Ewald Frank
05 février 1989 à 10 heures 00, Krefeld, Allemagne
N’ALLEZ PAS DE MAISON EN MAISON POUR MÉDIRE DE CEUX QUI SONT ABSENTS
(Retransmis le 14 décembre 2025)
Loué et remercié soit le Seigneur de ce que nous pouvons déjà sentir Sa présence ! Un auteur-compositeur chante : « Sans la présence de Dieu, mon cœur est attristé ; sans la présence de Jésus, toute joie n’est qu’une douleur amère ! ». Si le Seigneur n’est pas présent, s’Il ne bénit pas et si nous ne savons pas vraiment qu’Il est avec nous, même la joie terrestre est ensuite une grande peine. Que Dieu soit avec nous pour que nous devenions les bénis du Seigneur, comme Dieu le disait à Abraham : « Je te bénirai et tu seras une bénédiction ».
En lisant le Psaume qui dit qu’aucun homme n’est juste devant Dieu, j’ai vu le pont vers le Nouveau Testament, et j’ai pensé à Romains 3 où il est écrit que nous avons été justifiés par la foi. Nous étions impurs, indignes, loin de Dieu, mais nous avons été rapprochés. Avant de donner un certain nombre d’annonces, je voudrais lire cette parole dès maintenant. Romains chapitre 3, à partir du verset 21 :
« Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes » pas la justice des hommes, mais la justice de Dieu, « justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n’y a point de distinction ».
La justice de Dieu a une personne de référence, et c’est Jésus-Christ. Celui qui cherche la justice de Dieu sans la justification par la foi en Jésus-Christ, il la cherche en vain. C’est en Christ et en Lui seul, que se trouve notre justification, et c’est par la foi qu’elle nous est accordée. Et puis, la constatation au verset 23 :
« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » et ensuite de nouveau cette glorieuse déclaration : « et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ ».
Ça c’est l’Évangile ! Loué soit le nom du Seigneur ! Il est dit encore ici : « C’est lui que Dieu a destiné à être, par son sang pour ceux qui croiraient, victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience ».
Ce qui m’a semblé important ici était que nous sommes venus dans ce monde en tant qu’êtres humains, injustes, séparés de Dieu et nés dans le péché, impurs, mais que le Seigneur est venu dans ce monde pour chercher et sauver ce qui est perdu, pour nous ramener dans la condition divine. Et celui qui croit en Jésus-Christ, c’est celui qui croit Dieu, c’est celui qui croit ce que Dieu a fait en Christ. Et c’est pourquoi ce n’est pas seulement le mot foi qui est valable, mais le terme « foi en Jésus-Christ ». Cela reste ainsi.
Je fais simplement partie des gens qui peuvent se réjouir de tout cœur lorsque Dieu bénit et utilise les autres. Je l’ai toujours dit : Ce n’est que lorsqu’un prédicateur se réjouit que Dieu bénisse et utilise les autres, que vient pour lui le temps d’être béni et utilisé par Dieu. Tant qu’il y a de l’envie et de la jalousie dans le cœur d’un homme, Dieu n’est pas encore là. Comprenez-vous cela ? Nous l’avons déjà mentionné ici hier soir dans la prédication : Le Seigneur veut faire Sa demeure en nous. Nous devons devenir un temple de Dieu afin qu’Il puisse habiter en nous et agir à travers nous.
Lorsque j’ai vu et entendu frère Branham en son temps, j’ai ressenti une joie comme jamais auparavant dans ma vie ! Et il devient d’autant plus incompréhensible que ce monsieur qui se fait passer pour un prophète dans le Sud de l’Allemagne, ait dit que j’ai commandé un tireur d’élite qui devait en son temps tuer William Branham. Tout ce qui est mis en circulation est tout simplement ahurissant. Mais du fait que j’ai été un peu éclairci, cela reste chez moi comme avant. Rien ne change quoi qu’ils disent. Nous sommes tellement reconnaissants au Seigneur que nous n’avons pas besoin de réagir à de telles attaques. Ce sont de pauvres gens qui sont à plaindre.
Que peut-on dire ou faire d’autre ? J’ai aujourd’hui, délibérément peut-être à cause de ceux qui ne sont pas toujours ici ou qui n’ont pas un aperçu de la vocation particulière de frère Branham, je voudrais le souligner ici aujourd’hui parce qu’à cause de ma dernière Lettre Circulaire, certains ont eu l’impression que je fais des reproches ou que je veux corriger. Ce n’est ni l’un ni l’autre ! Je n’ai écrit que parce qu’on a fait de William Branham Jésus Christ, la Parole faite chair, Dieu, et bien d’autres choses encore. C’est pour cette raison que j’ai dû écrire consciemment comme j’ai écrit, et j’espère que cela a été et est suffisamment clair pour tous.
D’une part, le service infaillible par révélation divine en tant que prophète, et d’autre part, l’homme et le prédicateur qui a apporté la Parole et qui était soumis aussi à une croissance et qui ne pouvait apporter des choses que telles qu’elles lui avaient été révélées par Dieu.
