Ewald Frank

Krefeld, le 15 mai 1983 (10:00)

2 TIMOTHÉE 1 : 7 

DIEU NE NOUS A PAS DONNÉ UN ESPRIT DE TIMIDITÉ,
MAIS UN ESPRIT DE PUISSANCE,
D'AMOUR ET DE DISCIPLINE PERSONNELLE

(Retransmis le 08 septembre 2024)

Nous sommes reconnaissants pour le grand privilège que nous avons de pouvoir toujours nous réunir pour écouter Sa parole, et nous laisser bénir à nouveau.

Si je dois exprimer ce que mon sens d'observation me dit –et je voudrais placer cela directement au début de l'heure– dans chaque réunion où Dieu nous parle et où certaines choses sont dites qui sont de la plus haute importance, je porte de la douleur pour tous ceux qui n'étaient pas présents ! Vous qui êtes peut-être assis là, vous ne pouvez pas le ressentir tout à fait ; mais l'édification spirituelle implique simplement que tous, ensemble, entendent la même chose, la même parole en même temps, au même moment ; pas seulement de la deuxième bouche, mais qu'il soit vraiment édifié tous avec nous sous l'écoute de la parole de Dieu. Et personnellement, je préférerais une réunion par semaine à laquelle tout le monde participe, plutôt que trois qui sont dispersés !

Il est clair pour moi que certains qui ne peuvent pas faire autrement du point de vue du travail, que c'est inévitable ; mais revenons au premier amour, et faisons passer l'œuvre de Dieu, la cause de Dieu, en première place, quelles que soient les circonstances, car Dieu le mérite ! Et cela nous fera du bien d'agir ainsi ; Dieu nous récompensera pour cela.

Nous avons quand même entendu hier soir des choses que tout le monde devrait entendre. C'est tout simplement nécessaire, c'est absolument nécessaire, car je suis convaincu que l'enseignement arrive à son terme, et que Dieu veut faire de nous des hommes qui marchent dans Ses voies ; et Ses voies sont conformes à Sa parole. Personne ne peut dire : « Je marche dans les voies de Dieu ! », et laisser la parole tomber à droite et à gauche. Les voies de Dieu sont toujours dans la parole de Dieu, et Ses pensées, et en général tout ce qu'Il fait, est dans Sa parole et dans le cadre de Sa parole. Qu'Il nous fasse donc la grâce d'y prêter attention, de le recevoir dans notre corps et de l'intégrer en nous.

J'aimerais poursuivre ce matin avec la lettre à Timothée, mais je voudrais d'abord revenir brièvement sur ce que nous avons déjà entendu ensemble. Dans Ésaïe 25, nous avons lu au verset 1 : « Ô Seigneur, Tu es mon Dieu ! ». Ça, c'est déjà quelque chose de précieux. « Tu n'es pas un Dieu, Tu es mon Dieu ». Cette relation personnelle, ce lien avec Dieu : 

« Ô Seigneur, Tu es mon Dieu ! Je T'exalterai, je louerai Ton nom ; car tu as accompli des choses merveilleuses ».

Nous l'avons déjà entendu. La seule fois où cela a vraiment été prononcé littéralement, c'était sur la croix à Golgotha : « C'est accompli ! » (Jean 19 : 30). Toutes les choses merveilleuses que Dieu a faites dans toutes les époques depuis Adam, ne peuvent pas être comparées à ce qui s'est passé à Golgotha, parce que tout ce que Dieu a déjà fait, a fait référence à Golgotha ; et ce que Dieu fait depuis, résulte de ce qui s'est passé à Golgotha. Golgotha est le point central de la foi dans l'Ancien et le Nouveau Testament, à savoir la rédemption, le pardon, le salut, la grâce, la vie éternelle. Des choses merveilleuses se sont accomplies à Golgotha. Le Seigneur S'est exclamé : « Tout est accompli ! ». Et après cela, il est écrit au verset 1 d’Ésaïe 25 :

« Tes desseins conçus à l'avance, tu les exécutes dans la fidélité et dans la vérité ».

Ça, c'est notre Dieu ! « Seigneur, Tu es mon Dieu ! ». Lorsque Thomas vit le Seigneur après la résurrection, il s'exclama : « Mon Seigneur et mon Dieu ! ». Seul un homme qui a compris ce qui s'est passé à Golgotha peut dire cela. Les conseils, les desseins que les prophètes avaient annoncés depuis longtemps, qui leur avaient été révélés et qui ont été prédits, ont été exécutés. « Tu as fait des choses merveilleuses, et Tu les as accomplies ». Quelle grâce !

