'

Ewald Frank
Krefeld le 06 juin 1982 15:00

CITATIONS DU SERMON DU FRÈRE BRANHAM :
L´ORDRE DE L´ÉGLISE N°1
« Les règles communautaires »

(Retransmis le 09 juin 2024)

Que le Seigneur soit aussi loué et remercié pour ce service divin, et pour la grâce qu'Il nous a faite de pouvoir nous réunir. J'ai demandé à frère Russ de dire quelque chose, il m'a répondu : « Je n'ai rien à dire ! » ; et je voulais faire la même chose ; et alors, nous aurions déjà pu nous lever et adorer. 

Je crois que celui qui, de nos jours, pense encore avoir quelque chose à dire, on pourrait lui dire en toute confiance : « Tu n'as rien à dire ! ». Avez-vous tous compris ? Celui qui, en ces jours sérieux, pense encore avoir beaucoup à dire, n'a pas encore compris qu'il n'a plus lui non plus rien à dire. Nous sommes ici pour écouter ce que Dieu a dit, ce qu'Il a dit. C'est aussi la raison pour laquelle nous étudions les prédications de frère Branham avec tant de ferveur et de cœur, que nous nous y plongeons, que nous laissons Dieu nous parler, afin de comprendre de quoi il s'agit maintenant, car ce n'est pas moi ni personne d’autre qui a été désigné par Dieu pour cela, mais frère Branham, comme Paul autrefois, pour dire à l'Église ce que l'Esprit de Dieu a à dire.

Et donc, de nouveau le rappel de la glorieuse parole de l'épître aux Corinthiens écrite par Paul, selon laquelle le contenu inspiré par l'Esprit est associé à un langage inspiré par l'Esprit, et est ainsi présenté au peuple de Dieu. (1 Corinthiens 2 verset 13). 

Je voudrais être très bref cet après-midi. Vous savez que je suis très fatigué et que j'ai besoin d'un bon repos, mais celui-ci doit aussi venir d'en-haut. Ici, dans cette prédication « L’ordre de l'église », à la page 2, deuxième paragraphe, frère Branham dit : 

« Je n'essaie pas de m'approprier l'autorité ou quoi que ce soit de ce genre. Mais voyez, un homme ou quelque chose avec deux têtes ne sait pas où il doit aller. Dieu n'a jamais eu deux têtes dans Son Église. Il n'a jamais eu cela, Il n'a jamais eu cela ! Il n'y a qu'une seule tête. Dans chaque génération, il n'y a jamais qu'un seul individu dont Il s'occupe, comme nous l'avons considéré dans l'Écriture ; car si vous prenez deux personnes, vous avez deux opinions. Et il faut qu'il y ait un absolu final. Mon absolu, c'est la parole, la Bible ! ».

Maintenant, vous voyez certainement de quoi il s'agit ici dans cette citation. C'est l'introduction ; l'assemblée a été convoquée pour parler de ces choses, des dons, de comment les exercer, des diacres et ainsi de suite. Au bas de la page 6, nous lisons : 

« Je crois que le temps est venu pour la chapelle Branham, d'apprendre comment exercer les dons que Dieu nous donne, afin qu'Il puisse nous confier des choses encore plus grandes que celles que nous avons déjà. Mais nous ne pouvons pas aller de l'avant si nous ressemblons à une personne à qui il faut toujours tout dire. Pensez à cela. L'Esprit prophétique est soumis aux prophètes. C'est ce que dit l'Écriture (1 Corinthiens 14, 32). Si vous rencontrez un homme ou une femme que vous devez corriger, et que la personne en question s'emporte alors que vous exposez la vérité selon l'Écriture, cela montre que l'esprit qui est sur eux n'est pas de Dieu ; car la Bible dit que l'esprit des prophètes est soumis aux prophètes, ou à la prophétie ou au témoignage, à la prédication, au parler en langue, à l'interprétation du parler en langue, et ainsi de suite ».

C'est également une chose très importante. Toute personne qui doit être corrigée d'une manière ou d'une autre, ou à qui l'on doit dire quelque chose, en sera intérieurement reconnaissante, du fond du cœur. Celui qui est réprimandé, et qui se bat ensuite à quatre pattes, ne sait probablement pas de quel esprit il est le fils. Si nous sommes de Dieu, laissons-nous dire ce qui est nécessaire qu'on nous dise, comme il est écrit dans 1 Corinthiens 13 : « Que l'amour se laisse corriger, l'amour ne s'enfle pas d'orgueil, l'amour ne se comporte pas de manière inconvenante, mais l'amour supporte, endure tout ». (1 Corinthiens 13, 4 à 7). 

Et, c'est en fait un très bon critère. Une personne qui a l'amour de Dieu, qui a été aimée, qui a accepté la rédemption en Jésus-Christ, qui est devenue un enfant de Dieu, vous pouvez faire ce que vous voulez avec elle, et elle aimera aussi longtemps qu'elle sera sur la terre malgré tout ! Il n'y a pas d'autre chose, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit.

Mais, bien sûr, nous remarquons aussi très bien qu'il est beaucoup plus facile de reprendre les autres, que de recevoir soi-même des réprimandes. Oui, le « amen » n'était pas assez fort, mais c'est comme ça. C'est vrai, [frère Schmitt dit : C'est suffisant. N.d.t], mais c'est comme ça. Bien sûr, nous sommes tous très promptes à nous mettre au travail et à dire quelque chose à quelqu'un d'autre. Quand on veut dire quelque chose à quelqu'un d'autre, alors là on est promptes, et parfois, nous ne le faisons même pas sur le bon ton, et encore moins avec les paroles adéquates. Et si le ton n'est pas juste, les mots ne sont plus justes ; et si les mots ne sont plus justes, alors tout ne va plus, toute l'atmosphère ne va plus ; et c'est une chose contaminée, et nous ne pouvons pas utiliser cela.

Tout homme qui est utilisé par Dieu pour reprendre les autres, doit d'abord lui-même pouvoir supporter la réprimande de Dieu. Il doit devenir tout à fait silencieux, et il doit réfléchir trois fois avant de parler une fois, puis savoir ce qu'il doit dire, et cela doit être conforme à la parole.

