Ewald Frank
Zürich, le 24 septembre 1989 à 14h00
(Retransmis le mercredi 07 septembre 2022 à 19h30)
Psaume 139.1-6. Levons-nous pour cela. “Eternel, tu me sondes et tu me connais. Tu sais si je m'assieds ou si je me lève. Tu comprends ce que je pense de loin. Que je marche ou que je me repose, tu l'examine et tu es au courant de toutes mes voies. Car avant qu'une parole soit sur ma langue, tu la connais parfaitement oh Eternel. Tu m'entoures par derrière et par devant. Et tu as mis ta main sur moi. Trop merveilleuse est pour moi une telle connaissance, trop élevée, je ne peux la comprendre.”
Prions. Seigneur, Dieu Tout-Puissant, créateur du ciel et de la terre. Tu as des hommes sur lesquels tu as posé ta main bénie. Main qui m’a cherché, sang qui m'a racheté, la grâce qui m'a ramené à la maison. Seigneur, bien aimé, nous te remercions du fond de nos cœurs d'avoir trouvé grâce devant toi et d'avoir pu expérimenter le salut de notre Dieu. Pose aussi tes mains bénies sur nous en cette heure, O Seigneur ! Une telle connaissance est trop élevée pour nous, incompréhensible. Que tu puisses poser tes mains bénies sur nous. Seigneur fidèle, tu nous vois à travers Golgotha. Tu as versé ton sang saint pour le pardon de plusieurs. Seigneur bien aimé, nous pouvons nous aussi faire partie de cette multitude, par grâce. Nous croyons en la puissance du sang de Golgotha. Notre culpabilité est pardonnée, nos fautes sont pardonnées, nos péchés sont effacés, expiés. Nous sommes lavés, purs par la foi en l'œuvre de la rédemption accomplie à Golgotha sur la croix. Seigneur fidèle, tu es ensuite entré dans le sanctuaire céleste en tant que souverain sacrificateur avec ton propre sang pour répondre de nous en tant que grand sacrificateur. Seigneur, pardonne-nous tout, chaque pensée, chaque parole, tout comportement, chaque acte, tout ce qui n'était pas juste devant toi, pardonne-nous maintenant. Nous y croyons. Seigneur fidèle, sanctifie l'atmosphère de cette salle. Sanctifie nos cœurs, sanctifie nos pensées. Seigneur, fais en sorte que les hommes de tous les lieux puissent lever des mains saintes, comme Paul l'écrit à Timothée, sans colère et sans doute avec une foi totale. Même les requêtes, Seigneur notre Dieu fidèle, nous te les présentons maintenant dans la foi. Tu connais les frères et sœurs et tu sais ce qu'ils demandent. Nous te soumettons également toutes les autres requêtes. Dieu fidèle, étend ton bras, et fais que des miracles et des signes se produisent. Confirme ta parole. Nous te le demandons. Nous croyons, comme le dit l'Ecriture, et nous comptons sur ta bénédiction, sur le salut, sur la guérison, sur la délivrance. Sois parmi nous aujourd'hui. Sens-toi bien o Seigneur ! Nous t'invitons chaleureusement. Parle et agis par ta parole et par ton Esprit dans nos cœurs. Que tout te soit apporté au nom saint de Jésus. Amen.
Je voudrais encore une fois souhaiter à tous une très cordiale bienvenue dans le précieux nom du Seigneur. Nous croyons que Dieu a béni et continuera de bénir par grâce. Ce sont de bons comptes-rendus que nous avons reçus de ce que Dieu fait, de bons rapports. Et c'est toujours ce qu'il y a de plus beau, lorsque nous pouvons rendre compte de ce que Dieu fait, parler de ce que Dieu fait. Cela s'accompagne toujours d'une grande bénédiction. Si l'on parle de ce que l'ennemi a fait, aucune bénédiction n'y est liée. Mais si l'on peut annoncer les grandes actions de Dieu, alors une grande bénédiction y est liée.
Entrons dans une brève méditation de la Parole dans l'espoir que même les nouveaux venus seront bientôt conduits par le Saint-Esprit dans toute la vérité et reconnaîtront la nécessité de proclamer les vérités bibliques. Cela me rappelle encore hier après-midi à Salzbourg, une dame est venue me voir à la fin et m'a dit après la réunion : “Cher monsieur, notre famille est particulièrement croyante. Nous avons ouvert des couvents ici et là. Et beaucoup de mes frères et mes cousins sont jésuites. Nous sommes tous très croyants”. Elle a continué à parler ainsi et soudain elle dit : “Mais ce que vous avez prêché aujourd'hui, tous les curés auraient dû l’entendre ; ils auraient dû entendre ce que vous avez prêché ici aujourd'hui. Pourquoi ne sont-ils pas ici ?” Je lui ai dit : “Mais ça, demandez-le aux curés, pas à moi”. Mais c'est vrai, nous avons un message divin dont nous ne devons pas avoir honte. Il est vrai, il est vrai! Il est d'origine divine. Il est à jour dans le Royaume de Dieu. Nous avons été mis à jour et cela sur la base de la prophétie qui a été donnée pour notre époque. Nous savons dans quel temps nous vivons et ce que Dieu fait maintenant. Et je crois que c'est un privilège très particulier que le Seigneur nous a accordé par grâce.
Nous l'avons lu dans le psaume 139 : “Eternel, tu me sondes et tu me connais. Tu sais si je m'assois ou si je me lève. Tu comprends ce que je pense de loin. Que je marche ou que je me repose, tu l'examines et tu es au courant de toutes mes voies. Car avant qu'une parole soit sur ma langue, tu la connais parfaitement o Eternel”. Et maintenant voici la glorieuse déclaration : “Tu m'entoures par derrière et par devant et tu as mis ta main sur moi. Trop merveilleuse est pour moi une telle connaissance. Trop élevée, je ne peux la comprendre.”