Nous avons tous lu « Fidélité, exécuté dans la vérité ». C'était Ésaïe 25 verset 1 ; et puis nous avons aussi lu Ésaïe 25 verset 8 : « Il fera disparaître la mort éternellement, Il essuiera les larmes de tout visage, et Il effacera l'opprobre de Son peuple partout sur la terre, car le Seigneur l'a promis ». C'est une chose merveilleuse. Il y a une telle assurance dans les paroles de Dieu. Elles sont un absolu, elles sont définitives ! La seule réalité, l'unique réalité qui existe sur la terre, vient de Dieu, est en Dieu, jaillit de Lui, ramène à Lui, et se trouve en ceux en qui Il a fait Sa demeure.

Nous ne sommes pas notre propre absolu, mais nous avons reçu la parole de Dieu comme l'absolu en nous. Je vous le dis : Ce qui compte maintenant, c'est de croire vraiment comme l'Écriture l'a dit ; et pas seulement cela, mais aussi de parler comme la parole de Dieu a parlé, ou comme Dieu a parlé dans Ses paroles. Il y en a beaucoup qui sont prêts à croire de tout cœur comme l'Écriture l'a dit, et qui, lorsqu'il s'agit de parler, ne tiennent pas compte de l'Écriture ! Ils parlent à côté de ce qui est écrit. Notre foi doit être en accord avec ce que Dieu a dit dans Ses paroles, car c'est la foi telle que l'Écriture l'a dit. Et Paul dit : « Je crois, et c'est pourquoi je parle ». (2 Corinthiens 4 verset 13).

Au chapitre 26 est posée la question qui doit maintenant être reliée ici au verset 8 du chapitre 25. Ici, il est écrit dans Ésaïe 26 verset 19 :

« Tes morts revivront-ils, tes cadavres ? Oui, ils ressusciteront. Réveillez-vous et poussez des cris de joie, vous qui vous reposez dans la poussière ! Car ta rosée est une rosée de lumière céleste, et ainsi la terre ramènera les ombres à la lumière du jour ».

Oui, les prophètes de l'Ancien Testament déjà, avaient annoncé l'Évangile à l'avance dans la mesure du possible. Verset 19 : « Tes morts revivront-ils ? Oui, ils ressusciteront ! », mais ils devaient attendre la venue de Celui qui ôterait à la mort le pouvoir, et c'est ce qui s'est passé. Lui, le Seigneur de la vie et de la mort, est venu enlever le pouvoir à la mort, et a mis en lumière une nature incorruptible.

Comparons peut-être brièvement cette pensée avec le Nouveau Testament, à propos de l'enveloppe de voile qui sera alors enlevé. C’est Ésaïe 25, maintenant le verset 7 :

« Il enlèvera sur cette montagne, le voile qui enveloppe tous les peuples, et la couverture qui est étendue sur toutes les nations ».

Paul écrit à ce sujet dans 2 Corinthiens au chapitre 3, à partir du verset 14 : 

« Cependant, leur pensée spirituelle s’est endurcie, car jusqu'à ce jour, cette couverture est encore là quand on lit les écrits de l'ancienne Alliance, et elle ne disparaît pas parce qu'elle n'est enlevée qu'en Christ. Oui, jusqu'à aujourd'hui, chaque fois qu'on lit Moïse, il y a une couverture sur leur cœur. Mais dès qu'Israël se convertira au Seigneur, la couverture est enlevée ! Or, le Seigneur, c'est l'Esprit ; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. Et nous tous qui, le visage découvert, reflétons la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image de gloire en gloire, telle que cela se produit par l'Esprit du Seigneur ».

La couverture est n’enlevée que là où les gens se convertissent à Christ. Et nous savons que même le Christ était recouvert d'un voile pour la plupart des gens. Et c'est pourquoi il est écrit dans Apocalypse 1 verset 1 : « Révélation de Jésus-Christ que Dieu lui a donné pour indiquer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt ». À travers tous les âges, les hommes se sont disputés pour savoir qui était le Christ. Ils ont débattu dans des conciles et des synodes pour savoir qui était le Christ ; et ils L'ont jeté d'ici à là. « Les bâtisseurs ont rejeté la précieuse Pierre angulaire ; ils ont trébuché sur elle (ou alors sur Lui) » et n'ont pas su où L’assembler. Ils ont été obscurcis.

Mais maintenant, nous vivons dans le temps glorieux de la révélation de Jésus-Christ. Et ce temps ne peut donc pas être comparé au temps passé. C'est un jour nouveau, un temps nouveau. Il est incomparable à tous les temps qui ont été. Nous savons qu'en termes de bénédiction, il y a eu des temps qui étaient peut-être plus grands que ceux que nous avons à enregistrer en ce moment. Mais en ce qui concerne la révélation de la parole, l'initiation, l'introduction dans le conseil de Dieu, il n'y a jamais eu d'époque comparable à celle dans laquelle nous vivons actuellement.

