. Les rayons de soleil de grâce illuminent joyeusement ton cœur ». Et c'est vrai, c'est toujours vrai, peu importe comment nous nous sentons, le soleil de Dieu brille de toute façon, que nous soyons malades ou en santé, que nous soyons debout ou couchés, ou bien est-ce que quelque chose change en Dieu ? Non ! La seule question est de savoir si nous pouvons résister dans toutes nos épreuves, et être fortifiés dans la foi, tout en rendant grâce au Seigneur.
Lorsqu'on parle de la guérison divine, alors les opposants prennent toujours le passage de l'écharde mis dans la chair de Paul, et ils savent qu'il a conseillé Timothée de prendre un peu de vin et de ne pas boire juste de l'eau, justement à cause de son estomac (Timothée 5 : 23), ils savent aussi qu'il a laissé Trophime malade (2 Timothée 4 : 20) ; et ensuite ils peuvent venir et dire : « Paul, tu as été un si grand homme de Dieu ! Ta sueur sur les mouchoirs a suffi pour qu'on les applique sur les malades et les possédés, et ils ont été guéris ! Et qu'est-ce qui se passe maintenant ? Tu as une écharde dans ta chair et quoi d'autre ! ». Je le sais, mais pourquoi devrais-je toujours le dire aux autres ?
Quoi que cela ait pu être, les épreuves étaient là, et la foi des gens devait être mise à l'épreuve pour savoir s'ils tiendraient bon ou s'ils croiraient seulement quand tout va bien. Quand tout va bien, mais qui ne peut pas croire ? Oui, que celui qui ne peut pas croire lève la main ! Quand tout va bien, qui ne peut pas croire ? Alors nous chantons, nous sommes toujours vainqueurs et nous acclamons le Seigneur en beauté. Tout le monde peut le faire ! Nous n'avons pas besoin de prendre un air pieux, tant que tout va bien, tout va bien pour nous tous.
Mais, qu'en est-il lorsque quelqu'un est jeté dans la fournaise, dans la fosse aux lions, en prison et bien autre chose encore, des épreuves dans nos maisons aussi ? Je pense en particulier à notre bien-aimé frère maintenant : Combien d'années se sont écoulées sans épreuves particulières, mon bien-aimé frère ? Et maintenant les épreuves sont là. Dans la vie, elles arrivent à tout le monde un jour, tôt ou tard, et comme on est alors impuissant face à une situation ! Mais celui qui croit, il croit ! Il croit même dans les épreuves les plus difficiles, et n'abandonne pas son assurance.
Paul, dans cette parole qui est au-dessus de toute épreuve, Paul a dit bien des choses qui sont tout simplement un baume pour notre âme. Il écrit ici qu'il a dû subir de mauvais traitements et que, malgré cela, il a trouvé en Dieu le courage d'annoncer l'évangile de Dieu aux Thessaloniciens au milieu de durs combats ; et c'est alors que vient ce qui est si précieux pour nous tous, 1 Thessaloniciens 2 verset 3 :
« Car notre prédication ne reposait pas sur l'erreur ou sur des motifs impurs, ni sur les arrière-pensées verset, non ; de même que Dieu nous a jugé dignes en nous confiant le message de salut, ainsi nous parlons, non pour plaire aux hommes, mais pour plaire à Dieu qui sonde nos cœurs ».
Oui, tout prédicateur peut le dire aujourd'hui, oui, nous pouvons tous le lire, mais la question est la suivante : Où est-ce que cela s'applique encore et est vrai ? Et où est-ce que ce qui a été dit ici est vrai ? Combien d'illusions, combien d'intentions malhonnêtes, combien d'arrière-pensées, encore plus que des pensées propres aujourd'hui ?
Comme je l'ai dit, tout le monde peut le dire, et chacun peut aussi dire : « Tu vois, c'est bien écrit ici ». Ce qui importe, ce qui compte, ce n'est pas seulement que ce soit écrit, mais que nous puissions subsister devant Dieu avec cela. Non pas que nous nous appropriions la chose et que nous fassions une belle étiquette, mais que ce que nous lisons ici puisse s'appliquer à toute personne qui proclame la parole de Dieu. J'espère que je ne le dis pas avec présomption. J'espère que c'est vrai, et que la parole de Dieu n'est pas annoncée dans l'erreur ou l'illusion, ni avec de quelconques intentions malhonnêtes et encore moins, avec des arrières pensés. Non, si c'était le cas, alors je laisserai la prédication de l'évangile à d'autres !
