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Ewald Frank 

 Krefeld, le 13 juin 1982, 10:00
(Retransmis le 21 janvier 2024)

CITATIONS DU SERMON DE FRÈRE BRANHAM : LA PAROLE PARLÉE EST LA SEMENCE ORIGINELLE

Louanges et remerciements au Seigneur de nous permettre d'être ici pour adorer, écouter la parole, et nous laisser bénir. Chaque parole nous interpelle et nous pénètre, et nous nous demandons si elle s'applique à notre vie, et si oui, quel est son impact. La parole de Dieu ne Lui revient pas à vide. Elle nous indique toujours ce pour quoi elle a été envoyée.

Et comme nous l'avons lu ici au verset 24 : « c’est pourquoi, quiconque entend ces paroles et les met en pratique ». Le temps des interprétations est terminé. Le temps de faire ce que le Seigneur a ordonné est venu ; et par cette action, la parole de Dieu sera confirmée. C’est justement après ces paroles qu'il est écrit au verset 28 : « Quand Jésus eut terminé ce discours, les foules furent tout à fait frappées par son enseignement, car il les enseignait comme quelqu'un qui a autorité, tout autrement que leurs scribes ». Derrière ce qui nous a été lu ici aujourd'hui dans l'introduction se trouvent ces paroles : « Le Seigneur enseignait tout autrement que les scribes, et Son enseignement se faisait avec l'autorité divine, tout autrement que les scribes ». Ils (les scribes) enseignaient comme ils le pensaient, mais Lui enseignait divinement, Il enseignait selon la vérité ! 

Et les paroles de la foi qui ont déjà été dites, nous font également du bien à tous. « Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu », et par la foi, nous serons vainqueurs. J'ai immédiatement cherché la parole dans le prophète Ésaïe. Il y est dit au chapitre 26 verset 2 :

« Ouvrez les portes pour qu'entre un peuple juste qui garde la fidélité. Tu bénis un cœur ferme avec le salut, avec le salut parce qu'il est plein de confiance en toi. Faites confiance au Seigneur à perpétuité, car en Dieu le Seigneur, vous avez un rocher éternel ».

Jusqu'ici, cette parole. Nous avons entendu dire au sujet du rocher que l'homme qui écoute la parole de Dieu et la met en pratique, est semblable à celui qui a bâti sa maison sur le roc. Et ici, il nous est dit : « Faites confiance au Seigneur à perpétuité, car en Dieu le Seigneur, vous avez un rocher éternel ». Nous voyons ainsi qu'un passage de l'Écriture est inséré dans un autre, et que Dieu a parlé ici et aussi là-bas.

On ne peut pas non plus ignorer ce qui est écrit ici : « Tu bénis le cœur ferme avec le salut, avec le salut parce qu'il est plein de confiance en Toi ». Nous n'avons pas confiance en moi, en toi, en nous, mais nous mettons notre confiance en Celui qui a parlé, qui a agi et qui S'est révélé. Que Dieu me donne, que Dieu te donne un cœur ferme. Paul a écrit dans un endroit que notre cœur devait s'affermir, ce qui se fait par la grâce. Et Dieu bénit un cœur affermi, Il le bénit avec le salut. Pourquoi avec le salut ? Parce qu'il est plein de confiance en Lui. Un cœur ferme est plein de confiance dans le Dieu vivant. Je me souhaite un tel cœur, toujours plein de confiance en Lui ; et alors nous avons en Lui un rocher éternel. Au chapitre 28 du prophète Ésaïe, il y a aussi une parole similaire, et cela à partir du verset 16 :

« C'est pourquoi Dieu le Seigneur a dit : Sachez-le bien, c'est moi qui pose en Sion un fondement, une pierre éprouvée, une pierre angulaire précieuse, solide comme le roc. Celui qui croit ne sera pas confondu ». 

Nous voyons que Dieu le Seigneur, par la bouche de Ses prophètes, a parlé et annoncé ce qui est devenu plus tard une réalité. Et nous pouvons avoir foi en Lui et placer notre confiance en Lui. « Celui qui croit ne sera pas confondu ». Qui croit en qui ? Qui croit en quoi ? Qui croit Dieu et en ce qu'Il a dit ? Durant toutes ces années, des gens se sont assis sous l'écoute de la prédication, et ceux qui ont prêché, ont prêché ce qu'ils ont compris de la parole de Dieu ; et les autres qui entendaient cela se sont ensuite fait leurs propres idées et leurs propres pensées, et ont peut-être pu les faire.

Mais tous ces temps sont révolus. Dieu a parlé, et nous sommes assis là pour écouter ce que l'Esprit dit aux églises ; non pas pour nous faire nos propres pensées sur la parole de Dieu, mais pour nous imprégner des pensées divines qui, par Son discours, sont devenues manifestées dans Sa parole ; et pour pouvoir ensuite les mettre en pratique par grâce.