S'il est écrit ici : « Aussi souvent que les écrits de l'ancienne alliance sont lus, la couverture est toujours sur eux », à l'époque sur Israël, et il en va de même aujourd'hui avec les gens des nations : Aussi souvent que les écrits de la nouvelle alliance sont lus, tous ont leurs propres pensées pendant qu'ils lisent la parole de Dieu ! Alors, pourquoi lisons-nous, en fait, si c'est pour avoir nos propres pensées ? Où pouvons-nous trouver la révélation, si nous avons nos propres opinions fixes, et si nous sommes inventés dans nos pensées pendant la lecture de la parole de Dieu ? D'où la révélation de l'Esprit peut-elle nous venir alors ? La révélation de l'Esprit ne vient que là où l'Esprit peut, en toute liberté, sous la prédication de la parole, révéler la parole, faire connaître les mystères, et nous faire entrer dans la pensée divine.

Que signifient les pensées de Jésus-Christ, les sentiments de Jésus-Christ ? Lorsque Paul écrit : « Que chacun ait les mêmes sentiments que Jésus-Christ », il disait : « Il est écrit dans le livre de : Me voici, ô Dieu, pour faire ta volonté ! Je suis venu et ta volonté sont mes délices. Alors j'ai dit : Voici, je viens ! Il est écrit de moi dans le rouleau du livre : Pour faire ta volonté, ô Dieu ». (Hébreux 10 verset 7). Nous avons lu ça ici. C'est Psaumes 40 verset 8 ; et nous avons lu au premier verset d’Ésaïe 25 : « Des résolutions prises depuis longtemps ont été exécutées, la fidélité a été exécutée dans la vérité ».

Passons maintenant à la parole sur laquelle nous nous sommes arrêtés hier soir tirée de Timothée. Ici, je voudrais lire les derniers versets du chapitre 1, et passer ensuite au chapitre 6. Tout d'abord, dans 1 Timothée 1 à partir du verset 18 : 

« Je te recommande cette instruction, Timothée mon enfant, à la suite des déclarations prophétiques faites précédemment à ton sujet. Combats le bon combat, avec leur force, en t'attachant à la foi, et en gardant une bonne conscience ».

Paul a ici attiré l'attention de son fils dans la foi, son Timothée, qu’il avait conduit au Seigneur, sur le fait qu'il doit combattre, il doit combattre le combat de la foi ; et il lui rappelle des paroles prophétiques qui lui avaient été adressées.

Bien-aimés, une parole prophétique entière nous a été adressée avec toutes les déclarations qu'elle contient ; et je suis convaincu que Dieu nous a parlé à tous. Si Paul demande ici à Timothée de prendre ces déclarations à cœur, et de combattre en elles, je voudrais aujourd'hui insister sur ce point. Si nous voulons mener à bien le combat de la foi, nous devons prendre à cœur les déclarations de Dieu, les déclarations prophétiques, et alors nous ne frapperons pas en l'air, mais nous ferons mouche à chaque fois que nous prendrons la parole de Dieu et que nous l'utiliserons comme épée de l'Esprit, nous atteindrons à chaque fois la cible. Je le lis pour que nous la prenions à cœur. 1 Timothée 1 : 18.

« À la suite des déclarations prophétiques faites précédemment à ton sujet, je t'exhorte à les prendre à cœur. Combats dans leur force ».

D'où tirons-nous notre force ? De ce que toi ou moi avons fait ou n'avons pas fait ? Nous puisons notre puissance, notre force dans la parole de Dieu qui nous a été adressée. C'est d'elle que nous puisons notre force ! Et c'est seulement ainsi que nous pouvons mener, dans le cadre de cette parole de Dieu, un véritable combat de la foi qui vaut la peine d'être mené. Est-ce le cas, ou non ? Sinon, nous nous battons avec nos propres armes, avec nos propres paroles. Et je nous demande, à moi en particulier : Pouvons-nous affronter l'ennemi avec nos propres paroles et nos propres armes ? Ne serons-nous pas vaincus à chaque fois ? L'ennemi ne se moquera-t-il pas de nous ? Mais si nous le faisons avec l'armure de Dieu, avec la parole du Seigneur. Nous pouvons prendre le plus grand exemple de tous les temps : Notre Seigneur Lui-même, lorsqu'Il marchait dans la chair et que l'ennemi est venu à Lui et a voulu Le piéger, disant même qu'il est bien écrit ; alors le Seigneur prit la parole et dit : Il est encore écrit ». Il a combattu avec l'arme divine de la parole. De même, il ne nous reste à toi et à moi rien d'autre que l'autorité divine sous laquelle Satan, le péché, la maladie et tout démon doivent s'incliner et se soumettre. C'est avec cette arme divine que nous voulons combattre. Et alors c'est déjà un combat gagné, parce que Christ a déjà vaincu sur la croix à Golgotha. Alors seulement nous comprenons la parole où il est écrit : « La foi est la victoire ». (1 Jean 5 verset 4). Non pas : « Elle sera plus tard la victoire ». Non. « La foi est déjà la victoire qui a vaincu le monde ». Le verset 18 de 1 Timothée 1 :

« Je te recommande cette instruction, mon enfant Timothée, à la suite des déclarations prophétiques faites précédemment à ton sujet. Combats dans leur force le bon combat ». 