Continuons avec l'Évangile de Jean le chapitre 5, ce verset connu. Aussi, Frère Branham l'a souvent utilisé quand il priait pour les malades. J'aimerais lire de Jean 5, verset 19 jusqu'au verset 24 et ensuite d'autres écritures. Jean 5.19 : “C'est pourquoi Jésus s'exprima ainsi à leur égard : En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut faire de lui même que ce qu'il voit faire le Père. Car c'est ce qu'il fait, le Fils le fait aussi de la même manière. Car le Père aime le Fils et il lui fait voir tout ce qu'il fait lui-même et il lui fera voir des œuvres plus grandes encore que celles-ci afin que vous soyez dans l'étonnement. Car comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, ainsi le Fils donne la vie à qui il veut. Car ce n'est pas le Père non plus qui juge quelqu'un. Mais il a remis le jugement tout entier au Fils afin que tous honorent le Fils, comme ils honorent le Père. Celui qui n'honore pas le Fils, n'honore pas non plus le Père qui l’a envoyé. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et croit à celui qui m'a envoyé a la vie éternelle. Et il ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie”.
Quelle parole merveilleuse ! Nous voyons ici le Seigneur en tant que Fils de l'homme, dans la dépendance totale. Il a dit “Le Fils ne peut rien faire de lui-même”. Notre Seigneur ne nous a-t- il pas dit la même chose ? “Sans moi, vous ne pouvez rien faire”. Et ce qui doit être fait dans le Royaume de Dieu doit nous être montré par Dieu. Cela ne peut pas être n'importe quoi, quelque chose de quelconque. Cela doit être selon la parfaite volonté et conformément à la Parole de Dieu. D'où cette importance de la proclamation de la Parole pour ce temps, en accord avec la prophétie biblique sur laquelle nous reviendrons aussi brièvement pour cette époque dans laquelle nous vivons actuellement.
Et puis ici, en résumé il nous est dit au verset 23, “afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père ; celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas non plus le Père qui l’a envoyé”. Nous savons tous ce qui est exprimé ici. Il y a des gens qui honorent Dieu mais qui ne reconnaissent pas la révélation de Dieu dans le Fils. Et c'est justement de cela qu'il s'agit, car c'est dans le Fils que Dieu a fait la paix avec l'humanité. C'est dans le Fils que la réconciliation avec l'humanité a eu lieu. Car le Fils était Emmanuel lui-même, c'est à dire Dieu avec nous. Et Dieu était en Christ et a réconcilié le monde avec lui-même. C'est d'ailleurs toujours le point central de notre prédication : Jésus-Christ, le Crucifié qui a donné son sang et sa vie pour nous à Golgotha.
Passons à Jean 14.11-12 : “Croyez-moi que je suis dans le Père et que le Père est en moi. Sinon, croyez du moins à cause des œuvres elles-mêmes.”
Auparavant, nous avons lu qu'ils devaient croire que le Père avait envoyé le Fils. Ici nous lisons “Croyez-moi que je suis dans le Père et que le Père est en moi”. C'est le grand mystère qu'aucun homme ne peut expliquer par des mots et qu'aucun homme ne peut saisir par l'intellect. Mais nous pouvons le croire de tout notre cœur. Le verset 12 poursuit : “En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais et même des œuvres plus grandes que celles-ci, car je vais vers le Père. Et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferais afin que le Père soit glorifié dans le Fils”.
Quelle parole merveilleuse ! On les voit tantôt séparés, tantôt unis, tantôt envoyé, tantôt Lui en Lui, et ainsi de suite. Nous n'avons pas besoin de nous étendre sur ce sujet. Tout est vrai, tout a sa justification. Tout a un but, a sa raison, a son objectif, une raison d'être, un objectif à atteindre. Les théologiens se creusent la tête et se demandent comment cela est possible. Nous remercions Dieu que cela ait été possible, et le soit encore. Et nous l'acceptons tel qu'il s'est produit et croyons conformément aux saintes écritures.
Passons au Romains chapitre 4, la parole que nous connaissons tous, où il est écrit qu'Abraham a cru et que cela lui a été imputé à justice. Je lis ici seulement, le verset 18. “Abraham, là où il n'y avait rien à espérer, s'est accroché à la foi, plein d'espérance, afin de devenir le père d'une multitude de nations, selon la promesse : Ainsi sera ta postérité innombrable. Verset 19 : “Sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé puisqu'il avait près de 100 ans et ne considéra point que Sara n'était plus en état d'avoir des enfants. Néanmoins, en ce qui concerne la promesse de Dieu, il ne s'est pas laissé égarer par l'incrédulité, mais au contraire, il devint de plus en plus fort dans la foi en rendant gloire à Dieu”.
Bien aimés, il est facile de parler de la foi, un peu plus difficile de la mettre en pratique. Si nous trouvons un début de réponse quelque part, alors nous aurons le courage de croire. Mais s'il n'y a rien, aucun début. Que faire ? Je vais vous le dire. Nous n'avons pas besoin de notre propre approche des choses, ni même d'une paille à laquelle nous pourrions nous raccrocher. Mais ce dont nous avons besoin, c'est d'une promesse de Dieu sur laquelle nous pouvons nous appuyer, comme Abraham avait la promesse de Dieu, la parole de la promesse sur laquelle il pouvait s'appuyer. C'est en cela que sa foi était ancrée.
Si nous allons à Marc 16, le Seigneur nous dit là-bas que “ces miracles accompagneront tous ceux qui croiront”.
En tant que croyant, ayant reconnu la vérité, nous devons tout simplement nous attendre à ce que Dieu accomplisse tout, mais aussi fondamentalement, tout ce qu'il a promis, tout ce qu'il a promis. Tout d'abord, il nous accordera la promesse du Père par grâce : Attendez à Jérusalem jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la puissance d'en haut qu'il accordera à tous. Bien aimés, le baptême biblique de l'Esprit, dans l'Esprit ne s'arrête pas au fait que quelqu'un parle dans d'autres langues ou qu'il ait fait une expérience avec le Seigneur. Le baptême biblique de l'Esprit est un revêtement de la puissance divine pour le ministère. Et nous avons tous besoin de ce revêtement de la puissance divine pour le service, pour le ministère. Car nous n'avons pas affaire à la chair et au sang, mais aux puissances et aux esprits qui règnent dans le domaine de l'air. Revêtus de la puissance d'en haut par l'effusion du Saint-Esprit ; revêtus de la puissance du Saint-Esprit afin de pouvoir accomplir le service qui doit maintenant être accompli à la fin.
