EWALD FRANK

DIMANCHE 29 JANVIER 2023

Je voudrais moi aussi saluer tout le monde très, très chaleureusement depuis Zurich, et souhaiter à tous de tout cœur la bénédiction de Dieu. Vous savez que j'ai eu la grâce de parcourir le monde entier et de porter le message. Mais la Suisse, et Zurich en particulier, ont une signification particulière pour moi. Pendant exactement cinquante ans, j'ai prêché ici, à Zurich, chaque dernier dimanche du mois. Ce n’est que trois fois en cinquante ans que je n'ai pas pu être ici le dernier dimanche. Pour moi, Zurich est un deuxième Krefeld, une maison directe et nous avons eu des réunions bénies pendant toutes ces années. 

Et je pense aussi à la table des brochures que nous avons montrée à plusieurs reprises, toutes les prédications de frère Branham ont été exposées et tout le monde a pu lire et s'informer sur ce que Dieu a fait à notre époque.

Nous remercions de tout cœur frère Keller pour sa belle parole d'introduction. Chaque verset a exprimé toute une chose, et nous pourrions nous y plonger. Je n'ai choisi que trois de ces versets pour dire quelque chose.

Mais encore une fois, j’insiste sur le fait que nous sommes reconnaissants que les réunions puissent à nouveau avoir lieu à Zurich. Ce qui s'est passé au cours des trois dernières années à cause de la pandémie a causé des dommages à beaucoup. Et nous sommes très reconnaissants au Seigneur, car les réunions sont ce qu’il y a de plus important dans la vie d'un croyant : « N'abandonnez pas vos réunions (assemblées) d'autant plus que vous voyez le jour approcher ». [Hébreux 10:25]. Dans chaque prédication, il y a quelque chose pour chacun.

Regardons maintenant encore les trois versets du Psaume 25, puis d'autres passages bibliques. S'il te plaît, (frère Borg).

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons le verset 3 du Psaume 25. Psaume 25, verset 3 :

« Non, aucun de ceux qui espèrent en toi ne sera déçu ; seul sera déçu celui qui t'abandonnera en toute infidélité ».

À cela, nous pouvons également dire oui et amen ! Aucun de ceux qui placent leur confiance dans le Seigneur, qui croient aux promesses de Dieu, ne peuvent être déçus. Seul celui qui abandonne déloyalement le Seigneur sera déçu en lui-même et en d'autres. S'il te plaît. 

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans le psaume 25 verset 4 :

« Fais-moi connaître, ô Éternel, tes voies, enseigne-moi tes sentiers ! »

C'est aussi notre souhait le plus cher : « Fais-moi connaître Tes voies, enseigne-moi… ». C'était déjà la prière de Moïse : « Si j'ai trouvé grâce à Tes yeux, fais-moi connaître Tes voies ». Et nous remercions le Seigneur Dieu de nous avoir fait connaître Son chemin avec Son peuple dans ce temps présent. Et nous pouvons y marcher par la foi et par la grâce. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons toujours le Psaume 25, maintenant le verset 10 :

« Tous les sentiers de l'Éternel sont grâce et fidélité pour ceux qui gardent son alliance et ses commandements ».

Amen ! Tous Ses sentiers, toutes Ses voies, car Il a conclu une alliance avec nous.

Frères et sœurs bien-aimés de la Suisse, de l'Autriche, de la France, de tous les pays voisins et du monde entier, vous connaissez bien la phrase que j'ai formulée : « Fidèle Seigneur et Rédempteur, Tu as conclu une alliance avec nous, Tu nous as révélé Ta parole, Tu as versé Ton sang pour nous, Tu nous as fait des promesses que nous vivons (que nous expérimentons) tous par grâce ».

Dieu a vraiment conclu la nouvelle alliance avec nous, et « toutes les promesses de Dieu sont « oui et amen » ; même les promesses pour notre époque, sur lesquelles nous reviendrons brièvement. Je t'en prie.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans l'Évangile de Jean, le premier chapitre, le verset 23.

« Il répondit : Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Aplanissez le chemin du Seigneur, comme l'a ordonné le prophète Isaïe ». [Ésaïe 40:3].