Mais croyez-moi, seulement des hommes qui ont été appelés par Dieu Lui-même et qui ont pris conscience de la responsabilité qu'ils portent devant le Seigneur. En disant cela, je n'écarte aucun frère que Dieu a béni et avec lequel nous proclamons la parole ici, mais il faut plus qu'un don de langage, d'éloquence, il faut plus qu'un enthousiasme, il faut plus qu'un programme : Il faut une crainte de Dieu qui puisse véritablement subsister devant le Seigneur ! Que toute intention malhonnête, toute illusion ou erreur, toute arrière-pensée soit écartée, et que nous puissions proclamer la parole de Dieu tel que nous l'avons valorisé, tel que nous l'avons reçu, comme le message de joie et de liberté. Puis il est dit au verset 4 :
« Ainsi nous parlons, non pour plaire aux hommes, mais pour plaire à Dieu qui sonde nos cœurs ».
Combien de fois est-ce qu'on dit ce que les gens veulent entendre pour les attirer de son propre côté ? Nous ne sommes pas ici pour attirer les gens de notre côté ou vers nous, mais nous voulons tous être attirés par Dieu, et nous voulons tous être du côté de Dieu, et ce, à tout prix ; et nous ne pouvons le faire que si nous nous tenons sur Sa parole, car Dieu et Sa parole sont inséparables, ils vont ensemble. Et le verset 5 :
« Car comme vous le savez, nous n'avons jamais usé de paroles flatteuses, ni de désirs de gains cachés, Dieu est notre témoin ».
Si tous les flatteurs se tenaient à l'écart de toutes les maisons, bien des âmes seraient encore sobres et parviendraient à la connaissance de la vérité ! Que des paroles flatteuses sont prononcées partout ! Et cela fait tellement du bien. Je sais bien que la flatterie est ainsi faite quand elle est bonne, n'est-ce pas, et c'est ainsi que les gens le trouvent toujours bon. On peut le voir, oui, dans la bouche.
« Nous n'avons jamais usé de paroles flatteuses, ni d'un désir de gains cachés, Dieu est notre témoin ». Et maintenant le verset 6 : « Nous n'avons pas non plus recherché la gloire qui vient des hommes, ni de vous, ni d'aucun d'autre ».
Et cela correspond à la parole de notre Seigneur que nous avons lue ici récemment, tirée de l'évangile de Jean, où notre Seigneur Lui-même a dit au chapitre 5 verset 41 : « Je n'accepte pas la gloire des hommes ». Et qu'est-ce que Paul dit dans l'épître aux Galates chapitre 1 ? « Si je cherchais encore à plaire aux hommes, je ne serais plus serviteur de Christ ». Galates chapitre 1 verset 10 :
« Est-ce maintenant la faveur des hommes que je cherche, ou celle de Dieu ? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes ? Non. Si je cherchais encore à plaire aux hommes, je ne serais plus serviteur de Christ ».
Toutes ces paroles sont des paroles très sérieuses, mais elles concernent les prédicateurs, et non ceux qui écoutent la parole de Dieu. Mais, priez pour que le Seigneur envoie dans Son champ de véritables ouvriers, qui ne prennent pas seulement ceci ou cela, mais qui servent véritablement le Seigneur et Lui sont entièrement consacrés. Qu'est-ce qui m'a encore frappé au verset 13 de 1 Thessaloniciens chapitre 2 ?
« C'est pourquoi nous ne cessons de rendre grâce à Dieu de ce que, après avoir reçu la parole de Dieu que nous vous avons annoncé, vous l'avez reçue non pas comme une parole d'homme, mais comme ce qu'elle est véritablement, comme la parole de Dieu qui agit en vous depuis que vous êtes devenus croyants ».
