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Frère Ewald Frank 

Dimanche 27 mars 2022

Sermon mensuel de Zurich 

Moi aussi, je voudrais saluer chaleureusement tous ceux qui sont proche et loin. Nous sommes si reconnaissants envers le Seigneur Dieu de ce que nous puissions avoir cette émission en direct de Zurich.

Nous sommes reconnaissants pour la parole d’introduction. Nous pouvons nous y plonger et constater toujours à nouveau ce que notre Seigneur a fait pour nous. Oui, nous sommes reconnaissants de tout cœur à frère Baumgartner et à tous les frères de la Suisse que ce message soit parvenu d’ici au monde entier et que tous puissent l’entendre et le vivre. Frère Branham était dans ces deux pays : Il était en Allemagne et il était en Suisse. Nous remercions le Seigneur de ce que nous avons reçu une part directe à ce que Dieu a promis pour cette dernière période dans la parole. Et, bien-sûr, je remercie particulièrement Dieu de m’avoir donné dès le début la confiance, la foi en l’envoi, en l’appel, au mandat qu’Il a donné à frère Branham par grâce. Pas une seule fois, je ne me suis posé une question, non. Je savais qu’il était un homme envoyé de Dieu. 

Tous ceux qui ont entendu la parole d’introduction, s'il vous plaît, veillez la relire encore une fois. Nous reviendrons plus en détail sur ce sujet que notre Seigneur était Souverain Sacrificateur.

Mais cette pensée me vient à l’esprit, celle du 11 juin 1933, lorsque frère Branham avait reçu le mandat direct d’apporter le message. Et puis, je pense au 11 juin 1958, à Dallas, au Texas, lorsque frère Branham m’avait dit après la conversation : « frère Frank, tu vas retourner en Allemagne avec ce message ». Nous sommes tout simplement reconnaissants. Je suis reconnaissant que le ministère que le Seigneur m’a donné soit directement lié au ministère de frère Branham.

Écoutons encore quelques passages bibliques et abordons-les brièvement. Que tous les frères de tous les peuples et de toutes les langues, tous les frères serviteurs, soient bénis de la bénédiction du Dieu Tout-Puissant. C’est grâce et encore grâce que nous avons reconnu l’époque dans laquelle nous vivons et les promesses que Dieu a faites pour cette période. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Nous lisons dans Hébreux chapitre 7 verset 1 à 3 :

« Car ce Melchisédek, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut, rencontra Abraham alors qu'il revenait de la conquête des rois, et le bénit ».

Comme nous le verrons plus loin, ici, notre Seigneur était déjà Roi et Sacrificateur. Déjà dans l’Ancien Testament, Il était tout. Et ce qui appartenait au Nouveau Testament a ensuite été manifesté. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Maintenant le verset 2 :

« C’est pour cela qu’Abraham lui donna aussi le dixième du butin. D'abord, si l'on interprète son nom, il est 'Roi de Justice', mais ensuite aussi 'Roi de Salem', ce qui signifie 'Roi de Paix’ ».

Oui. Il est tout cela : Roi de Salem, Roi de Jérusalem. Ô, nous sommes tellement reconnaissants d’avoir toujours à faire au même Seigneur, que ce soit dans l’Ancien ou dans le Nouveau Testament. Que Son nom soit loué ! S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.D.L.R] Nous lisons le verset 3 :

« Il n'a ni père, ni mère, ni lignée ancestrale (généalogie), ni commencement de ses jours ni fin de sa vie.

Ça, c’est aussi quelque chose de merveilleux. Dans l’Ancien Testament : Pas de père, pas de mère et pourtant, Grand et Souverain Sacrificateur, Roi ! Ô, loué soit Son nom glorieux ! Et dans Nouveau Testament, Il est venu à nous et est malgré tout resté le même Roi, le même Sacrificateur et le même Souverain Sacrificateur. Poursuivons notre lecture.

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Nous lisons dans Hébreux chapitre 9 à partir du verset 7 :

« Dans la deuxième (= arrière) chambre, par contre, seul le souverain sacrificateur peut entrer une fois par an, non sans le sang qu'il a offert pour lui-même et pour les transgressions du people ».