Tout comme l'effusion du Saint-Esprit, au commencement, a autorisé et revêtue et habiliter l'Église à accomplir la volonté de Dieu, à accomplir l'ordre de mission, nous avons besoin maintenant de la même effusion et du même revêtement avec la puissance d'en haut. Le même Seigneur et Dieu qui a donné la pluie de l'avant-saison, enverra aussi la pluie de l’arrière-saison. Il est le même, il ne peut pas changer. Ce qu'il a fait au commencement, il le fera aussi à la fin.
Mais voyons déjà ce que l'Esprit peut faire dans les individus ou alors pour les individus, par les individus. Je lis à ce sujet dans 2 Corinthiens 3 à partir du verset 6. Je ne vais pas lire tous les versets. Peut-être le verset 6 et ensuite je voudrais lire le verset 17. 2 Corinthiens 3.6 : “C'est lui aussi qui nous a rendus capables d'être ministres de la Nouvelle Alliance, non de la lettre mais de l'Esprit. Car la lettre tue, mais l'Esprit donne la vie”.
Je voudrais aujourd'hui mettre l'accent sur cette pensée-là justement, “l'Esprit donne la vie”. Nous pouvons prendre la Parole comme lettre, nous battre les uns contre les autres et nous entretuer. Mais l'Esprit de Dieu peut prendre cette même Parole, la rendre vivante et la révéler et faire vivre les morts par la Parole et par l'Esprit. L’Esprit n'est pas séparable du Seigneur, comme la Parole n'est pas séparable de Lui. Il est la Parole, il est l'Esprit. Je vous le lis dans les Saintes Écritures. Vous connaissez tous le passage “Au commencement était la Parole et la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu”. Or, il est dit ici que l'Esprit donne la vie. Qui est l’Esprit ? Je vous le lis dans 2 Corinthiens 3.17. “Or, le Seigneur c’est l'Esprit.” Alors, qui veut expliquer cela avec l’intelligence ? Dans Jean 4.24, il est écrit que Dieu est Esprit et ceux qui veulent l'adorer doivent l'adorer en Esprit et en Vérité. Mais il est écrit ici que “Or le Seigneur c’est l'Esprit”. Oui, le Seigneur est Dieu et Dieu est le Seigneur. Et ici nous avons à faire à notre Seigneur qui est à la fois chair et esprit, le Divin selon l'Esprit, l'humain selon la chair. L'Esprit devait entrer dans un corps terrestre pour pouvoir accomplir ici la rédemption. “Or le. Seigneur c’est l'Esprit”. [Frère Frank relit le verset 17. NDE] “Et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté”.
Et j'aimerais que nous comprenions vraiment tous cela aujourd'hui. Esaïe chapitre 61. Dans Luc chapitre 4 où le Seigneur se réfère à ce passage d’Esaïe 61 et dit : “L'Esprit du Seigneur Dieu repose sur moi pour annoncer aux captifs la délivrance et à ceux qui sont liés qu'ils seront déliés et pour proclamer l'année agréable du Seigneur”. C'est pour cela que la prédication est donnée et c'est pour cela que l'onction est sur nous pour que l'on ne fasse pas un exposé sec mais que l'on présente, et cela sous la conduite directe du Saint-Esprit, ce qui nous a pénétré nous-mêmes au plus profond de nous-mêmes et peut produire en nous des effets divins et sur les autres. Le Seigneur c’est l'Esprit, et là où se trouve l'Esprit du Seigneur, là est la liberté.
Vous savez que notre Seigneur s'est référé au grand jour des expiations, à l'année du Jubilé, de réconciliation, lorsqu'il a parlé de l'année agréable au cours de laquelle tous les serviteurs et les endettés, les esclaves pouvaient sortir librement. Tous peuvent sortir librement et être libérés. Le prix a été payé. Puisse l'Esprit de Dieu reposer si puissamment sur nous tous, pas seulement sur le prédicateur, mais sur nous tous de la même manière. Qu'un effet divin se produise par la Parole et l'Esprit, et que nous soyons rendus vivants par la grâce. Cela va encore plus loin ici, au verset 18 “Mais nous tous qui, le visage découvert, reflétant la gloire du Seigneur, nous sommes ainsi transformés de gloire en gloire en la même image, comme cela se produit par le Seigneur, l'Esprit”, comme cela se produit par le Seigneur, l'Esprit. Il était difficile pour ces hommes de trouver les mots et les formulations justes dans d'autres langues, mais grâce au Saint-Esprit, nous savons de quoi il s'agit ici. Et nous croyons que le Seigneur est l'Esprit et que l'Esprit du Seigneur est à l'œuvre parmi le peuple de Dieu. De même que Dieu est Esprit et que l'Esprit de Dieu est efficace, qu'il reposait sur les prophètes, leur donnait des révélations et les inspirait, de même, le même Esprit Saint repose sur nous en ce moment, en ce temps.
Je voudrais lire d'autres passages, à savoir 2 Corinthiens 4.13-14 “Or parce que nous possédons le même esprit de foi selon la parole de l’écriture : “J'ai cru et c'est pourquoi j'ai parlé”. Nous aussi nous croyons et c'est pourquoi aussi nous parlons, sachant que celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus nous ressuscitera aussi avec Jésus et nous fera paraître avec vous en sa présence”. Non seulement il a été ressuscité, mais nous aussi nous serons ressuscités.
Il est à nouveau question ici de l'Esprit et plus précisément de l'esprit de foi. En écoutant la Parole de Dieu, le Saint-Esprit produit en nous une foi conforme à l'Ecriture par l'écoute de la Parole, une foi conforme à l'écriture. Et cette foi conforme à l'écriture entraîne l'action de Dieu, attire l'action de Dieu avec elle de sorte que Dieu … Je ne veux pas utiliser le mot contraint. Dieu n'est pas obligé de le faire, mais il est lié à sa Parole et les Écritures ne peuvent pas être brisées. Ce qu'il a promis, il le tient assurément, assurément. Poursuivons la lecture de 2 Corinthiens 5 où nous lisons les versets 14 jusqu’au verset 21 : “Car l'amour du Christ nous réclame et nous tient en son pouvoir parce que nous nous laissons guider par la conviction qu'Un seul est mort pour tous. Par conséquent, ils sont tous morts. Et il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux”.