Vous savez que je suis naturellement très impulsif. Personne ne peut changer cela. Et puis un avocat m'a dit il y a quelques temps, il m'a dit : « Monsieur Frank, vous devez d'abord prendre une grande inspiration, puis expirer, puis réfléchir, prendre une nouvelle inspiration, et ensuite vous aurez toujours le temps de dire quelque chose ». Les personnes incrédules observent très bien quelqu'un, et elles remarquent la rapidité de notre réaction. Mais il n'est pas non plus garanti que la réaction qui est rapide soit toujours la bonne.

Donc, la réprimande scripturaire c'est que, si l'un d'entre nous... Et il pourrait même arriver... prenons maintenant un exemple du premier rang : Que notre frère bien-aimé qui s'assoit ici devant avec ses enfants, et que quelqu'un s'approcherait de lui, et lui dirait : « Écoute, frère bien-aimé, je trouve dérangeant que tu doives aller plusieurs fois de devant jusqu'à derrière avec les enfants, te lever de devant et aller derrière avec les enfants ; nous le comprenons tous, mais ne pourriez-vous pas tout aussi bien vous asseoir un peu plus en arrière ? ». Et si le frère est de Dieu, il va réfléchir et il va se dire : « Attendez, est-ce que je deviens aussi une offense pour quelqu’un ? Est-ce que je perturbe le service divin ? Est-ce que je perturbe l’assemblée ? Est-ce que je perturbe peut-être l'action de l’Esprit ? Est-ce que je détourne quelqu'un de quelque chose parce que je dois faire maintenant de manière permanente avec mes chers enfants, me lever, m'asseoir, aller derrière et tout ça ? Est-ce que je distrais ? » ; et alors il réfléchira : « Alors, si je dérange dans ce contexte, je m'assois un peu plus loin de sorte que je ne dérange plus. Je m'assiérai derrière » ; et le frère dirait : « Mais mon Dieu ! Pourquoi ne m'as-Tu pas dit cela plus tôt ? Pourquoi ne me dis-Tu cela qu'aujourd'hui ? Cela fait si longtemps que cela dure ». Nous pouvons alors bénir le frère et pouvons dire : « Écoute, c'est une chose merveilleuse ! L'Esprit de Dieu repose réellement sur toi. Tu as compris la chose ». Mais si le frère se débat et dit : « Toi aussi, tu as été aussi petit que ma petite fille l’est maintenant, et tu ne t'es pas mieux comporté qu'elle ne se comporte maintenant », et s'il donne alors des coups à droite et à gauche quand on lui fait une réprimande pour ainsi dire, oh, ce serait très triste, ce serait une grande douleur. Il faudrait alors dire : « Frère bien-aimé, ce n'est pas comme cela qu'il faut faire ». Vous voyez ce que je veux dire.

Je ne prendrai qu'un seul exemple pour appliquer maintenant à nous de manière très pratique ce que Frère Branham a dit ici. Il faut comprendre ce que cela peut signifier. Lorsqu'un diacre... Et c'est ce qui va arriver maintenant, que les frères qui sont désignés pour le service ou la tâche, qu'ils doivent, en effet, aller voir ce qui se passe dans un service divin, et veiller à l'ordre. Et Frère Branham les décrit comme des policiers. Ils sont comparés à la police militaire au sein de l'assemblée ; et là, une certaine surveillance est déjà à sa place, et doit être exercée.

Bienheureux tout homme qui a la grâce de se laisser dire quelque chose ou corriger ! Et cela m'a été donné par la nature, peut-être par mon éducation : J'ai toujours réfléchi à tout ce qu'on me disait. Que je puisse le saisir et le comprendre tout de suite, c'était secondaire. J'ai réfléchi à tout ce qu'on me disait, que je le comprenne ou non, que je l'admette ou pas. Et c'est ainsi jusqu'aujourd'hui. 

Donc, le côté pratique du déroulement d'un service divin est aussi très important, car il peut perturber le domaine spirituel. Et si ce qui est terrestre perturbe ce qui est spirituel, alors ce n'est pas correct. Nous devons alors veiller à ce que la partie terrestre soit aussi ordonnée que la partie spirituelle, afin qu'un service divin puisse se dérouler sans aucune perturbation. Amen ! C'est ainsi que les choses se passent. Vous voyez ?

Et nous nous approchons du but. Ne vous inquiétez pas, j'ai une confiance illimitée en Dieu. Je ne peux pas imaginer que nous venions ici pour simplement écouter, et ensuite laisser les choses comme elles sont. Non. Si je dois être corrigé, alors je dois être corrigé, et c'est la même chose avec tout le monde. Personne ne peut plus simplement se permettre, et peut-être se tenir au-dessus des choses ; mais que chacun trouve sa place, la place que Dieu lui a ordonnée. Je lis ensuite. Citation.

« Nous voulons que l'Église tire profit des dons qui sont dans notre assemblée. Dieu nous les a envoyés, et nous voulons que ces dons spirituels soient utilisés pour le bien de l'assemblée. C'est pourquoi, celui qui parle en langue, celui qui interprète, et celui qui prophétise, doivent se réunir avant que l'assemblée ne se réunisse. Qu'ils se réunissent dans une pièce à part, et attendent le service du Seigneur pour l'assemblée ». Puis vient la phrase : « Avez-vous compris ? ». 

Avant, je ne comprenais pas cela. Aujourd'hui, je crierai aussi fort que possible : « Oui, j'ai compris ! », après la leçon la plus difficile qu'un être humain puisse endurer. Les choses qui sont dites dans une pièce où deux ou trois sont réunies, ne sont pas encore en public. Elles peuvent être vérifiées, elles peuvent être rectifiées. Les choses qui sont portées sur la place publique ne peuvent jamais être retirées ! C'est comme si l'on ouvrait un édredon et que le vent dispersait les plumes dans toutes les directions, et il n'y a plus rien à sauver.

Mais Dieu, dans Sa grâce, aura une Église dont chaque membre se pliera à chaque parole de Dieu. Et vous savez que... Qui a dit « amen » ? Toi ? C'est très bien, c'est très beau. Oui, des louanges et des remerciements, au moins un comme ça, à droite et à gauche, c'est bon. 

