Ewald Frank
diffusé le 2023-03-22
Sujet : "L'édifice de Dieu ne doit être construit que selon l'architecture de Dieu !
Nous sommes heureux d'être ici et cela nous fortifie dans la foi, cela nous fortifie tous dans la foi lorsque nous entendons ce que Dieu a fait.
Je pense que si nous devions énumérer tout ce que Dieu a fait dans notre propre vie, il y aurait beaucoup à dire. Chacun d'entre nous aurait beaucoup de choses à dire ou à écrire. De même, nous avons la possibilité de raconter les nombreuses expériences que nous avons vécues au cours des dernières années. Nous ne le faisons peut-être pas assez à cet endroit et ne nous étendons pas suffisamment sur ce que Dieu a fait par grâce.
Si seulement je vous donnais une fois un récit, un récit complet d'un voyage dans des pays où il se passe toutes sortes de choses et ce que Dieu fait.
Mais c'est à dessin que je ne fais pas afin que personne ne pense de nous plus haut qu'il ne convient.
Si, comme les apôtres, ils n'étaient certainement plus là à l'époque où tout cela a été écrit ou en grande partie plus là, et c'est pourquoi on a pu écrire tout cela si bien.
Et peut-être que si nous n'étions plus là un jour, comme maintenant dans le ministère de frère Branham, après son départ, nous avons eu beaucoup à raconter, beaucoup, de ce que Dieu a fait.
Et de la même manière, nous pourrions raconter beaucoup, beaucoup de choses sur ce que Dieu a fait en termes de victoire et de bénédiction.
Dieu a accordé ces deux choses en abondance et les a accordées par grâce.
Nous pouvons témoigner qu'Il nous a conduit en triomphe, comme Paul l'a dit dans un passage, et qu'Il a révélé en tous lieux le parfum de Sa connaissance. Dieu a fait cela par grâce.
En parlant ici, j'ai dû penser à bien, des expériences à bien, des événements, à des choses que Dieu a faites par grâce dans Son amour souverain.
Nous voyons même parmi les apôtres, il y avait une grande différence entre eux. L'un s'appelait Jacques, l'autre Pierre, l'un livré à la mort, l'autre est sauvé. Pour la vie, l'un était-il meilleur que l'autre ? Non, c'étaient les voient de Dieu avec l'un d'une manière, avec l'autre d'une autre. Et le nom du Seigneur a été loué et exalté à travers tout cela.
Et quelles que soient nos voies, nous avons en nous la foi qui a été transmise une fois pour toutes aux saints.
Il n'est pas nécessaire de recommencer chaque matin et de s'efforcer de garder la foi et d'avoir la foi. Non, nous l'avons reçue, nous dormons avec elle et nous nous réveillons avec elle. Que nous soyons éveillés ou endormis, nous sommes au Seigneur, nous appartenons au Seigneur. Et c'est une chose que Dieu a placée en nous par grâce.
Je dois encore transmettre très rapidement les salutations cordiales de frère Fils. Il me l'a demandé… la plupart… ou nous le connaissons tous. C'est un de nos chers amis. Il nous connaît depuis de nombreuses années. Il a lu la brochure en anglais « Christ et Son Église dans la prophétie ». Il a été tellement béni, il avait le cœur brisé. Il venait de terminer sa lecture et prenait le téléphone pour appeler et dire, frère Frank, j'ai rarement vu ça. C'est pourquoi nous en apportons encore quelques brochures. Je ne sais pas, l'avons-nous en allemand ? Probablement pas.
Mais en tout cas, il y en a beaucoup qui sont bénis en lisant de telle manière. La parole de Dieu est alignée et reliée l’une à l’autre et placée à la bonne place.
Et nous devrions tous apprendre à respecter le fait que Dieu a un certain ordre. Un certain ordre. Et que quelqu'un ne peut pas faire ce que quelqu'un d'autre a fait. Cela a déjà été fait !
Si Dieu a donné un ordre, un mandat à frère Frank, alors le mandat est exécuté. Personne d'autre n'a besoin de le faire ! Vous voyez ce que je veux dire ? Le mandat est déjà exécuté.
Dieu donne des mandats originaux, des ordres originaux. Et personne ne doit s'attendre maintenant à ce que quelqu'un d'autre se présente pour accomplir le même mandat. Ce n'est pas possible !
Il faut comprendre que Dieu a Ses serviteurs et que chacun a un certain ordre à accomplir, un certain mandat. Et que cela plaise ou non aux yeux des hommes, cela n'a aucune importance. Ce qui est important, c'est qu'il s'agit d'un ordre divin, d'un mandat divin qui fait partie de l'événement du salut et qui s'inscrit et s'ajoute à ce que Dieu fait en ce temps selon Sa parole.
Ainsi, nous avons placé notre propre volonté dans la volonté de Dieu et n'avons qu'un seul désir : c'est que Sa volonté soit faite sur la terre comme elle est faite au ciel.
Et nous croyons que ce qui se passe en ce temps est exactement ce que Dieu a déterminé, rien d'autre. Personne ne doit s'inquiéter que les choses soient tombées des mains du Seigneur, ou qu'Il ne soit plus fermement assis dans Son règne ou plutôt sur Son trône ! Non.