Cela doit être ainsi, et ça fait partie de la chose. La parole de Dieu doit agir avec efficacité, et nous devons toujours reconnaître la volonté de Dieu. En général nous connaissons la volonté de Dieu en ce qui concerne le plan de salut. Je ne pense pas que nous ayons été laissés dans l'obscurité à ce sujet. Le plan de salut de notre Dieu est devenu clair pour nous, oui, on peut même dire qu'il nous a été révélé par le Saint-Esprit ; mais ce sont souvent des décisions personnelles que nous devons prendre et les épreuves dans lesquelles nous nous trouvons, et en ce moment, nous devons toujours pouvoir reconnaître la volonté de Dieu et faire ce qui est juste. Et ça, ce n'est pas facile. Mais, si notre cœur et nos paroles peuvent malgré tout demeurer accordées et que cela puisse subsister devant Dieu, que nous soyons capables de dire : « Seigneur, je veux que Ta volonté soit faite dans ma vie », si cela peut être ainsi, que ce ne soit pas seulement des paroles, mais que nous le pensions vraiment : « Seigneur, je veux que Ta volonté soit faite dans ma vie ».
Je l'ai dit une fois à un jeune homme : « Écoute, je ne sais pas ce que tu veux, pourquoi tu veux être au ciel ? Si tu ne sers pas Dieu ici sur la terre, comment veux-tu te présenter devant Lui ? Aurais-tu la joie de te présenter devant le Seigneur sans l'avoir servi, sans avoir été à Sa disposition ? Ou bien devrais-tu baisser ton visage vers le sol, et te sentir malheureux et mal à l'aise, parce que tu ne pourrais même pas rencontrer le Seigneur ni même le regarder en face ? ».
Si nous vivons pour Christ, nous sommes prêts à mourir avec Lui. Si nous le servons ici sur la terre, nous voulons bien voir Sa face comme il est écrit dans le prophète Malachie : « Alors vous verrez la différence entre celui qui sert Dieu et celui qui ne sert pas Dieu ». Oui, si un homme ne sert pas Dieu ici sur la terre, que fera-t-il là-haut ? Que veut-il faire là-bas ? Est-ce que toi, est-ce que moi, nous nous sentirons bien en Sa présence, en la présence du Seigneur, si nous n'avions pas eu de temps pour Lui ici sur la terre ? Si nous avons vécu simplement notre vie, qu'est-ce que nous voulons faire là-bas ? Il faut le dire très clairement aux gens, s'ils ne veulent pas y être, ils n'en ont pas besoin. Le ciel sera assez plein, il y aura suffisamment des gens qui auront véritablement servi le Seigneur. Il ne faut donc pas seulement espérer y entrer à la fin ou peut-être en dernier, mais aimer profondément le Seigneur, le servir, être à Sa disposition et ce, à tout prix. Qu'en est-il de chacun de nous ?
Vous connaissez la parole du prophète Malachie selon laquelle Dieu fera la différence, pas seulement avec celui qui était pieux ou qui a fait semblant de l'être, mais avec celui qui L'a servi et celui qui ne L'a pas servi. Ça doit être dans Malachie chapitre 3… Malachie chapitre 3, c'est quelque part ici, au verset 16 :
« Lorsque ceux qui craignaient le Seigneur se sont mis à parler ensemble, le Seigneur fut attentif, et les écouta ; et un livre de souvenirs a été écrit devant lui pour ceux qui craignent le Seigneur et qui ont un grand respect pour son nom. Ils seront pour moi, dit le Seigneur des armées, ils seront une propriété particulière le jour où je l'accomplirai ; j'aurai compassion d'eux comme un père a compassion de son fils qui le sert. Et vous verrez alors la différence entre le juste et celui qui est sans Dieu (l'impie), et entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas ».
Ça, c'est le contexte. Oui, mais qu'est-ce que ça signifie, servir ? Aujourd'hui on ne connait même plus ce mot, mais les serviteurs, ils ont servi. Oui, un propriétaire pouvait prendre ses serviteurs, et ils l'ont servi. Et, quelle était leur tâche ? Faire du beau temps ? Non, le beau temps venait d'en haut ! Leur tâche était de servir fidèlement leur maître qui les a engagés, qui les avait mis au travail. Ils étaient à sa disposition, et leurs yeux regardaient seulement vers les ordres qu'il donnait, et ils les exécutaient. Ils les ont exécutés.
Ici, il y a quelques pensées qui sont très précieuses et qui vont ensemble. Premièrement, le seigneur a écrit le livre, un livre de souvenirs, pour ceux qui craignent le Seigneur et qui ont un grand respect pour Son nom. Beaucoup ne savent même pas comment Il s'appelle et sous quel nom Il S'est révélé, sans parler du respect pour Son nom.
