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Ewald Frank

Krefeld, le 02 novembre 1983
(Retransmis le 08 mai 2024)

MARCHONS SUR LES TRACES D’ABRAHAM, NOTRE PÈRE DANS LA FOI

Remercié soit le Seigneur pour le privilège que nous avons à nouveau d'être ici pour adorer.

Lorsque j'étais assis là, je me suis dit quel privilège que nous avons de ne pas seulement lire la parole de Dieu, mais que nous puissions dire : Ce qui est écrit là, nous l'avons expérimenté, nous l'avons reçu. C'est une parole qui décrit ton état, qui décrit mon état, qui a quelque chose à nous dire à toi et à moi. Nous ne nous contentons pas de considérer ce que d'autres ont expérimenté avec Dieu, mais cela a été mis par écrit afin que nous sachions avec certitude ce que nous pouvons expérimenter avec Dieu.

Ici, dans les Saintes Écritures, particulièrement dans le livre des Actes des Apôtres ou dans les épitres, s'il est relaté ce que Dieu a fait, ce n'est pas seulement pour que nous nous en réjouissions, que nous nous réjouissions de ce qui s'est passé en ce temps-là, mais c'est pour que nous sachions de la part de Dieu que c'est ce qu'Il a préparé pour nous, c'est ta part et ma part. Si nous pouvions le comprendre, alors nous serions déjà aidés.

Je vais commencer par vous transmettre les salutations de Londres. Vous savez, c'était une réunion organisée de manière brève, mais néanmoins intime et chaleureuse. Nous étions réunis venant de nombreux pays, du Ghana, du Soudan, de l'Irak, de la Jordanie, de l'Angleterre, de la Suisse, de l'Allemagne ; c'était donc un rassemblement international, et l'atmosphère était très bonne. Nous espérons que Dieu ouvrira les portes là-bas aussi afin que Sa parole puisse être prêchée.

Vous savez que lorsque je sors –je ne le dis pas à cause de moi, mais je le dis parce que c'est ainsi– alors, on ne peut pas seulement dire n'importe quoi, car tout le monde peut le faire. On doit dire ce que Dieu a dit, on doit s'occuper de ce que Dieu a prévu pour ce temps. Sinon, on peut tout aussi bien rester chez soi. Il y a suffisamment de personnes qui sont agitées et qui aiment voyager, et ils peuvent tous raconter beaucoup de choses, mais nous ne voulons pas nous comparer à eux. Si quelque chose doit être dit, alors c'est ce que Dieu a à nous dire maintenant. Et là, nous pouvons nous glorifier de la cause de Dieu, sachant qu'Il nous a révélé Sa parole de manière claire et pure, et qu'Il nous y a maintenu.

Car beaucoup de choses ne sont plus messages de Dieu. Beaucoup de choses ne sont plus paroles de Dieu, parce qu'elles ne correspondent plus à la proclamation originale. Quand on écoute ce que des gens ont à dire et ce qui est proclamé, alors il n'y a plus qu'un seul passage biblique qui nous vient à l'esprit et à cœur, le passage que Paul a exprimé si clairement dans Galates chapitre 1 au verset 8 : « Et si nous-mêmes ou si un ange descendait du ciel pour vous annoncer un autre évangile... ». Si on appliquait le critère de la Bible à tout ce qui est appelé aujourd'hui évangile ou à tout ce qui est appelé message de Dieu, alors il est impossible que cela puisse subsister !

Et nous savons que Dieu ne change pas Sa parole. Heureux l'homme qui a une adhésion intime intérieure à la parole de Dieu, qui ne veut pas la modifier, mais qui se laisse lui-même transformer pour que nous puissions entrer dans ce modèle biblique ! Nous sommes reconnaissants à Dieu de ne pas être contraints de faire quoi que ce soit. Nous voulons juste être une partie intégrante de ce que Dieu fait maintenant, ni plus ni moins.