C’est également l’une des pensées principales qui font partie du plan du salut de Dieu : entrer dans le lieu très saint en tant que Grand et Souverain Sacrificateur. Le sacrificateur avait le droit d’entrer dans le lieu très saint. Et Lui, en tant que Souverain Sacrificateur, Il est entré dans le lieu très saint avec Son propre sang. C’est là que se trouvait l’arche de l’alliance et l’autel des parfums. Et notre Seigneur et Rédempteur, en tant que Souverain Sacrificateur, a offert Son propre sang sur l’arche de l’alliance et a accompli une rédemption éternelle.

En tant que Souverain sacrificateur –nous le savons tous– Il avait le pectoral avec les douze pierres des douze tribus d’Israël, et Il le portait sur Sa poitrine. Ô, que l'Éternel notre Dieu soit remercié car les douze tribus d’Israël et tous les peuples, les langues et les nations étaient inclues dans le plan de salut de Dieu. Mais le pectoral avait une signification particulière. Il est désigné comme étant la lumière et la justice, et est appelé l’Urim et le Thummim. 

Alors cela se produisait : si quelqu’un disait quelque chose de vrai, une lumière surnaturelle jaillissait du pectoral pour confirmer que c’était vrai. Si quelque chose était dit et que ce n’était pas vrai, alors, la lumière restait sombre. C’était la jurisprudence, c’était le jugement. 

Il en est de même pour nous aujourd’hui. Frères et sœurs bien-aimés, que tous ceux qui servent avec la parole puissent porter le pectoral et se rendre compte que l’enseignement des douze apôtres a été donné par Dieu Lui-même. Qu’ils puissent comprendre tous que l’Ancien et le Nouveau Testament sont achevés et complets en eux-mêmes, que personne ne peut y ajouter quoi que ce soit. Un testament est un testament.

Je voudrais le souligner encore une fois : dans l’Ancien Testament, toutes ces choses signifiaient une préfiguration de la réalité qui serait dans le Nouveau Testament. Pensons rapidement à l’Apocalypse chapitre 2, il y est écrit : Tu as mis à l’épreuve ceux qui se disaient apôtres mais qui ne le sont pas. Pourquoi ils ne le sont pas ? Parce que leur enseignement n’était pas conforme à celui des premiers apôtres. C’est à nous, c’est notre devoir, notre tâche de prendre cette sainte parole de Dieu comme un pectoral, comme une lumière et un droit. Et tout ce qui n’est pas écrit ici dans ce testament noir sur blanc, que ce soit dans l’Ancien ou dans le Nouveau Testament, vous pouvez l’oublier. La Bible ici, la parole de Dieu, est la pure vérité, la vérité absolue, achevée, close à laquelle rien ne peut être ajouté ni retranché

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Nous lisons dans Hébreux chapitre 9 versets 11 et 12 :

Christ, d'autre part, est venu en tant que Souverain Sacrificateur des biens à venir. Il a traversé le Tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'est pas fait de mains d’hommes, c'est-à-dire qui n'appartient pas à cette création, ni par le sang des boucs et des veaux, mais il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire céleste par le moyen de son propre sang et a exécuté la rédemption éternelle.

Que le Dieu vivant soit remercié ! Une fois pour toute, une rédemption éternelle accomplie par le sang de l’Agneau versé sur la croix à Golgotha ! Ô, bien-aimés frères et sœurs, même si du point de vue doctrinal, ce n’est pas adapté à l’époque où nous sommes arrivés, nous avons la chose principale à proclamer car, celui qui passe dans l’éternité, celui qui quitte le temps et passe dans l’éternité sans avoir été racheté de son vivant, en subit les conséquences pour toujours. Heureux l’homme qui, de son vivant, reconnait que Dieu était en Christ, qu’Il a réconcilié le monde avec Lui-même et qu’Il a accompli pour nous une rédemption éternelle par le sang qui a été offert dans le lieu très saint sur l’arche de l’alliance. Et nous avons ainsi accepté ce don de la grâce de Dieu et nous sommes devenus un peuple des rois et des sacrificateurs, des filles et des fils de Dieu par la grâce. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Nous lisons dans l’épître aux Philippiens, au chapitre 2, versets 7 à 11 :

« Non, il s'est dépouillé lui-même en prenant la forme d'un serviteur, en devenant pleinement humain et en se trouvant dans sa condition corporelle d’homme ».