Nous connaissons tous les trois questions posées à Jean : « Es-tu le Christ ? Es-tu Elie ? Es-tu le prophète ? » Il pouvait et dû répondre : « Non. Non. Non ». Puis la question : « Qui es-tu ? », et puis la réponse : « Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : préparez le chemin du Seigneur, aplanissez une route pour notre Dieu ».

Jean-Baptiste était un homme envoyé par Dieu avec l’ordre et le mandat divin d'apporter le message divin lors de la première venue du Christ et de conduire le peuple au Seigneur, voire de tourner les cœurs des pères de l'Ancien Testament vers la foi des enfants du Nouveau Testament et d’amener au Seigneur un peuple bien préparé.

Chers frères et sœurs, chers enfants de Dieu, aujourd'hui, il ne s'agit de rien d'autre que de la promesse qui s'est accomplie à notre époque et qui continue de s'accomplir. À quoi servirait-il que je prêche aujourd'hui sur ce qui s'est passé au temps de Moïse, au temps d'Abraham, au temps de… oui pendant les six mille ans, si je ne savais pas ce que Dieu a prévu pour cette période et ce qui devait arriver maintenant ? Et nous sommes destinés à en témoigner.

Et en particulier à tous les amis qui ne sont pas familiers avec le ministère et le mandat direct que frère Branham a reçu, laissez-moi dire ceci: Nous ne sommes pas ici pour mettre Paul en avant ou alors Pierre ou alors Branham ou qui que ce soit, non ; mais nous sommes ici pour ne pas non plus passer à côté de ce que Dieu a fait et fait actuellement dans notre époque. Et celui qui ne peut pas prêcher ce que Dieu fait maintenant, il vit dans le passé.

Et je voudrais pouvoir l'exprimer une fois, et ce, très sérieusement : nous savons tous qu'à l'époque des apôtres déjà, des enseignements pervers, des faux enseignements étaient présentés. Déjà dans la première lettre envoyée aux églises dans l’Apocalypse, il est écrit : « Tu as éprouvé ceux qui se faisaient passer pour des apôtres, ceux qui se prétendaient envoyés, et tu as reconnu en eux des menteurs » [Apocalypse 2:2], ensuite il est question de l'enseignement de Balaam, l'enseignement des Nicolaïtes, il y avait une prophétesse Jézabel… Dès la première génération chrétienne, l'ennemi a semé sa semence.

Et Paul, probablement par ordre divin, oui certainement sur ordre divin, s'est tellement mis en colère contre tous ces enseignements pervertis, contre tous ces faux enseignements qu'il a dû même dire dans Galates 1 : « Maudit soit celui qui enseigne autrement... ». [Galates 1:8] Il avait été chargé par Dieu, mandaté par Dieu de proclamer le glorieux Évangile, le message divin du salut, et cela jusque dans les moindres détails. Et c'est pourquoi il devait même dire pour la deuxième fois : « Maudit soit celui qui annonce un autre évangile ! » [Galates 1:9] ; et pourtant, il est parti du principe que le Seigneur a fait un testament avec nous, et nous avons l'Ancien et le Nouveau Testament auxquels rien ne doit être ajouté ! Rien ne doit être ajouté à cette dernière volonté de Dieu, rien ne doit être changé ! Rien et encore une fois rien ! Tout doit rester dans sa forme originale.

Et si nous regardons ensuite l'histoire de l'Église, les trois cent premières années, il y avait encore des hommes qui sont restés à peu près dans la prédication, mais qui proclamaient déjà leurs propres opinions. Nous ne voulons pas mentionner tous les noms. Mais ensuite est venu le concile de Nicée, et alors a vraiment commencé la période la plus terrible, les mille ans de l'âge des ténèbres où tous ceux qui n'appartenaient pas à l'Église romaine dans l'empire Romain n'avaient pas le droit de vivre ! Le sang des martyrs a arrosé la terre entière pendant les mille ans qui ont précédé la Réforme.