Aujourd'hui nous avons traduit une partie d'une prédication qui sortira peut-être en février, je ne sais pas exactement, mais là, frère Branham dit : « Aucun homme ne peut faire un réveil. Cela doit venir de Dieu ». Et il dit ensuite : Vous pouvez faire beaucoup de choses, vous pouvez créer un enthousiasme, vous pouvez créer une atmosphère, vous pouvez faire beaucoup de choses, faire de grandes campagnes, mais il dit : le Dieu Souverain donnera ce qu'Il a promis au moment où la parole particulière, où la promesse doit s'accomplir. Et beaucoup de ce qu'on appelle maintenant réveil et mouvement, a été mis en place par des hommes avec beaucoup d'atmosphère autour.

Alors là, je me rappelle du Seigneur Lui-même, Lui qui a pris le livre du prophète Ésaïe, qui l’a ouvert et a lu le chapitre 60, puis Il S'est assis. Il n'a pas sautillé d'un côté à l'autre, Il n'a pas fait des démonstrations de force. Il s'est assis. Et les saintes écritures disent : « Des paroles de grâce sont sorties de Sa bouche » (Luc 4 : 22), et les gens devaient dire : « Jamais personne n'a parlé comme lui ». (Jean 7 : 46). L'impact n'était pas dans la démonstration que l'on pouvait faire ou prouver avec ses mains, ou avec des gestes, ou avec le ton, ou l'atmosphère, mais tout l'impact était dans la parole qui sortait de Sa bouche, et c'est tout cet impact de Dieu que nous voulons avoir ; et cet impact n'est pas manifesté par le vent, il n'est pas produit par nous, mais il est ici, dans cette parole infaillible, précieuse, et sainte de Dieu.

Vous savez que Satan a fait tuer presque tous les porteurs de la parole. Notre Seigneur Jésus a dit : « Où serait un prophète que vous n'auriez pas lapidé, et un envoyé de Dieu que vous n'auriez pas tué ? ». Il y a toujours eu des persécutions. L'ennemi détestait la sainte parole originelle inspirée et donnée par Dieu, et il pensait qu'en tuant ceux à qui la parole de Dieu avait été adressée, alors il aurait aussi maîtrisé la parole. Non, il n'en est pas ainsi ! Il a certes tué les hommes, les prophètes et ainsi de suite jusqu'à Zacharie qui a été tué entre l'entrée du temple et l'autel, mais la parole qui sortait de la bouche de Dieu et que ces hommes portaient, elle est encore vivante jusqu'à aujourd'hui ! Et ça, c'est un témoignage glorieux.

Certes, l'ennemi réussira à faire mourir le corps, oui ce n’est pas grave. Le plus tôt sera le mieux, alors nous serons au moins avec le Seigneur. Mais notre Sauveur a bien dit : « Ne craignez pas ce qui peut tuer le corps » (Matthieu 10 : 28). Nous ne devons donc pas nous étonner, et cela ne doit pas nous déconcerter que tout le monde soit laissé en paix et que les puissances de l'enfer se précipitent contre nous. Que cela soit pour nous la meilleure preuve que la parole vivante et sainte de Dieu a été placée en nous ! Et cette parole nous sera conservée jusqu'à la fin.

Je fais partie de ceux qui croient simplement que chaque semence doit se reproduire selon son espèce. Je crois ce qui est écrit dans Matthieu chapitre 13, que la bonne semence, à savoir que le Fils de l'homme est sorti et a semé, et que la bonne semence de Dieu, ce sont les enfants du royaume de Dieu. (Matthieu 13 : 38). Et puis, l'ennemi est venu lorsque les gens étaient endormis, et il a semé sa propre semence, et ce sont justement les enfants de la perdition. Je ne crois pas qu'un enfant de Dieu puisse devenir un enfant du diable, et je ne crois pas non plus qu'un enfant du diable puisse devenir un enfant de Dieu. Je ne crois pas à cela. Je crois que Dieu, avant la fondation du monde, savait exactement qui accepterait ou qui n'accepterait pas la grâce qui allait se manifester en Jésus-Christ. Et c'est pourquoi avant même que nous ne soyons manifestés, que nous ne soyons là, avant même que le monde soit créé, Il pouvait déjà nous prédestiner à être fils et filles de Dieu.