Et j'affirme que Dieu a parlé par l'intermédiaire de frère Branham. Et mes sœurs, vous le savez très bien à quel point Dieu nous a parlé sérieusement, mais à quel point Il nous voulait du bien. Est-ce vrai ou non ?  Et quand 1 Corinthiens 11 (3) dit : « Le chef de Christ est Dieu, le chef de l'homme est Christ, et le chef de la femme est l'homme », toute femme qui rejette son mari comme tête, est décapitée et se promène sans tête ! Avez-vous compris ? Avez-vous entendu ? Dieu, Christ, homme, femme. Une femme a perdu la tête si elle rejette son mari et ne se soumet pas à lui, car l'homme est la tête de la femme. Et si la femme met la tête de côté, pour ainsi dire, il ne lui reste que ce qu'il y a en dessous ; et alors elle se promène sans tête, et ne sait plus ce qu'elle fait. Elle se promène sans tête.

Pensez-vous que l'Écriture fasse des paroles vides ? Croyez-vous que nous ayons le droit d'en sourire quand la parole de Dieu nous dit que le Chef de Christ est Dieu, et que le Chef de l'homme est Christ, et que le chef de la femme est l'homme ? Pensez-vous que Dieu donne à l'un d'entre nous le droit de sourire en nous à ce sujet, et d'y penser : « Voilà que cela recommence encore à venir à ce sujet » ? Non et encore non ! La parole de Dieu est la parole de Dieu, et elle restera la parole de Dieu éternellement ! Et si nous ne pouvons pas nous incliner devant elle, nous l'aurons un jour manqué d'une manière ou d'une autre. Il est encore dit ici. Citation : 

« Quand les hommes s'assemblent, que ceux qui ont de la sagesse viennent les premiers, car, voyez-vous, si quelqu'un parle en langue et donne une interprétation, celle-ci ne peut être acceptée, selon les Écritures, à moins qu'elle n'ait été attestée par deux ou trois personnes. Deux, trois témoins ou plus, doivent confirmer qu'ils croient que c'est la parole du Seigneur ; car parfois, même dans ces services mineurs, comme dans tout autre service, vous avez des esprits qui sont faux. Vous voyez ? Ils entreront là, et ce n'est pas ce que nous voulons. Non. Nous voulons que ces services soient prêts à être dévoilés s'ils doivent l'être, parce que vous n'avez pas à vous inquiéter si quelque chose qui est de Dieu est dévoilé. Cela résistera à l'épreuve, si c'est de Dieu ». Amen !

C’est ça. Personne ne doit s'inquiéter. Et vous, chers frères et sœurs qui avez déjà exercé des dons –et nous espérons que Dieu nous donnera vraiment une effusion directe de Son Esprit dans peu de temps, et que la douceur de Dieu se répandra comme jamais auparavant– Si l'un d'entre vous parle par inspiration, et même si ce qui a été dit n'est pas correct, vous n'êtes pas pour autant présenté comme faux, vous, mais seulement la chose qui a été apportée ! Mais pas le cher enfant de Dieu racheté par le sang, qui a peut-être dit quelque chose par sa propre impulsion ou pulsion. C'est pourquoi Frère Branham a donné ici l'avertissement : « Que ceux qui ont le don de la sagesse et qui savent discerner, qu'ils aillent avec ceux qui exercent les dons ».

Et je le répète : Cela peut arriver à tout le monde. Imaginez un peu, frère Branham a dû lui-même se corriger en tant que prophète ! Et on aurait pourtant pu considérer chaque prédication qu'il a donné dès le début comme infaillible, comme impossible à corriger ! Et vous savez très bien qu'en tant que grand homme de Dieu, il a lui-même grandi dans les choses spirituelles, et il a reçu des révélations de plus en plus profondes. Nous l'avons déjà dit ici, et nous le savons tous. Le point le plus marquant de tous est le premier sceau, lorsqu'il a dit encore en 1960, que le cavalier du premier sceau était le Saint-Esprit qui était parti pour vaincre ! Et quand les sceaux ont été révélés en 1963, ce n'était pas le Saint-Esprit, c'était l'antichrist ! Oui. Je vous en prie, en 1960, un homme de Dieu a dit du premier sceau : « Le cavalier sur le cheval blanc, c'est le Saint-Esprit », et ainsi de suite ; et après l'ouverture des sceaux, il dit : « C'est l'antichrist qui a commencé à chevaucher ici ». 

Oui, imaginez, si nous disions maintenant : « Attend, alors tu as tort, tu es faux, parce que tu l'as dit comme cela, et maintenant alors que c'est comme ça que c'est juste ». Non, cela n'existe pas. Comprenez une fois pour toutes qu'un enfant de Dieu est un enfant de Dieu, et restera un enfant de Dieu pour toute éternité, et que nous grandissons dans la connaissance. 

Je dis cela maintenant uniquement pour cette raison : Si quelqu'un a annoncé quelque chose, ou a fait passer quelque chose sur ses lèvres comme une révélation, un parler en langue, une interprétation, une prophétie, quoi que ce soit, et si ce n'était peut-être pas juste, cela ne concerne pas la personne, mais seulement ce qui a été dit ! Et c'est ce que nous voulons distinguer une fois pour toutes. Nous ne nous réunissons pas pour juger le frère ou la sœur qui a prophétisé, qui a parlé en langue ou qui a interprété, ensuite pour les juger. Non ! Nous serions donc animés d'un esprit charnel ! Nous nous réunissons pour juger de ce qui a été dit, et cela, non pas selon notre propre jugement, mais par le Saint-Esprit, par le don de sagesse et de révélation, pour déterminer si la chose est ainsi.