Arrêtons-nous aussi un instant. Il est mort pour nous afin que nous vivions pour lui. Ne plus vivre pour nous-mêmes et ne plus vivre nous-mêmes, donc pour nous-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour nous. Combien de fois ai-je dit que notre vie n'avait de sens et de but que si elle était vécue pour Dieu, réellement pour Dieu ? Pouvez-vous être d'accord avec cela ? Sinon, elle n'a pas de sens ni de but du tout. Maintenant, écoutez ce qui est écrit au verset 16. “C'est pourquoi, dès maintenant, nous ne connaissons plus personne selon la chair, non. Même si nous avons connu Christ selon la chair, ce n'est plus ainsi que nous le connaissons maintenant. Si donc quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle création. Les choses Anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles. Or tout cela est l'œuvre de Dieu qui nous a réconciliés avec lui par Christ et nous a confié le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ et a reconcilié le monde avec lui-même, ne leur imputant pas leurs transgressions. Et il a mis en nous la parole de la réconciliation. C'est donc pour le Christ que nous parlons comme ses envoyés, puisque c'est par nous que Dieu avertit. C'est pour le Christ que nous demandons : Soyez réconciliés avec Dieu. Celui qui n'a point connu le péché et il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu”.
Il y aurait beaucoup à dire à ce sujet. Il serait préférable que nous puissions en faire l'expérience ainsi, expérimenter correctement cela, réellement. Que ce ne soient pas seulement des paroles que nous transmettons ou des expériences que d'autres ont vécues. Cela me rappelle la parole que j'ai lu hier après-midi aussi à Salzbourg, tirée des Actes chapitre 22, en particulier le verset 6 : “Comme j'étais en chemin et que je m'approchais de Damas. C'est là que cela arriva que, tout à coup, vers midi une grande lumière venant du ciel resplendit autour de moi”. En particulier, ces mots : “C'est alors que cela se produisit. C'est là que cela arriva”. Il savait où et quand cela s'était produit, il savait ce qui était arrivé. Cela lui était arrivé. La lumière l'enveloppa et resplendit autour de lui. Il fut appelé par son nom. C'est à lui que la lumière a d'abord aveuglé les yeux. Puis un homme de Dieu, du nom d'Ananias vint et lui imposa les mains en disant : Frère Saul, tu retrouveras la vue ou retrouve la vue ; et il retrouva la vue sur le champ. Oh, c'était une expérience. Comme je nous souhaite à tous de vivre une expérience personnelle de ce genre avec notre Seigneur, que nous puissions le rencontrer, que sa lumière vienne sur nous, que sa voix nous atteigne et que nous puissions vraiment marcher avec lui en tant que convertis à lui. Que nous puissions être utilisés en tant que bénis par lui et utilisés par lui en tant que bénis par lui, et que nous soyons placés en bénédiction pour les autres.
Le Seigneur veut que, de la même manière qu'il s'est révélé personnellement en Christ, il se révèle en réalité divine, ici sur Terre. Tel qu'il s'est révélé en réalité divinité sur Terre, de même, il veut que nous fassions l'expérience de cette réalité divine de Dieu en Christ, des hommes nouveaux. Que nous puissions devenir des hommes nouveau, réconciliés avec Dieu, qui pourront ensuite poursuivre le ministère de la réconciliation et s’exclamer : “Soyez réconciliés avec Dieu [ou bien laissez-vous réconciliés avec Dieu. Traducteur]”.
Nous devons devenir une Église capable de s'engager pour le Royaume de Dieu et dans le Royaume de Dieu. Il faut tout simplement en arriver là. Et pour cela, il faut être revêtu de la puissance d'en haut. Cela est nécessaire. Je ne lis plus que le verset 16 des Actes des Apôtres. Actes 13.22 maintenant. “Se tint devant moi et il me dit “Frère Saul, retrouve la vue” et aussitôt je recouvrais la vue et je le vis”. Vous pouvez lire plus loin qu'il s'agissait de lui faire connaître la volonté de Dieu. Combien de fois avons-nous souligné cela ici ? Avec une véritable conversion, avec une expérience au Christ, avec le Christ, nous quittons notre propre chemin, notre propre volonté et notre propre programme. Une véritable conversion à Christ implique que nous soyons nous-mêmes arrivés à la fin de nous-mêmes, de notre propre vie, et que Dieu ait pu prendre un nouveau départ avec nous. Une véritable conversion au Seigneur implique cela.
Je voudrais maintenant vous montrer rapidement quelques comparaisons tirées de la parole prophétique. Vous savez qu'elle est tout simplement devenue une partie intégrante de moi-même. Les comparaisons entre L'Ancien et le Nouveau Testament, leur accomplissement, leur prophétie et le fait de voir comment des hommes de Dieu, avant nous et avant moi, dans le même Esprit, nous ont laissés l'Ancien et le Nouveau Testament en tout par la grâce de Dieu. Je voudrais lire le chapitre 49 du prophète Esaïe. Esaïe 49.8 “De plus l'Eternel a parlé ainsi : Au temps agréable, je t'ai exaucé. Au jour du salut, je t'ai secouru, je t’ai gardé. ....”. Lisons 2 Corinthiens chapitre 6 et nous y trouvons exactement le même texte. 2 Corinthiens 6.1-2 : “Car il est écrit, au temps favorable je t’ai exaucé. Au jour du salut, je t’ai secouru”. Maintenant arrive. “Voici maintenant le temps favorable. Voici maintenant le jour du salut”.
Et que fit l’apôtre ? Il a pris la parole prophétique, l'a cité, et ensuite est venue à la déclaration : “Voici maintenant ce temps bienvenu, c'est maintenant le jour du salut, ce jour agréable, favorable”. Il aurait pu formuler comme Jésus l'a fait dans Luc chapitre 4 : “Aujourd'hui, ce passage de L'écriture est accompli sous vos yeux”. Le Prophète a dit que le temps viendrait. L’apôtre a dit « Maintenant, il est là ». Ce jour, ce temps dont le prophète a parlé est là. Regardez comment, au temps fixé, c'est l'Esprit de Dieu qui a pris la bonne parole et l'a placé sur le chandelier et nous l'a montré dans son accomplissement et nous a ainsi donné les deux, l'Ancien et le Nouveau Testament, en prophétie et en accomplissement par grâce.