Il y a des gens –et c'est écrit dans l'un des livres de l'histoire de l'église– il y a des écrits qui prétendent que les témoins des Jéhovah sont la bonne direction parce qu'ils sont les seuls à porter le nom de Dieu, pour ainsi dire. Ils ne portent rien du tout ! Premièrement, c'était toujours le nom Yahweh, et ce n'est que depuis le seizième siècle que le nom de Jéhovah a été utilisé ; mais le nom par lequel Dieu S'est révélé à nous pour notre salut, c'est le nom de Jésus, et c'est ce nom que nous portons ; et notre Sauveur dit : « Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ». (Jean 5 : 43). Avec quel nom est-ce qu'Il est venu ? C'est très simple ! Mais quand il s'agit de le faire, alors ça devient très étroit, et le chemin devient serré. La porte est étroite, comme nous le savons de Matthieu 7 verset 14.
Malachie chapitre 3 Verset 17 : « Ils seront à moi, dit le Seigneur des armées, ils seront une propriété particulière le jour où je l'accomplirai ». Et nous attendons tous ce jour, le jour où le Seigneur mènera Son œuvre à Son terme, à son achèvement ; « Ce jour-là, ils Me serviront, eux qui ont un grand respect pour Mon nom. Ils me serviront dit le Seigneur ». Verset 17 :
« Ils seront pour moi, dit le Seigneur des armées, ils seront une propriété particulière le jour où je l'accomplirai ».
Pas seulement une propriété, mais « une propriété particulière ». Ce sera tous ceux qui seront présents à la seconde résurrection et qui entreront alors dans la vie éternelle ? Non. « Ils seront pour Moi une propriété particulière », ils auront part à la première résurrection, ils prendront part à l'enlèvement, ils seront transformés à l'image de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, ils vont prendre part au repas de noces. C'est bien de ça qu'il s'agit.
« Ils seront pour Moi une propriété particulière lorsque Je l'accomplirai, et J'aurai compassion d'eux comme un père a compassion de son fils qui le sert ».
Croyez-moi : Nous n'avons même pas encore vraiment commencé à marcher à la suite du Seigneur parce que nous ne sommes pas entièrement à Sa disposition, parce que nous ne Le servons pas comme nous devons le servir.
Et vous savez, je l'ai déjà dit, chacun doit faire ses propres expériences. Mais un fils qui ne sert pas son père et ne lui obéit pas, c'est un affront comme il n'y en a pas de pire sur la terre ! Et je comprends bien Dieu quand il est dit dans l'épître aux Hébreux (10 : 31) qu'Il jugera Son peuple, et qu'Il est terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant. Je peux vraiment m'imaginer que ce jour-là Dieu sera très terrible avec tous ceux qui ne L'ont pas servi. Je ne peux pas imaginer autre chose. Quand Il dit : « Retirez-vous de Moi, vous, maudits, dans le feu éternel » et ainsi de suite, ce n'est pas une chose à prendre à la légère. Ce jour-là, ce sont aussi des gens qui pensaient le servir, qui ont cru chasser les démons, qui ont fait de grandes choses, et ils ont cru Le servir, mais pourtant ils se sont servis eux-mêmes ! Ils ont servi mammon, le dieu de l'argent, mais pas Dieu ni le peuple de Dieu ; et la véracité de Dieu n'était tout simplement pas là.
Ainsi, Dieu traitera avec compassion un fils qui le sert. Alors, devenons fils et filles de Dieu qui le servent, qui servent le Seigneur de tout leur cœur, qui ont un grand respect pour Son nom et Sa parole. Et nous croyons que nous ferons partie de cette troupe des prémices qui peut constituer une propriété particulière, par grâce. Il ne s'agit pas d'une chose quelconque, mais il s'agit d'une chose, la chose la plus précieuse et la plus chère que Dieu a pu donner à l'humanité. Malachie 3 Verset 18 :
« Et vous verrez alors la différence entre le juste et l'impie, entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas ».
Ça, on ne le voit toujours pas aujourd'hui. Aujourd'hui tout le monde Le sert, oui. Qui ne Le sert pas aujourd'hui ? Et si nous allons à Rome, si l'on était aveugle, on penserait que tout y est en ordre. Qui ne sert pas Dieu aujourd'hui ? Chaque évangéliste, chaque prédicateur, chaque église, chaque dénomination, qui ne sert pas Dieu aujourd'hui ? Et, savez-vous ce que la Bible dit ? « Celui qui ne tient pas sa langue en bride et pense servir Dieu, son service est vain ». (Jacques 1 : 26).