Les prophètes ont aussi été dépendants de ce que Dieu leur montrait et leur révélait. Quand il s’agit de l’appel divin, je le soutiens jusqu’au bout : Cette lumière au-dessus de la tête de frère Branham était suspendue au-dessus de lui pendant quelques heures, environ trois heures après sa naissance, dans la pièce où il se trouvait. La mère et la grand-mère et ceux qui étaient encore là virent cette lumière de leurs yeux terrestres, et ils ont demandé à la même heure quelle serait la signification de cette chose. Cette lumière apparaissait à chaque fois : C’est la colonne de feu qui accompagnait le peuple d’Israël, la même colonne de feu depuis laquelle le Seigneur a parlé à Moïse ; c’est cette même lumière que Saul a rencontré sur le chemin de Damas, et c’est de cette lumière que le Seigneur lui a crié ces mots : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-Tu ?».
Lorsque vous verrez le film… spécialement nos frères et sœurs bien-aimés qui viennent maintenant de la Russie, nos amis de la Roumanie qui sont de plus en plus nombreux… Dieu vous bénisse tous ! Ils arrivent même maintenant. Nous nous réjouissons de l’ouverture des frontières. Nous allons vous montrer le film. Et puis frère Branham dit encore et encore : « Maintenant la lumière est sur cette femme et cette femme ; maintenant elle est sur cet homme et cet homme », c’est la même lumière qui descendait dans les réunions quand frère Branham priait pour les malades et que l’Ange de l’Éternel Se tenait à côté de lui, et tout ce qui était révélé était la vérité à cent pour cent. Je veux juste que tout le monde sache pour toujours que je suis avec Dieu et avec ceux que Dieu a appelé et envoyé.
L’autre chose, c’est cette image que j’ai apporté aujourd’hui du magazine Life, l’édition anglaise et l’édition américaine, où l’on voit Rockefeller avec sa femme en couverture, mais ici, la même lumière a été prise à une distance de trois cent vingt-cinq kilomètres. Vous la voyez ? Vous la voyez naturellement beaucoup mieux ici. Et celui qui quitte le bâtiment n’a qu’à regarder vers le haut, vers la colonne, et c’est là que se trouve la lumière. On y voit très clairement même le visage du Seigneur. Et c’est le jour du 28 février 1963 que cette lumière est descendue et que le Seigneur a parlé depuis ce nuage de lumière dans lequel frère Branham a été littéralement enveloppé, et les sept anges l’ont en effet entouré dans cette lumière sous la forme d’une pyramide et il lui a été dit : « Retourne à Jeffersonville, car le temps est venu d’ouvrir les sept sceaux ».
Je témoigne ici avec un cœur sincère devant Dieu, devant vous et devant tous ceux qui l’entendront encore, que je suis fidèle au mandat et à l’appel divin et que je proclamerai jusqu’à la fin ce que Dieu a révélé. Ma tâche consiste toutefois à ordonner toutes choses selon la Bible et à ne prêcher que ce que je peux annoncer à partir de la Bible. Je laisse tout le reste à Dieu.
J’ai apporté un autre enregistrement que peut-être peu d’entre vous ont vu. Un homme d’affaires, un multimillionnaire nommé Argenbright que je connaissais aussi personnellement et qui accompagnait souvent frère Branham, il a pris deux photos, l’une au début de la réunion, frère Branham se tient ici, voici le pupitre et l’autre lorsqu’il a prié et a soudain dit : « Maintenant la présence de Dieu est ici ». Toute la zone de la chaire imprégnée de feu comme prise par un objectif et reproduite ici sur cette photo.
Dieu est un Dieu qui Se manifeste, un Dieu vivant. Il peut apparaître dans la colonne de feu, Il peut apparaître dans la colonne de nuée, Il peut Se révéler comme Il veut ! Et nous témoignons qu’Il S’est révélé. C’est ce qui distingue frère Branham de tous les autres évangélistes pour qui Dieu ne S’est pas révélé et manifesté d’une manière aussi surnaturelle. Nous ne faisons pas de grandes comparaisons, ou ne classons pas en catégorie de grands et de petits, mais je veux faire partie de ce que Dieu fait à mon époque. Pas une partie de ce que font les grands évangélistes, mais une partie de ce que Dieu a fait et fait de nos jours.
Pour ceux qui trouvent certaines choses difficiles à comprendre dans les prédications de frère Branham, laissez-moi vous dire ceci pour vous éclairer : Au fond, il n’y a rien de directement difficile à comprendre si cela n’a pas été sorti de son contexte et rendu difficile à comprendre par de soi-disant experts. Si l’on lit et relit les prédications dans leur contexte, tout devient clair si on les laisse comme ça. Mais si l’on sort des choses de leur contexte, cela ne forme plus un tout et devient alors difficilement compréhensible et est déformé en fait.
Si vous trouvez encore des choses de ce genre, lisez, s’il vous plaît, le troisième chapitre de la deuxième lettre de Pierre, du verset 14 à 18, et Pierre ici écrit qu’il y a des choses difficiles à comprendre dans les lettres de Paul. Je vais peut-être vous le lire pour que vous sachiez que c’est écrit. Les hommes de Dieu ont reçu les choses par révélation, et pour ceux qui n’ont pas de révélation, c’est difficile à comprendre pour eux. Et nous non plus, nous n’avons pas tout compris tout de suite. Cela allait de clarté en clarté et de connaissance en connaissance. Je lis dans 2 Pierre chapitre 3 verset 16 :
« C'est ce qu'il fait dans toutes les lettres, où il parle de ces choses, dans lesquelles il y a des points difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies tordent le sens, comme celui des autres Écritures, pour leur propre ruine ».