Pour cela aussi, nous remercions notre Seigneur et Sauveur. Dans l’Ancien Testament : pas de père, pas de mère. Celui qui marchait déjà dans le jardin d’Éden et qui a créé l’homme, Adam, à Son image, c’est le même. Il est tout en tous : Roi, Sacrificateur et Prophète, tout en tous. Dans le Nouveau Testament, Il est devenu notre égal. Il est devenu semblable à nous. Sans entrer ici dans les détails de la naissance de notre Rédempteur, mais, Il S’est fait homme et est ainsi devenu Homme, et a été trouvé semblable à un homme afin de pourvoir nous comprendre, toi et moi dans toutes les situations qui peuvent nous arriver, pour avoir de la compassion… ainsi de suite. Dieu a pris soin de tout cela. Qu’Il en soit remercié. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Maintenant le verset 8 :

« Il s'est humilié et s’est abaissé lui-même, et est devenu obéissant jusqu'à la mort, même la mort sur une croix ».

C’est le verset le plus important : l’obéissance. Nous savons tous que l’incrédulité et la désobéissance ont été le péché originel dans le jardin d’Éden. La foi et l’obéissance vont de pair. Notre Seigneur et Sauveur est devenu obéissant, obéissant jusqu’à la mort sur la croix pour que nous qui avons été crucifiés avec Christ, puissions être à notre tour obéissants et ainsi, servir le Seigneur de tout notre cœur par amour et non par obligation : « il faut, tu dois », non. Nous devons seulement naitre de nouveau. Le reste nous a été donné. De même que dans la création naturelle, seule la naissance est une nécessité. La naissance doit être là. Mais au moment où la naissance a vraiment eu lieu, l’être humain est pleinement là. Il existe de la tête aux pieds. Et lorsque la croissance est arrivée, nous pouvons percevoir tous les domaines sans avoir à faire des efforts pour cela.

Il en est de même dans le domaine spirituel. Celui qui est vraiment né de Dieu surmonte le monde, il vainc le monde. Et la vie divine se répercute en nous, elle agit en nous. Et nous pouvons ainsi, par cette vie, suivre notre Seigneur dans la foi et Lui obéir, Lui rendre gloire.

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Maintenant, le verset 9 :

« C'est pourquoi Dieu l'a aussi élevé au-dessus de toute mesure et lui a donné un nom au-dessus de tout autre nom ». 

Quelle parole glorieuse ! Oui, il est écrit : « tout genou, où qu’il soit, fléchira devant Lui, et toute langue, toute langue confessera que Jésus-Christ est le Seigneur ! ». Ô, comme nous pouvons être reconnaissants non seulement de contempler, d’observer toutes ces paroles glorieuses, mais de ne pas seulement les observer, mais aussi de reconnaitre pourquoi, pour quelle raison notre Seigneur a été efficace, agissant déjà dans tout l’Ancien Testament, et que, dans le Nouveau Testament, Il est devenu homme. Il est né dans ce monde et ce, en tant que Fils. 

Cela doit aussi être souligné : Là où il est écrit Roi, là-bas c’est Roi qui doit rester. Là où il est écrit Médiateur, c’est Médiateur qui doit rester. Là où il est écrit Avocat, c’est Avocat. Là où il est écrit intercesseur, c’est intercesseur. Là où il est écrit fils, c’est le mot fils qu’on doit laisser. Il est né en tant que Fils pour nous replacer, nous ramener dans la stature des fils et des filles de Dieu. Nous qui étions destinés à être des fils de Dieu dès le commencement, nous avons été perdus par la chute de l’homme. Nous étions destinés à être immortels en tant que fils et filles de Dieu avec notre Dieu, et cela, pour l’éternité. Mais ensuite, la chose terrible s’est produite dans le jardin d’Éden : l’incrédulité, le doute, tout est venu ! Et soudain, la transgression, la chute, la séparation d’avec Dieu, la mort. Et voilà que la première chose que Dieu avait prévue était terminée, la deuxième était arrivée.