Et s'il vous plaît, ne m'en voulez pas, mais vous pouvez tous ouvrir l'internet et lire vous-mêmes : L'église romaine a publié deux cent quarante-cinq dogmes pendant cette période-là et toutes les autres églises ont établi leurs doctrines, leurs crédos, leurs confessions de foi ; toutes se sont écartées de cette parole originale.

Et maintenant, nous arrivons vraiment à ce point : maintenant, avant le retour de Jésus-Christ notre Seigneur, tout doit être rétabli à son état original : la même prédication : un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, tout doit être rétabli.

Et nous savons tous que depuis la Réforme, les vérités bibliques ont été peu à peu restituées. Ce fut un réveil après l'autre, jusqu'au réveil de la Pentecôte.

Mais maintenant, c'est le temps de l’appel à sortir et de la préparation de tous ceux qui font partie de l'Église-Épouse. Et c'est ce que nous voulons aborder brièvement. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans Matthieu 17 versets 10 et 11. Matthieu 17 versets 10 et 11 :

« Les disciples lui demandèrent alors : Comment donc les scribes peuvent-ils dire qu’il faut qu'Élie premièrement ? Il leur répondit : Élie viendra cependant et rétablira toute chose dans l’état initial ».

Frères et sœurs bien-aimés, chers amis, ce sont les paroles de notre Seigneur. Il a confirmé le ministère de Jean-Baptiste en disant : « Élie est déjà venu... ». Et celui qui lit les autres passages bibliques, que ce soit Matthieu 11 ou les autres passages, Jean-Baptiste est apparu dans l'esprit et la puissance d’Élie, il a tourné vers le Seigneur les cœurs des croyants de l'époque et a préparé le chemin pour que tous ceux qui ont cru en son message aient reçu la promesse : « Je vous baptise d'eau pour la repentance, celui qui vient après moi vous baptisera d'esprit saint et de feu » [Matthieu 3:11]. Il a ainsi pu présenter au Seigneur un peuple bien préparé.

Il doit en être de même maintenant. Il faut présenter au Seigneur un peuple bien préparé pour qu'Il puisse conclure, achever Son œuvre avec Son peuple.

Et laissez-moi le dire clairement : il n'y a pas une seule fausse doctrine dans l'Église de Jésus-Christ ! Il n’y a pas une seule interprétation, pas une seule erreur, pas une seule explication ! Dans l'Église de Jésus-Christ, il n’y a que la pure et sainte parole de Dieu, et c’est la parole de Dieu que nous croyons de tout notre cœur.

Il en est de même de la promesse que Dieu a déjà faite dans l'Ancien Testament dans le prophète Malachie, avant que le grand et terrible jour du Seigneur arrive, Il a promis d'envoyer le prophète Élie. Et notre Seigneur a confirmé à nouveau cette promesse justement dans Matthieu 17 afin que nous, fils et filles de Dieu, puissions savoir maintenant à la fin du temps de la grâce, à la fin du jour du salut, avant que le jour terrible du Seigneur ne se lève, avant que le soleil ne s'obscurcisse et que la lune ne se change en sang, avant que le temps de grâce ne s'achève, savoir que Dieu enverrait un prophète pour restituer, restaurer, rétablir tout, tout ! pas seulement une chose, mais tout, et pour tout remettre en ordre dans l'Église, comme au commencement. Poursuivons notre lecture.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons le verset 11 d'Amos 8. Amos 8 verset 11 :

« Sachez que des jours viendront –c'est la déclaration de Dieu, l'Éternel – où j'enverrai la faim et la soif dans le pays, mais non pas une faim de pain ni une soif d'eau, mais une faim et une soif d'entendre les paroles de l'Éternel ».

Amen ! Cette promesse de l'Ancien Testament est également en train de s’accomplir. Dieu a envoyé une faim pour écouter Ses paroles, Ses paroles qui sortent de Sa bouche, pas les interprétations sur la parole que l'on entend dans toutes les églises. Partout, on lit dans la Bible. Partout on interprète, partout ils apportent ensuite leurs propres interprétations et leurs propres opinions. Mais Dieu envoie des prophètes car la parole vient au prophète, pas à l'évangéliste, mais au prophète. L'évangéliste a sa tâche, l'enseignant, le berger tous ont leur tâche. Mais aujourd'hui, il s'agit effectivement du premier et du dernier : les paroles du Dieu vivant qui doivent être annoncées.