C’était déjà le cas à l’époque des apôtres. Il en est de même aujourd’hui. Et quiconque lit le premier écrit à l’église d’Éphèse, il trouvera exprimé la pensée suivante : « Tu as éprouvé ceux qui se disaient apôtres et tu les as trouvés menteurs ». C’étaient des hommes qui ne portaient que le masque d’apôtres. Mais cela va encore plus loin, l’avertissement nous est adressé et plus précisément aux versets 17 et 18 :
« Vous donc, bien-aimés, qui êtes avertis, tenez-vous sur vos gardes, de peur qu'entraînés par l'égarement des impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté ».
Il y a des gens qui ont été emportés, entraînés, et qui emportent et entraînent les autres avec eux. Ne vous laissez pas emporter et entraîner, mais tenez bon et soyez fermes, ne soyez pas ballottés par tout vent de doctrines, de faux enseignements, mais soyez fondés sur la Parole infaillible de Dieu.
Quand je pense que lorsque j’étais à Jérusalem, il y avait déjà vingt et un hommes de différents pays qui disaient : « Nous sommes les deux témoins ! Nous sommes les deux témoins ». Donc, chacun d’eux voulait être l’un des deux témoins qui devaient venir. Et je vous garantis que de ces vingt et un, aucun d’entre eux ne l’était ! Pas la revendication, ce sont des idées. Et puis de faux esprits viennent motiver les gens en pensant : « Oui, c’est moi ». Seul celui que Dieu désigne le sera et il ne sonnera pas de la trompette devant lui et pour lui ! Il attendra que Dieu Lui-même rende témoignage. D’ailleurs, ce sera Moïse et Elie. Ainsi, aucun des païens ainsi conçus ne doit s’inquiéter de la grandeur de sa mission pour Israël.
Quoi qu’il en soit, il en va de même pour les théologiens du message de la fin des temps : Combien se sont trouvés à vouloir être l’homme dont frère Branham a parlé, qui viendrait encore, pour lequel il a posé la plateforme, s'il n'était pas celui-là ? Frère Branham, dans l’humilité que Dieu lui a donnée, n’a-t-il pas parlé d’une phase de son service puis d’une l’autre ? Et je vous dis aussi pourquoi : Il a parlé du premier pull, du deuxième pull et du troisième pull, et il a posé la plateforme la première fois pour le deuxième tour, la deuxième fois pour le troisième tour. Mais, tout comme Paul, Branham était un humble homme de Dieu. Il n’a pas dit : « C’est moi qui ferai la chose ! ». Ensuite, Paul dit dans 2 Corinthiens 12 : « Je connais un homme qui a été ravi jusqu’au troisième ciel dans le paradis ». Il ne dit pas : « C’est moi qui ai vécu cela ! J’ai été ravi ! », non. Les vrais hommes de Dieu restent dans l’ombre, ils rendent gloire à Dieu et c’est ce qu’a fait frère Branham.
D’ailleurs, si vous lisez attentivement les prédications et que vous connaissez les saintes Écritures suffisamment, à fond, il n’est question que de sept messagers (Apocalypse chapitre 1 verset 20). Je vais vous le lire. Apocalypse chapitre 1 verset 20. Il est clairement écrit ici :
« Le mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite, et des sept chandeliers d'or. Les sept étoiles sont les anges des sept Églises, et les sept chandeliers sont les sept Églises ».
Où est-il fait mention ne serait-ce qu’une seule fois d’un huitième ange ? Je l’ai déjà dit en 1968, lorsque les premiers experts ont fait leur tour : Sept anges, en tant que sept messagers, étaient dans la main du Seigneur. Et si un huitième apparaît quelque part, alors nous devons poser la question de savoir dans la main de qui il est, car dans la main du Seigneur, il n’y en avait que sept. Ou bien, n’ai-je pas bien lu ? Si ! J’ai bien lu : Sept ! Sept, le nombre de la perfection divine et de l’achèvement divin : Sept Églises, sept âges, sept messagers. Et nous croyons que frère Branham était le septième messager et qu’il n’y en aura pas de huitième ! Il n’y aura que des hommes de Dieu pour prêcher la Parole révélée qui nous a été confiée, pour distribuer la nourriture spirituelle et pour transmettre au peuple de Dieu la manne cachée qui a été révélée. Il n’y aura rien d’autre.
Nous pourrions lire quelques passages à ce sujet, mais ce n’est pas le sujet de ce matin. Je voulais juste le dire pour que tous sachent et que cela puisse être entendu dans le monde entier, que tous puissent connaitre la position que j’occupe devant Dieu et l’humanité : Je ne suis pas un prophète, je ne suis pas un huitième messager, mais je suis quelqu’un que la grâce a trouvé, et quelqu’un qui ne l’a pas cherchée, mais à qui il est revenu d’annoncer la Parole du Seigneur, et cela dans le monde entier. Et ainsi, que le Seigneur bénisse Sa glorieuse Parole en nous tous et qu’Il soit avec nous tous !