Notre Dieu fait toutes choses selon un plan. L'achèvement de l'Église n'arrivera pas trop tard.
Bien sûr, tout est lié au travail dans le royaume de Dieu. Nous le savons tous.
Le Seigneur a envoyé Ses serviteurs matin et soir. Il a laissé rappeler Son peuple à l'ordre. Il a laissé avertir Son peuple. Il leur a parlé dans leur conscience pour les ramener à Lui afin qu'Il ait pitié d’eux.
Et c'est ainsi que nous aussi, nous devons veiller en ce moment dans la maison de Dieu. Nous devons sans cesse avertir, réprimander et ramener à la parole de Dieu.
J'ai trouvé un cantique dans mon petit livre de cantique, ainsi que le refrain et quelques couplets. Il correspond à ce que Frère Schwill a lu, en particulier le troisième couplet. Il est dit ici : « Et si le chemin mène en prison, montre ce que ta foi peut faire. Souviens-toi de ce qui est arrivé à Paul et à Pierre, comment Dieu les a aidés en ce jour-là ». Et puis le compositeur ici chante le refrain : « Le mieux est de marcher en chantant, alléluia. Le mieux est de marcher en chantant. Le diable n'aime pas le cantique des croyants, mais Jésus aime l'entendre ».
Il faut pouvoir s'habituer à remercier le Seigneur en toutes circonstances pour tout, quoi qu'il arrive.
Ici dans le deuxième couplet il est dit : « Même si les lions traversent ton pays, va de l'avant et mets ta confiance dans le Seigneur. La main fidèle, la main forte, la main victorieuse du Sauveur t'aide si volontiers. Comme Daniel, c'est un jour joint au lion. Je crois qu'il y entra en chantant ».
Quand Dieu envoie Ses anges au secours, comme on peut être béni heureux, comme on peut se réjouir ! C'est ce que nous avons entendu dans la parole de Dieu.
Pierre était de bonne humeur et le Seigneur avait encore un ordre pour lui, une mission pour lui. Son heure n'était pas encore venue. Le ministère de Jacques était terminé et le Seigneur l'a pris dans Sa gloire. Le ministère de Pierre n'était pas terminé et Il l’a fait sortir de la prison.
Il ne nous reste donc plus qu'à remercier de tout cœur le Seigneur pour toute Sa fidélité et Sa grâce.
En lisant les événements bibliques, nous savons que Dieu est toujours là, et le même Dieu vit encore aujourd'hui, le même Seigneur Se révèle à ceux qui le servent, qui le craignent, qui marchent dans Ses voies et Il leur fait savoir ce qui est décidé dans le plan de Dieu.
En effet, lors de certains mercredis soir, nous avons fait référence ici à ce que Dieu fait en ce moment. Et si nous voyons, le mystère de l'accomplissement de la prophétie biblique réside toujours dans le fait que Dieu parle de manière surnaturelle à ceux qui ont une part directe dans le temps où Dieu fait quelque chose.
Nous pourrions aller jusqu'à Moïse et l'ancien testament jusqu'à Moïse et partout où des choses se sont produites de manière surnaturelle. Mais même au début du Nouveau Testament, nous en avons parlé ici, les scribes ne connaissaient que ce que Moïse avait dit. Oui, principalement ce que les autres prophètes avaient dit, cela avait largement disparu de leur mémoire. Moïse était de toute façon leur prophète principal, particulier, n'est-ce pas !
Mais il était certes écrit dans les prophètes : « voici que j'envoie Mon messager devant Moi et une voix de prédicateur dans le désert ». Mais au moment où ce passage devait s'accomplir, un ange du Seigneur apparut à Zacharie alors qu'il était entrain de tenir le service divin dans le Temple et que le peuple était en prière, l'ange lui parla en se tenant à la droite de l'hôtel de l’encens et dit : « Écoute, ta femme va avoir un fils, donne-lui le nom de Jean, car c'est lui qui marchera devant le Seigneur pour Lui préparer le chemin ». Et il donne-la l'explication de tout ce qui devait arriver dans le temps par le ministère de Jean.
Les scribes avaient la lettre de Moïse, et si l'on peut dire la parole de tous les prophètes, mais ils n'avaient aucune part à cette visitation de grâce divine et à cette information opportune que le Seigneur donnait au moment de l'accomplissement de Sa parole.
Et nous en avons parlé ici : les scribes auraient pu venir voir tous les écrivains des Évangiles et dire, « Écoutez, oui, qu'est-ce qui vous arrive ? Vous dites tout simplement que Jean est cet homme dont on parlait Ésaïe et Malachie ! d'où tirez-vous cela ? Qu'est-ce qui vous fait dire cela ? Nous, nous n'en savons rien ! »
Oui, ils n'étaient pas là et ils ne croyaient pas du tout ce qui se passait de manière surnaturelle dans leur temps. Mais les hommes de Dieu eux croyaient et ils ont informé le peuple de deux choses : de la parole écrite et de ce qui était en rapport avec l'accomplissement de la parole écrite.