Hier soir, nous avons déjà fait brièvement référence au fait que nous vivons à une époque où Dieu adresse Sa parole directement à l'Église, et nous avons souligné qu'il est maintenant plus important que jamais d'écouter exactement ce que Dieu a dit. Et ensuite, des tempêtes peuvent venir... J'aurais aimé que l'on puisse chanter ce cantique « Les vents soufflent ». Que les tempêtes arrivent, et que les vagues déferlent, Dieu veillera à ce que tous ceux qui sont fondés sur Lui restent debout ! Que vienne ce qui veut venir, celui qui est fondé sur ce Rocher... et qui est celui-là ? C'est celui qui écoute la parole de Dieu et la met en pratique. C'est une réponse très claire et très nette.

Personne n'a plus besoin de demander : « Oui, qui sont ces gens ? ». Qu'a dit le Seigneur ? Une fois quand on est venu Lui dire : « Ta mère, et Tes frères Te cherchent, ils sont ici », et Il regarde la foule, et pose la question : « Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ? », et Il donne Lui-même la réponse : « Tous ceux qui font la volonté de Dieu, voilà Ma mère, voilà Mes frères ! ». Qu'est-ce que c'était ? Ils lui ont soumis la question sur le plan terrestre, mais Il leur a renvoyé la question sur le plan spirituel ! « Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ? « Tous ceux qui font la volonté de Mon Père céleste ! ».

Et lorsque nous prions dans le Notre Père : « que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel », nous devrions avoir à cœur que Dieu puisse faire Sa volonté à travers nous, car c'est bien pour cela que nous sommes ici. Parfois nous entreprenons quelque chose et avons de bonnes intentions, alors nous devons peut-être changer notre plan. Mais Dieu ne change pas Son plan. Avec Dieu, tout se déroule comme Il l'a prévu, et nous en sommes très reconnaissants.

Ici, je voudrais peut-être faire une remarque. Vous savez, j'aurais dû être en voyage maintenant, mais deux ou trois choses n'ont probablement pas rendu cela possible, et je me repose en cela, comme jamais auparavant, au contraire, je m'en réjouis. Pendant toutes ces années, cela aurait été impossible, selon ma nature, parce que je voulais toujours tenir mes promesses. Et maintenant, les choses se sont passées de telle sorte que je suis ici. Et je crois que Dieu dirige et guide tout. Et comme je l'ai dit, je me repose complètement. Bien sûr, nous avons dans le cœur le désir d'offrir encore une fois la glorieuse parole de Dieu à toute l'humanité. Nous aimerions apporter la parole du Seigneur à la population de la terre, sans la mélanger, de manière claire et pure, et c'est ainsi que nous déposons tout.

Il est capable, à partir du néant, de faire quelque chose de grand. Et peut-être que tous ces chemins d'humiliation sont fait pour qu'Il soit glorifié. Une chose est sûre : nous ne voulons plus être le jouet des circonstances, mais nous voulons que Dieu soit le Maître de la situation, et qu'Il Se manifeste parmi Son peuple, que l'ennemi perde tout droit, mais aussi tout droit à l'esprit, à l'âme et au corps, et que Dieu puisse Se glorifier et Se manifester. Celui qui entend la parole de Dieu et la met en pratique, est semblable à un homme (ou à une femme) qui a bâti sa maison sur le roc. C'est à ceux-là que je veux appartenir et c'est à ceux-là que nous voulons tous appartenir par grâce.

Hier, j'ai déjà partiellement traité ici cette précieuse parole qui a été adressée directement à l'Église à partir de la lettre circulaire (brochure) ; et nous ne ferons rien d'autre et nous ne pourrons pas y échapper que de mettre l'accent sur les choses que Dieu a soulignées, mettre l'accent sur ce que Dieu a mis en avant, de dire ce qu'Il a dit. Et je crois que c'était frère Russ dans la prière, il a dit que la grâce devait être donnée pour la distribution de la nourriture. Et en pensant à cela, j'ai tout de suite eu la pensée suivante : non pas d'interpréter la nourriture, mais de la distribuer, la distribuer.

Et c'est une très grande différence : Interpréter et expliquer c'est une chose, mais de distribuer en est une autre ! Et nous avons aussi compris que nous ne pouvons pas servir un plat froid au peuple de Dieu. Il faut déjà que la nourriture soit imprégnée du feu divin. À quoi servent aujourd'hui tous ces gens qui parlent peut-être de la nourriture, et qui ne sont rien d'autre qu'un vieux plat froid sur lequel il manque encore bien des choses ? Dieu veut un menu complet avec tout ce qui en fait partie, et cela doit être vraiment chaud. Dieu veut mettre du feu dans l'église. Il veut mettre du feu dans l'assemblée, dans la prédication, dans la parole, afin que nous ne restions pas froids ou tièdes comme il est écrit : « oh, que tu sois froid, ou brûlant, mais parce que tu es tiède, Je te vomirai de ma bouche ».  Dieu veut mettre fin à toute tiédeur ; et Il le fera. 

Il faut que surgisse une église qui, comme les premiers chrétiens, soit imprégnée de l'amour de Dieu et qui a le feu divin. Et nous en avons déjà parlé hier dans cette parole à l'église. Et je me demande combien se laissent encore interpeller à notre époque ? Combien ont été conduits sur d'autres voies et n'ont plus accès à ce que Dieu veut dire à Son église en ce moment, dans ces jours !