Bien-aimés, nous voyons et entendons chaque jour de plus en plus clairement que nous vivons dans les derniers jours. S’il y a des gens qui ne savent pas encore que nous vivons maintenant dans les derniers jours, lisez donc même le journal, je n’ai pas le temps de les lire. Je ne le fais que de temps en temps. Frère Kupffer m’a donné tout à l’heure une coupure de journal d’Alsace, et écoutez ce qu’écrit ici : Un évêque romain… Je n’ai noté que deux phrases en allemand : « Sans les homosexuels, on n’entre pas dans le royaume de Dieu. Les homosexuels nous précèdent dans le royaume de Dieu ! ». [Frère Russ dit : « C’était aussi écrit dans l’un de nos journaux ici »]. Eh bien, qu’a dit notre Seigneur ? « Au jour du Fils de l’homme, il en sera comme au jour de Sodome ». Ils ont déjà marié des personnes en costume officiel ! Deux hommes en costume officiel. L’avez-vous déjà lu ? Oui. Et bientôt, ils marieront aussi deux femmes. [Frère Schmidt dit : « Cela a déjà eu lieu »]. J’ai une lacune d’information alors !
Oui, mais, à quelle époque vivons-nous alors ? Comme le Seigneur l’a dit, à Sodome c’était seulement l’homosexualité, maintenant c’est aussi l’autre chose. Et je vous lis cela du chapitre 1 des Romains. Le Dieu vivant, le Dieu omniscient, qui sait toutes choses, a vraiment pensé à tout. C’est écrit ici, Romains chapitre 1 verset 26 :
« Voilà pourquoi Dieu les a abandonnés à des passions avilissantes : leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à des pratiques contre nature. Les hommes, de même, délaissant les rapports naturels avec le sexe féminin, se sont enflammés de désir les uns pour les autres ; ils ont commis entre hommes des actes honteux… ». [Trad. Bible du Semeur].
C’est ainsi que cela est écrit déjà dans la parole de Dieu. Il y a des gens qui ne veulent pas croire que la parole de Dieu a dit la vérité. Mais nous le voyons partout accompli dans les choses terrestres, dans le spirituel, dans la politique, de chaque manière, dans chaque domaine, nous voyons la parole de Dieu accomplie.
Au jour de Sodome, c’était l’époque où le Seigneur S’était révélé à Abraham et où les deux anges étaient allés à Sodome. Et ces sodomites n’avaient même pas de respect pour cette haute visite ! Ils voulaient s’en prendre à ces deux hommes ! Et qu’a dit Lot ? « Je vous donne mes filles qui n’ont encore couché avec aucun homme ; prenez-les, et faites-en ce que vous voudriez ». Ils ont dit : « Non, nous voulons ces deux hommes ». Tordus, possédés par des démons.
Il y a eu des hommes de Dieu, et vous pouvez le lire, qui ont peut-être eu trop de femmes à un moment donné, mais il n’y avait aucun d’eux qui était possédé pour accomplir ce mal avec un autre homme ! C’est une chose directe et perverse qui vient de Satan. Et si quelqu’un a ce penchant, qu’il vienne pour qu’on prie pour lui sous l’autorité divine pour qu’il soit délivré. Cela est le cas pour les deux parties. Vous savez qu’il y en a qui peuvent être sous l’emprise de démons. Si nous lisons dans Juges 8 verset 30, il y avait Samson… non, Gédéon, qui avait soixante-dix fils sans compter les filles. Il y avait des hommes qui ont fait ce qui ne plaisait pas à Dieu, ou alors qui l’ont fait sans Son approbation. Mais ce qui se passé ces derniers temps dépasse toutes mesures ! Il n’y a pas de crainte de Dieu parmi les hommes. Que le Seigneur nous fasse donc la grâce à nous, Son peuple, d’échapper à tout ce qui doit venir sur la terre.
Et vous savez, celui qui lit attentivement l’Apocalypse, il constatera que pas seulement les rois de la terre, mais aussi les dignitaires et cette parole est littéralement écrite dans la Bible. Aujourd’hui, quand on va quelque part : « Révérend untel ! », il faut entendre tout cela comme titre et comme ça. Une fois j’ai donné une conférence à Vienne, et cet homme-là, dans cette belle maison, m’a aussi appelé comme ça, par un titre. Bien sûr qu’il y a eu une cascade qui est sortie de ma bouche pour corriger. J’ai dû le corriger, et cela sur le champ. On n’attend pas. Il savait qu’il s’agissait d’une réunion religieuse, et alors la politesse autrichienne s’accompagnait de titres et en plus, il a même dit « Révérend », et tout ça, mais j’ai dû le corriger sur le champ. Mais c’est ici, il est décrit dans l’Apocalypse au sixième chapitre et en rapport avec le sixième sceau, quand les étoiles tomberont du ciel et que les puissances des cieux seront ébranlées, il est écrit au verset 15 :
« Les rois de la terre et les hauts dignitaires, les chefs militaires, les riches et les puissants, tous les esclaves et tous les hommes libres, allèrent se cacher au fond des cavernes et parmi les rochers des montagnes. Ils criaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous et cachez-nous loin du regard de celui qui siège sur le trône, loin de la colère de l’Agneau. Car le grand jour de leur colère est arrivé, et qui peut subsister ? ». (Trad. La Bible du Semeur).