Il y a tant de choses qui passent à côté du but, et les gens n'en sont même pas conscients. Un service divin, un vrai service de Dieu implique beaucoup plus que ce que nous avons fait jusqu'à présent. Et je pense que c'est ce vers quoi nous nous dirigeons maintenant, être entièrement à la disposition du Seigneur, le servir, avoir du respect pour Sa parole et pour Son nom ; pas seulement se contenter de penser en silence que : « Je serai présent d'une manière ou d'une autre ce jour-là », mais Le servir de tout cœur, être à Sa disposition.
Tous ceux qui ont servi savent ce que c'est. Il n'y a peut-être plus personne de ceux-là ici aujourd'hui, mais vous auriez dû demander à l'ancienne génération combien on servit. Alors qu'est-ce que c'était ? La fidélité sera récompensée. Malachie 3 verset 18 :
« Et vous verrez alors la différence entre le juste et l'impie, entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas ».
Le juste est celui qui sert Dieu, le méchant (ou l'impie) est celui qui ne sert pas Dieu. Et, voyez-vous où la chose mène ? Juste après vient le chapitre 4, verset 1 :
« Car sachez que le jour vient, ardent comme une fournaise, où tous les orgueilleux et tous ceux qui agissent sans loi… »
Ici le mot « sans loi », sans loi, impie, 2 Thessaloniciens 2 : « L'homme sans loi, l'homme impie sera manifesté ». L'Esprit l'a annoncé 2 Thessaloniciens 2, verset 3. Et combien d'anarchie il y a parce qu'ils ont tous adopté la même doctrine ? Il n'y a pas de possibilité de séparer l'Ancien Testament du Nouveau, et tous ceux qui l'ont fait se sont détachés de la loi, ils sont sans loi, ils sont sans Dieu, impies.
Vous savez que je peux vous montrer à partir du Nouveau Testament que l'Ancien Testament a été considéré dans son ensemble comme une loi ? Il y a un passage bien connu dans l'épître aux Corinthiens qui dit même que ce qui est écrit dans le prophète Ésaïe est considéré comme étant écrit dans la loi. C'est très, très intéressant, car beaucoup préfèreraient mettre de côté l'Ancien Testament. Dans 1 Corinthiens 14 à partir du verset 20, il est écrit :
« Bien-aimé frères, ne soyez pas des enfants en ce qui concerne le jugement, non ; pour la méchanceté, vous devez être des enfants, mais en ce qui concerne le jugement, soyez des adultes. Il est écrit dans la loi : C'est par des hommes d'une autre langue et par des lèvres étrangères que je parlerai à ce peuple, et même ainsi ils ne m'écouteront pas, dit le Seigneur ».
Oui, et dans quelle loi est-ce que c'est écrit ? Dans le prophète Ésaïe chapitre 28 à partir du verset 11 ! Dieu saisit tous les sages dans leur sagesse, et Il les affiche comme des insensés, et dit : « Vous avez abandonné le fondement de Ma parole, et vous avez bâti sur le sable ! ».
Nous devons comprendre que l'église du Nouveau Testament bâtie sur le fondement des apôtres et des prophètes, avec Jésus-Christ Lui-même étant la Pierre angulaire. Mais nous ne voulons pas parler de toutes ces choses aujourd'hui. Ce qui nous importe, c'est que Dieu arrive à Ses fins avec nous, et pour cela nous voulons Lui faire confiance, exprimer dans la prière que nous croyons ce qu'Il a dit. Et ce qui est beau pour nous, c'est que nous ne nous sommes pas fait d'illusion ni n’avons fait d'illusions aux autres, et nous ne le ferons jamais, mais que nous acceptons tout simplement les hauts et les bas.
Mais nous avons un désir profond de servir Dieu, de croire Sa parole, d'adorer ou d'honorer Son nom, de le craindre, de l'aimer et de Lui faire confiance, sachant que nous pouvons le servir et que nous le servirons, et qu'Il aura compassion de nous, et qu'en ce jour-là, pas aujourd'hui, en ce jour-là, quand Dieu l'accomplira, en ce jour-là, tous ceux qui auront servi le Seigneur, qui l'auront vraiment servi avec tout ce que ça implique, ils seront heureux de l'avoir fait, même s'ils ont dû accepter certaines choses sur la terre ; alors nous serons heureux d'avoir servi le Seigneur.