Et c'est pourquoi, sur la base de l'annonce de l'ange, ils savaient que le précurseur qui serait là dans l'esprit et la puissance d’Élie s'appellerait Jean. Les scribes ont pu se remettre sur la tête, n'est-ce pas, et sur les pieds, aucun argument ne leur avait servi. La parole de Jésus s'accomplissait et l'ange du Seigneur avait parlé.
Et tout aussi bien, je crois que c'est ce que nous avons dit dans l'Ancien Testament, il était écrit mot pour mot : « Son nom sera Emmanuel », en référence au Seigneur Jésus. Et lorsque l'ange s'est adressé à Marie, il a dit, tu dois ou on doit lui donner le nom de Jésus, car il est dérivé du nom Yashua Il lavera, Il sauvera Son peuple de ses péchés.
Une fois de plus, les scribes auraient pu venir et dire : « Écoutez, nous savons que le Messie va venir, mais comment vous est-il venu à l'esprit de dire que ce Jésus de Nazareth serait notre Messie ? Depuis quand s'appelle-t-Il Jésus ? Il est censé être Emmanuel. Le Messie est censé être Emmanuel ».
Vous voyez ? Ce qui était caché aux sages et aux intelligents, Dieu l'a fait connaître en toute simplicité à ceux qui attendaient la consolation d'Israël.
Et tous ceux qui ont reçu la grâce de Dieu dans leur temps n'ont absolument rien remis en question, au contraire, ils ont poussé des cris de joie, ils se sont réjouis car ils savaient qu'il s'agissait d'une prophétie biblique ici, qui était classée correctement et comme Dieu le voulait, tout s'est réalisé.
C'est de la même manière que cela s'est passé en ce moment, en ce temps. Les gens se posent des questions : « Oui, pourquoi vous parlez d'un ange du Seigneur qui est venu vers votre homme-là que vous mettez en avant, etc. ». Ce n'est pas nous qui avons inventé cela. Ce sont tous des faits divins. Le Seigneur et Sa Parole ne changent pas. C'est juste une preuve que le Seigneur veille sur Sa Parole. Chaque fois qu'une partie des promesses s'accomplit, le Seigneur parle et Se révèle d'une manière surnaturelle.
Les scribes s'irritent jusqu'à ne plus pouvoir de certaines affirmations qu'ils entendent et disent : « C'est terrible tout ce qu'ils font ». Ce n'est pas si terrible que ça tout ce qu'ils font car ce n'est pas nous qui le faisons : c'est le Seigneur qui l'a fait par grâce !
Mais ceux qui n'ont aucune part à cela, ils se méprennent sur l'action de Dieu et pêchent contre ce que Dieu a fait par grâce.
Je crois que nous pouvons être très reconnaissants pour toutes ces choses, et cela correspond exactement à ce que le Seigneur a dit au commencement. Il y avait deux choses dès le début : d'une part, la distribution de la nourriture. Et frère Branham a dit textuellement : « C'est la Parole révélée pour ce temps enregistrée dans les bandes magnétiques », c'est-à-dire toutes les prédications. C'est une chose.
Mais l'autre chose, c'est la proclamation de la Parole de Dieu à la lumière de la révélation divine qu'il a donnée par grâce en ce temps.
Et nous savons, et vous pouvez tous en témoigner à cet endroit, nous n'avons pas pris une déclaration de frère Branham et l'avons démontée ici. Nous avons écouté les bandes sonores telles qu'elles sont et nous avons prêché la Parole de Dieu telle qu'elle est, sans utiliser la violence nulle part, sans sortir les choses de leur contexte nulle part.
Et cela a été la volonté de Dieu d'une part, de classer correctement la prophétie biblique, d'autre part, proclamer tout le Conseil de Dieu et distribuer aux hommes la nourriture, à savoir la nourriture spirituelle qui nous a été donnée par grâce en ce temps.
Et je veux dire que le Seigneur avait prévu cela, l'avait annoncé à l'avance, et au fil du temps, nous avons vu ce qui en a résulté et ce que Dieu a fait par grâce.
Dans ce contexte, j'ai pensé à une parole que David, un homme selon le cœur de Dieu, a prononcée à la fin de sa vie. Nous la trouvons dans 1 Chroniques. Dans 1 Chroniques, j'aimerais en lire le verset 19, puis le verset 10 de 2 Chroniques.
Dans 1 Chroniques 28, le verset 19 dit :
« Sur tout cela, dit David, il m'a donné des instructions par un écrit émanant de la main de l'Éternel, sur tous les travaux nécessaires à l'exécution du plan de construction ».
David, un homme selon le cœur de Dieu, voulait construire une maison pour l'Éternel. Il a fait toutes les connections. Quand on lit ce chapitre, je l'ai consulté brièvement, il avait une vue d'ensemble sur tout et savait exactement de quelle manière la construction devait être faite. Il a pu dire ici à la fin de cette description : « Sur tout cela, dit David, il m'a donné des instructions par un écrit émanant de la main de l'Éternel ».
Non par ce que les hommes ont dit à ce sujet, non par une consultation à la chair et au sang, non par un raisonnement comme je puis le faire, mais une information divine, une instruction divine, un écrit rédigé de la main de l'Éternel sur ce qui devait être fait en ces jours-là.