Ce jour-là, les grands hommes politiques ne recevront plus les dignitaires et les dignitaires ne recevront plus les grands hommes politiques. Ce jour-là, il en sera de même pour les deux. Alors la colère de Dieu se déchaînera contre tous ceux qui n’auront pas cru à l’Évangile. C’est pourquoi il est écrit que nous devons être trouvés dignes d’échapper à tout ce qui s’abattra sur le monde, afin de nous tenir devant le Fils de l’homme. S’il vous plaît, n’enviez pas les dignitaires, les grands de ce monde ! Ne pensez pas : « Oh ! Ils sont tous tellement honorés ! ». C’est éphémère, c’est passager, bientôt on n’en entendra plus parler et on n’en verra plus. L’heure est proche où chaque genou fléchira et où chaque langue confessera que Jésus-Christ est le Seigneur. Tous devront s’incliner devant Lui, grands et petits, riches et pauvres, les politiciens comme les dignitaires, au même niveau.
Nous voulons passer à notre observation de la Parole. Vous savez, même notre Seigneur, quand vous lisez les évangiles, Il est passé d’un sujet à l’autre. Lisez les quatre évangiles, et vous verrez comment Il passe soudainement d’un sujet à l’autre dans un chapitre, toujours de la manière dont cela était nécessaire. Nous ne sommes pas ici pour annoncer la Parole de manière unilatérale. Nous sommes ici pour proclamer le conseil de Dieu.
Êtes-vous vraiment convaincus que nous vivons dans les derniers jours ? Êtes-vous vraiment convaincus qu’il s’agit de la dernière génération ? Le peuple d’Israël est rentré chez lui comme signe des temps, nous voyons beaucoup de choses s’accomplir, le dernier message est apporté, les uns refusent avec véhémence, les autres accueillent, reçoivent et acceptent chaleureusement. C’est toujours la petite troupe qui a accepté. Elle a été méprisée, comme ont été méprisés les prophètes, le Seigneur et les apôtres. Mais à chaque époque, la parole de notre Seigneur s’est accomplie : Il est dans le bon plaisir du Père de donner le royaume au petit troupeau et non à la grande masse. Non, au petit troupeau. L’Église de Jésus-Christ a toujours été ce petit troupeau qui suivait le Berger et qu’Il conduisait dans de verts pâturages et à qui il ne manquait jamais quoi que ce soit, même en temps de sécheresse, Dieu les a nourris et abreuvés.
Je voudrais en venir à Luc chapitre 10, et je vais brièvement souligner quelques pensées ici et relever certaines choses. Luc chapitre 10. Un chapitre tout à fait merveilleux, magnifique en ce qui concerne l’appel, la prédication, la moisson qui doit être apportée et la manière dont Dieu a autorisé ceux qui sont envoyés par le Seigneur pour annoncer la Parole. Il est dit du verset 1 :
« Après cela, le Seigneur désigna encore soixante-dix autres disciples, et il les envoya deux à deux devant lui dans toutes les villes et dans tous les lieux où lui-même devait aller ».
Il y a là quelque chose de tout à fait merveilleux : Je ne veux aller que dans les villes où le Seigneur veut aussi aller. Comprenez-vous cette pensée ? Il les a envoyés dans les villes où Il voulait Lui-même Se rendre. Je ne veux aller que dans les villes où je sais que le Seigneur viendra aussi dans cette ville. À quoi servirait-il que j’y aille s’Il ne venait pas aussi pour bénir, pour sauver, pour délivrer et guérir ? Quelle est la prière et la préoccupation des hommes qui sont envoyés ? Qu’ils aient de grandes masses devant eux et qu’ils aient ensuite peut-être un peu d’ampleur, une grande foule parce que cela leur monte à la tête ? Non ! Celui qui est envoyé par le Seigneur peut tout de même distinguer que la chose ne vient pas de lui, mais de Dieu. Nous sommes de pauvres esclaves serviteurs, des vases de terre indignes. Ce n’est pas le récipient qui compte mais le contenu. On peut avoir un vase d’or, un vase irréprochable, mais si le contenu n’est pas bon, à quoi bon un beau récipient, un beau vase ? Mais quel que soit le vase, et Paul l’écrit aux Corinthiens, dans 2 Corinthiens 4 verset 7 : « Nous portons ce trésor dans des vases de terre ». Notre corps, ce corps décrépit est devenu un temple du Dieu vivant.
Eh bien, frère Kier m’a dit quelques jours quelque chose d’encourageant et d’édifiant. Il m’a dit à peu près ainsi : « Frère Frank, ne regarde pas à toi. La Parole que Dieu a placée en toi t’a sanctifié pour le service que Dieu t’a confié ». Ce n’est pas le vase. C’est le contenu qui est dans le vase. Et je veux transmettre le contenu divin tel qui m’a été donné par Dieu. Au verset 2 il nous est dit :
« Il leur dit : La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson ».
Le Seigneur n’était pas encore satisfait de l’envoi des douze, il ne suffisait pas que soixante-dix autres soient envoyés. « La moisson est grande », la multitude des peuples sur toute la terre. Qu’est-ce que douze et qu’est-ce que c’est que soixante-dix personnes ? Actuellement nous avons environ cent cinquante-quatre pays sur la terre, à moins que quelques îles ne soient devenues nouvellement indépendantes. Qu’y a-t-il là-bas ? Une poignée de personnes !