Je ne lis le début que pour vous montrer que tous n'ont peut-être même pas encore lu la dernière lettre, mais c'est là que frère Branham dit : « Un soir, alors que j'étais en prière devant le Seigneur, le Saint-Esprit m'a dit : prends ta plume, et écris ! Lorsque je l'ai prise en main, l'Esprit de Dieu m'a donné un message pour l'église ».

Au fond, c'est exactement la même chose que ce que tous les prophètes ont reçu. Ils étaient assis là, l'Esprit du Seigneur est venu sur eux, soit ils avaient quelqu'un qui écrivait pour eux, et ils ont fait que dicter sur la base de l'inspiration, soit ils ont écrit eux-mêmes. Quand il est dit ici : « Prends ta plume, et écris ! Lorsque je l'ai prise en main, l'Esprit de Dieu m'a donné un message pour l'église ». Je dis aujourd'hui que celui qui appartient à l'église du Dieu vivant, entendra le message qui lui est adressé, et celui qui ne l'entend pas, qui ne l'écoute pas, est victime de sa propre imagination et passe à côté.

Il est dit plus loin : « Je vous l’apporte ici. Il s'agit de la parole adressée à l'épouse ». Cela aussi doit être souligné. Jean a déjà dit à l'époque : « Celui à qui appartient l'épouse, c'est l'Époux, et l'ami de l'Époux entend les cris de joie de l'épouse » (Jean 3 verset 29). Qu'est-ce que c'était ? Il avait le message de la préparation avant la première venue du Seigneur. Et si l'on regarde bien, c'était un demi-verset dans le prophète Malachie, dans le dernier chapitre. (Dans notre Bible, nous n'avons que trois chapitres. Dans certaines Bibles, Malachie est divisé en quatre). Ici, nous avons peut-être deux petits versets, un entier et un demi. Malachie 3 verset 1, nous avons un verset entier. Ici, par exemple, il est écrit :

« Sachez que j'envoie mon ange pour tracer le chemin devant moi ». 

En fait, c'est à peu près tout ce qui a été dit ici sur Jean. Et sur la base de ce qui est confirmé dans le Nouveau Testament, la dernière partie est au verset 6 du chapitre 4. Malachie 4 verset 6. La première partie de ce verset 6, a également été faite par le ministère de Jean. En pratique, deux lignes d'un verset, chacune pour un ministère aussi énorme qui a été accompli autrefois.

Et si nous pensons qu'à notre époque, pratiquement, la deuxième partie d'un seul verset « ...et il ramènera le cœur des enfants vers leurs pères ». Si nous regardions un texte aussi petit avec des yeux terrestres, nous dirions : « Cela peut-il suffire pour une si grande tâche ? ». Oui, cela doit suffire, car dans ces paroles, tout ce dont Dieu Se préoccupe à la fin des jours, a été résumé, à savoir, envoyer un prophète, restituer, restaurer, rétablir de nouveau la parole, et tourner à nouveau le cœur des enfants de Dieu vers ce qui était au commencement. Il n'y a pas grand-chose d'écrit, mais c'est une grande chose qui arrive, par grâce. Ce n'est pas un long chapitre qui compte. Quand nous lisons les prophètes de l'Ancien Testament, de longs chapitres sont écrits, et dans ces longs chapitres, il y a quelque part une phrase, et cette phrase est une prophétie ; et c’est cette phrase qui compte, elle est intégrée dans un chapitre entier. 

Nous pouvons être reconnaissants à Dieu que quelqu'un a été envoyé dans cette dernière génération pour trouver ces petits versets, ces demi-versets et les insérer dans l'ensemble du programme de Dieu. Je suis honnête : toi et moi, nous n'aurions pas su, nous n'aurions pas trouvé ce passage de l'écriture qui se rapporte à notre époque. Combien de fois avons-nous lu Zacharie 14 : « au temps du soir, il y aura de la lumière » ? Oui, nous l'avons lu dans le contexte dans lequel il est habituellement placé, à savoir, que Dieu Se révélera au peuple d'Israël. Et maintenant, nous réalisons que le parallélisme entre Israël et l'Église était si important pour Dieu, qu'au milieu de la prophétie pour Israël qui s'accomplira dans le domaine naturel, est contenue la prophétie pour le domaine spirituel de l'Église. Et qui l'a vu ? qui l'a entendu ? Nous aurions tous pu lire mille fois : « au temps du soir, il y aura de la lumière », et qu'aurions-nous compris par-là ? Autant, et aussi peu que jusqu'alors ! Remercions Dieu d'avoir adressé un message à l'Église.

Mais justement ici, dans ce que nous voulons encore une fois présenter au peuple de Dieu dans cette dernière lettre circulaire qui a été envoyée avec le dernier sermon, il n'y a pourtant pas seulement un sermon, mais frère Branham était assis là et a reçu tout cela dicté par l'inspiration de cet Esprit, et nous en sommes très reconnaissant.