« Le bon combat », c'est notre secret en ces jours, de combattre dans la puissance de Dieu qui est dans Sa parole ; et la parole nous a été adressée et deviendra la puissance de Dieu en nous, si la foi est ancrée dans ton cœur et dans le mien. Il est écrit plus loin au verset 19 :

« En gardant la foi et en gardant une bonne conscience. Malheureusement, certains ont renoncé à cette dernière de manière violente, et ont ainsi fait naufrage dans la foi ».

Il peut arriver que des personnes se soient assises sous l'écoute de la parole de Dieu et qu'au lieu de persévérer dans la puissance de la parole, de l'Esprit et du sang, de s'y tenir et de combattre, ces personnes s'en sont violemment détachées. Dieu ne nous lâche jamais, en aucune circonstance, à aucun moment ! Mais les hommes peuvent faire leur choix.

Nous avons affaire à des déclarations prophétiques qui ont été adressées de manière tout à fait personnelle à chaque personne appartenant à l'Église du Dieu vivant. Et c'est ainsi que nous devons les comprendre, c'est ainsi que nous devons les accepter. Mais si nous nous en éloignons, si nous nous détachons violemment des paroles de Dieu, ce n'est pas si simple, ce n'est pas si simple. Il faut déjà mettre d'abord de côté ce que Dieu a dit, pour pouvoir croire ce que d'autres ont dit ; ou alors, il faut mettre de côté ce que les autres ont dit, pour pouvoir croire ce que Dieu a dit ! Et c'est une décision que nous devons tous prendre. Au chapitre 6 à partir du verset 12, il est encore question de combat. 1 Timothée 6 verset 12 :

« Combat le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle à laquelle tu as été appelé, et pour laquelle tu as fait la glorieuse confession devant de nombreux témoins. Je te commande, devant la face de Dieu qui a créé toute vie, et devant le Christ Jésus qui a fait la glorieuse confession devant Ponce Pilate : Accomplis le mandat de telle sorte que tu restes sans tâche, sans reproche, jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus-Christ ». 

Comme dans beaucoup d'autres passages bibliques, il s'agit ici d'une déclaration qui se rapporte au temps où Christ reviendra. Verset 14 : « Accomplis le mandat qui t'a été adressé, de telle sorte que tu restes sans tâche, sans reproche, jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus-Christ ». 

Tel est aussi mon souhait ! Mais je voudrais être interpellé personnellement par cette parole, et dire seulement : Seigneur, aide-moi à le faire, et donne-moi la force de Te servir jusqu'à l'apparition de notre Seigneur, Jésus-Christ, d'accomplir le mandat qui est certainement le plus difficile de tous les mandats que Dieu a distribué sur la terre. Mais c'est maintenant, le tout dernier temps, et les hommes ont perdu depuis longtemps le respect pour Dieu et pour ses paroles.

Et pendant tout ce temps, Dieu rétablit cet ordre divin. Et c'est une tâche qui n'est pas facile. Je ne peux que me réjouir du fait que c'est Dieu qui est à l'origine de tout. C'est Lui qui produit tout. Si c'était ma tâche, je devrais me décourager ! Mais la prédication a lieu, et c'est sous la prédication que Dieu bâtit Son Église. C'est sous l'écoute de la parole prophétique qui nous a été adressée personnellement, de la vue d'ensemble et de l'enseignement, que le Seigneur bâtit Son Église.

Que personne ne s'appuie sur la pensée : Dieu bâtit Son Église partout. C'est une belle expression, et on aimerait qu'elle soit vraie ! Mais Dieu ne bâtit Son Église que là où Sa parole est respectée, là où Il peut établir les ministères, là où Il peut édicter les normes et les ordonnances divines de Sa parole, là où Il peut Lui-même S'exprimer ! Non pas là où les hommes parlent de Sa parole, mais là où Il peut Lui-même parler par Sa parole. Et je crois que nous en avons fait en grande partie l'expérience et que nous en avons pris acte avec reconnaissance.