Lisons Esaïe 49.10 et faisant ensuite la comparaison avec le Nouveau Testament. “Ils n'auront pas faim, ils n'auront pas soif et ils ne seront pas atteints par le vent d'ardeur ni par la brûlure du soleil. Car celui qui leur fait miséricorde les conduira et les fera reposer près des sources d'eau”. Lisons cette même Parole dans Apocalypse 7. Pas seulement Paul, mais aussi les autres apôtres par l'intermédiaire du Saint-Esprit ont reproduit les passages bibliques de l'Ancien Testament dans le Nouveau. Apocalypse 7, nous lisons ici le verset 16. Apocalypse 7.16: “Ils n'auront plus faim, ils n'auront plus soif, ils ne seront plus frappés par le soleil ni par la chaleur.” La même parole prononcée par le prophète Esaïe se trouvent maintenant dans le Nouveau Testament, non encore classée dans l'Ancien, ni dans son contexte, elle est donnée ou rendue dans le Nouveau Testament, dans son accomplissement exact, dans son contexte. Vous voyez ? La foule vêtue de blanc devant le trône. Puis vient cette puissante déclaration : “Ils n'auront plus faim et ils n'auront plus soif. Et ils ne seront plus jamais atteints par le coup de soleil, par la chaleur, ...”. Dieu a fait dire par les prophètes ce qui allait arriver, mais par l'intermédiaire des apôtres, il a montré le contexte dans lequel ces passages de l'écriture trouveraient leur accomplissement.
Continuons à lire le verset 17 d'Apocalypse 7 : “Car l'agneau qui est là au milieu du trône les paîtra et les conduira vers des sources d'eau vive”. N'est-ce pas là encore un passage de l'Ancien Testament ? Je voudrais maintenant lire Esaïe chapitre 25.8 et cela à la suite d'Apocalypse 7.17. Je voudrais lire maintenant. Il faudrait peut-être que je lise d'abord ce verset jusqu'au bout, donc le verset 17 jusqu'au bout [d'Apocalypse 17 NDE] :”Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux”. Cela en fait partie. “Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux”. Laissez-moi maintenant lire Esaïe 25.8: “Il fera éternellement disparaître la mort. L’Eternel Dieu essuiera les larmes de tout visage et l'opprobre de son peuple. Il l'effacera de toute la Terre, car l'Eternel l'a promis”.
Que faisons-nous ici cet après-midi ? Nous comparons l'Ancien et le Nouveau Testament. Nous voyons comment, dans le Nouveau Testament, les hommes de Dieu ont pris soin, et cela sous la direction et la conduite directe du Saint-Esprit, ils ont pris soin de présenter la parole prophétique inspirée par ce même Esprit qui était sur eux, mais de la présenter dans le contexte, de la montrer dans le contexte approprié et de la placer là où elle devait être.
Permettez-moi de pauser ma lecture ici. Il est également parlé de la mort qu'il fera disparaître pour toujours, éternellement. Je lis à ce sujet dans 1 Corinthiens 15.54: “Mais quand ce corps corruptible aura revêtu l'incompatibilité et ce corps mortel aura revêtu l’immortalité. Alors s'accomplira la parole qui est écrite : La mort est engloutie dans la victoire. Oh mort, où est ton aiguillon ? Enfer, où est ta victoire ?” Vous pouvez lire jusqu'au bout ici. “Rendons grâce à Dieu qui nous a donné la victoire par Jésus-Christ notre Seigneur”. C'est le verset 57.
Je poursuis la lecture de l'Apocalypse 20.14. Cela m'émeut beaucoup et je vais dire pourquoi dans un instant : car le Seigneur a fait la même chose. Il s'était toujours appuyé et référé aux écritures. Et selon Luc 24, il a ouvert l'intelligence, la compréhension de ses disciples pour les Écritures. Il a commencé par Moïse, ensuite, en passant par tous les prophètes et les psaumes, et il a parlé des choses qui ont trouvé leur accomplissement à l'époque. Et ensuite, c'est de ces choses-là qu'il a parlé en leur ouvrant l'écriture ... pour l'accomplissement de l'Ecriture dans leur époque, c'est à dire toute l'écriture dans son accomplissement. Le même Seigneur, le même Esprit est à l'œuvre aujourd'hui pour faire la même chose.
Oh combien de personnes lisent la Bible, la même Bible que nous ? Et il est écrit dans toute la Bible : “Voici, je vous envoie le prophète Élie”. Mais ils ne savent pas quoi en faire. Et puis ils vont encore à Matthieu 17 et alors ils ne lisent que le verset 11 au lieu de lire aussi le verset 10. Peut-être que je devrais le faire tout de suite avant que nous ne lisions le texte de l'Apocalypse. Car notre Seigneur Dieu a dit les deux choses, à savoir ce qui allait arriver dans le futur et ce qui était déjà arrivé à l'époque. Le verset 11 de Matthieu 17 : “Il leur répondit : Élie reviendra et rétablira toutes choses”. Ça c'est Malachie 4.5. Maintenant le verset 12: “Mais moi je vous dis qu'Elie est déjà venu et ils ne l'ont pas reconnu ..”. Puis ils prennent ces deux versets et en font une chose, une chose qui est déjà passée. Or le Seigneur a clairement prononcé le premier verset au futur, c'est à dire le verset 11, au futur. Toute personne ayant suivi les quatre premières années d'école peut le comprendre, que c'est au futur. Les érudits ne le peuvent pas. Ils mettent tout dans le même sac. Ils ne peuvent pas partager et dispenser, classer et ordonner les écritures. Et remarquez pourquoi Paul a dit à Timothée : “Sois un ouvrier qui n'a pas à avoir honte parce qu'il dispense correctement la parole de la vérité”. Il est absolument essentiel et important, non seulement d'entendre la vérité et de connaître la vérité, mais aussi de placer la parole de l'Ecriture dans son contexte, dans son bon contexte, et de la laisser là où elle doit être.