Combien de personnes ont déjà lu cette brochure ? J'espère que tous, mais certainement la plupart. Tout le monde devrait la lire. C'est une parole directe adressée à l'Église. Nous avons lu cette partie hier. 

« Dans ces derniers jours, la véritable Église-épouse, la semence de Christ, arrive à la pierre de faîte, et elle devient la super-église, une super génération s'approchant De lui. Ceux qui sont dans l'épouse lui seront tellement semblables, totalement à Son image. Il doit en être ainsi pour être uni à Lui. Ils ne feront qu'un, ils seront la révélation, la manifestation directe de la parole du Dieu vivant ». 

Pas seulement avoir, mais être la parole. L'épouse n'aura pas seulement la révélation vivante de la parole de Dieu, c'est-à-dire qu'elle aura entendu, écouté la parole, mais elle sera elle-même ce que Dieu a promis et annoncé. Et comme nous l'avons lu ici, « ils seront un ». Non pas être uni, mais être un.

Il y a une grande différence entre essayer de réaliser l'unification, l'union de toutes les communautés religieuses et les communautés religieuses libres, qui est une chose politico-religieuse, et entre l'Église du Dieu vivant qui, sous la parole, sous l'Esprit, sous le sang, est devenue une au nom du Seigneur, afin que Dieu puisse Se manifester à travers elle. Et je crois que nous avons saisi cela. Ils seront un, ils seront la révélation directe de la parole du Dieu vivant. Jésus-Christ, notre Seigneur, a été la révélation directe de la parole de Dieu. Par Lui, la parole s'est faite chair, a pris forme, et la partie qui devait être accomplie par Lui s'est accomplie. La même chose a été promise à l'Épouse. Vous pouvez lire tout cela par vous-même. 

« Un petit groupe de la vraie semence de la parole, représentera l'Épouse bien-aimée de Christ. Elle est la Vierge de Sa parole. C'est une Vierge, car elle ne connaît pas les crédos et les dogmes faits par les hommes ». C'est maintenant que cela arrive, écoutez : « C'est par les membres de l'Épouse que s'accomplit tout ce que Dieu a promis ». C'est par les membres de l'Épouse.

Et c'est là que nous remarquons la haute vocation divine à Son peuple en ces derniers jours. Ce n'est pas seulement une période prophétique importante ou exceptionnelle que nous vivons, mais une chose extraordinaire que Dieu S'est proposé d'accomplir à la fin des jours ; et elle ne peut pas se produire là où tout va et vient et où l'on veut encore faire ceci ou cela de son propre chef, mais seulement là où un peuple de Dieu se rassemble en tant qu'épouse de Christ, est devenu un ; là où personne ne veut plus être quelque chose, où personne ne veut plus valoir quelque chose, où personne ne veut plus faire quelque chose, comme le Seigneur l'a dit, comme nous l'avons lu hier soir : « sans Moi, vous ne pouvez rien faire », mais nous attendons simplement. Oh combien de choses sont faites aujourd'hui ! Et qu'est-ce que c'est ? Toute action personnelle ne fait que gêner Dieu. Nous attendons l'action de notre Dieu. Je lis :

« Les membres de l'épouse vierge l'aimeront et seront dotés de ses capacités, car il est la Tête. Toute la puissance Lui appartient. Ils Lui sont soumis comme les membres de nos corps sont soumis à la tête ». 

Quand on pense à cette parole, oh, notre cœur se serre en quelque sorte, et nous nous demandons : sommes-nous soumis vraiment à Dieu ? Lui sommes-nous soumis en tant que Tête comme nous devrions l'être ? Et vous savez que nous avons déjà parlé de cela aussi. Si l'on fait ici le lien ou la comparaison avec le fait qu'il faut en arriver là et qu'il en arrivera là, qu'une harmonie sera établie entre la Tête, Jésus-Christ, et les membres de Son Église, de Son corps, alors nous savons très bien que notre corps est si parfait et qu'il fonctionne ainsi. Je n'ai pas besoin de dire à la main : « Ouvre maintenant ce livre ». Non. Quand le moment est venu pour moi de tourner les pages, cela se fait automatiquement. Je n'ai alors pas besoin de dire : « Mains, fais-le maintenant ! », mais la main sait, sur la base de ce qui se passe dans la tête, qu'elle doit agir maintenant. Si je dois bouger le pied, je ne dis pas : « Pied droit, lève-toi maintenant, je veux partir ! ». Non, cela se fait de manière entièrement automatique. Les membres du corps sont reliés à la tête, coordonnés de telle sorte que tout est harmonieusement articulé, classé et aligné les uns par rapport aux autres.