Dieu nous a parlé par Sa parole, et cette parole qui nous a été adressée, est semblable à celle qui a été adressée à Timothée. Autrefois, de la bouche de Paul ; dans ce temps, de la bouche du dernier messager que Dieu a envoyé pour nous parler. Et Paul dit : « Combat dans Sa force », pas dans la tienne, mais dans Sa force, dans la puissance, dans la force que Dieu nous a, dans la force de la parole que Dieu nous a adressée, c'est dans cette force qui vient de la parole, qui nous a été adressée par Dieu que nous devons combattre. « Ils ont vaincu par le sang de l'Agneau, et par la parole de leur témoignage ». (Apocalypse 12, verset 11). Et il est dit ici au verset 12 : « Combat le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle à laquelle tu as été appelé et pour laquelle tu as fait la glorieuse confession devant plusieurs témoins », et ainsi de suite. Et maintenant, le verset 15 de 1 Timothée 6 : 

« Que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs ».

Il s'agit ici du retour du Seigneur. Il s'agit de ce que nous avons lu au verset 14 : « Accomplis ton mandat de manière à rester sans tâche, sans reproche jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus-Christ, que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs, qui seul possède l'immortalité, qui habite dans une lumière inaccessible, que nul homme n'a vue ni ne peut voir, à lui appartiennent l'honneur et la puissance. Amen ! ».

Le temps du retour du Seigneur a été fixé par le seul souverain, le seul détenteur de pouvoir qui existe, c'est-à-dire le Dieu Tout-Puissant. Et personne ne raccourcira ce temps, et personne ne le prolongera ! Je sais que vos pensées peuvent maintenant se tourner vers Matthieu 24, où il est écrit au verset 22 : « A cause des élus, ces jours-là seront abrégés ». Je me permets seulement de faire cette remarque : Lisez Matthieu 24 dans son contexte, et vous y lirez au verset 20 : « Priez seulement pour que votre fuite ne tombe pas en hiver ou le jour du sabbat. Et que celui qui est dans la montagne, ne rentre pas d'abord chez lui pour prendre quelque chose ; et que celui qui est sur le toit n'y aille pas pour emporter ses biens, mais qu'il s'enfuie ». Cette partie s'adressait absolument au peuple d'Israël d'autrefois, en vue de la destruction du Jérusalem en 70 de notre ère (après Christ). Vous pouvez tous le lire en toute confiance.

Ici dans 2 Timothée 1 à partir du verset 6 :

« C'est pourquoi je veux te rappeler en t'avertissant à faire flamber le don de la grâce de Dieu qui t'a été accordé par l'imposition de mes mains. Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de découragement, mais un Esprit de force, d'amour, et d'autodiscipline et correction de soi-même ».

Dans cette parole, Paul exhorte Timothée à utiliser le don de la grâce qui lui a été accordé, à l'attiser, à l'utiliser et à l'allumer en une flamme brillante. Un homme qui a reçu de Dieu un don ou un ministère, peut l'utiliser ou non. Un don a été donné pour être utilisé, et un appel et un ministère, pour être mis en œuvre, et faire ce que le Seigneur a dit, et ce qu'Il a dit conformément à l'ordre qu'Il a donné. Nous pouvons tous, et moi-même, prendre cette parole à cœur, en particulier le verset 7 :

« Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de découragement, mais de puissance, d'amour, et d'autodiscipline et correction de soi-même ».

Nous l'avons déjà entendu dans l'introduction dans Néhémie. Il est dit dans Néhémie 8 verset 9 : « Ne vous affligez pas et ne vous découragez pas, car c'est ici le jour que le Seigneur a fait ». Et je l'écris très brièvement dans ma présente Lettre Circulaire, probablement assez loin en tête. Qu'est-ce-que ceux qui sont rentrés chez eux, qui sont revenus de la captivité ont-ils trouvé ? Des décombres et des cendres, des ruines et de la perplexité devant leurs yeux ! Tout avait été rasé ! Et la parole prophétique est lancée : « Ne soyez pas tristes, ne soyez pas découragés, mais réjouissez-vous ! C'est le jour que le Seigneur a fait ».

Oui, dites à un homme qui rentrerait chez lui après soixante-dix ans, alors que tout ce à quoi il pouvait penser était en ruine, et dites-lui : « Réjouissez-vous !  Ne soyez pas tristes, ne vous découragez pas ! Car c'est le jour que le Seigneur a fait ». Le premier argument aurait pourtant pu vraiment ressortir : « C'est plus facile à dire qu'à faire ! Regardez donc ce qui se passe ». Oui, mais de quoi s'agissait-il ? C'était l'heure de Dieu, le temps que le Seigneur avait fait ! Et la captivité avait pris fin, et ils étaient revenus. Ce qui était devant les yeux n'était pas ce qui s'élevait en peu de temps, construit en peu de temps. Il n'y avait plus du tout de traces de ruine.