Car s'il est écrit que Dieu enverra une faim pour entendre Ses paroles, donc, il faut bien qu’il y ait une voix pour annoncer clairement Ses paroles. Alléluia, loué soit notre Seigneur !

Et une telle voix était celle de frère Branham, qui a proclamé les pures et saintes paroles de Dieu. Et la vraie faim que nous avons en tant qu'enfants de Dieu, elle a été satisfaite.

Et soyez sincères : est-ce que l'un d'entre nous a-t-il envie d'entendre les dogmes ? Non, et encore non ! Est-ce que quelqu'un aurait envie de savoir ce qu'enseigne l'église anglicane ? Ou l'église luthérienne ou l'église baptiste ? Un vrai enfant de Dieu a-t-il envie d'entendre ce qui est enseigné dans toutes ces églises ? ou bien Dieu a-t-Il envoyé une véritable faim dans le pays, dans tous les peuples et toutes les langues, une faim d'entendre seulement les vraies paroles de Dieu dans leur forme originale ? Et nous sommes reconnaissants à Dieu.

Chers frères et sœurs, à cette occasion, je dois tout de même dire que le 2 avril 1962 a eu une importance dans toute l’histoire du salut, non seulement pour moi. C’était un jour extraordinaire, mais il a apporté et porte en lui une importance dans l'histoire du salut. C’était cette semaine-là, le mardi, quand une sœur est venue au bureau et a dit : « Frère Frank, j'ai parlé à mon frère et je lui ai dit que le Seigneur t'avait parlé. Et sa réponse a été : étais-tu présente ? ». Et j'ai vraiment souri, j’ai dû sourire. Oui il lui a demandé : « étais-tu présente ? »

Frère bien-aimé, chère sœur, étais-tu là quand le Seigneur a parlé à Abraham ? Étiez-vous là quand Il a parlé à Moïse ? Étiez-vous là quand Il a appelé Paul ? Étiez-vous là quand Il a appelé Pierre ? étais-tu présent quand Il a appelé Paul et tous les apôtres ? Est-ce que j'étais présent ? Étais-je là ? Non, pas du tout ! Mais j'étais là quand le Seigneur m'a parlé et m'a effectivement adressé ces paroles. 

Et frères et sœurs, je dois le répéter dans les moindres détails encore une fois : c'était très tôt le matin, je m'étais déjà préparé pour la journée. Je suis allé à la fenêtre, j'ai tiré les rideaux, j'ai regardé dehors. Le soleil n'était pas encore levé, mais c'était l’aube, et je suis revenu dans la pièce, j'ai prié brièvement et j'ai remis la journée au Seigneur, puis j'ai regardé à nouveau à la fenêtre. Et le Seigneur Se tenait là, à droite de la fenêtre, et m’a dit : « Mon serviteur, ton temps pour cette ville est bientôt terminé, je t'enverrai dans d'autres villes pour prêcher Ma parole ». C'est aussi vrai que toutes les paroles de la Bible ! 

Vous connaissez en effet tout le mandat que le Seigneur m'a adressé, la commission, le mandat que frère Branham a confirmée le 3 décembre, en particulier le 2 et 3 décembre 1962. Le message divin a effectivement été porté dans le monde entier, et tous ont entendu parler de ce que Dieu a promis pour ce temps. S'il te plaît. 

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons Matthieu 24 verset 45. Matthieu 24 verset 45 :

« Qui est donc le serviteur fidèle et sage que son maître a établi sur ses domestiques pour leur donner la nourriture au temps convenable ? »

Oui, cette parole aussi est vraie ! Frères et sœurs bien-aimés, je ne raconte pas d'histoires, je ne dis que ce que j'ai réellement vécu, expérimenté avec Dieu. 

Même cette expérience à Edmonton… je n'ai pas besoin de la raconter en détail : c'était un dimanche matin puissant, impressionnant ! le soleil brillait dans la pièce et la voix du Seigneur a retenti de manière audible : « Mon serviteur, je t'ai établi selon Matthieu 24 du verset 45 à 47. Je t’ai établi pour distribuer la nourriture au temps convenable ». C'est aussi vrai que n'importe quelle parole de la Bible.