Voici le point sur lequel je veux insister : La volonté initiale, primitive de Dieu était que nous soyons éternellement avec notre Père céleste au ciel en tant que fils et filles de Dieu. La volonté permissive de Dieu était que la chute se produise pour que la rédemption soit nécessaire afin que notre Seigneur répare le mal, prenne sur Lui la mort, le péché, la désobéissance, tout. Il a tout pris sur Lui. Et par la croix de Golgotha, par le sang précieux et saint dans lequel se trouvait la vie de Dieu Lui-même, la vie divine éternelle, l’offrir pour nous afin que nous soyons ramenés à la destinée originelle conçue par Dieu déjà dans l’éternité.

Donc, encore une fois, il y a la volonté absolument parfaite de Dieu et il y a eu la volonté permissive de Dieu : que Dieu permette. Nous avons été retirés de la volonté permissive de Dieu et nous avons été rachetés et introduits dans la volonté éternelle, permanente et parfaite de Dieu et nous serons avec notre Seigneur et Sauveur pour l’éternité aussi vrai que nous avons reçu la vie éternelle de notre vivant. C’est ce qui est écrit dans 1 Jean au cinquième chapitre, au verset 11 : « celui qui a reçu le fils de Dieu a la vie éternelle. Celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie ». Celui qui veut vivre éternellement doit recevoir et accepter Jésus-Christ comme le Sauveur car c’est seulement en Lui et par Lui que nous recevons la vie éternelle. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.D.L.R]. Je lis Philippiens 2 maintenant, les versets 10 et 11 :

« Afin qu'au nom de Jésus, tout genou fléchisse, de tous ceux qui sont dans les cieux et sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.

Loué et exalté soit notre Seigneur ! Nous l’avons déjà mentionné. Pour moi, tous ces passages bibliques sont si précieux ! On peut toujours les proclamer à nouveau. Et la grâce que Dieu nous a donnée non seulement d’être des enfants de Dieu, pas seulement de croire au Rédempteur et à la rédemption, mais de croire aussi chaque promesse biblique, de croire toute la parole sainte, chaque verset, même les passages bibliques qui se réfèrent à notre époque, que Dieu enverrait un prophète comme Élie, tel que c’est écrit dans les deniers versets du prophète Malachie, pour retourner, ramener de nouveau le cœur des enfants vers leurs pères.

Et si nous ajoutons tous les autres passages bibliques sur ce sujet, que maintenant aussi, avant le retour de Christ, un dernier message est envoyé dans le monde entier, à tous les peuples et à toutes les langues comme dernier appel avant le retour de Jésus-Christ notre Seigneur. Et s’il est écrit dans Actes des Apôtres 3 verset 20 que le ciel doit recevoir notre Seigneur jusqu’au temps du rétablissement de tout ce que Dieu a annoncé dès le commencement par la bouche de Ses saints prophètes, nous le croyons ainsi. Notre Rédempteur bien-aimé attend dans le ciel jusqu’à ce que l'Église… et nous pouvons ici dire : jusqu’à ce que l'Église-Épouse, car c’est ainsi que c’est écrit : pas seulement Église mais, il est écrit : l’Esprit dit ce qui doit être dit aux Églises. Ensuite, dans les sept écrits, il est écrit : béni celui qui entend ce que l’Esprit dit aux Églises. Et ensuite, il est écrit : « l’Esprit et l'Épouse disent : viens ». C’est parmi tous ceux de toutes les églises que le dernier appel est maintenant lancé et c’est ce qui se passe maintenant.

Maintenant, l'Église Épouse est appelée à sortir des églises, à croire à la parole de l'Époux et à aller ainsi à Sa rencontre comme il est écrit dans l’Apocalypse : « Son Épouse s’est préparée », comme il est écrit dans Matthieu 25 : « voici l'Époux vient. Celles qui étaient prêtes entrèrent au festin des noces ».

Je conclurai en résumant : aussi certain que le Seigneur a fait des promesses pour la première venue de Christ, aussi certain, Il a fait des promesses maintenant qui s’accompliront avant la seconde venue de Christ. Et tous ceux qui sont de Dieu ne se contenterons pas de lire la Bible et de la mettre de côté, mais ils seront réellement conduits maintenant par l’Esprit de Dieu dans toutes les vérités de la parole de Dieu.