Et vous savez ce qui m'a tellement impressionné ? Le fait qu'ils aient immédiatement commencé à célébrer la fête des Tabernacles, en souvenir de la sortie d'Égypte de leur père. Ils n'ont pas attendu que la tour soit, pour ainsi dire, elle aussi posée. Ils ont commencé à louer et remercier Dieu dans la foi, par la foi. Et vous savez c'est là que se trouve la gloire. Ici, cela n'avait rien à voir avec la sortie d'Égypte en fait, mais plutôt, avec le retour de la captivité de Babylone ; et pourtant, ceux qui sont revenus de Babylone se sont souvenus avec une grande joie, devant la ruine qu'ils ont trouvé, ils se sont souvenus de la sortie d'Égypte, de leurs pères, Abraham, Isaac et Jacob, de Moïse, de ce que Dieu avait fait ; et ils se sont mis à louer et à remercier, et ils ont célébré la fête des Tabernacles. Et il y a une petite phrase dans Néhémie 8 verset 17 :

« Depuis les jours de Josué, Israël ne l'avait pas encore célébré de cette manière ».

Une raison de se réjouir. Ils savaient, malgré ces ruines : « Nous avons été ramenés !  Nos harpes ont été retirés des murs, et nous les avons apportés avec nous ; et maintenant, nous sommes sur le sol de la promesse. Maintenant nous allons entonner les cantiques de louanges et de reconnaissance au Seigneur ». Une fois de plus, quelqu'un aurait pu venir et dire : « Attendez, il n'est pas encore temps de chanter. Il faut d'abord que quelque chose se passe ici. Il faut d'abord que la construction ait au moins commencé. Il faut bien que quelque chose soit visible ici ».

Bien-aimés, la foi voit déjà ce qui n'est pas encore là ! Et je vous le demande aujourd'hui : La parole du Seigneur n'a-t-elle pas été adressée au peuple d'Israël par l'intermédiaire du prophète Jérémie « Après soixante-dix ans, vous serez ramené dans votre pays » ? (Jérémie 29 : 10). Ils se sont tenus sur la parole prophétique de leur temps, et ils ont cru, sont revenus, et ont mis la main à l'œuvre. Est-ce différent aujourd’hui ? Avons-nous construit sur le sable ou sommes-nous debout ? Et pour reprendre les paroles de 2 Pierre 1 au verset 19 :

« Et maintenant, la parole prophétique que nous possédons est d'autant plus ferme pour nous, et vous faites bien de veiller sur elle comme sur une lumière qui brille dans un lieu obscur ».

C'est ici le jour que le Seigneur a fait. Et s'il est écrit ici dans 2 Timothée 1 verset 7 : « Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de découragement, mais un Esprit de force, de puissance, d'amour et d'autodiscipline et correction de soi-même », et cela signifie se placer sous la discipline du Saint-Esprit ; et le Saint-Esprit exerce la discipline sur la base de la parole de Dieu. L'arbitraire est exclu de Dieu et ne doit pas exister ! Il n'y a qu'un seul critère de mesure et de décision : C’est la parole de Dieu ; et le Saint-Esprit nous conduit dans la parole. Et c'est seulement ainsi que nous sommes sanctifiés dans la parole. « Sanctifie-les dans ta vérité, ta parole est la vérité ». La sanctification divine se fait dans la parole de Dieu. Et si nous sommes en Lui, et que cette parole demeure en nous, tout cela peut se faire par la grâce de Dieu.

Je sais que nous sommes tous affligés et que nos ailes ont été taillées, je le sais aussi. Et jugés humainement, nous ne pourrions plus jamais nous relever. Mais, comme nous avons affaire à Dieu et au royaume de Dieu, aux paroles de Dieu, au peuple de Dieu et à la puissance de Dieu, nous n'osons pas juger humainement ce qui est divin ; mais nous nous exprimons avec le prophète Ésaïe : Que des ailes nouvelles nous fassent vibrer et grandir ! Que nous nous élevions comme des aigles, que nous courions et ne nous fatiguions pas. (Ésaïe 40 verset 31).

Dans l'Apocalypse il y avait quatre êtres vivants, et le dernier était un aigle. L'aigle n'est pas un oiseau lié à la terre. L'aigle ne fait qu'une visite de temps en temps. Sa place est dans les hauteurs, dans les airs. Et nous vivons dans le dernier âge, un âge prophétique avec le regard d'aigle que Dieu nous a gracieusement offert par la révélation des écrits prophétiques, par grâce. Si nous sommes de vrais aigles, nous pourrons croire que de nouvelles ailes nous poussent. Le pouvons-nous aujourd'hui de tout notre cœur ? Je sais que nous sommes encore tous assis là, et à penser : « Bon, d'accord ! ».  Je vous le dis aujourd'hui : Nous avons affaire à Dieu, et Dieu est fixé sur nous parce que nous avons en Sa parole.