C'est ainsi qu'il en sera à la fin des jours avec l'Église-épouse et avec l'Époux : elle sera équipée, revêtue avec Ses capacités, totalement unie à lui, liée à Lui. Personne ne veut plus faire quelque chose de son côté, de soi-même. Il est beau de chanter : « Oh, plus de chemin personnel, plus de volonté propre, décide, Toi seul », et puis l'action prend peut-être une toute autre allure, n'est-ce pas ? Non. Nous lisons ensuite :

« Remarquez l'harmonie du Père et du Fils. Jésus n'a rien fait jusqu'à ce que le Père le Lui montra ». (Jean 5, 19). Cette harmonie doit maintenant exister entre l'Époux et Son épouse. Et l'harmonie entre le Chef exalté de l'Église, et entre l'église, c'est-à-dire Ses membres, doit être une harmonie divine. Personne ne fait quoi que ce soit à moins que cela ne lui soit montré par l'Esprit. Jésus a dit littéralement : « le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il fait ce qu'il voit faire au Père ». Combien peuvent encore aujourd'hui faire qui sait n'importe quoi ? Nous en sommes effectivement arrivés là, que vous me croyez ou non, mais nous en sommes arrivés au point de ne plus rien pouvoir faire, moi non plus ; mais je lève les yeux vers mon Dieu, vers celui qui a fait des promesses, et je veux être à Sa disposition. Lorsqu'il a l'intention de faire quelque chose, qu'Il nous le fasse savoir, et que nous soyons alors prêts à le faire.

Il est également écrit : « Ceux qui sont dans l'épouse, n'agissent que selon Sa volonté, et personne ne peut obtenir qu'ils fassent autre chose. Ils ont le « ainsi parle le Seigneur », ou ils sont silencieux. L'un ou l'autre : soit quelque chose est fait au nom du Seigneur, soit rien n'est fait ! Soit quelque chose peut être dit au nom du Seigneur, soit rien n'est dit ! Voilà où nous en sommes arrivés. 

Et nous croyons qu'en ce qui concerne la parole de Dieu, le Seigneur a parlé par l'intermédiaire de Son serviteur et prophète d'une manière tout à fait claire, et nous avons reçu le « ainsi parle le Seigneur » de la parole. Ceux qui sont dans l'épouse n'agissent que selon Sa volonté.

Je me demande, et je demande à beaucoup de ceux qui se comptent dans l'église : sous quelle influence sont-ils ? Quel esprit les domine ? Quelles paroles sont dans leur cœur et dans leur bouche ? Est-ce le « ainsi parle le Seigneur » ? S'agit-il de parole de Dieu qui donne la vie ou des flèches qui donnent la mort ? Qu'est-ce que c'est ? Dieu nous a donné Sa parole pour que nous la recevions, pour que nous fassions partie de Sa parole afin qu'Il puisse l'accomplir.

Beaucoup de choses sont dites ici. Vous pouvez continuer à les lire et à y réfléchir vous-même, et pas seulement cela, mais ensemble nous voulons demander à Dieu qu'Il nous offre par grâce le lien avec ce qu'Il fait maintenant. Beaucoup de choses pourraient encore être lues ici. Beaucoup de choses pourraient être dites. Que Dieu nous accorde la grâce à moi, à nous tous, et à ceux qui Lui appartiennent, de nous laisser corriger, de nous laisser aider. Nous ne pouvons pas nous aider les uns les autres, mais Dieu peut nous aider tous, et celui qu'Il a aidé est vraiment aidé ! Et nous, nous dépendons absolument de Son aide. Si nous voulons corriger les gens, nous les troublons encore plus qu'ils ne l'étaient déjà. Nos paroles sont comme les paroles des amis de Job : elles n'apportent pas de clarté, au contraire, elles n’apportent toujours que ce qui entraîne plus tard d'autres réponses. Mais la parole de Dieu apporte la clarté. Et la parole de Dieu s'adresse à chacun et a à dire à chacun ce qui doit lui être dit à ce moment-là.

Ici je poursuis ma lecture : « Nous devons être très attentifs ici pour le voir. Dieu a en effet promis de l'accomplir au temps de la fin ». Puis vient ce passage de Malachie 4 versets 5 et 6. « Cela doit arriver, car la parole de Dieu prononcée par le prophète Malachie est maintenant rendue vivante par l'Esprit. Jésus en a parlé. Elle trouve son accomplissement juste avant la seconde venue du Seigneur ». Au moment du retour de Christ, toutes les Écritures doivent être accomplies. 

« Lorsque ce messager dont Malachie a parlé viendra, l'église des païens se trouvera dans le dernier âge de l'église. Il sera en accord avec la parole. Il enseignera toute la Bible, de la Genèse jusqu'à l'Apocalypse. Il révélera ce qu'est la semence du serpent, et préparera la pluie de l'arrière-saison, mais les dénominations le rejetteront ».

Voici un point très important : « Il préparera la pluie de l'arrière-saison ». Nous vivons dans une période de préparation à la pluie de l'arrière-saison qui sera déversée. Et cette chose est une préparation à cette pluie. Il nous est dit ici : « il enseignera toute la Bible, de la Genèse jusqu'à l'Apocalypse ».