Frères et sœurs, on peut à nouveau poser la question : « Étais-tu présent, avais-tu entendu ? » Il a suffi que le Seigneur le dise, et j’ai pu accomplir ce mandat.  C’est par la grâce de Dieu que j’ai pu accomplir ce mandat, et je remercie le Seigneur pour cela.

Même ceux qui se moquent de cela et disent simplement : « Oui, le frère Frank, c'est bien le méchant serviteur dont il est question dans les versets 48 à 51 ». J'accepte, j’accepte toutes les moqueries me concernant ! Moi, je sais en qui je crois. J'étais là quand le Seigneur l'a dit et je le crois. Et je dois vraiment dire à tous que celui qui ne peut pas croire que le Seigneur a donné un ordre direct, un mandat, une commission directe, cette personne continuera à suivre ses propres voies et n'écoutera pas ce que l'Esprit a à dire maintenant à l'Église par le billet du dernier message. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons Matthieu 4 verset 4. Matthieu 4 verset 4 :

« Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ».

Amen ! Cela fait partie du même thème. L'homme ne vit tout de même pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Et nous sommes donc reconnaissants de pouvoir croire chaque parole de Dieu et de ce qu'elle soit devenue notre vie spirituelle.

Aussi surement que le Seigneur l'a dit, aussi surement, nous le croyons et nous sommes reconnaissants pour chaque promesse, pour chaque parole. Je t'en prie.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons Matthieu 24 verset 14 :

« Et ce message de salut concernant le royaume sera prêché par toute la terre, à toutes les nations, en témoignage, et alors viendra la fin ».

Cette parole précieuse et sainte devait aussi s'accomplir à notre époque, que le dernier message sera proclamé sur toute la terre à tous les peuples, à toutes les tribus, à toutes les langues. Et c'est bien là le message divin du salut que nous portons et que nous avons annoncé. Et c'est pourquoi nous pouvons dire que cette écriture s'est accomplie sous nos yeux.

Frères et sœurs, tout ce que le Seigneur a prédit pour la fin des temps devait s'accomplir à notre époque, car nous sommes arrivés à la fin du temps de la grâce. Et le Seigneur a annoncé tout ce qui allait se passer au cours des deux mille ans.

Si vous allez dans Matthieu 24, vous constaterez que le Seigneur a d'abord parlé de ce qui arriverait au temple, de ce qui arriverait à Jérusalem, de ce qui arriverait au peuple d'Israël, c’est-à-dire qu'ils seraient dispersés, que le temple sera détruit. Le Seigneur a commencé par ce qui était autrefois et a terminé par ce qui est aujourd'hui.

Et frères et sœurs, aujourd'hui, nous regardons dans le monde et nous voyons les guerres, les cris de guerre, les famines, les temps difficiles, le changement climatique, tout est devenu hors de portée, tout n’est plus comme avant, toute la création souffre, nous souffrons !  Et ce qui va suivre, nous le savons tous : il y aura des choses terribles, les hommes chercheront la mort. Tout simplement, tout ce qui a été prédit dans la parole biblique et annoncé dans la prophétie s'abattra sur la terre. Mais tout cela se passe autour de nous.

Ce qui est important pour nous, c'est que le message divin du salut dans sa forme originale, tel qu'il a été annoncé au temps des apôtres, a également été proclamé à notre époque : le seul vrai Dieu Éternel S'est révélé en tant que Père dans le ciel et dans Son Fils seul engendré par lui sur la terre et par le Saint-Esprit : Dieu au-dessus de nous, Dieu parmi nous et Dieu en nous. La rédemption a été accomplie, le sang de la nouvelle alliance a été versé, le pardon a été accordé, la vie éternelle a été donnée.

Et le Seigneur avait déjà dit dans l'ordre de mission que nous devons proclamer le message du salut, et celui qui croit et sera baptisé sera sauvé.