Qui veut maintenant être véritablement à la disposition du Seigneur, véritablement le servir ? Oui, quelqu'un dira peut-être : « Comment vais-je le faire ? À quoi est-ce que ça ressemble ? ». Ne te fais aucun plan et ne te fais pas de soucis, car ce n'est pas et ce ne sera jamais comme nous le pensons. Nous voulons juste dire : « Seigneur, me voici ! Prends-moi, utilise-moi où Tu veux et comme Tu veux. Je suis à Ta disposition. Je suis Ta propriété et je veux Te servir de tout mon cœur et de toute mon âme ». Amen.
Puisse le Seigneur nous accorder à tous ce privilège et cette grâce, afin que personne ne dise : « Oh ! Eh bien ! Là devant sont les frères qui servent ». On les appelle, si je peux le dire à voix basse, on les appelle les frères serviteurs. Cette appellation n'est pas ce qui importe. Par frères serviteurs, on ne fait que nous montrer par la parole… les frères serviteurs ne font que nous montrer par la parole ce que Dieu a prévu pour nous tous, qu'Il nous a tous impliqués dans Son programme, et que chacun de nous peut Le servir, chacun doit, a le droit de le servir.
J'insiste encore une fois : Si quelqu'un ne sert pas le Seigneur, comment pourra-t-il se présenter avec joie devant Sa face ? Ce serait comme si j'avais des fils qui suivent leurs propres voies, qui me tournent le dos, qui, comme le dit l'américain, qui ne se soucient pas de ce que le vieux dit ; et puis un jour, on doit être heureux et joyeux et se sentir à l'aise ! Non, ce n'est pas comme ça que ça se passe avec Dieu, et ce n'est pas comme ça que ça se passe sur la terre.
Que Dieu fasse de nous des fils et des filles qui savent ce qu'Il ressent lorsque nous ne sommes pas à Sa disposition et que nous ne Le servons pas comme Il veut. Ainsi le Seigneur fera de nous des hommes qui seront à Sa disposition, qui le serviront, et avec lesquels, ce jour-là, le jour qu'Il fera, où Il l'accomplira, Il les prendra dans la gloire comme Sa propriété particulière.
Je veux être du nombre quand le Seigneur l'accomplira avec ceux qui L'ont aimé, qui L'ont servi, qui ont été à Sa disposition, qui ont vécu pour Lui et qui étaient prêts à mourir pour Lui. Oui, je veux faire partie de ceux-là, et nous tous, nous voulons faire partie de ce nombre, par grâce. Loué soit le nom du Seigneur.
Levons-nous, et remercions brièvement le Seigneur.
Je Te remercie de tout cœur pour Ta précieuse et sainte parole. Avant de prononcer : « Le jour du Seigneur viendra et brûlera comme une fournaise », avant de prononcer cette parole, Tu as souligné par le « ainsi dit le Seigneur », Tu as souligné que Tu prendras des personnes comme une propriété particulière, des hommes qui ont du respect pour Toi, pour Ta parole, pour Ton nom, des personnes qui sont à Ta disposition, qui T'aiment en acte et en vérité, qui Te servent.
Et c'est pourquoi nous Te prions ce soir, Seigneur, qu'il n'y ait pas seulement des frères serviteurs, mais une assemblée qui Te sert, un peuple de Dieu qui est à Ta disposition et à la disposition les uns des autres. Seigneur, Tu as dit Toi-même : « Le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour servir ». Alléluia ! Gloire à Dieu ! Tu as été appelé Serviteur, et Tu as pris la forme d'un serviteur.
Ô fidèle Seigneur ! Nous Te remercions pour Ton Esprit qui a si magnifiquement ordonné Ta parole et inspiré toutes choses. Prends-nous, Maître bien-aimé, et fais de nous des hommes qui Te servent de tout cœur et sont à Ta disposition. Alléluia !
Nous nous souvenons de tous ceux qui sont dans le besoin. Ô Maître fidèle ! Tu nous as donné le pouvoir de chasser les démons, de guérir les malades : Donne-nous la foi et le courage de mettre tout cela en pratique, car Tu nous l'as donné et Tu nous as aussi mandaté. Donne-nous maintenant ce dont nous avons besoin pour mettre tout cela en pratique.
Nous Te remercions, Seigneur fidèle, et nous T'adorons au nom de Jésus. Amen !