Disons-le avec une profonde douleur : Actuellement, nous avons trois cent cinquante-deux églises et communautés dites chrétiennes, réunies au sein du conseil mondial des églises. Et toutes ces communautés enseignent et croient quelque chose de différent, mais toutes ont la même Bible. Et à la fin, le responsable dit : « Bien que nous soyons tous fondamentalement différents, nous sommes un dans la sainte Trinité ». C’est à hurler de douleur ! On ne peut pas le dire autrement. Le mot trinité n’existe même pas dans la Bible ! Le Dieu trinitaire n’existe pas dans la Bible ! Le mot Trinité n’existe pas dans la Bible ! Le mot « Fils éternel », n’existe pas dans la Bible ! Le mot « Dieu le fils » n’existe pas dans la Bible. Il n’y a pas du tout toutes ces formulations qui ont été faites par toutes les différentes dénominations.

C’est pourquoi il faut le dire très clairement : Ceci est le jour que le Seigneur a fait, ceci est l’heure de Dieu où seulement cela est prêché : un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême ! Et aussi certain qu’il n’y a qu’un seul Dieu, il n’y a aussi qu’une seule rédemption, une seule vie éternelle. Ce Dieu unique S’est révélé comme Seigneur dès le commencement déjà dans Genèse chapitre 2. Ce n’est pas une autre personne, mais le même Dieu invisible et éternel qui est Esprit est sorti de l’éternité pour entrer dans le temps. Et c’est là, dans le temps, qu’Il S’est manifesté sous une forme visible déjà dans l’Ancien Testament en tant que Yahweh, en tant que Seigneur. C’est ainsi que nous le voyons dans tout l’Ancien Testament : d’une part, à côté de Dieu, et d’autre part, en tant que Dieu Lui-même.

Il en est de même dans le Nouveau Testament. Il est les deux : Il est Emmanuel : « Tu lui donneras le nom d’Emmanuel ce qui signifie Dieu avec nous » ; « tu l’appelleras Yahshuah ». Chez nous, nous disons Jésus, donc Yahshuah, Yahweh-Sauveur. Il est les deux : Il est Élohim et Il est Yahweh selon la tâche dans laquelle Il nous est montré dans la parole. 

Ô, comme je suis reconnaissant à mon Dieu et Seigneur, mon Sauveur, mon Rédempteur.

Tout aussi brièvement, mentionnons le baptême. Tout homme qui s’arrête à Matthieu 28 verset19 doit réfléchir au fait qu’il est écrit : « Baptisez-le dans le nom » s'il vous plaît, au singulier. Quel est le nom dans lequel le Père S’est révélé ? Quel est le nom ? Père n’est pas un nom. Fils n’est pas un nom. Saint-Esprit n’est pas un nom. Quel est le nom ? Mon Dieu ! Réveillez-vous ! Revenez à la raison ! Revenez à la parole de Dieu. Tous ceux qui ont été baptisés depuis le chapitre 2 des Actes des Apôtres ont été baptisés au nom du Seigneur Jésus-Christ ! 

Et je le dis à tous avec insistance : ceux qui n’ont pas encore été baptisés bibliquement au nom du Seigneur Jésus-Christ, s'il vous plaît, faites-vous baptiser dès aujourd’hui. Que le Seigneur vous bénisse tous.

Nous n’avons même pas évoqué les signes du temps dans lequel nous vivons. Nous les trouvons tous dans les informations. Que Dieu bénisse tous les frères, toutes les sœurs, tous les frères servants de tous les peuples, de toutes les langues et de toutes les nations, et qu’Il nous fasse la grâce de faire partie de ceux qui sont maintenant appelés à sortir, de ceux qui peuvent dirent sincèrement et s’accorder : « L’Esprit et l'Épouse disent : viens. Et que celui qui entend dise : viens ». Et nous croyons que la venue du Seigneur est à la porte.

Soyez bénis de la bénédiction du Dieu Tout-Puissant au nom saint de Jésus ! Amen !