Il est possible que les enfants de Dieu servent le diable pendant un certain temps, c'est possible. Il est possible que les enfants du diable fassent de temps en temps un bon service. Mais au fond, au fond, la décision est déjà prise : Soit nous sommes et demeurons des enfants de Dieu, ou nous sommes et demeurons les enfants de l'ennemi ! Entre les deux, il n'y a rien. Bien sûr que les hommes ont été placés sous l'incrédulité parce que le péché s'est abattu sur tous, et le Seigneur est venu racheter les Siens. Il a sauvé ceux qui Lui appartiennent ; et c'est ainsi qu'il est déjà écrit : « Tu Lui donneras le nom de Jésus, car c'est Lui qui sauvera Son peuple de ses péchés ». (Matthieu 1 : 21). Ça, c'est le grand mystère. 

Et tous ceux qui font partie du peuple de Dieu, peu importe combien de temps ils ont marché dans les ténèbres et n'avaient pas encore consacré leur vie à Dieu, au moment où ils entendent la bonne nouvelle, le message de la grâce, de la rédemption, alors ils se rendent compte que le Seigneur a aussi payé le prix pour eux, et ils viennent à Lui dans la prière et dans la foi, et disent : « Seigneur je n'en suis pas digne ! Tu m'as regardé avec amour, et Tu as eu pitié de moi. Tu es mort pour moi sur la croix de Golgotha, Tu as payé le prix, Tu m'as racheté ! Je T'appartiens. Voici ma vie, mon Dieu, je Te la consacre, prends-la dans Ta grâce ». Ça c'est la proclamation du glorieux évangile de Jésus-Christ le Fils de Dieu.

Ici, dans Romain chapitre 4, nous avons un très bon exemple. Un certain nombre de pensées particulières y sont exprimées. Nous ne pouvons pas toutes les aborder, mais je voudrais déjà lire le verset 12 avant d'aborder très brièvement le contenu suivant. Il est écrit ici dans Romain chapitre 4 verset 12 :

« ...et le Père des circoncis, qui ne sont pas seulement circoncis, mais encore qui marchent sur les traces de la foi de notre père Abraham quand il était un circoncis ».

Abraham crut Dieu à la même heure, au même jour où le Seigneur S'est adressé à lui. Il n'a pas eu besoin de temps de réflexion, il n'a pas dit : « Bon, j'ai entendu la prédication, je vais réfléchir à la question ». Que celui qui a l'intention de le faire, le fasse ! Mais ce n'est pas ainsi que nous pouvons rencontrer Dieu. Lorsque la parole du Seigneur nous est adressée, alors elle doit nous transpercer le cœur comme un coup de poignard et nous devons nous frapper la poitrine. Nous ne pouvons pas dire : Je vais y réfléchir. Tu peux te le laisser passer mille fois dans la tête, mais dans le cœur il ne se passerait rien.

Comme nous l'avons bien entendu dans la prédication de frère Branham « Unis sous une même tête », là il dit : « L'ennemi prend toujours la tête, mais Dieu a choisi le cœur, et Il fait Sa demeure dans le cœur ». Le combat que nous devons naturellement mener, il est ici en haut, dans la tête. Mais dans le cœur, il n'y a que l'un ou l'autre : Soit la foi, soit l'incrédulité ; soit Dieu, soit l'adversaire. Il ne s'y passe pas grand-chose. Là où beaucoup de choses se passent, c'est ici en haut, dans notre tête. C'est là que nous faisons tourner tout dans tous les sens. Et si l'ennemi perturbe quelque chose, ce n'est pas dans notre cœur, mais c'est dans notre tête. Et c'est pourquoi il y a tant de personnes qui ne sont plus saines d'esprit, parce que cela n'a pas pénétré dans leur âme, mais cela a travaillé dans leur tête, et ils ont alors perdu l'orientation. Dieu parle à nos cœurs.

Et nous sommes tous assez honnêtes pour reconnaître et admettre que l'ennemi ne nous laisse pas non plus toujours tranquille là-haut dans nos têtes, mais nous sommes tout aussi honnêtes et reconnaissants de dire que Dieu a réussi à implanter, à placer Sa sainte parole dans nos cœurs, et Dieu y veille, et l'ennemi n'y a pas d'accès. Il peut faire un peu de va-et-vient dans la tête, mais dans le cœur, il ne peut rien faire ! Dans le cœur, nous croyons ce que Dieu a dit, et c'est ce qui compte.