Vous savez, quand le Seigneur –et c'est vraiment la vérité... J’étais dans le bureau, j'ai regardé par la fenêtre où se trouve le téléphone, juste ici dans la cour, et quand la voix... et elle vient toujours, je vous l'ai dit, du côté droit. La voix n'est jamais directement de face, jamais de gauche. Elle vient toujours en biais de la droite. Depuis que le Seigneur m'a adressé de manière audible la parole la première fois, le 2 avril 1962, je regardais la fenêtre, la voix venait directement du coin, du côté droit. Chaque fois, que ce soit à Marseille, que ce soit à Faneu, où que ce soit, chaque fois que la même voix du Seigneur arrive, c'est toujours en biais, par le haut, par la droite, chaque fois. C'est aussi la raison pour laquelle je n'ai jamais de traducteur à ma droite, mais tous les traducteurs dans chaque pays sont toujours à ma gauche. Bon ! Je n'ai pas besoin de vous expliquer cela–

Mais j'étais assis là, et je ne pensais vraiment à rien ; et, aussi clairement que vous entendez mes paroles maintenant : « Mon serviteur, sonde les saintes Écritures, les Actes des Apôtres, pour voir si jamais un homme et sa femme ont été consacrés au ministère ». Je vous le dis : J'ai sursauté. C'est à chaque fois la même chose. J’ai tremblé, et je me suis retourné, et j'ai commencé à lire, et j'ai dit devant moi : « Seigneur, je n'ai pas besoin de lire plus loin. Je sais que cela n'est jamais arrivé ! ».

Oui, et maintenant ? Si nous avions eu des hommes, des frères, qui auraient dit : « Un instant, s'il vous plaît, n'agissez pas encore, n'imposez pas encore les mains, ne bénissez pas encore, n'établissez pas, vérifiez d’abord ». Comment pourrait-on vérifier si cela vient devant toute une assemblée pendant l'appel à l'autel ? Comment pourrait-on encore vérifier ? Qui peut encore réfléchir, qui peut encore faire quelque chose, si cela est déjà annoncé à toute l'église ? Tout est déjà en cours, et on s'est rendu coupable de chose, simplement parce que nous n'avons pas tenu compte de ce que frère Branham a dit ici, à savoir que ceux qui ont des dons doivent se réunir, et que, si Dieu a quelque chose à leur révéler, Il leur révèle ; et que ceux qui ont le don de discernement, la sagesse et la connaissance, qu'ils s'assoient ou s'agenouillent, et restent devant la face de Dieu ; et si quelque chose arrive, qu'ils puissent alors discerner si la chose est biblique ou si elle n'est pas biblique.

Bien-aimés, nous voulons tous avoir des services divins dans lesquels Dieu Se révèle, moi aussi ; mais si cela commence déjà avant le service divin, que le Seigneur puisse utiliser ce qu'Il veut déjà utiliser, et que cela se transmette ensuite au service divin, se reporte sur le service divin, et que la pleine bénédiction de Dieu puisse alors venir, cela est quand même beaucoup mieux que si nous pouvons avoir nos propres voies, et dire que Dieu a puissamment béni les réunions, et qu'un jour il s'avère que beaucoup de choses n'étaient pas en ordre, et ne correspondaient pas à la Bible. Que se passerait-il alors ? 

L'Esprit de Dieu sera toujours en accord et conforme à la parole de Dieu ! Il n'y a pas de chose dont parle l'Esprit de Dieu qui ne soit pas en accord avec la parole de Dieu.

Retenez une chose, frères et sœurs : N'abandonnez pas la cause de Dieu, ne déposez pas les armes ; mais, comme Paul avertit, que le don qui a été déposé en nous soit enflammé. Et nous ne voulons plus tous être des spectateurs assis en quelque sorte à distance en disant : « On verra bien ce qui se passera », au contraire, si nous faisons partie de la cause, nous ne pouvons pas attendre et dire : « Nous verrons bien ce qui se passera », mais nous devons mettre nos épaules contre le chariot, pousser en avant, et avancer ensemble avec l'aide du Seigneur. Si nous nous asseyons à l'écart et pensons : « Nous verrons bien ce qui se passera », alors il n'en résultera rien du tout, et nous resterons finalement assis à l'écart. Et ce n'est pas ce que je veux. Je veux faire partie de ce que Dieu fait. Et si j'ai fait des choses de travers, cela ne signifie pas que je suis de travers, mais que j'ai simplement agi de travers. Et si d'autres ont fait des choses de travers, cela ne signifie pas qu'ils sont de travers, mais seulement parce qu'ils ont dit des choses de travers. C'est ainsi que tout s'arrange, et nous allons tous plus loin, ensemble ; et nous aimons tous les frères et toutes les sœurs de tout notre cœur ; et nous ne mettons de côté que la chose qui n'est pas de Dieu, mais pas l'homme que Dieu a racheté et pour lequel le sang de l'Agneau a été versé. Amen. C'est ainsi. Oui, c'est ainsi.

À la page 11, il est écrit, peut-être même avant : « Si quelqu'un écrit un message donné par le parler en langue ou la prophétie, et le place sur la plateforme, le « ainsi parle le Seigneur » des personnes qui ont parlé et interprété, cela doit être lu par le pasteur avant le service divin. Si cela se passe exactement comme le dit l'interprétation, nous levons les mains et remercions Dieu pour Son Esprit qui est parmi nous. Si cela ne se produit pas, ne le faites plus jamais jusqu'à ce que le mauvais esprit soit sorti de vous. Dieu ne ment pas. Il est la Vérité depuis toujours ». 

C'est une chose très simple. Et maintenant, je dis à nouveau que celui qui est vraiment de Dieu ne se défend pas lui-même. Il ne se défend pas, il ne se soucie pas de savoir s'il a raison ou non. Je vous le demande aujourd'hui : Si je donnais une prophétie concernant une chose quelconque que je devrais annoncer, pourquoi devrais-je défendre cette chose ? Si je voulais la défendre, ça voudrait dire que ce serait une chose personnelle à moi que je devrais alors accomplir. Et c'est là la grande difficulté. Si c'est quelque chose qui vient de Dieu, alors celui qui a parlé peut croiser les bras et attendre de voir ce qui se passe. Et même si c'est faux, cet homme n'a rien d'autre à craindre que Dieu, et de dire : « Seigneur, retire-moi cette chose, car elle n'est pas vraie ! Je ne veux que ce qui vient de Toi, que ce qui est inspiré par Ton Esprit ». Et puis tout est fini, et nous pouvons aller de l'avant avec le Seigneur.