Dans Apocalypse 20, nous lisons au verset 14 ce qui concerne le sujet que nous avions déjà traité au sujet de la mort et ainsi de suite. Apocalypse 20.14: “Après quoi la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. Ceci est la seconde mort, c'est-à-dire l'étang de feu”. Le jour vient donc où la mort n'existera plus. Le prophète Esaïe nous dit que la mort sera abolie, n'existera plus. L'Apôtre Paul nous dit : “Mort, où est on ton aiguillon ? Enfer, où est la victoire ?” Paul développe le lien avec la première résurrection et Jean, dans Apocalypse, explique qu'ensuite la mort ne sera plus, après le jugement final, après le jugement devant le trône blanc. Car la mort a rendu les morts. La mer a rendu les morts. Tous les morts qui ont déjà vécu sur la terre doivent en effet apparaître au jugement, je vais dire, au jugement final. Et alors même la mort et le royaume des morts seront jetés dans l'étang de feu. Alors nous n'avons plus besoin de la mort car personne ne pourra plus mourir. Seuls des hommes qui ont la vie éternelle vivront alors. Loué soit le nom du Seigneur! Le temps s'achèvera alors et l'éternité commencera.
Notre Dieu a un plan glorieux et je me réjouis que mes frères dans l'apostolat qui nous ont précédés, aient eu cette démonstration par le Saint-Esprit, par la Parole de Dieu. Comme je suis reconnaissant à Paul, pour cette démonstration par la Parole. Comme je suis reconnaissant à Paul et à tous ces serviteurs de Dieu qui ont été conduits et dirigés par le Saint-Esprit, pour mettre toutes ces choses dans le bon contexte afin que nous ayons une vue d'ensemble. En ce temps, Dieu nous a effectivement laissé tout en ordre. Il a classé tout pour nous. En effet, s'il y a du désordre, c'est dans la tête des gens ou n'importe où qu’il y a des contradictions. Mais Dieu, lui, a déjà mis les choses en ordre pour nous.
Je continue à lire Apocalypse 21 et ici les versets 3 et 4. Apocalypse 21.3-4 : “Puis, j'entendu du ciel une voix forte qui disait : Voici le tabernacle de Dieu est avec les hommes. Il habitera avec eux et ils seront son peuple. Oui, Dieu lui-même sera au milieu d'eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux et la mort ne sera plus. Il n'y aura plus de ni deuil, ni cri de lamentation. Et il n'y aura plus de douleur car les premières choses auront disparu”.
Quelle parole merveilleuse dans les Écritures ! Alors Dieu sera au milieu de son peuple et nous avec lui. La mort est abolie, elle a disparu. Plus de deuils, plus de cris. Toutes les larmes seront essuyées et nous serons dans une joie éternelle avec le Dieu éternel lorsque le temps débouchera sur l'éternité. Ne vous réjouissez-vous de ce que Dieu a fait ? Est-ce que vous vous réjouissez de ce que Dieu ait fait un plan aussi glorieux ? Est-ce que vous vous réjouissez aussi de ce que, par grâce, il nous a vraiment tout donné, classé dans son contexte ? Parfois, tout semble désordonné devant nous, cela veut dire qu'il manque encore la révélation, qu'il manque alors encore les bonnes relations dans la Parole pour nous. Mais quand le temps de Dieu arrive, alors il accorde la lumière. Alors il nous fait trouver les bons passages bibliques qui nous permettent de tout voir dans un contexte global.
Et ce qui se passe actuellement est également l'œuvre de Dieu. À nos yeux, il s'agit peut-être d'une œuvre partielle, faite en partie, mais aux yeux de Dieu, ou alors avec Dieu, elle deviendra quelque chose de parfait. Car s'il y a des choses en partie, c'est seulement de notre côté. Seule notre connaissance est en partie. Notre prophétie est en partie. Notre savoir est en partie. Mais tout ce qui vient de Dieu est parfait. Cela signifie que nous ne connaissons pas tout d'un coup tout. Nous ne voyons pas tout d'un coup tout. Non, c'est petit à petit que Dieu nous les révèle et nous sommes conduits, comme nous l'avons lu, de clarté en clarté par l'Esprit. Avez-vous compris cela ? Mais ce qui vient de Dieu est parfait. Nous, c'est seulement nous qui avançons pas à pas, pas à pas, par grâce. Et nous pouvons vraiment voir les choses dont il s'agit maintenant, et cela à la lumière de Dieu. Je n'ai aucune peine. Je ne dis pas cela par arrogance mais par reconnaissance. Je n'ai aucune peine à voir ce que Dieu fait maintenant, selon sa Parole.
D'une part, nous voyons l'accomplissement des promesses faites au peuple d'Israël et d'autre part, l'appel de l'Église-Epouse de Jésus-Christ à sortir, de toutes les langues et de toutes les nations. Et cette Église du Dieu vivant a le droit de vivre de toute Parole qui est sortie de la bouche de Dieu. Et c'est notre nourriture spirituelle pour ce temps. Et puisque nous sommes ici à Zurich justement, c'est en effet dans la ville de Zurich que Frère Branham a vu l'aigle allemand traverser l'Afrique en 1955. Vous l'avez tous lu. C'était ici à Zurich. Certains m'ont posé des questions à ce sujet. Je n'ai jamais rien dit à ce sujet. Mais il y a une chose que vous devez tous savoir. Nous faisons partie de ce que Dieu a promis pour ce temps et nous participons nous mêmes à ce que Dieu fait maintenant. La question n'est pas de savoir qui nous sommes ou ce que nous sommes en termes de ministère ; mais est-ce que nous nous sommes laissé placer par Dieu pour pouvoir faire partie directe de ce que le Seigneur fait maintenant ?