Vous savez, parfois les enfants de Dieu sont abattus, ils sont affligés parce qu'il y a beaucoup de combats dans leurs pensées. Ils semblent alors perdre leurs repères. Puis-je vous dire ce soir que ce combat ici en haut, dans la tête, durera aussi longtemps que nous serons sur cette terre ; mais, de la même manière, la cause de Dieu est et demeurera fermement ancrée dans notre cœur, et rien ne changera jamais à ce sujet.

Abraham cru Dieu, et nous pouvons lire qu'il n'a pas considéré que son corps et celui de Sara étaient déjà usés (Romains 4 : 19). Il a aussi regardé extérieurement, il a vu, il a remarqué que l'incrédulité voulait s'installer ici en haut, dans sa tête, et puis il est si bien dit ici au verset 20 de Romains 4 : « Il ne douta point par incrédulité ». L'incrédulité rend fou. Les gens paniquent, ils veulent tous être sauvés ; et, comme Dieu fait les choses trop lentement, ils veulent L'aider ! Ils ne savent même pas qu'ils ont besoin de l'aide de Dieu et que tout ce qu'ils font eux-mêmes n'a pas de valeur devant Dieu, mais seulement ce que Dieu a fait dans ta vie et dans la mienne. Et, ce qu’Il a fait n’est pas peu ! C'est vraiment beaucoup, ce que Dieu a fait dans nos vies. C'est ainsi devant la face de Dieu.

Faisons donc la différence entre les tentatives de l'ennemi qui veut parfois nous occuper les pensées. Nous ne devons pas toutefois rester complètement inactifs, mais cela n'a absolument rien à voir avec la réalité de Dieu qui s'est produite ou dans notre cœur et qui ne changera pas. Et nous l'avons déjà tous certainement remarqué. Et alors nous devons seulement veiller à accorder plus de poids, plus de valeur à la cause de Dieu par rapport à toutes les tentatives de l'ennemi. Les choses que l'ennemi veut nous faire avaler ici dans notre tête ne changent absolument rien à la réalité divine de ta rédemption et de la mienne, de ton pardon et du mien, de ta position de fils de Dieu et de la mienne.

Pensez-vous que le diable aura un jour le droit ou l'autorisation de Dieu pour changer ce que Dieu Lui-même a fait ? Jamais, au grand jamais ! C'est encore Dieu qui a le commandement. L'ennemi n'est destiné qu'à nous rendre la vie un peu plus difficile et à se jeter sur nous, et à nous faire subir toutes sortes d'épreuves, car il est bien écrit que : « Personne, lorsqu'il est tenté ne dise : c'est Dieu qui me tente, car Dieu ne peut être tenté par le malin, et Il ne tente Lui-même personne ». Les tentations viennent donc de l'autre côté.

Dans cette parole, il est question de la foi, de la promesse, de l'obéissance ; et là nous pouvons tous apprendre. Au verset 17 de Romains chapitre 4, il est écrit :

« Je t’ai établi père d'une multitude de nations devant le Dieu auquel il a cru comme Celui qui donne la vie aux morts et qui appelle les choses qui n'existaient pas encore comme si elles étaient déjà ».

Nous avons un Dieu vivant et Il est capable de rendre vivant des hommes qui sont morts dans le péché et la transgression, par la parole vivante, par l'Esprit vivant, et Il est capable de créer en eux quelque chose de nouveau. Nous faisons confiance au Seigneur qui fait vivre les morts et qui appelle ce qui n'existe pas encore en toi et en moi, qui appelle cela comme si cela était déjà parce qu'Il nous l'a promis à toi et à moi, et qu'Il veille sur Sa promesse pour l'accomplir. Ça, c'est la foi en bref. Ça c'est la foi. La foi en Dieu c'est recevoir sans contestation ce que Dieu a dit, et regarder vers Lui avec la certitude et la conviction qu'Il accomplira ce qu'Il a promis. 