Je crois que nous avons tous bien compris cela. Il est dit ici : Citation : « Si cela se produit exactement comme le dit l'interprétation, nous levons les mains et remercions Dieu pour Son Esprit qui est parmi nous. Si cela ne se produit pas, ne le faites plus jusqu'à ce que le mauvais esprit soit sorti de vous ».

Oui, c'est cela. Et c'est ce que la plupart des gens ne comprennent pas ; c'est qu'effectivement, l'autre esprit peut aussi s'infiltrer ; et c'est presque les mêmes choses qu'il ressentent. C'est comme une onction, ce sont les mêmes choses effectives qui passent par le corps, que ce soit l'Esprit ou d'autres esprits qui agissent. C'est pourquoi le don de discernement est absolument nécessaire. Vous n'avez qu'à parler aux frères ou à toute personne que Dieu utilise. Les gens qui ne croient pas le message et dont il s'est avéré depuis longtemps qu'ils ne sont pas envoyés par Dieu, ont les mêmes ressentiments. Ils ressentent la même chose, tout vers l'extérieur, vers l'intérieur, tout, la même chose. Mais ce qui compte, c'est que si c'est l'Esprit de vérité, cela correspondra toujours à la parole de Dieu ; et la personne se laissera toujours corriger, et dira : « Merci de tout cœur de m'avoir servi d'aide ».

Si la personne refuse, se justifie et ainsi de suite, c'est que l'affaire est mal engagée. Il doit y avoir une courbure devant la face de Dieu avant que l'aide puisse être accordée. Seul un homme qui peut vraiment s'incliner et reconnaître ce qui n'est pas juste, peut être aidé. Une personne qui s'élève au-dessus de tout cela, qui passe outre, qui se défend et ainsi de suite, ne peut pas être aidée. Cela me concerne, et cela nous concerne tous. Il est également écrit ici :

« Maintenant, je vous le dis à tous : Il y a quelques années, vous avez, comme des enfants, joué avec ces dons. Mais maintenant, vous avez été à l'école assez longtemps, et il est temps que vous soyez des hommes qui ne les utilisent pas simplement pour jouer avec. Ces dons sont sacrés, car ils viennent de Dieu. Vous ne devez pas jouer avec eux. Que Dieu les utilise : C'est à cela que doit aboutir votre service. Et c'est ainsi que la Chapelle Branham doit être mise au service. Si cela devait être remis en question à un moment ou à un autre, cette bande sonore devrait être le témoin que c'est ainsi qu'il faut procéder ici, qu'il faut exercer les choses ici ».

Donc, nous avons géré les choses comme des enfants, et maintenant nous devons être adultes. Je crois que le temps est venu pour nous de nous laisser dire quelque chose, d'accepter l'enseignement, et de nous incliner sous la main puissante de notre Dieu. Je crois en un rétablissement total ; je crois que Dieu répandra la pluie de l'arrière-saison. 

Et Frère Kupfer m'a encore rappelé que la prédication de Beublingen devait être envoyée à tous. C'était une parole du Seigneur, une parole merveilleuse de notre Dieu. Et je crois de tout cœur que Dieu a fait la promesse, et qu'Il l'accomplira. Mais, avant qu'elle ne puisse s'accomplir, les gens doivent avoir reçu l'enseignement.

Qu'est-ce qui s'est passé ? Il y a d'abord eu l'enseignement, puis la pluie de l'avant-saison, puis l'enseignement, puis la pluie de l'arrière-saison. À quoi sert la grande et puissante pluie si le sol n'est pas bien ensemencé ? Quand la pluie arrive, elle produit ce qui se trouve dans le champ ; et nous ne pouvons plus en avoir besoin, mais nous devons labourer à nouveau, travailler le champ avec soin, semer la parole infaillible et révélée de Dieu, puis implorer la pluie de l'arrière-saison, et elle viendra ! Je ne mets pas mon espoir en moi. Et si je le faisais, ce serait sans espoir, et je pourrais m'en aller ! Je mets mon espoir, mon espérance avec vous tous et avec tous ceux qui ne sont pas ici aujourd'hui, dans le Dieu vivant, le Dieu d'Abraham, d’Isaac et de Jacob, qui a parlé et qui a parlé, non pas une fois, mais plusieurs fois. Il a donné des instructions par la conduite de Son Esprit. Il a fait toutes choses.

Une autre chose me vient à l'esprit. Lorsque j'étais assis chez moi dans la rue Lech vers 10 heures, et que la voix a dit, mot pour mot : « Annule ton voyage en Inde ! » ; et je vous l'ai raconté ici et je l'ai écrit. Je suis une personne qui doit tenir sa parole. Si je ne peux pas la tenir... J'ai beaucoup de défauts, mais j'essaie de tenir les paroles que je donne, les promesses. Cela me va autrement tout simplement à l'encontre. Peut-être ma nature prussienne, que sais-je ! Mais quand la voix a retenti : « Annule ton voyage en Inde ! », je peux vous dire que j'ai sursauté, je n'ai pas dit un mot, je me suis assis dans la voiture, je suis sorti, j'ai prié, j'ai dit : « Seigneur, les réunions sont toutes arrangées, les salles sont louées, les annonces dans les journaux, etc. ». C'était justement sans doute une semaine avant, ou quelque chose comme ça, et j'étais désespéré. J'ai dit : « Seigneur, si c'est possible... » ; et Dieu a fait vraiment grâce. J'ai dit : « Si c'est possible, garde Ta main sur moi, et laisse-moi faire ce voyage ». Il devait être 11 heures 15, mais la voix était plus forte et plus puissante : « Annule ton voyage pour l'Inde ! ». Je peux vous dire que j'ai rarement été aussi rapide au téléphone pour envoyer les télégrammes aux différents frères. Et vous l'avez lu, lorsqu'à l'époque, l'avion a littéralement explosé et brûlé à l'aéroport de Bombay, avec quatre-vingt-seize passagers dans les airs. Et j'avais une réservation ferme sur les vols de Bombay à Madras, et j'ai appris cela le matin par les informations, à 8 heures, le jour où je devais voler là-bas. Je peux vous dire que cela m'a de nouveau transpercé la moelle et les jambes. Comme notre Dieu est fidèle !