Et nous y sommes tout à fait ouverts, rien d'autre ne nous suffit et nous ne serions satisfaits de rien d'autre que de ce que la main du Seigneur a écrit et la bouche du Seigneur a parlé par grâce, de ce qui est écrit dans la précieuse et sainte parole.
David n'a pas dit : « Je suis un homme que le Seigneur a oint et envoyé. J'ai imaginé ceci et cela et c'est ce que je vais faire maintenant », mais il dit « surtout… », pas seulement sur des détails, mais : « sur tout cela, dit David, il m'a donné des instructions par une écriture qui vient de la main de l'Éternel.
Nous croyons que cette Écriture est l'Écriture de Dieu. Cette Bible est l'Écriture de Dieu et que le Seigneur nous a donné dans Sa parole des instructions sur tout par grâce. Il a rétabli en ces jours, Il a restitué en ces jours, Il nous a donné des instructions et nous pouvons dire la même chose sur tous les travaux nécessaires à l'exécution du plan de construction.
Paul dit, probablement dans 1 Corinthiens 3 :10 : « Moi, comme un sage architecte, j'ai posé le fondement chez vous. Maintenant, voyez comment chacun construit et bâtit là-dessus ».
Et seul celui qui se tient sur le même fondement que Paul, qui a le même esprit de Dieu, qui reçoit la même parole de Dieu et qui participe au mandat qui sert à l'édification de l'Église de Jésus Christ, seulement cette personne peut continuer à bâtir correctement là-dessus. Seulement celui qui prend part au mandat qui sert à l'édification de l'Église de Jésus Christ peut continuer à bâtir sur ce fondement et cela, correctement.
Il y a toujours des choses qui doivent être pesées et si possible, le motif d'une personne devrait être examiné.
Et avec ce qui est fait, il est écrit que tout ministère établi par Dieu dans l'Église a été établi pour l'édification de l'Église. Et si un ministère a été établi pour l'édification, il n'en sortira rien de destructeur. Il n'en sortira rien de destructeur. Il en sortira de l'édification, de l'assemblage, chaque chose de divin pour l'ensemble de l'Église de Jésus Christ.
L'individu qui accomplit le ministère n'est qu'un instrument dans la main de Dieu, mais ces ministères sont destinés à l'édification de l'Église ; et il est littéralement écrit que l'Église doit être rendue capable d'exercer le ministère de l'Église.
Et c'est à cela que sert tout ministère. Qu'il soit de nature prophétique ou doctrinale, peu importe la manière dont un ministère est exercé, si Dieu l'a donné, c'est pour l'édification de l'Église de Jésus Christ, c'est pour rassembler afin que tous ceux qui écoutent et participent soient bénis par Dieu. Si un tel ministère est de Dieu, il sera destiné à l'ensemble de l'Église, et pas seulement à un cercle ici ou là, mais à tout ce qui forme le corps de Jésus Christ en ce temps.
De la même manière qu'une révélation et un enseignement prophétique. Et prenons tranquillement frère Branham à cette époque. Il parlait à Jeffersonville, mais ses prédications, comme nous l'avons souvent entendu, se répandaient dans le monde entier. Partout où il y avait des gens à qui Dieu avait ouvert le cœur et avec qui Il devait parler, ils ont accepté.
Paul a prêché à Éphèse, à Corinthe ou ailleurs. Il leur a écrit une courte lettre. Nous lisons encore aujourd'hui ces choses qui se passaient à l'époque. Pour quelles raisons ? Ce que Dieu fait n'est pas seulement pour le moment, mais pour l'Église de Jésus Christ aussi longtemps qu'elle est ici sur cette terre.
Et chaque homme de Dieu, quelle que soit l'époque, tout homme de Dieu qui a participé à l'édification de l'Église de Jésus Christ, a accompli et devait accomplir de manière désintéressée le ministère de Dieu qui lui avait été confié et ce, en parfaite harmonie.
C'est tout ce que nous voulons en ce lieu. Nous voulons que Dieu soit reconnu à Sa juste valeur, sinon rien d'autre !
Et c'est dans ce contexte qu'il faut comprendre la parole. Dieu a établi dans l'Église apôtre, etc. les cinq ministères qu'il a Lui-même établi pour l'édification de l'Église, et personne ne peut remettre cela en question, car tant que l'Église est sur la terre, ces choses doivent être là.
Après avoir dit tout cela, David a eu envie de louer le Seigneur. Je crois que si nous avons compris qu'en ce temps-là, ce n'est pas le plan d'un homme, ni la pensée d'un homme, ni le projet d'un homme, mais qu'en ces jours, le Dieu Tout-Puissant a révélé Sa parole comme Il a conduit la main de ceux qui ont écrit et leur a mis Ses pensées dans le cœur, de sorte qu'ils ont énuméré ce qui doit arriver à l'avenir.
Nous lisons parfois dans les Écritures : « Je te montrerai ce qui doit arriver dans l'avenir ». Prenons seulement les écrits envoyés aux Églises, mais de manière générale, ce qui se trouve au début de l'Apocalypse : « Je te montrerai ce qui doit arriver dans la suite », et tout est écrit.
Et c'est après cette parole de Dieu écrite que tout doit être ordonné.