Et puisque c'est justement à Zurich maintenant, mentionnons-le encore une fois ici aujourd'hui, le docteur Guggenbuhl avait invité Branham pour une réunion avec les hommes d'affaires chrétiens. Frère Arganbright, Frère Sothman, quelques frères voulaient y participer. Et soudain, Frère Branham voit dans une vision un bateau blanc dans lequel il prend place. Il voit d'autres frères qui prennent place dans d'autres bateaux. Et ils sont tous sur l'eau et il se demande ce qui va se passer maintenant. Et soudain, la réponse lui vint : La barque blanche signifie que tu es un prédicateur de la Parole de Dieu. Les autres barques que le Frère et les autres frères qui y sont assis ne sont pas des prédicateurs de la parole. Mais la barque en soi veut dire que nous ne devons pas traverser l'océan. Et puis la réponse est venue : Ne va pas à cette seule réunion à Zurich, mais retourne à Jeffersonville, et emmagasine la nourriture. Avez-vous tous lu cela ? Vous pouvez tous le lire dans les sermons. [Christ est le mystère de Dieu révélé. 63-0728, Se ranger du côté de Jésus-Christ, 62-060, etc. NDE].
Et si nous constatons le décalage horaire, lorsque Frère Branham, le 1ᵉʳ avril 1962, parlait justement du fait que le Seigneur lui avait commandé de ne pas traverser l'océan mais d'aller à Jeffersonville pour emmagasiner la nourriture. Si nous tenons compte du décalage horaire, c'est exactement au même moment que le Seigneur m'a dit, le 2 avril 1962, d'emmagasiner la nourriture, exactement le même moment. Dieu agit aux deux extrémités. Dieu prépare les choses de telle sorte qu'il ne puisse y avoir aucun doute pour la suite.
Et il y a à peine dix jours d’ici, j'étais avec Frère Sothman à Jeffersonville, il y a dix jours d’ici, avec Joseph et d'autres frères. Et je lui ai demandé à cette occasion s'il se souvenait de la fois où j'étais venu spécialement en décembre 1962 pour demander à frère Branham, quelle était la signification de l'emmagasinage, du stockage de la nourriture. J'ai posé cette question à Frère Sothman. Et il a dit le cœur joyeux en élevant bien la voix : “Frère Frank, je me souviens très bien que Frère Wood et moi étions assis sur la banquette arrière et que tu étais assis sur la banquette avant. Et nous sommes allés là et là. Et tu as parlé à Frère Branham. Et il t'a parlé.” Je n'ai pas sorti les choses de ma manche. Je ne les ai pas inventées, elles ont eu lieu. Dieu a fait en sorte, au temps voulu, qu'après le départ du messager, il ne puisse y avoir aucun doute sur la diffusion du message, mais que Dieu l'ait confirmé auparavant, du vivant de Frère Branham.
Et pour moi, le diable pourrait débarquer avec toutes ses armes, avec toute son armée. Cela ne m'intéresserait pas du tout, et encore moins, m'ébranlerait. Les expériences avec Dieu sont absolues et inébranlables. Celui qui a fait une expérience, une véritable expérience avec Dieu ... Je ne parle pas de l'homme. L'homme peut être ébranlé, mais ce que Dieu a fait, a parlé et a promis, c'est oui et amen. C'est inébranlable. Et nous en sommes reconnaissants à notre Seigneur.
Nous avons reçu la nourriture en réserve, nous l'avons stockée et emmagasinée et elle est distribuée. Et Dieu a veillé à ce que cette manne fraiche, la parole révélée pour ce temps, puisse effectivement être annoncée au Peuple de Dieu. Et comme je l'ai souvent dit en ce lieu, en ce temps de famine, nous avons été ainsi maintenus en vie spirituellement. Mais la vraie moisson, elle est encore dehors. Elle sera encore récoltée. Dieu glorifiera encore une fois Son nom, confirmera encore une fois sa Parole. Et vous pouvez me demander Frère Frank, as-tu là aussi une référence biblique pour cela ? Oh oui, et pas seulement une seule, mais plusieurs. Et je le dis avec un cœur joyeux. Le Seigneur lui-même n'a-t-il pas parlé dans Matthieu 13, dans la parabole du semeur qui a semé le bon grain, puis de l'autre semeur ? Et il dit ensuite, la moisson, c’est la fin du monde. Avez-vous remarqué cela ? La moisson, je vais vous le lire. Cela ne devrait pas être difficile à trouver. Matthieu 13 se trouve après le chapitre 12 de Matthieu, et nous les trouverons donc à coup sûr. Il est toujours important de lire les choses à chaque fois, de les lire. Matthieu 13.37-39. “Il leur répondit : Celui qui sème la bonne semence, c'est le Fils de l'homme. Le champ, c'est le monde. Le bon grain, ce sont les fils du royaume. L'ivraie, au contraire, ce sont les fils du méchant. Celui qui a semé l'ivraie, c'est le diable. La moisson, c'est la fin de ce monde. Et les moissonneurs ce sont des anges”. Amen !
Il y a heureusement des anges sur la terre et des anges au ciel. On n'a pas le temps maintenant d'en parler, mais on dit toujours ici “Ecris à l'ange de l'Église, Ecris à l'ange de l'Église”. Celui qui lit l'Épître aux Hébreux peut lire que beaucoup ont hébergé des anges sans le savoir. Celui qui lit 1 Corinthiens 11 lit “À cause des anges, les femmes ne doivent pas couper leurs cheveux” et ainsi de suite. Il y a des anges en tant que messagers de Dieu sur cette terre et il y a des anges dans le ciel qui sont à la disposition de Dieu en tant que esprits serviteurs à cause de ceux qui doivent hériter le salut. Ceux qui ont été envoyés ou ceux qui sont destinés à hériter de la béatitude. Vous voyez ? Dieu a des messagers dans le ciel. Dieu a des messagers sur la terre. Le même mot “ange” signifie “ange” et “messager”. C'est un seul et même mot “des anges”. Que tout le ciel participe, je m’en réjouirais. Si le ciel entier se mettait en mouvement, si tous les anges de Dieu participaient. S'il y a déjà de la joie dans le ciel pour un pécheur qui se repent parmi les anges, lisons-nous, qu'en sera-t-il alors de tous les anges si beaucoup sont conduits et amenés au Seigneur ? Je ne m'étonnerais pas du tout si les deux agissent ensemble. Dieu dans le ciel et Dieu sur la terre, Dieu du ciel d'une manière surnaturelle. Dieu ici par nous, dans son corps, dans son Église, union totale du ciel et de la terre. Je veux dire maintenant du domaine divin, il n'est pas si loin. Le domaine divin n'est pas si loin, il est très proche. Le Royaume de Dieu n'est pas loin, il est très proche.