Et ainsi, je pourrais énumérer un cas après l'autre où le Seigneur a parlé dans Sa grâce et Sa fidélité. Et il n'y a pas une seule chose qui ne se soit pas passée comme Il a dite. Et c'est pourquoi je sais que c'est la même voix, et que c'est le même Seigneur qui a parlé. 

Maintenant, voici ce qui est dit ici pour les diacres, et j'en arrive lentement à la conclusion, car le temps est presque écoulé. Il est dit ici :

« Frère Branham, en ce qui concerne l'ordre dans l'église, nous avons essayé d'agir comme nous comprenons les instructions qui ont été données lors de la consécration de la nouvelle chapelle. De ce fait, certains se sont mis en colère et ont quitté l'assemblée ; d'autres ne veulent pas écouter ce que nous leur disons, surtout les enfants. C'est peut-être pour cela que j'en arrive là maintenant. Nous avons parlé aux parents de leurs enfants, mais ils ne font pas attention à eux. Avons-nous mal compris, ou gérons-nous les choses de la mauvaise manière ? Et puis, derrière, l'intéressé nous remercie déjà, et nous dit : Merci beaucoup. Maintenant, la réponse : Permettez-moi de répondre dans l'ordre.

En ce qui concerne l'ordre dans l'église, nous avons essayé d'agir de la manière dont nous comprenons les instructions données lors de l'inauguration de la nouvelle chapelle. C'est correct. Vous faites ce qu'il faut. Je suppose que cela vient des diacres, car il s'agit ici d'une tâche des diacres. À cause de cela, les gens se sont souvent mis en colère contre eux. À moi aussi, et envers tout le monde, ils le deviennent. Il y a quelque chose qui ne va pas chez une personne qui fait cela. Ils ne sont pas en règle avec Dieu, en ordre avec Dieu, car l'Esprit de Christ est soumis à l'enseignement de Christ, à la maison de Christ, à l'ordre de Christ ».

Retenez cette phrase maintenant :

« Ils le deviennent aussi (c'est-à-dire en colère) envers moi, et envers tous les autres. Il y a quelque chose qui ne va pas chez une personne qui fait cela. Elle n'est pas en ordre, en règle avec Dieu, car l'Esprit de Christ est soumis à l'enseignement de Christ, à la maison de Christ, à l'ordre de Christ, à l'Esprit de Christ, etc. Si un homme, une femme, un enfant, les parents ou toute autre personne à qui l'on dit quelque chose se met en colère, c'est que quelque chose ne va pas chez eux ».

Nous aimerions vraiment avoir dans cette assemblée tout ce que nous pouvons atteindre, mais si cela ne fait que causer des difficultés, c'est une épine ou comme nous aimons le dire, nous avons un lièvre dans le buisson. Une telle personne ne va pas bien. Donc une personne qui ne se laisse pas corriger, qui n'accepte pas les avertissements, les réprimandes, qu'il s'agisse d'enfants, qu'il s'agisse d'elle personnellement, de qui que ce soit, bien-aimés, il faut quand même se poser la question : « Sommes-nous morts avec Christ, ou non ? ». Si nous sommes morts, alors nous sommes morts ! Et vous pouvez presque faire ce que vous voulez avec un mort. Il ne fait que bouger de temps en temps ? Non ! Il ne bouge plus du tout ! Non pas que nous dormions cet après-midi, s'il vous plaît. Un mort ne s'agite pas de temps en temps, il ne s'agite plus du tout, il laisse tout passer, il supporte, il ne réagit pas, il ne bouge pas.

Mais récemment, quelqu'un m'a dit : « Frère Frank, tu as été l'agneau pendant assez longtemps. Comprends donc que le Seigneur Jésus a aussi pris le fouet ». Mais nous ne voulons pas cela. Nous voulons supporter tout le monde avec amour, et dans la mesure où cela dépend de nous, faire la paix avec tous les hommes, être en paix avec tous les hommes. Qu'ils ne le fassent pas avec nous, c'est leur affaire. 

Prenez cela avec vous et prenez-le à cœur : Une personne qui se fait rappeler à l'ordre, quelle qu'en soit la raison... Si nous disions à notre chef de chœur : « Écoute, accorde ton instrument avant de venir devant, avant qu'on t'appelle, avant que la chorale vienne devant, accorde ton instrument ». Il devrait nous remercier si nous lui faisons cette remarque, il devrait alors dire : « Bon sang ! Écoute, je n'y avais pas pensé, bien sûr ! À partir de maintenant, je vais le faire avant ». Peu importe à qui on dirait quelque chose. Si je disais quelque chose à notre frère Schneider, il serait tellement reconnaissant, il rayonnerait de tout son visage. Peu importe à qui on dirait quelque chose, tous seraient reconnaissants du fond du cœur, n'est-ce pas ? 

Et si nous ne le sommes pas, nous ne voulons pas qu'on nous aide ! L'avez-vous compris ? Si nous ne sommes pas reconnaissants pour ce qui nous est dit afin que nous soyons aidés, alors nous ne voulons pas du tout être aidés ! Et je me demande alors pourquoi nous venons ici ? Juste pour avoir un divertissement dit chrétien ? Ce serait un divertissement très misérable ! Vous pourriez alors aller dans n'importe quel mouvement charismatique, et il y a beaucoup plus de divertissement qui vont vraiment de droite à gauche, mais pas vers le haut. Nous voulons une chose qui vient d'en haut, et qui nous tire vers le haut ! Ni à gauche ni à droite, mais ce qui vient d'en-haut ça tire vers le haut.