Tout homme qui se laisse ordonner par Dieu en ce temps-là, c'est aussi avec lui que Dieu créera et fera la conclusion, la fin.
Mais il est nécessaire que nous trouvions notre place de cette manière.
Il est dit ici de David, verset 10 du chapitre 29. 1 Chroniques chapitre 29 verset 10 :
« Alors David loua l'Éternel devant toute l'assemblée en disant : loué sois-tu, Éternel, Dieu de notre Père Israël, d'éternité en éternité ».
David avait des raisons et des motifs de servir son Dieu. Il n'avait pas d'affliction. On pense parfois qu'il n'a pas pu accomplir entièrement sa volonté car il voulait construire une maison pour l'Éternel. Mais tel était le plan de Dieu et David s'y est plié car ce n'est pas sa volonté mais la volonté de Dieu qui devait être faite et qui l'a été.
David a vu le plan. Il savait comment tout devait être fait et l'a détaillé. Et plus tard, ce plan a été mis en œuvre. Devant toute l'assemblée, David a loué l'Éternel, le Dieu des cieux et de la terre, le Dieu de notre Père Israël, d'éternité en éternité.
Je ne sais pas si en ce moment, il nous reste autre chose à faire que de louer le Dieu des cieux, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu Tout-Puissant à cause de ce qu'Il a fait ! Il a donné des informations complètes en ce temps sur ce qui devait arriver conformément à Sa Parole.
Ce n'est pas ce que les hommes ou les stylos des scribes ont écrit mais ce que la main du Seigneur Lui-même a écrit, ce que Sa bouche a dicté, ce que Son Esprit a inspiré. Ce sont des serviteurs de Dieu qui l'ont reçu et qui nous l'ont fidèlement transmis de sorte que nous avons aujourd'hui, entre les mains, une écriture écrite de la main de Dieu ! Une écriture sur laquelle nous pouvons compter, une Parole qui est inviolable !
Et cela continue ici au verset 11. 1 Chroniques 29 verset 11 :
« A Toi, O Éternel, la grandeur, la puissance, la gloire, la majesté, car tout est à Toi dans les cieux et sur la terre. C'est à Toi, ô Éternel, qu'appartient la domination et c'est Toi en tant que souverain qui es élevé au-dessus de tout ».
N'est-il pas écrit dans Colossiens 1 environ au verset 18, que Christ doit avoir la prééminence en tout, la première place ? Qu'Il est la tête de Son corps qui est Son Église et qu'Il doit avoir la prééminence à tout égard ? Le Souverain, la Tête, le Chef, Il est la Tête et nous sommes les membres.
Et si nous Lui accordons la place en majesté, la première place en gloire, alors nous recevrons nous aussi quelque chose de Sa gloire lorsqu'Il se manifestera en nous. Et s'Il parvient à Ses droits, nous parviendrons tous à nos droits. Nous n'avons pas besoin de nous inquiéter. Parfois nous pensons que nous devons arriver à nos fins, mais pas sans Lui ! Vous voyez ce que je veux dire ? Mais avec Lui et par Lui, nous aussi nous arrivons à nos fins.
Verset 12 :
« La richesse et la gloire viennent de toi et tu règnes sur tout. La force et la puissance sont dans ta main, et il est dans ta main de rendre tout homme grand et fort ».
David n'a pas supplié, il ne s'est pas plaint, il ne s'est pas lamenté. Il n'a pas fait de reproche à lui-même ni à Dieu. Il a loué l'Éternel. Il a loué le nom de l'Éternel. Il a exalté, élevé, et il a fait confiance au Seigneur pour qu'Il puisse rendre tout le monde fort. Pas seulement lui, mais c'est écrit ici, littéralement : « La force et la puissance sont dans ta main, et il est dans ta main de rendre tout homme grand et fort ».
Je trouve ce mot « tout homme » très beau car, si le Seigneur ne fortifiait, n'élevait, et ne fortifiait que certains, où seraient le reste ? Tout homme, tout le monde, chaque individu, comme le peuple d'Israël. Il est écrit : « il n'y avait pas de faible parmi eux », pourquoi ? Parce que le Dieu fort était au milieu d'eux et qu'il fortifiait les faibles. Chaque homme était fort dans le Seigneur. Et aucun de ceux qui ont participé à ce que le Seigneur a fait en ces jours-là, aucun n'a été négligé.
Et maintenant, voici la suite, c'est une parole tout à fait glorieuse. Verset 17 il est écrit :
« Or, je sais, mon Dieu, que tu éprouves le cœur et que tu prends plaisir à la sincérité. Eh bien, j'ai donné tout cela volontairement d'un cœur sincère, et j'ai vu maintenant avec joie que ton peuple réuni ici t'a aussi fait des offrandes volontaires ».
Pas seulement David, mais aussi le peuple de Dieu, au milieu duquel le Seigneur l'avait placé, avait été béni par le Dieu Tout-Puissant avec la même disposition, la même bénédiction, la même volonté et tout cela. Rien n'avait besoin d'être fait par la contrainte. Tout était fait dans une si belle harmonie que la pleine bénédiction de Dieu Tout-Puissant reposait sur elle.