Bien-aimés, si nous croyons que nous vivons dans les derniers jours et que le dernier message doit parvenir jusqu’aux extrémités de la terre, prions honnêtement et sincèrement pour que Dieu envoie des ouvriers dans Sa moisson ; non pas dans la tienne ou dans la mienne, mais dans Sa moisson ! Qu’Il trouve dans chaque langue les hommes qu’il faut pour proclamer et porter la Parole telle qu’elle nous a été révélée et qu’elle est vraie. Qu’à la fin, l’épouse marche au même pas.
Frère Branham avait une vision : Il a vu d’abord l’épouse telle qu’elle était au commencement : Magnifique, vêtue de blanc, sans taches, ni rides ; et puis, il a vu la deuxième image qui suivait : De la musique rock and roll l’accompagnait. Elle devait encore être l’épouse. Elle n’avait plus de robe blanche du tout, mais seulement quelque chose d’attaché autour de la taille avec quelques objets qui pendaient vers le bas comme de la frivolité. Et elle était comme cela devait être. Et frère Branham a dit : « Quand j’ai vu ça, mon cœur s’est mis à pleurer ! ». Puis, il a regardé tout devant lui et a vu celle qui les dirigeait. Mes sœurs, pardonnez-moi de transmettre ceci ou cette révélation de cette manière, mais c’était une femme : « Elle ressemblait à une sorcière », dit frère Branham, celle qui conduisait. Vous avez sûrement déjà tous lu. Il s’est senti mal et il a dit : « Mon Dieu ! Est-ce le résultat de toute ma prédication et de l’engagement de tous les frères ? ».
Alors qu’il était ainsi brisé dans cette vision devant le Seigneur, la troisième image arriva, et voici qu’il y avait de nouveau une épouse comme au commencement. De même, à la fin, une épouse glorieuse parée et vêtue de blanc, sans tache ni ride ; et puis il a regardé certaines ont en quelque sorte glissé et se sont écartées du pas et il devait les ramener pour les remettre au même pas.
Bien-aimés, faisons attention à cela aussi : S’il vous plaît, si quelqu’un glisse, ne voyons pas tout de suite en lui un ennemi et ne pensons pas qu’il est parti pour toujours. Il faut distinguer s’il s’agit d’un égarement et d’une confusion, d’un égarement, d’une déviation passagère ou si quelqu’un a vraiment péché contre Dieu ou contre l’Esprit de Dieu et ne peut plus revenir.
Cela vous aidera peut-être. Ce n’était pas du tout prévu dans le programme, mais c’est écrit dans Jacques au chapitre 5, et que cela nous aide à avoir la bonne attitude à ce sujet. Jacques chapitre 5, versets 19 et 20 :
« Mes frères, si quelqu'un parmi vous s'est égaré loin de la vérité, et qu'un autre l'y ramène, qu'il sache que celui qui ramènera un pécheur de la voie où il s'était égaré sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés ».
Avez-vous déjà lu cela de cette façon ? Il y a beaucoup qui disent que les élus ne seront pas séduits et ainsi de suite, et s’il arrive que quelqu’un s’égare, dévie ou glisse, il est immédiatement rejeté comme n’ayant pas été élu. S’il vous plaît, ne jugez pas avant le temps. Attendez la fin. Même à propos des prophètes, il est dit : « Considérez leur fin », non pas le temps intermédiaire, non pas le début, le commencement, non pas la moitié du chemin, mais « considérez leur fin et imitez leur foi ». Nous devons agir de manière biblique en toutes choses.
Par exemple, si quelqu’un est dans la vérité et qu’il est égaré pour un temps et qu’il dévie pour un temps d’une manière ou d’une autre, Dieu est capable de le ramener. Mais si de faux frères qui n’ont jamais été dans la vérité, qui se sont glissés dans la foi selon Galates 2, infiltrés parmi vous, suivent leur propre chemin, il faut les laisser partir. Et ils ne se laisseront pas non plus ramener facilement. Mais celui qui est vraiment de la vérité et qui est né de Dieu se laissera corriger et ramener. Il n’aura pas de résistance intérieure à la Parole de Dieu. Tôt ou tard, il reviendra à la vérité et le Seigneur lui fera grâce.
Revenons maintenant… ou peut-être encore cette parole, parce qu’elle s’ajuste ici à cette pensée, 2 Thessaloniciens, juste pour vous montrer cette différence entre ceux qui s’écartent, qui s’égarent, qui glissent et ne reviennent pas, et entre ceux qui font parfois un petit détour et reviennent ensuite. 2 Thessaloniciens chapitre 2 du verset 10 :
« Et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés ».
Voici la différence : Il y a des gens qui n’ont pas l’amour de la vérité. Ils ont l’amour de leurs connaissances spéciales, de leurs renseignements spéciaux, de leurs révélations spéciales, et ce sont les personnes qui n’ont pas l’amour de la vérité. La vérité est la Parole de Dieu ! Pas une révélation spéciale. Celle-ci ne devient pour lui qu’une idole et un fléau, une abomination, parce qu’elle n’est pas biblique. La Parole de Dieu seule est la vérité, et toute révélation qui vient de Dieu vient de l’intérieur de ces deux couvertures, la Bible, et non de l’extérieur. Elle est donc en accord avec la Parole.