Et si quelqu'un pouvait me dire : « Frère Frank, ceci ou cela, si tu traduisais ou si tu écrivais les lettres, peut-être que cela pourrait être tel ou tel » ; je vous remercierais, je remercierais chacun, et cela du fond du cœur, pour chaque remarque. Et devenons aussi sincères les uns envers les autres, et vous verrez ce que Dieu fait. Personne ne parle de personne à un autre, chacun le dit à celui à qui il veut dire quelque chose ; et tout est oublié à jamais, personne n'en garde rancune, et tout devient comme Dieu le veut. Juste encore, très vite : 

« Frère Branham, jusqu'où un diacre doit-il aller pour maintenir l'ordre dans l'église ? Devons-nous maintenir l'ordre, ou attendre que frère Neville nous dise ce que nous devons faire ? Ce n'est pas le rôle de frère Neville, c'est le vôtre. Vous ne dites pas non plus à frère Neville sur quoi, et comment il doit prêcher. C'est votre tâche ici. En ce qui vous concerne, vous les diacres, c'est à vous, les diacres de le faire et de vous en occuper. Frère Neville n'a rien à voir avec cela, c'est votre travail. Si un policier dans la rue, voit quelqu'un voler le bien d'autrui dans une voiture, doit-il appeler le maire et lui demander : Monsieur le maire, votre honneur, je travaille pour vous ici à la police. La nuit dernière, j'ai remarqué dans la rue un homme qui a volé les pneus d'une voiture ; et ainsi de suite ; et demande ensuite s'il obtient l'autorisation de faire quelque chose. Non. C'est quand même son devoir dès le départ, et ce devoir, il doit l'assumer ! Il n'a pas besoin de le demander longuement ».

Je veux dire que frère Branham était un homme de Dieu, un homme naturellement doué, et un homme spirituellement doué. Il avait un don naturel pour donner de tels exemples naturellement humain, qui sont vraiment comme un marteau qui frappe là, et nous les remarquons tous sans avoir étudié la philosophie. Et il en va de même dans le domaine spirituel où il apporte des choses que personne d'autre n'a apportées. Il était vraiment un homme envoyé de Dieu, comme il n'y en a jamais eu avant ou après. Il était encore dit ici :

« Si quelqu'un fait quelque chose de mal dans l'assemblée, intervenez, et parlez avec lui. Ne soyez pas arrogant. Frères, vous qui allez recevoir ce service, ceci vous êtes adressé maintenant : Ne pensez pas qu'une fois que vous aurez été élu diacre devant l'assemblée et dans l'assemblée, vous pourrez vous promener la poitrine haute, pour ainsi dire, et donner le ton que vous voulez. Loin de là ! Au contraire, c'est alors seulement que vous devrez parler avec toute douceur et toute humilité à chaque être humain ; car comme on crie dans la forêt, c'est ainsi que la voix nous résonne en retour. On reçoit l'écho de notre foi dans la forêt, et c'est une très sérieuse exhortation. Ne soyez pas arrogant. Mais, s'il ne veut pas entendre, parlez de manière à ce qu'il comprenne ce que vous dites. C'est comme un enfant à qui l'on dit : Va là-bas ! Et qu'il se comporte quand même mal. Diacres, prenez votre place. Vous êtes quatre en tout ».

Ah ! D’accord. Bien. Nous allons donc aussi en choisir quatre avec l'aide de Dieu. Je voudrais que les frères qui ont été nommés et qui souhaitent exercer cette fonction se mettent à disposition. C'est un service sans remerciement ; mais je voudrais que vous vous sentiez libre, et que vous me le disiez afin que je puisse le faire, savoir à l'occasion, et que cela puisse être fait. Il est également écrit ici. Citation :

« Faites attention, si quelqu'un entre et qu’il n'a pas de bonnes intentions et ainsi de suite, soyez sur votre garde, allez à votre poste, et restez-y. C'est votre place. Regardez, nous avons nos frères bien-aimés, nous avons ici les anciens, nous avons le caissier, et ils sont tous bien assis à leur place et c'est bien ainsi. Au moment où les diacres sont choisis, ils ne sont plus assis au milieu de l'assemblée, ils sont assis tout au fond, à la sortie, à droite et à gauche, et l'un d'eux est peut-être dehors, et voit ce qui se passe là-bas. Ils ont pour mission de veiller, d'avoir les yeux ouverts, et de s'occuper du déroulement extérieur d'un service divin, alors que tous les autres peuvent s'asseoir et se laisser bénir pendant que vous accomplissez votre tâche ».

Je poursuis ma lecture.

« Un diacre veille sur la maison du Dieu. Si quelqu'un entre, adressez-lui la parole, saluez-le, étendez-lui la main. C’est vous qui êtes les policiers. Dites : Bon, pouvons-nous te montrer là où se trouvent les porte-manteaux ? Où veux-tu t'asseoir ? Pouvons-nous te donner un livre de cantique ? Nous aimerions que tu te sentes bien ici, nous sommes heureux que tu sois ici avec nous ce soir. Conduisez-les à leur place, et demandez-leur s'ils préfèrent être assis plus en avant ou plus en arrière, c'est cela l'hospitalité ».

Jusqu'à présent, je n'ai fait que lire. Lequel d'entre vous, frères, est capable, sans avoir besoin de porter un masque, d'accueillir chaleureusement quelqu'un et de lui dire : « Sentez-vous bien au milieu de nous » ? S'agit-il de quelqu'un d'étranger ? « Soyez les bienvenus, puis-je vous aider ? ». Lequel d'entre vous, frères ? Il ne s'agit-il pas seulement de vous placer là maintenant. Il y a ici des tâches à accomplir. 

Et je vous le demande de tout cœur : Lisez cette prédication, lisez cette page, priez à son sujet, plongez-vous dedans ; puis allez devant la face du Seigneur, et dites : « Mon Dieu, je ne veux pas être inutile dans la maison de Dieu ! Je ne sais peut-être pas chanter, je ne suis pas dans la chorale, je ne suis pas dans la chorale des trompettes, je ne prêche pas, etc. mais peut-être que je peux accomplir une tâche ici. Si telle est Ta volonté, ô Seigneur, aide-moi par grâce à satisfaire à toutes ces exigences ».

Je sais que je connais quelqu'un qui a fait cela pendant des années avec une politesse directe. Vous ne le croirez pas, mais c'est mon frère, Arthur. Il a été diacre dans une assemblée pendant des années là-bas, et il accueillait tous les gens, il rayonnait toujours de tout son visage et donnait les livres aux gens, etc. J'ai encore pensé aujourd'hui : Peut-être qu'il a même la possibilité de partager avec les frères un peu de ses années d'expérience. Nous sommes tellement conservateurs, nous sommes une boutique tellement tendue. Si je dois le dire ici, moi, en particulier, à qui tendons-nous la main ? A qui faisons-nous savoir qu'il est le bienvenu ? Chacun passe devant l'autre pour ainsi dire la tête baissée. Est-ce que nous sommes là pour ça ? Est-ce que c'est cela la communion de l'Esprit ? Est-ce cela l'amour de Dieu ? La communion de l'Esprit est un lien intime avec Dieu et entre nous. Et quand nous nous voyons les uns les autres, nous nous réjouissons, puis nous tendons la main ; et ensuite, si nous connaissons suffisamment bien les gens, nous le leur faisons savoir.