Et laissez-moi lire ici quelque chose d'autre du même chapitre, le verset 8. 2 Timothée 1 verset 8 :

« N'aie donc point honte du témoignage à rendre à notre Seigneur, ni de moi son prisonnier. Mais souffre avec moi pour l'évangile, selon la mesure de la puissance de Dieu ; qui nous a sauvés et nous a appelés par une sainte vocation, non à cause de nos œuvres, mais selon son dessein et selon sa grâce, qui nous a été accordé en Jésus-Christ avant les temps, dans l'éternité, mais qui, maintenant, a été manifesté par l'apparition de notre sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la puissance de la mort, mais qui a mis en lumière la vie et une nature incorruptible par le message du salut, pour lequel j'ai été établi comme prédicateur et apôtre et enseignant ».

Ne sont-elles pas toutes des paroles précieuses et saintes de Dieu ? Nous avons lu dans le prophète Ésaïe : « Il anéantira la mort ». Ici, il nous a dit qu'Il a détruit la mort. Il nous est écrit qu'Il fera disparaître la mort pour toujours. Il nous est rapporté ici qu'Il a détruit la mort. C'est une réalité, c'est arrivé, c'est accompli ; et non seulement cela, mais Il a en même temps apporté la vie éternelle en mettant en lumière une nature incorruptible. L'une a été détruite, et l'autre a été produite ! Oh ! Quelle grâce, quel évangile, quel message joyeux et libérateur qui devient la puissance de Dieu en celui qui peut croire de tout son cœur ! 

Paul a demandé à Timothée de témoigner pour le Seigneur et de ne pas avoir honte de lui. Vous savez que Paul a eu des révélations particulières sur l'Église, sur l'enlèvement, sur tant de choses sur lesquelles aucun apôtre n'avait écrit auparavant, mais il a également dû faire face à la plus grande hostilité. Et combien il était reconnaissant envers les jeunes frères qui ne disaient pas seulement : « Je confesse le Seigneur Jésus-Christ, Il est mon Sauveur », mais qui pouvaient aussi dire : « Je soutiens ce que Paul a prêché ! ». Et Paul demande à son Timothée : « N'aie pas honte de moi non plus ». Autrefois, c'était lié à l'opprobre et à la honte. Il y avait un homme isolé, mis de côté, mais Dieu était avec lui ! Et tous ceux qui s'attachaient à lui, s'attachaient à Dieu, parce que Dieu l'avait appelé, établi et mandaté.

La même chose s'applique à nous dans ce temps avec frère Branham. Il ne s'agit pas de mettre en avant un homme ou d'élever un homme. Si nous nous plaçons par rapport à lui, c'est uniquement parce que nous avons reconnu qu'il était un ustensile, un outil choisi par Dieu, et que le Seigneur a tout révélé en résumé par son ministère. Des déclarations prophétiques nous ont été adressées en ces jours ; et dans ces déclarations divines se trouve la puissance divine pour toi et pour moi, de sorte que nous puissions combattre le combat spirituel dans cette puissance de Dieu.

Pour finir, laissez-moi lire quelque chose qui résume tout et qui nous montre ce qui a peut-être le plus compté pour l'apôtre. Verset 12 :

« C'est aussi la cause de mes souffrances actuelles dont je n'ai pas honte ; car je sais qui est celui en qui j'ai mis ma confiance, et je suis sûr qu'il est assez fort pour garder jusqu'à ce jour les biens qui m'ont été confiés ».

N'est-ce pas là une parole glorieuse ? Les souffrances actuelles, il les a considérées comme une chose secondaire qui en fait certes partie, mais qui n'est pas au centre. Le plus important dans ce verset est pourtant la déclaration suivante, verset 12, : « Car je sais qui est Celui à qui j'ai mis ma confiance ». Le sais-tu aussi ? Est-ce que je le sais aussi ?  Alors nous ne devons pas rejeter notre confiance, car elle apporte une grande récompense à tous ceux qui auront persévéré jusqu'à la fin. (Hébreux 10 : 35). C'est pourtant la parole de Dieu ça.

Cette phrase, je pourrais la lire plusieurs fois : « Car je sais ». Qui sait ? « Car je sais Celui en qui j'ai mis ma confiance ». Alléluia ! Une question : Qui était-ce ? Celui-là, le même qui l’ a appelé, qui lui a parlé, qui l'a envoyé, qui S'est révélé à lui, c'est le même en qui il a placé sa confiance, notre Seigneur et Sauveur.