Ensuite, le verset 11 dit : « Voilà pourquoi… ». Pour quelle raison, voilà pourquoi, parce qu’ils n’ont pas embrassé l’amour de la vérité. C’est là tout le problème. Et je sais de quoi je parle. J’ai été suffisamment présent sur le plan international parmi les frères qui n’ont même plus pris la Bible en main. Ils ont voulu prouver leurs révélations et leurs renseignements particuliers à partir des prédications de frère Branham et ils ont voulu le prouver ; et quand j’ai dit : « Attendez une minute : Il est temps d’en venir maintenant à la Bible », savez-vous qu’elle a été la réponse ? « Personne ne comprend la Bible ! Seul le prophète l’a comprise ». Voilà où en sont les hommes.
Je sais de quoi je parle. Mon service ne date pas d’hier. J’ai vu beaucoup de choses et j’ai été témoin de beaucoup de choses. Souvent, mon cœur était déchiré. Ce n’était pas le lien, la relation à la vérité qu’ils avaient ! C’était la recherche de quelque chose de nouveau qui pourrait à nouveau attirer les gens et les rendre à nouveau enthousiastes. Nous devons revenir à l’ancienne Parole de Dieu. Comme l’a dit le frère Russ, elle est tous les jours, tous les matins, nouvelle, et le soir, elle n’a pas encore vieilli, mais elle est encore nouvelle, même quand on l’ouvre à minuit, elle est encore nouvelle ! Alléluia ! Gloire à Dieu ! Revenir à la Parole de Dieu. Maintenant le verset 11 :
« Voilà pourquoi Dieu leur envoie une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés ».
Dans ce cas, il n’est plus question de corriger. Remarquez-vous la différence ? Dans Jacques 5, il y a un égarement, mais celui qui s’y est égaré avait un lien avec la vérité, avec la Parole de Dieu, il était une semence divine, il était né de Dieu. Ici ce sont des hommes qui n’ont même pas reçu et embrassé l’amour de la vérité, qui veulent seulement vendre des spécialités pour faire de bonnes affaires. Non. Et c’est ici la grande différence : Les uns seront ramenés et en sont ensuite reconnaissants à Dieu, les autres passent d’une erreur à l’autre et ne se laissent plus rien dire. Voilà la différence ! Au contraire, ils regardent alors de haut ceux qui sont restés dans la Parole et disent : « Vous vous êtes égarés, vous vous êtes arrêtés, vous avez reculé. Nous, nous avons avancé ». Oui, mais dans quelle direction, et avec qui ? On ne peut aller de l’avant qu’avec Dieu, dans la Parole de Dieu et avec la Parole de Dieu. C’est pour cette Parole que je vis, c’est pour cette Parole que je meurs. Jean a été amené sur l’île de Patmos à cause de la Parole de Dieu et à cause du témoignage de Jésus. Pas à cause des interprétations. Et aujourd’hui, nous sommes ici pour rendre témoignage à la Parole de Dieu, avec la Parole de Dieu et le témoignage de Jésus-Christ, notre Seigneur.
Encore une chose, et cela peut effectivement nous ouvrir les yeux maintenant, spécialement pour tous ceux qui, ici aussi, dans ce Centre Missionnaire, collectent des adresses à certaines personnes et disent : « Oui, cher frère, d’où viens-tu ? Et comment vas-tu ? » et ainsi de suite, et qui ont ensuite collecté les adresses pendant des années. J’ai vu ces gens-là ici, je les ai vus. Ils avaient leurs blocs-notes sur eux et quelque chose à écrire, et maintenant ils cherchent les gens dont qui ils ont rassemblé les adresses depuis des années.
Je vais maintenant vous montrer à partir de la Bible comment reconnaître ceux qui n’ont pas été envoyés par Dieu. En effet, ils vont et viennent, ils vont de maison en maison et parlent de celui qui n’est pas présent et qui ne peut pas prendre position sur ce qui est dit sur lui et sur ce qui est présenté, et ils n’annoncent pas la Parole, mais ils ont beaucoup d’autres choses qu’ils répandent là. Et je vous montre aussi ce qu’ils font : Ils vont en effet de maison à maison. Ici il est écrit, dans le chapitre 10 de Luc au verset 7. Voici ce qui est écrit dans Luc chapitre 10 verset 7, l’un des versets les plus importants pour permettre de savoir si un homme a été envoyé par Dieu ou non :
« Demeurez dans cette maison-là, mangeant et buvant ce qu'on vous donnera ; car l'ouvrier mérite son salaire. N'allez pas de maison en maison ».