Donc, il y a ici des choses qui nous feront du bien quand nous entrerons ici, et un visage rayonnant nous attendra, et nous entrerons ici. C'est très différent que quand des gens entrent, personne n'est à droite, personne n'est à gauche, un petit groupe parle ici, un petit groupe parle là, il n'y a personne pour les accueillir, les gens entrent et regardent autour d'eux sans savoir ce qui se passe. Tout cela doit changer. Ce sont, certes, des préoccupations terrestres, mais elles en font partie. Tant que nous sommes encore sur cette terre, les choses terrestres doivent aussi être ordonnées comme Dieu le veut. Êtes-vous d'accord avec cela ? Amen ! 

Louanges et remerciements ! C'est un chemin glorieux, et c'est le chemin que nous allons suivre ; et nous disons : « Mon Dieu ! Nous ne nous considérons plus nous-mêmes comme sages, mais nous acceptons Ton sage conseil, et cela en toute crainte de Dieu, et nous disons seulement : Seigneur, viens à Ton droit avec nous tous ».

Pour conclure, reprenons la parole d'introduction. 2 Corinthiens 3 : 6 :

« C'est lui aussi qui nous a rendu capable d'être ministres de la nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'Esprit ; car la lettre tue, mais l'Esprit vivifie. Or, si le ministère qui donne la mort avait une telle gloire avec ses lettres gravées sur la pierre, au point que les Israélites ne pouvaient pas regarder le visage de Moïse à cause de l'éclat qui était sur son visage et qui disparut, comment le ministère de l'Esprit n'aurait-il pas une gloire encore plus grande ! ».

Bien-aimés, nous voudrions en ce lieu que Dieu vienne à Son plein droit, par grâce. Je pense qu'il n'y a pas une seule personne dans ce lieu aujourd'hui, qui n'ait pas compris de quoi il s'agit. Il ne s'agit pas d'occuper un poste, ni d'avoir une tâche à accomplir. Il s'agit de se laisser utiliser et employer par Dieu là où cela est possible, en fonction de ses capacités et de ses possibilités. Et ainsi, nous aurons tous une part dans le royaume de Dieu, et l'un ne sera pas plus petit, ni l'autre plus grand, tous seront égaux, du premier au dernier.

Loué soit le nom du Seigneur ! N'est-ce pas là une atmosphère glorieuse en présence de Dieu ? Je dois dire que je me sens bien, et que je dis oui à tout ce qui nous a été apporté. C'est l'ordre divin pour l'Église, et c'est ce que nous voulons pratiquer ici en ce lieu, et Dieu nous y aidera tous. 

Qu'Il continue à bénir les anciens dès maintenant ! Qu'Il bénisse nos deux frères qui ont si fidèlement fait le travail de caissiers ; et qu'Il bénisse dès maintenant les frères que nous appellerons à sortir avec l'aide de Dieu, et avec leur accord bien sûr, qu'ils assumeront aussi ce service qui n'a pas encore été classé ici jusqu'à présent ; et alors, nous nous sentirons tout à l'aise ; et ceux qui viennent de l'extérieur, et moi, nous nous réjouissons tous que tous les frères aient une tâche à accomplir, et que nous puissions être ceux qui profitent de la bénédiction dans toute sa mesure.

Louange, merci et gloire à notre Dieu de tout notre cœur ! Amen ! Amen. Levons-nous et prions. Peut-être que tu vas prier, frère Russ.

Dieu fidèle, nous Te remercions pour ces paroles émouvantes d'enseignement, d'avertissement, d'exhortation, de réprimande. Seigneur, Tu n'as que de bonnes intentions à notre égard, et Tu veux nous aider en toutes choses. Accorde-moi, accorde-nous à tous un cœur humble, Seigneur, et un esprit incliné ô Dieu, afin que nous recevions Ta parole de manière juste, que je la reçoive, que je l'observe.

Dieu fidèle, peut-être que jusqu'à présent les choses n'ont pas été comme elles devaient l'être, Seigneur, mais nous sommes des êtres humains, oublieux et faibles. Seigneur, souvent nous faisons beaucoup d'erreurs, Seigneur, mais Tu es quand même fidèle, Seigneur, et Tu ne le vois pas ! Ô Seigneur ! Lorsque nous levons les yeux vers Toi, Seigneur, nous en prenons conscience, Seigneur, et nous pouvons revenir vers Toi, Seigneur, et dire : « Seigneur, Tu nous connais, Tu sais ce que nous pensons, ô Dieu ».

Aide mes frères, aide nous tous, Seigneur, à nous aimer les uns les autres, à nous estimer les uns les autres, à accepter ce qui nous est dit par grâce, Seigneur. Aide chaque frère, aide chaque sœur, ô Dieu, aide-moi, ô Seigneur, aide-nous tous, Seigneur. Si tu nous aides, ô Seigneur, nous sommes aidés, ô Seigneur. Nous T'adorons et louons Ta grâce, Ta puissance, Ta puissante présence, Seigneur, car Tu n'es pas loin, Seigneur, Tu es présent, Seigneur, car là où est Ta parole, Seigneur, là Tu es aussi présent, Seigneur.

Gloire à Ton nom ! Alléluia ! Reçois l'action de grâce, reçois la gloire et l'adoration, Seigneur. Nous croyons, Seigneur, que Tu arriveras au but avec nous tous, ô Seigneur. Tu as commencé, Tu achèveras au jour de Ta prochaine apparition, ô Seigneur. 

Gloire à Ton nom merveilleux ! Seigneur, nous attendons Ton apparition. Alléluia ! Gloire à Ton glorieux nom de Jésus ! Amen.