Et si je suis ici aujourd'hui, grand-père, ou si je pouvais demander à des vieillards qui sont croyants depuis cent ans, ou qui sont croyants depuis cinquante ou quatre-vingt ans, de quoi ont parlé les prédicateurs du Réveil ? toujours en prenant les quatre évangiles, un passage d'écriture par ici, un autre par là. Je vous le demande, tous ceux qui sont déjà rentrés dans la gloire, ils pourraient témoigner qu'on leur a prêché. Mais qui a commencé par la Genèse ? Qui a prêché à jusqu’à l'Apocalypse ? À qui la parole des prophètes a-t-elle été révélée ? Les grands évangélistes jusqu'à nos jours... J'ai moi-même regardé dans le livre l'un des plus grands qui avait noté dix-sept ou dix-huit prédicateurs et prédications différentes dans un livre qui ressemblait vraiment à la Bible. Et comme j'avais à traduire, on aurait dit un nouveau testament. Et je me suis dit en moi-même : les choses elles fonctionnent si bien, qu'est-ce que c'est au juste ? Et ce qui ressemblait extrêmement à un Nouveau Testament avec un beau crayon rouge ici, ce n'était ni un Nouveau Testament, ni une Bible ! Il s'agissait d'environ dix-sept sermons joliment rédigés avec toutes les références bibliques correspondantes. Et c'est ainsi que l'on pouvait généralement bien suivre cette histoire.

Bien-aimés, comprenons-le : aujourd'hui nous ne vivons pas dans les jours passés où des hommes de Dieu... et nous ne le nions pas : de grands hommes de Dieu ont marché sur cette terre, et Dieu les a bénis et a béni des milliers à travers eux, mais le temps n'était pas encore venu. L'accès aux choses, aux dernières choses, aux choses ultimes n'étaient pas là parce que cela ne pouvait arriver que maintenant, c'est-à-dire au temps de l'accomplissement. En disant cela, nous n'avons pas rabaissé le moins du monde un seul des grands prédicateurs du réveil, au contraire, tous ces hommes de Dieu ont ouvert la voie à ce qui allait suivre. Et maintenant, nous sommes arrivés à l'époque où tout cela se produit.

Qui d'entre eux a parlé du péché originel ? Qui a révélé les mystères de Dieu ? Il s'agissait du salut et de la délivrance de l'âme. Et c'était vraiment bien et aussi le plus important. Mais à la fin des jours, il y a un âge prophétique. Et Dieu a envoyé un prophète à qui Il pouvait parler comme à Abraham, comme à Isaac et à Jacob ; un homme qui conduisait une voiture comme vous et moi, qui mangeait et buvait de la même façon, mais un homme de Dieu, un homme que le Seigneur a pris de la masse pour parler à travers lui dans ces derniers jours. Et nous croyons que, de la Genèse jusqu'à l'Apocalypse, tout a été enseigné, et nous croyons que rien ne peut être ajouté à cela. Il est dit ici : 

« Après cela, une décision de force du mont Carmel aura lieu pendant la saison de la pluie de l'arrière-saison ». Ensuite, pendant la pluie de l'arrière-saison... donc, comme première chose, et se préparer pour la pluie de l'arrière-saison, c'est une chose, la première partie. Et ensuite : « pendant la pluie de l'arrière-saison, la décision de force du mont Carmel aura lieu ».

Nous vivons une époque grande et glorieuse. Bien qu'accablés intérieurement et aussi extérieurement, mais pas abandonnés pour autant ; bien que parfois jetés à terre, comme le dit Paul, mais néanmoins, Dieu est fidèle et nous tient, me tient, te tient, et nous tient tous debout et nous portera à travers tout ce qui est encore à venir. Permettez-moi de lire ici.

« Jean était le précurseur (Malachie 3 : 1). Il a planté avant la pluie de l'avant-saison, et a été rejeté par les organisations de son temps. Jésus est venu et a fait l'expérience de la plénitude de puissance sur la montagne de la transfiguration. Le deuxième précurseur du Christ sèmera avant la pluie de l'arrière-saison. Vous voyez de quoi il s'agit ? Le deuxième précurseur du Christ sèmera avant la pluie de l'arrière-saison ».

C'est encore le temps des semailles. Et nous l'avons souligné ici : dans les prédications après l'ouverture des sceaux, frère Branham, pour autant que je le sache, a dit exclusivement que « ce message », il n'a plus dit « je », mais « ce message précédera la seconde venue du Christ ». Et c'est exactement ce qui se passe. Nous n'avons pas suivi des fables habilement conçues. Nous nous tiendrons avec cela devant Dieu, car Dieu l'a confirmé du début à la fin. Il n'y a plus sur terre une telle confirmation comme Dieu l'a donnée par le ministère de frère Branham, par toutes sortes de miracles et de signes ; oui, pas seulement cela, mais aussi par les choses surnaturelles qui sont arrivées.

Beaucoup de choses pourraient encore être lues ici, mais maintenant, peut-être la toute dernière chose. J'ai toujours envie d'arrêter, et puis il me semble que je ne peux pas. Mais Dieu nous a mis en garde contre cela. Il a dit dans Matthieu 24 que dans les derniers temps, les deux esprits seront si proches l'un de l'autre, que seuls les élus peuvent les distinguer, car eux seuls ne seront pas séduits. 