Et comme nous l'avons dit, ces anges contemplent toujours la face de Dieu, de leur Père céleste. Dieu veillera en effet à ce qu'à la fin du temps du monde, lorsque la moisson sera rentrée, tout sera en mouvement, le ciel et la terre. Ses messagers du ciel, ses messagers sur la terre, Il fera d'eux des serviteurs, puis de nous une flamme du feu et une union divine du ciel sur la terre. On pourrait dire par le Saint-Esprit dans et par l'Église du Dieu vivant. Je m'en réjouis. La récolte vient tout à la fin. Et remarquez que l'ivraie est rassemblée. Elle est enlevée de partout. À la fin, il ne restera plus qu'un champ de blé pur. Le blé sera mis dans le grenier et l'ivraie sera brûlée. Notre Dieu est un Dieu fidèle. Qu'Il soit remercié pour l'Ancien et le Nouveau Testament. Qu'Il soit remercié pour les prophètes. Qu'Il soit remercié pour les apôtres. Qu'Il soit remercié d'avoir envoyé son serviteur et prophète William Branham dans notre génération, pour mettre sur le chandelier les promesses de la parole qui étaient destinées à ce temps dans lequel nous vivons, pour nous les rendre proches, pour nous les annoncer. Que notre Dieu soit remercié de nous avoir ouvert l'esprit, la compréhension pour l''écriture. Dites une fois amen à cela. Amen !
Que Dieu nous ait donné cela à nous, justement, la balayure du monde, nous ne sommes rien. Où sont les gens haut placés parmi nous, les notables, ceux qui jouissent d’une réputation, un rang et un nom ? Ils ne sont pas ici, ils sont ailleurs, à Rome, au Vatican, ici au Concile, à Genève et à New-York et partout. Mais ils ne sont pas ici parmi nous. Dieu en appellera encore quelques-uns, certainement parmi les plus élevés, car il sait où ils sont et qui ils sont. Mais nous pouvons dire une chose : nous honorons notre Seigneur de tout notre cœur, car Il a fait de grandes choses pour nous. Nous les petits aujourd'hui seront alors les plus élevés, ceux qui seront honorés d'être avec notre Seigneur devant Son trône, de régner avec Lui, et même d'être avec Lui sur son trône et de régner avec Lui sur son trône.
Qu'Il soit encore une fois remercié de tout cœur, Lui le Dieu vivant, pour sa précieuse et sainte Parole, pour son Saint-Esprit qui conduit clairement dans toute la vérité, de manière si claire sans doute pour nous et qui guide clairement dans toute la vérité, pour nous avoir donné par grâce la vue d'ensemble et la compréhension de son plan de salut qui s'achève.
En ce temps maintenant, je pense que nous devrions tous le remercier du fond du cœur. En fait, je me réjouis quand certains frères prient et cela doit rester ainsi. Mais nous tous, nous devrions aussi prier doucement pour que nos frères et nos voix s'élèvent ensemble vers le trône de Dieu en reconnaissance de ce qui de ce qu'Il a fait pour nous. Notre Dieu peut nous entendre tous et des millions à la fois. Qu'il nous bénisse et soit avec nous tous, par grâce au nom de Jésus. Amen.
Levons-nous et remercions ensemble le Seigneur. Seigneur Dieu tout puissant. Mon cœur est touché pour te remercier pour ta adorer. Tu nous as fait voir clairement la partie évangélique de la Parole. La partie de l'enseignement de la Parole, et la partie prophétique par grâce. Je te remercie pour mes frères bien aimés du commencement du Nouveau Testament, qui ont été ainsi conduits par l'Esprit de Dieu et pour les prophètes dont ils ont pris les paroles et que c'était ta Parole qu'ils ont si merveilleusement classé dans son contexte et dans son accomplissement, c'est à dire placés là où elle devait être. Oh Dieu, tu nous as laissé tout un programme clair, concis et compréhensible par ta grâce, parce que tu nous as ouvert l'esprit à l'écriture.
Seigneur bien aimé, nous sentons ta présence directe. Tu es présent. Alléluia ! Tu es présent. Tu connais tous les cœurs, tous les frères et sœurs bien aimés qui ont levé les mains. Tu connais leurs préoccupations, leurs besoins. Nous venons devant ta Sainteté avec nos besoins, et leurs besoins et leurs requêtes au nom de Jésus-Christ de Nazareth, en raison de l'œuvre de la rédemption accomplie sur la croix à Golgotha. Nous avons le droit de nous approcher du trône de la grâce sous l'aspersion du sang de l'Agneau. Seigneur bien aimé, exauces-nous, réponds à notre appel. Sauve-nous, délivre-nous. Guéris-nous, bénis et révèle-toi à nouveau à chacun de nous. Accorde-nous un baptême dans le Saint Esprit, comme au début, comme au commencement. Revêts de ton Esprit ton Église de manière puissante pour son ministère, à l'engagement final. Fais en sorte que le ciel tout entier y participe et que les œuvres de l'enfer soient détruites et qu'une grande campagne de libération soit manifestée, une marche triomphale du Seigneur lui-même, notre Dieu avec son peuple, pour l'honneur et la gloire et la louange du Nom du Seigneur et pour la confirmation de son peuple et de sa Parole. Seigneur bien aimé, nous sommes à toi. Nous le savons que tu confirmeras ta parole en nous et par nous. Adoration et gloire à ton nom. Tu l'as dit : “les œuvres que j'ai faites, vous les ferez aussi”. Seigneur, cela doit venir. L'écriture est vraie et tu l’accompliras. Loué et exalté sois-tu ! Seigneur bien aimé, en vertu de l'autorité, de la Parole de Dieu et de la puissance du nom de Jésus-Christ de Nazareth, que la libération soit annoncée à tous ceux qui sont liés, le salut aux perdus, la guérison aux malades au nom puissant de Jésus-Christ de Nazareth par la puissance de Dieu. Hallelujah ! C'est accompli, c'est fait, c'est arrivé. Amen. Amen.