Il faut aussi souligner que le baptême se fait bibliquement au nom du Seigneur Jésus-Christ, et non dans la formule trinitaire inventée, qui n'a jamais été utilisée par aucun prophète, aucun apôtre, ni dans l'Ancien ni dans le Nouveau Testament ! Je ne veux pas m'attarder sur cette tromperie. Que Dieu nous fasse la grâce de revenir à l'original. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans Ésaïe chapitre 49, la deuxième partie du verset 6 : 

« Je t'établis aussi à être la lumière des nations, pour que mon salut atteigne les extrémités de la terre ».

Amen ! C'est la prophétie de l'Ancien Testament pour et sur notre Seigneur : « Je t'établis, je te détermine comme lumière des nations, afin que Mon salut se manifeste jusqu'aux extrémités de la terre ».

Non seulement Israël, mais les nations sont aussi inclues dans le plan de salut de Dieu, comme le Seigneur l'a dit et promis à Abraham : « En toi seront bénies toutes les descendances de la terre ».  Voici encore un autre passage biblique. 

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans Actes des Apôtres chapitre 15 verset 14 :

« Simon a raconté comment Dieu lui-même avait d’abord été soucieux de gagner à son nom un peuple d'entre les païens ».

Que le Seigneur soit remercié ! Le Nouveau Testament confirme ce que Dieu a promis dans l'Ancien Testament, et c'est là l'essentiel dans notre prédication : montrer l'accord total entre l'Ancien et le Nouveau Testament. Ici, les choses promises, ici, leur accomplissement ! Encore une fois, un passage biblique.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons Romains 11 verset 7. Romains 11 verset 7 :

« Qu'en est-il donc ? Ce qu'Israël désirait, il ne l'a pas obtenu dans son ensemble ; mais la partie élue l'a obtenu, tandis que les autres se sont endurcis ».

Cela aussi s'est passé comme Paul l'a écrit : « Ce n’est pas tout Israël, mais tous ceux qui ont vraiment cru au message de Jean-Baptiste et ensuite au message des apôtres, ce sont seulement ceux-là qui ont reçu et accepté, ce sont ceux-là qui font partie des élus, pas tout Israël, mais ceux qui ont accepté le message de Jean-Baptiste et des apôtres. Ce sont eux qui font partie des élus. Tous les autres, ceux qui n'ont pas cru, ceux qui n'ont pas accepté, ont été endurcis.

Ici, il faut souligner à nouveau l’importance de croire Dieu, de croire dans son temps les promesses. « Celui qui ne croit pas Dieu fait de Dieu un menteur ». C'est pourquoi l'accent est mis sur le fait de croire comme le dit l'Écriture en toute choses pour pouvoir ensuite expérimenter personnellement ce que l'Écriture a promis et le vivre.

Dieu appelle maintenant tous ceux des nations et achève Son œuvre avec tous ceux qui viennent des nations ; et puis Il recommencera avec Israël. Il commencera avec les cent quarante-quatre mille après l'enlèvement et ensuite avec tout Israël. Avons-nous un autre passage biblique ?

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons Romains 11 verset 5 :

« De même, il y a maintenant un reste à notre époque selon l'élection de la grâce divine ».

Que le Seigneur en soit remercié ! Frères et sœurs, en fait, je n'ai pas besoin de prêcher, il me suffit d'aller seulement de passage en passage de la Bible et de lire. Tout est écrit ! et nous en sommes si reconnaissants ! Nous n'avons pas besoin de dogmes, pas besoin de catéchisme, nous n'avons besoin de rien, nous avons seulement besoin de Dieu et de la sainte parole de Dieu.

Permettez-moi de conclure car le temps est presque écoulé.

Frères et sœurs, nous avons entendu une parole si puissante du Psaume 25 de la part de frère Keller, et chaque verset nous parle, nous interpelle. De même, tous les autres passages bibliques nous ont parlés, nous ont interpellés. Le Seigneur ne nous ignore pas quand Il parle. Il s'adresse à toi, Il s’adresse à moi, Il nous parle personnellement et nous pouvons aussi nous situer dans la parole de Romains que nous avons lue : « Selon l'élection de la grâce divine, maintenant, dans notre temps il y a aussi un reste ». Et nous pouvons faire partie de ce reste à notre époque, maintenant dans notre temps.