« Comment pouvez-vous distinguer les esprits l'un de l'autre ? Mettez-les à l'épreuve par la parole. S'ils ne parlent pas la parole, ils sont malins. De même que le malin a séduit les deux premières épouses, de même, il essaie de séduire l'épouse dans ces derniers temps, en essayant de la mélanger avec des crédos, etc., ou de la détourner de la parole de Dieu ». La chose n'est évidemment pas si simple à distinguer, à discerner. 

Et il est question ici des esprits, et du fait qu'ils seront si proches les uns des autres. Ce serait très beau si l'un des esprits était dans son royaume, et l'autre aussi dans son royaume. Ce serait alors une chose belle et simple. Si l'Esprit de Dieu était seul dans le royaume de Dieu, nous n'aurions aucune difficulté d'aucune sorte. Mais ces deux choses se trouvent côte à côte dans l'assemblée. Et frère Branham a dit : « De chaque réveil sortent des jumeaux : ceux qui sont engendrés selon l'Esprit, et ceux qui sont engendrés selon la chair ». Comment pouvons-nous les distinguer, les discerner ? Et puis, bien sûr, la réponse : « s'ils ne prononcent pas la parole, ils sont du malin ! ». Ils peuvent promettre tout le bien qu'ils veulent, mais si ce qu'ils disent n'est pas conforme à la parole ou ne s'accomplit pas, que se passe-t-il ? Bien-aimé, je l'ai dit tout de suite à notre bien-aimé frère Alfred Borg, après sa chute à l'époque : « Cette affaire n'est pas une affaire terrestre, mais une affaire spirituelle ». Et je suis encore aujourd'hui sur la même position.

Et nous n'avons pas affaire à une lutte contre la chair et le sang, mais à une lutte entre les puissances et les forces qui règnent dans les airs. Mais nous pouvons être sûrs que Dieu sortira vainqueur, car Il est déjà le Vainqueur. Il ne sera pas seulement le Vainqueur. Golgotha est derrière nous, la résurrection a eu lieu, la mort est vaincue, l'enfer est vaincu, la faute est expiée, le péché est pardonné. Tout cela est l'œuvre accomplie de Dieu.

Là où, bien sûr, viennent les grands problèmes, c'est dans le domaine spirituel. Vous pouvez parler à tous les hommes, sauf à ceux qui sont spirituels. Vous ne pouvez pas parler avec eux. Je ne sais pas si vous l'avez déjà constaté. Vous ne pouvez pas parler à ces gens-là. Ils se sentent tellement spirituels que rien ne peut être dit. Et je vous le dis aujourd'hui : chaque personne qui ne se laisse rien dire, devrait s'examiner, et se demander sous quelle influence, sous quel esprit cette personne elle se trouve. Et nous disons ici aujourd'hui que nous ne parlons pas des hommes, mais de l'influence des esprits.

Ce faisant, les hommes nous restent aussi précieux que l’est Pierre à qui le Seigneur a dû crier : « Satan, arrière de Moi ! car ce que tu dis ne vient pas de Dieu, mais est humain ». Ce faisant, il reste Pierre, un homme de Dieu de premier ordre, un apôtre de grande envergure que Dieu a béni et utilisé de manière particulière.

Si en tant qu'enfant de Dieu, nous n'avons pas encore atteint cette maturité qui nous permet de faire la différence entre un précieux enfant de Dieu que l'ennemi a momentanément submergé et le pouvoir de l'ennemi, alors nous en sommes tous vraiment désolés ! Nous devons faire la différence entre un enfant de Dieu et l'ennemi qui peut effectivement l'influencer à un moment donné. Mais ce qui compte, c'est ce qui suit :

« Ces personnes devront un jour se rendre à l'évidence et dire ouvertement : Mon Seigneur, détache-moi de cette chose, je n'en veux pas, car elle n'a apporté que du malheur et rien ne s'est accompli ». 

Je suis le dernier à me tenir ici devant pour vouloir quelque chose à quelqu'un. Mais peut-être il est tout de même temps de nous dire les choses. Si on ne les dit pas, elles restent en quelque sorte cachées, et le diable peut s'y cacher. Je dis clairement aujourd'hui que toutes les annonces de ceux qui ont ouvert leur bouche et prédit des choses ne se sont pas réalisées ! Et frère Branham dit que si quelqu'un annonce quelque chose et que cela ne se produit pas, que la personne concernée prie jusqu'à ce que l'esprit la quitte, car Dieu ne peut pas mentir ! ce qu'Il dit est toujours la vérité. 

Nous pouvons ensuite produire telle ou telle excuse et dire : « Oui, si cela s'était passé ainsi, cela serait passé ainsi ». Non. Dieu voit une chose à l'avance. Vous ne pouvez pas penser que Dieu n'a pas calculé ceci, ou qu'Il ne savait pas ceci, ou qu'Il n'a pas vu cela. Non, Dieu a une vue d'ensemble claire. Ceux qui ne l’on pas, ce sont les hommes qui sont envoûtés par d'autres esprits. Nous perdons la vue d'ensemble.