Et pourquoi cela ? Ce que David avait l'intention de faire était dans la volonté de Dieu. Il ne s'est pas contenté de dire : « Oui, Seigneur, j'ai un peu trop de temps, je vais te faire une faveur », mais c'était dans le plan de Dieu et ce qui a été réalisé a reçu la bénédiction du Tout-Puissant, et pas seulement sur lui, mais sur tous ceux qui y ont participé.
C'est ce même esprit qui a été transmis à l'ensemble du peuple du Seigneur. Frères et sœurs, l'Esprit du Seigneur doit être transmis à chacun d'entre nous, de manière à créer en tous une harmonie divine, un cœur volontaire et sincère, comme le dit David dans un autre passage.
Il dit : « Crée en moi un cœur pur, oh Dieu ». C'est en effet ce qu'il avait déjà raconté ici, au soir de sa vie. Et il pouvait jeter un regard en arrière sur une vie béni par Dieu, sur les chemins où l'Éternel l'a guidé, sur les victoires que Dieu lui a données, sa confiance en son Dieu était si forte jusqu'à la dernière heure de sa vie.
Et il dit au verset 17 :
« Mais je sais mon Dieu, que tu éprouves le cœur et que tu prends plaisir à la sincérité ».
Et ensuite ici, il dit encore au verset 18 :
« Éternel Dieu de nos pères Abraham, Isaac et Israël, maintiens à jamais dans le cœur de ton peuple ces sentiments et cette manière de penser et dirige leur cœur vers toi ».
N'est-ce pas là une magnifique prière que David présente par l'Esprit devant la face de Dieu ? « Maintiens dans le cœur de ton peuple un tel sentiment et cette manière de penser et dirige leur cœur vers toi ».
N'est-il pas écrit dans Colossiens ou dans Philippiens que de telles dispositions, de telles manières de penser, de tels sentiments, puissent être en nous comme ils étaient en Jésus Christ ?
Maintiens en nous de tels sentiments, oh Seigneur, avec un cœur sincère en regardant vers Toi. Donne-nous la volonté, donne-nous la sincérité et tout ce dont nous avons besoin ainsi qu'une telle manière de penser comme cela est agréable au Seigneur Dieu Tout-Puissant.
Même notre pensée doit être en ordre car si notre pensée n'est pas en ordre, alors tout le reste ne peut pas être en ordre. Il faut bien que cela commence quelque part. Et les pensées ne commencent pas toujours dans la tête, elles commencent aussi très souvent dans le cœur. Et c'est pourquoi il faut que ce soit juste dans le cœur. Il doit y avoir cette sincérité, cette ouverture, tout ce que cet homme de Dieu a demandé ici doit être en nous.
Mais il savait à qui s'adresser. Il ne s'est pas adressé au peuple avec une prédication pour réprimander le peuple et le remettre dans le droit chemin pour dire : « vous devez, vous devez, vous devez ». Il s'est adressé à Dieu qui est capable de faire entrer dans le cœur des hommes une telle manière de penser.
Et c'est ce que nous voulons faire ce soir avec cette parole que nous avons lue et sur laquelle nous développons ici quelques réflexions.
Que nous nous adressions tous à la même adresse, c'est-à-dire à Celui qui peut diriger les cœurs comme des ruisseaux d'eau, qui peut les changer, les transformer. À qui nous pouvons dire : « Mon Dieu donne-moi un cœur nouveau et pur, crée à moi un esprit nouveau et redresse-moi selon Ta grande bonté et Ta miséricorde ».
David savait que sa fin était arrivée. Il présente cette dernière volonté, on pourrait presque dire, devant la face de Dieu, devant le Dieu de nos pères, Abraham, Isaac et Israël. Verset 28 :
« Maintiens à jamais dans le cœur de ton peuple ses sentiments et cette manière de penser et dirige leur cœur vers toi ».
Oui, si Dieu peut créer cela en nous tous ! Que toute notre existence soit dirigée vers Lui et qu'Il puisse créer en nous une manière de penser et des dispositions qui Lui soient agréables, alors nous serons tous aidés. On nous appellera alors : « ce sont les bénits du Seigneur ». Et c'est vraiment à la bénédiction de Dieu que tout est dû. Tout dépend de la bénédiction de Dieu.
Nous, nos résolutions, combien de fois avons-nous pris des résolutions et dit : « Seigneur, je veux, je veux » ?
Mais David savait qu'il ne suffisait pas de dire « je voudrais ». Il s'adresse à Celui qui a créé le ciel et la terre, à Celui qui a créé le cœur, à Celui qui peut le transformer, le façonner, à Celui qui peut révéler en nous des pensées de paix, de réflexion, de bénédiction et de salut. Oui, à Celui qui peut nous garder vivants, qui peut garder vivantes les pensées de Sa parole dans notre cœur.
Il y a, je crois, une parole dans l'Épître aux Hébreux où il est dit que cela n'a pas été écrit sur les tables de pierre, mais sur les tables de notre cœur. Et c'est ce genre de personne que Dieu veut faire de nous.