Regardez, tous passent à côté du mandat divin et disent : « Étais-tu là quand le Seigneur a parlé à frère Branham ? As-tu entendu comment Il lui a dit : Comme Jean-Baptiste a été envoyé avant la première venue du Christ ainsi, tu es envoyé avec un message qui précédera la deuxième venue du Christ ? ». Il y a toujours et encore ceux qui mettent leurs points d'interrogation parce qu'eux-mêmes n'ont pas de certitude de foi et de relation personnelle avec Dieu et la parole de Dieu.

Celui qui a une relation personnelle avec Dieu et la parole de Dieu, celui qui est vraiment né de nouveau pour une espérance vivante, celui qui a vraiment reçu la vie éternelle, le pardon, la réconciliation, la grâce et qui est devenu réellement un enfant de Dieu, celui-là est engendré de Dieu Lui-même, il a reçu la grâce de Dieu, il est né de nouveau pour une espérance vivante. Et celui qui est de Dieu écoute la parole de Dieu. Nous le lisons maintenant. 

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans Jean, Jean 8 verset 47 :

« Celui qui est de Dieu écoute les paroles de Dieu. C'est pourquoi vous ne les écoutez pas, parce que vous n'êtes pas de Dieu ».

C'est ce que le Seigneur disait alors. À qui le disait-Il ? aux scribes et aux pharisiens. Aujourd'hui, Il le dit aux scribes et aux pharisiens tout comme à l'époque.

Mais Il dit aussi que celui qui est de Dieu entend, écoute les paroles de Dieu. Et c'est là toute différence : Aux scribes et aux pharisiens Il dit : « Vous n'entendez, vous n’écoutez pas les paroles de Dieu parce que vous n'êtes pas de Dieu ». Et ensuite : « Vous qui êtes de Dieu, vous qui êtes nés de Dieu, vous entendez la parole de Dieu ».

Frères et sœurs, ce n'est pas nous, ce n'est pas moi qui jugeons, mais c'est la parole de Dieu, c’est elle qui prononce le jugement. Celui qui est de Dieu entend, écoute la parole de Dieu, entend, écoute la promesse pour notre temps, il a part à ce que Dieu fait actuellement. Celui qui n'est pas de Dieu a ses propres interprétations sur la parole de Dieu et n'entend pas et n’écoute pas ce que Dieu a à dire maintenant à Son Église.

S'il te plaît, où te situes-tu ? Où te classes-tu ? Où est-ce-que parole de Dieu te classe-t-elle ? Faisons-nous partie de ceux à qui le Seigneur doit dire : « Je ne sais pas ce que vous voulez. Vous n'entendez pas parce que vous n'êtes pas de Dieu » ? Ou le Seigneur peut-Il nous dire à toi et à moi : « Parce que vous êtes de Dieu, vous entendez la parole de Dieu ».

Et pour mentionner encore cela : Nous n'étions pas là quand frère Branham a reçu l'ordre, le mandat le 11 juin 1933, mais personnellement, j'ai encore vu de mes propres yeux à la Pâque 1966, j’ai vu de mes propres yeux douze personnes qui étaient au Tabernacle à Jeffersonville, qui étaient là lorsque cette puissante expérience s'est produite le 11 juin 1933.

Frères et sœurs, nous arrivons à la fin. Remercions le Seigneur de nous avoir permis de vivre maintenant, d'avoir reconnu le temps, de croire aux promesses et de faire partie des enfants de la promesse, et de vivre par grâce l'accomplissement et d'être présents au retour de Jésus-Christ, qui est très proche.

Encore une fois, depuis Zurich, nous adressons nos vœux de bénédiction les plus sincères à tous les frères et à toutes les sœurs. Et nous sommes reconnaissants de ce qu’ici, à Zurich, les réunions peuvent de nouveau avoir lieu pour écouter la parole de Dieu et être bénis.

Que la bénédiction du Dieu tout-puissant repose sur vous tous, qui pouvez croire, comme le dit l'Écriture !

Soyez bénis dans le saint nom de Jésus, alléluia, amen ! Amen !