Mais je vous dis ce que dit frère Branham : « Tout enfant de Dieu se laisse corriger ». Il dit même dans « l'Ordre de l'Église » : « Si une personne est corrigée par les diacres, et qu'elle s'en émeut, c'est que cette personne a un mauvais esprit ». Je souhaite une chose à moi-même et à tous les autres : que nous soyons délivrés du mal. C'est ce que dit le « Notre Père » : « Délivre-nous du mal », du mal. Et c'est ce que nous voulons.

Si le malin a un droit, quel qu'il soit, sur qui que ce soit, nous devons en être délivrés. Seul notre Rédempteur doit avoir ce droit sur nous ; et alors, on se tait, et on sait que Dieu fera aboutir Sa cause et Son plan. Mais les hommes doivent être arrachés à tout ce qui a été fait par les hommes. Tout ce qui ne peut pas subsister devant Dieu, se tenir devant Dieu, doit être maintenant mis de côté. Et nous venons de lire : « si quelqu'un dit quelque chose qui n'est pas conforme à la parole de Dieu, c'est que Dieu n'a pas parlé ! ». Et si Dieu n'a pas parlé, qu'est-ce qui se passe alors ? 

Nous sommes peut-être les personnes les plus précieuses. Et Pierre a vraiment été l'une des âmes les plus précieuses. Et qu'est-ce que c'était ? Le moment était venu. Il devait en être ainsi. Le moment lui est venu, mais Pierre reste le précieux Pierre. Bien-aimés, nous aimons tout le peuple de Dieu et nous ne regarderons aucun d'entre eux avec mépris, et encore moins en le condamnant, au contraire, nous dirons : « ô Dieu, prends la chose entre Tes mains ».

Et je vous demande à partir d'aujourd'hui de ne pas perdre une seule phrase sur quelqu'un en parlant, mais en priant, en priant ; et Dieu devra donner le tournant d'une manière ou d'une autre. Nous attendons tout ce tournant, et rien ne pourra se faire avant. Les choses doivent être clarifiées par Dieu Lui-même. Nous ne pouvons pas rester dans ce flou, et penser ensuite que Dieu va répondre. Nous devons nous confronter à la révélation du Saint-Esprit sous la parole révélée ; et nous devons nous taire là où Dieu se tait, parler là où Dieu parle, agir là où Dieu agit, agir quand Dieu agit ; et alors tout sera comme Dieu le veut.

C'est une parole adressée à l'Église. Pendant toutes les années passées, Dieu a laissé passer. Maintenant, il faut prendre un nouveau départ, un départ en profondeur ; non pas celui que les hommes font, mais celui que Dieu peut faire dans ton cœur et dans le mien par grâce, par la puissance du sang, de la parole et de l'Esprit. Et là, l'un n'interviendra pas auprès de l'autre en disant : « Tu dois faire ceci ou cela maintenant », mais l'Esprit Saint convaincra chacun, et chacun ne fera que ce que l'Esprit Saint le conduira à faire. Ça, c'est l'action de Dieu, et c'est ce que nous attendons. 

L'épouse a un grand privilège : elle doit être dotée des capacités de l'Époux Lui-même. Et nous croyons que Dieu le fera par grâce. 

Nous voulons tous nous unir dans la prière devant la face de Dieu, et demander au Seigneur de me corriger, de nous corriger et de corriger tous ceux qui ne sont pas ici aujourd'hui, tous nos frères et sœurs bien-aimés, tous, de les conduire dans l'unité de l'Esprit, et de Se glorifier et de Se révéler. C'est notre seul souhait et notre prière. Et si Dieu reçoit ce qui Lui revient de plein droit, alors nous aussi, nous recevrons ce qui nous revient de plein droit, nous sommes alors tous aidés par grâce. 

Que le Seigneur bénisse aussi tous ceux qui ne sont pas ici aujourd'hui, mais qui portent le fardeau avec nous, qui ont ce fardeau sur leur cœur, qui souffrent avec nous, qui ressentent avec nous. Que Dieu les bénisse tous aujourd'hui, qu'Il soit proche de tous, et puisse-t-Il, par grâce, retourner le destin de Son peuple, afin que nous puissions nous réjouir et porter ensuite la bonne nouvelle, le message de joie, avec une confirmation directe de notre Dieu qui honore Son nom et le glorifie.

Pouvez-vous tous croire cela ? Nous l'avons entendu au début : personne ne sera confondu, et de tous ceux qui placent leur confiance en Lui, ils seront solidement établis, affermis ; même maintenant, au milieu de toutes les tempêtes, au milieu de toutes les vagues, au milieu de tout, ils restent debout parce qu'ils ont construit leur maison sur le roc. Même au milieu des tempêtes de ces dernières années, tous les hommes resteront debout, ceux qui ont construit leur maison de la foi sur le roc de la révélation divine. Et Jésus-Christ est cette révélation ! et Il nous a fait connaître Sa parole et Son nom. C'est pourquoi, à la fin, personne n'aura fait naufrage. Tous auront été sauvés à travers les flots. La tempête s'apaisera, les vagues se calmeront, et le Seigneur apparaîtra et parlera avec nous tous, et ce qu'Il a dit, Il accomplira.

Loué soit Son saint nom. Amen ! Levons-nous et prions.