C’est là que le bât blesse. Une autre chose lui tient à cœur, que l'homme qui doit exécuter le plan que Dieu a mis sur son cœur, où Dieu lui a donné des instructions sur la manière dont les choses doivent se faire et ce qu'elles doivent être. Le Seigneur doit être avec lui d'une manière particulière. Au verset 19 :
« Mais accorde à mon fils, Salomon, un cœur sans partage pour qu'il observe tes commandements, tes ordonnances et tes préceptes, tes instructions, et qu'il fasse tout ce qui est en son pouvoir pour réaliser le magnifique édifice que j'ai préparé ».
David a préparé tout. Il avait une information reçue de Dieu. Il savait ce qui devait se passer. Et maintenant il prie pour Salomon afin que la main du Seigneur soit avec lui.
Le Seigneur, Jésus n'a-t-Il pas prié pour nous ? Il a dit : « Je ne prie pas seulement pour ceux que tu m'as donné du monde, je prie aussi pour ceux qui par leurs paroles viendront à la foi à moi ». Le Seigneur a prié pour nous tous, pas seulement pour ceux qui étaient déjà venus à la foi à l'époque, mais pour tous ceux qui viendraient un jour à la foi.
Cela correspond aussi à la promesse du verset 38 d’Actes des Apôtres chapitre 2 : « car cette promesse est pour vous et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont encore loin ».
Nous sommes les enfants de la promesse. Salomon avait la promesse avec lui. Et il y a ici, je relis rapidement le verset 20 où il est écrit… donc 1 Chronique 29 :
« Lorsque David demanda ensuite à toute l'Assemblée de louer l'Éternel leur Dieu, tous ceux qui étaient réunis louèrent l'Éternel, le Dieu de leur père, s’inclinèrent et se prosternèrent devant l'Éternel et devant le roi ».
Quand David eut fini, il sut qu'un écho doit se lever vers Dieu de toute l'Assemblée. Il n'était pas satisfait de se présenter maintenant devant Dieu et de lui soumettre ses pensées. Il a demandé à toute l'Assemblée, c'est-à-dire à ceux que Dieu avait béni et accordé Sa grâce et de participer à la réalisation de ce que Dieu a promis pour cette époque et qu'Il a mis sur le cœur de David. Il les a tous invités à louer l'Éternel leur Dieu.
Il est dit ici aussi : « alors tous les rassemblés louaient l'Éternel, le Dieu de leur père s’inclinèrent et se prosternèrent devant l'Éternel ».
N’est-ce pas merveilleux ? Pas seulement David, mais tous ceux qui étaient rassemblés louèrent l'Éternel leur Dieu et louèrent Son nom pour ce qu'Il a fait en eux.
Parfois nous donnons en ce lieu la possibilité de prier ensemble. Je me demande parfois pourquoi il n'y a pas une louange commune qui s'élève. C’est certainement parce que notre façon de penser n'est pas trouvée dans la parole de Dieu, mais que nous sommes distraits par des diverses contrariétés et difficultés de notre vie auxquelles nous nous sommes confrontés au lieu d'avoir une façon de penser authentique et biblique dans la maison de Dieu devant le Seigneur et de laisser tout le reste de côté pour une fois et d'offrir en ce lieu les remerciements dus au Seigneur, d'apporter en ce lieu les remerciements dus au Seigneur pour ce qu'Il a fait par grâce.
Une fois que David en a eu fini avec tout cela, il est probablement parti ou s'est rendu auprès du Seigneur. Et tout de suite après, il est dit… nous pouvons ignorer la division en chapitres pour le moment… Puis il est dit dans 2 Chroniques chapitre 1, verset 7, mais ignorons la division en chapitres pour le moment :
« Cette nuit-là Dieu a apparu à Salomon et lui a dit : Demande ce que tu veux que je te donne ».
Justement David avait demandé pour Salomon que l'Éternel soit avec lui, que la main miséricordieuse de Dieu soit avec lui pour l'exécution de tout ce qui lui avait été demandé et mis sur le cœur. Et il est dit ici : « cette nuit-là », tournez une seule page à la fois, allez au chapitre 1, verset 7 :
« Cette nuit-là Dieu a apparu à Salomon et lui dit : Demande ce que tu veux que je te donne ».
Dieu répond à la prière. Dieu voit Son peuple. Il sait qui le désire, qui a des désirs à tourner vers Lui. Il le sait.
Et je crois que nous sommes des hommes comme Salomon avec une promesse et que le Seigneur Lui-même bâtit son Église. Il a dit : « Je bâtirai Mon Église et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle ».
Nous tous qui sommes ici ne sommes que des pierres de construction dans cet édifice, mais c'est Lui-même qui construit.
Et si Dieu fait appel à certains pour édifier l'Église, Il le fait selon Sa volonté, selon Sa parole. Mais c'est Lui qui doit tout accomplir en tout.
Et nous voulons nous mettre à nouveau à Sa disposition et dire : « Seigneur, nous voici, non seulement tes serviteurs que tu as utilisés pour une mission particulière, mais nous tous qui n'avons pas à la réalisation de Ton dessein de salut, nous ouvrons la bouche pour T'offrir à Toi, pour T'apporter à Toi le Dieu du ciel et de la terre, le remerciement qui T'est dû ».
Les gens d'autrefois se sont jetés sur leur visage pour apporter leur adoration au Seigneur de cette manière.