Bien-aimés, il en va de même pour nous tous. Nous n'avons placé notre confiance en aucun homme, sinon nous serions confondus. Il est toujours écrit : « Nul ne sera confondu s'il a mis sa confiance dans le Seigneur » (Romains 10 : 11). Et on pourrait ajouter sans utiliser la force, que tous ceux qui n'ont pas mis leur confiance dans le Seigneur, doivent être confondus, afin qu'ils apprennent à recommencer et à mettre leur confiance dans le Seigneur, pour ne pas être confondus à la fin. Je pourrais crier cela à nous tous, comme avec une voix de trompette. Et j'espère que chacun pourra dire la même chose dans son cœur, aussi fort qu'il le peut, sans parole. Verset 12 :

« Car je sais qui est celui en qui j'ai mis ma confiance, et je suis sûr qu'il est assez fort pour garder jusqu'à ce jour-là le bien qui m'a été confié ».

Cela va de pair, non seulement la confiance pour le passé et le présent, mais aussi la confiance jusqu'au jour où le Seigneur reviendra chercher le Sien, la certitude qu'Il est suffisamment fort. C'est ce que nous croyons tous. Ce n'est pas toi qui te tiens et ce que Dieu t'a donné, mais c'est Dieu qui te tient, toi et ce qu'Il t'a confié dans Ses mains. Tous Ses saints sont entre Ses mains. Et reconnaissez qu'Il dirige merveilleusement Ses saints.

N'est-ce pas là une parole glorieuse ? N'avons-nous pas été fortifiés dans la foi ? Avons-nous compris les paroles du Seigneur ? « Qui croient à notre prédication, et à qui est-ce que le bras du Seigneur est-Il révélé ? À ceux qui peuvent dire : « Je sais en qui j'ai cru, en qui j'ai mis ma confiance (2 Timothée 1 : 12), et je suis sûr qu'Il est assez fort pour garder jusqu'à ce jour les biens qui me sont confiés ». 

Ça, c'est la bienheureuse certitude que nous voulons emporter de ce week-end sur le chemin de notre vie. Les deux : Premièrement, que les paroles prophétiques ont été données pour devenir une puissance de Dieu dans le croyant ; et ces personnes ont ensuite confiance en Celui qui leur a parlé. Ils savent, en effet, en qui ils croient, et à qui ils ont confié leur âme ; et Il est assez fort pour garder et maintenir jusqu'au jour du retour glorieux de notre Sauveur bien-aimé.

Prenez ces paroles à cœur. Croyez-les, repassez-les dans vos cœurs, et parlez à Dieu en disant : « Seigneur, c'est à moi que Tu as adressé cette parole ! C'est à moi que Tu as parlé ! C'est à moi que Tu T'adresses. Je crois que je suis Ta propriété. Tu m'as racheté, Tu as pardonné mes fautes, Tu m'as appelé de mon nom, je suis à Toi pour ce temps et pour l'éternité. Confirme maintenant Ta parole en nous tous, dans notre esprit, notre âme et notre corps ; car je sais qui est celui en qui j'ai mis ma confiance, et je suis sûr qu'Il est assez fort pour garder jusqu'à ce jour le bien qui m'a été confié ». C'est lui qui a pu dire dans Matthieu : « Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre ». Il est ressuscité, Il a vaincu la mort, Il a triomphé de l'enfer, il a fait ses comptes, il est ressuscité le troisième jour, il a parlé à ses disciples, Il est monté au ciel et Il reviendra bientôt ! 

Loué et glorifié sois Son saint nom ! Amen ! Levons-nous et prions.

De tout cœur, je Te remercie pour ce week-end, pour la grâce et le privilège d'être rassemblés en Te présence. Seigneur fidèle, de nos propres yeux, nous voyons ! De nos oreilles, nous entendons ! De notre cœur, nous croyons toutes les paroles prophétiques que Tu as prononcées et qui s'accomplissent maintenant. Seigneur bien-aimé, c'est ainsi, c'est par cela qu'une puissance divine nous a été accordé. Ta parole a une puissance créatrice, une puissance salvatrice, oui, une puissance pour sauver, oui, Ta puissance, ô Dieu, est dans Ta parole ; et Ta parole ne revient jamais à vide, sans effet, elle accomplit ce pourquoi Tu l'as envoyé.

Je Te remercie, car nous savons en qui nous avons placé notre confiance, nous savons qui nous a parlé, celui dont nous avons entendu la voix. Ô Seigneur, qui sommes-nous pour que Tu nous parles ? Qui étaient Abraham, Isaac et Jacob ? Ils étaient Tes serviteurs et Tes prophètes, ils étaient des hommes de chair et de sang, mais Ton élection les a frappés, les a rencontrés, les a atteints, Ta parole leur a été adressée. Ils étaient des bien-aimés de Dieu, des amis de Dieu, des bénis du Seigneur, qui portaient une noble semence, et ils attendent que les derniers arrivent, et alors nous serons réunis, et nous nous assiérons le jour du festin des noces avec Abraham, Isaac et Jacob. 

Ô grand Dieu ! Merci. Louanges, gloire et adoration !