Quand Abraham a cru Dieu, c'était une chose entre lui et Dieu. Entre les deux, il n'y avait que la promesse que le Seigneur lui avait donnée. Le lien, la connexion entre les croyants et Dieu n'est pas ton combat et ta prière, n'est pas ton jeûne ni ta volonté. Le lien entre les croyants et Dieu est la parole de la promesse qu'Il nous a donné par grâce. Alors ensuite, nous pouvons jeûner, ensuite nous pouvons prier et nous pouvons faire toute autre chose. 

Mais, il y a assez de personnes qui ont choisi leur propre chemin pour aller au ciel, et cela ne marchera pas. L'avons-nous compris ? Le lien entre Dieu et les croyants est là où la foi est ancrée de manière très personnelle dans la parole divine de la promesse ; et alors, l'Esprit de Dieu vient sur nous et confirme la parole en nous. Ça, c'est ce que nous devons saisir dans la foi, et c'est ce que Dieu veut, attend de nous tous ; que nous nous mettions totalement à Sa disposition comme des enfants, et que nous disions : « Seigneur, Tu nous as donné la parole de la promesse par grâce. Nous Te croyons et nous Te faisons confiance. Seigneur, nous Te disons merci de ce que Tu nous veux tant de bien ».

Quelqu'un pourrait encore dire : « Oui, mais Abraham a entendu la voix audible du Seigneur ! ». Ne vous y trompez pas, nous aussi nous avons entendu la voix audible du Seigneur. Sa parole est donnée pour être toujours vivifiée par l'Esprit, et pour produire une nouvelle vie de Dieu dans ta vie et dans la mienne. Ce n'est pas la parole d'un homme que nous écoutons, mais la parole de Dieu. Abraham est devenu le père d'une multitude de peuples. Il a cru Dieu, et cela lui fut imputé à justice. 

Nous aussi, croyons-nous ce que Dieu a à nous dire en ce temps par Sa parole ? Alors cela nous sera aussi imputé à justice, si cela n'est pas déjà le cas. Je suis convaincu que cela a déjà été imputé à justice à ceux qui sont devenus croyants et à tous ceux qui seront encore appelés et qui viendront à la foi. Eux aussi sont inclus. Cela leur sera aussi imputé à justice.

Vous savez que l'œuvre de la rédemption est achevée. Notre Seigneur s'est véritablement assis sur le trône. Son œuvre est achevée. Il S'est assis à la droite de la majesté de Dieu, et intercède pour nous en tant que Souverain Sacrificateur. Mais la rédemption, tout ce qui est nécessaire pour le salut, Il l'a déjà donné. Il a tout accompli, et Il est ensuite monté dans la gloire. Puissions-nous ce soir avoir le courage de remercier le Seigneur dans de brèves prières. Je crois qu'Il Se réjouit lorsque nous le remercions avec foi. Pas seulement demander, mais aussi le remercier de nous avoir pardonné, de nous avoir sauvé, de nous avoir fait grâce. Oui, nous pouvons Lui dire avec confiance qu'Il S'est adressé à nous, et que nous sommes concernés, et que nous Lui avons accordé notre foi.

N'accordons pas trop d'importance au combat qui se déroule dans la tête, mais considérons comme précieux ce que Dieu a fait dans ton cœur et dans le mien, et remercions-le. Remercions-le, Lui, le Dieu vivant ; et le Seigneur nous fera avancer par grâce, et avec Son aide, nous persévérons jusqu'à la fin, jusqu'à ce qu'Il vienne nous prendre à la maison. Loué et glorifié soit son nom !

Père céleste, je Te remercie de tout cœur pour Ta précieuse et sainte parole. Je Te remercie de ce Que ta parole ait pris place dans mon cœur, et de ce que je peux la croire, la garder et la remuer en moi. Bien-aimé Seigneur, prends-nous tous à Toi, et que Ta parole accomplisse en nous et par nous ce pourquoi Tu l'as envoyé. Nous Te croyons, nous Te faisons confiance, et nous Te donnons la gloire et l'adoration, dans le nom de Jésus ! Amen !