Je crois que si nous pouvons tout de même l'apprendre en ce lieu, si le Seigneur peut nous le faire comprendre, il existe en effet un passage biblique où il est écrit : « Seigneur, apprends-nous à prier ». Un tel passage biblique existe-t-il ? Pas du tout ? Il existe pourtant. Personne n'a dit : « Seigneur, apprends-nous à prêcher ». Personne n'a énuméré diverses choses. Personne n'a dit : « Seigneur, apprends-nous à faire des conférences d'évangélisation. Apprends-nous à prophétiser. Enseigne-nous ceci ou cela ». Non. La demande est : « Seigneur, apprends-nous à prier ».
« Apprends-nous à prier. Enseigne-nous à parler avec Toi de telle manière que Tu puisses parler avec nous. Enseigne-nous ». Personne n'a dit : « Je veux donner des leçons de chant, apprends-nous à chanter, apprends-nous à jouer des instruments ». Non. Nous pouvons faire tout cela par nous-mêmes, mais prier, c'est ce qu'Il veut nous enseigner !
Et nous voyons ici ces serviteurs de Dieu. Ils ont trouvé les mots pour le remercier.
Et nous ferions bien de lire des prières dans l'Ancien et le Nouveau Testament pour savoir à quoi ressemble une prière inspirée par l'Esprit.
Nous en avons déjà parlé ici. Lorsque Marie a loué le Seigneur, lisez sa louange ! Lorsque Zacharie a loué le Seigneur, lisez sa louange ! Lisez donc où les gens ont prié sous l'inspiration de l'Esprit saint. Ils se tenaient sous un ciel ouvert.
Nous aimerions dire : « Seigneur, apprends-nous à prier ».
Nous pensons peut-être : « Oui, il sait déjà bien prier et il le sait très bien ». Non, personne ne sait prier. « Apprends-nous à prier, Seigneur », une prière qui soit une conversation avec Dieu. Une prière qui ne doit pas être entendue par quelqu'un de particulier ; mais une prière que nous adressons à Dieu. C'est une conversation avec notre Dieu : « Seigneur, apprends-nous à prier comme Tu le fais pour tous tes serviteurs ».
Je me souviens bien que les disciples sont venus à l'époque et ont dit : « Apprends-nous à prier comme Jean l'a enseigné à ses disciples ». C'est sans doute un peu dans le contexte. Jean a justement aussi enseigné à ses disciples à prier, mais lorsque le Seigneur Jésus a enseigné à prier, c'est peut-être par Son propre exemple qu'il a le mieux enseigné. Il veut nous apprendre à prier aujourd'hui, prier pour que nos prières atteignent Son trône et qu'une réponse descende, comme pour Salomon.
David avait demandé et il est dit que la nuit suivante, Dieu apparut à Salomon. Ce n'était pas une longue lutte, c'était une conversation avec Dieu du fond d'un cœur sincère, d'un cœur dévoué, donné et consacré à Dieu.
Et le Seigneur savait : « Voici une promesse, la voici. Ici, Je parle et Je Me révèle dans Ma gloire ».
C'est ainsi que nous le savons aujourd'hui. Dieu nous a fait une promesse. Le Seigneur est lié à Sa parole. Combien de fois nous l'avons entendu ? Lui et Sa parole ne font qu'un. On ne peut pas les séparer. Si nous avons donné foi à Sa parole, nous Le croyons Lui, et Il nous apprendra à prier. Il nous apprendra à prier, non pas individuellement, mais à nous tous, afin que nous puissions, comme l'Église d'alors, d'autrefois, et tous, louer le nom du Seigneur, notre Dieu, et que la bénédiction du Seigneur descende sur nous avec puissance ! Avec puissance. Amen !
Levons-nous et prions.
Père céleste, nous venons ensemble devant Ta sainte face et Te remercions pour Ta parole fortifiante et glorieuse. Nous Te remercions parce que c'est une parole vivante car Toi, le vivant, Tu as parlé et Tu as accompli. Tu as toujours fait connaître Tes plans aux Tiens. Tu les as introduits et Tu les as fait participer à la réalisation de Ton dessein de salut.
Tu es le Dieu de l'Ancien et du Nouveau Testament, le seul vrai Dieu qui est devenu notre Sauveur par Jésus Christ, notre Seigneur. C'est Toi que nous remercions. C'est toi que nous adorons.
Sauveur bien-aimé, je T'apporte maintenant tout ce qui ont levé les mains. Tu sais ce dont nous avons besoin ô Seigneur, selon l'Esprit, l'âme et le corps.
En cette heure, en ce moment, que Ta sainte bénédiction, Ta grâce et Ta force viennent sur tous ceux qui crient vers Toi au plus profond de leur cœur, qui appellent, qui invoquent pour que personne n'entende sauf Toi.
Tu répondras dans le secret et Tu rendras manifeste que Tu as entendu des prières et que Tu as exaucé.
Ô Dieu, fais de nous des gens qui prient. Apprends-nous à prier comme l'Église priait au commencement ô Seigneur, pour que ce lieu bouge, que les portes des prisons s'ouvrent et que Ton nom soit glorifié !
Tu es le même. Nous Te remercions pour tout cela, au nom de Jésus. Amen ! Amen !