Beaucoup de gens ont peut-être laissé cela de côté, n’est-ce pas, ils l’ont ignoré, cela n’a rien eu à leur dire. Pour un vrai esclave serviteur de Dieu, cela a beaucoup de choses à lui dire ! Si quelqu’un, sous un mandat divin, vient dans une ville, sous un ordre divin, il entre dans une maison et ordonne que cette maison reçoive la paix de Dieu, et si la maison l’accueille, alors il y reste. Mais là, il ne va pas écouter et ne va pas entendre qu’on lui parle de tel et tel frère et ensuite il va aller chez ce frère là et puis là-bas écouter qu’on lui parle de tel et tel frère et ensuite il veut ensuite régler les problèmes. Non, ce n’est pas possible. Un esclave-serviteur ne vient pas dans une ville pour aller de maison en maison. Un esclave-serviteur de Dieu vient dans une ville, dans une maison, il reste dans cette maison, et pas pour parler des autres et entendre parler des autres, mais pour, de là, prêcher la parole de Dieu.
Frères, pour vous aussi, vous qui annoncez la Parole de Dieu : Quand vous allez d’une maison à l’autre, l’un vous dit ceci, l’autre vous dit cela, l’un sur celui-ci, l’autre sur chacun, sur une autre personne, tout à coup vous êtes liés intérieurement, vous n’êtes plus libres de proclamer la Parole ! Maintenant, vous devriez prendre parti, vous devriez arbitrer. À qui voulez-vous donner raison ? Ce n’est pas possible. Vous voyez pourquoi le Seigneur a dit cela ? Notre Dieu est un Dieu omnipotent. Il sait toutes choses. Il a aussi laissé des directives claires pour ceux qu’Il envoie. Celui qui ne s’y conforme pas est dans la tourmente et dans de grandes difficultés, il n’en sortira guère.
Les vrais esclaves serviteurs de Dieu lisent ce qui fait partie de l’envoi, de la mission et ils s’y tiennent, et ils peuvent alors devenir une bénédiction pour tous, même pour ceux qui ne s’aiment pas entre eux, qui ont peut-être en ce moment, ils ont des connaissances différentes ou même qui ne s’entendent pas très bien entre eux. À ce moment-là, on peut vraiment aider tout le monde.
Et j’ai fait comme ça dans tous les pays et dans toutes les villes. Je n’ai jamais pris parti. Je ne suis jamais allé de ci, de là, d’une maison à une autre, je n’ai jamais donné raison à tel ou tel. J’ai dit : « Venez tous, et ensemble devant la face de Dieu, ce qui doit être dit le sera, et que tous l’entendent… ». Et je vous le dis : J’ai vécu des glorieuses victoires de Dieu de cette manière ! Car alors les différentes parties ne pouvaient plus se disputer entre elles ! Elles devaient alors tous écouter, et pendant qu’ils écoutaient, Dieu leur a retiré toutes les flèches, n’est-ce pas, et a versé de l’huile sur les plaies et tout est rentré en ordre.
En fait, je n’ai pas encore fait l’expérience de diviser des églises, moi, jamais ! Mais j’ai fait l’expérience de rassembler des groupes qui étaient divisés. Mais pour cela, Dieu a eu besoin… Dieu a pu m’utiliser. Cela doit nous être donné par le Seigneur, Sa sagesse. Je l’ai déjà assez dit des jours de Salomon, la femme à qui l’enfant n’appartenait pas a dit : « Coupez-le en deux ! », et la femme à qui il appartenait a crié : « Ne le coupez pas en deux, mais laissez-le vivre ! ». Et Salomon a dit : « C’est la mère, car elle ne veut pas la mort de l’enfant ! Elle veut la vie de l’enfant ».
Il en va de même pour nous qui sommes utilisés par Dieu pour annoncer la Parole, afin que les gens naissent de nouveau à une expérience vivante : Celui qui va quelque part et dit : « Oui, alors on partage, on divise ! », oubliez cet homme qui veut diviser ! Il aurait mieux valu qu’il n’ait pas eu l’argent pour pouvoir payer son billet d’avion et qu’il soit resté chez lui à la maison. Un homme de Dieu souhaite la paix à la maison, à la ville et au peuple de Dieu. Et un homme qui veut souhaiter la paix au peuple de Dieu et à la maison dans laquelle il se rend et à la ville, doit aussi, s’il vous plaît, apporter avec lui, la paix de Dieu. Il doit l’apporter avec lui. « Je vous donne Ma paix, non pas comme le monde la donne, mais la paix de Dieu qui est supérieure à toute la raison des hommes ». La paix de Dieu ne s’arrête pas à des connaissances ainsi de suite, mais la paix de Dieu est supérieure à toute notre compréhension et toute notre raison. Et puis cela continue ici, au verset 9, à nous qui prêchons la Parole, il nous est dit :
« Guérissez les malades qui s'y trouveront, et dites-leur : Le royaume de Dieu s'est approché de vous ».
Nous voulons également prendre cette partie au sérieux, la prendre au sérieux ensemble, car l’Église et ceux qui écoutent doit être édifiée et amenée à la foi par la prédication, la proclamation de la Parole, avant que les dons et les services de Dieu puissent être actifs dans l’Église. Et je pense que nous avons suffisamment entendu la parole de Dieu pour savoir que, comme nous l’avons écrit ici en haut : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
Qui étaient ceux qui ont été guéris ? Ceux qui sont venus au Seigneur et qui ont cru qu’Il pouvait les guérir ! Pas des personnes qui ont ruminés leur vie ou qui se sont demandé pourquoi j’allais comme ça et d’autres mieux, non ! Des gens qui ont cru de tout cœur que le Seigneur pouvait le faire et qui, plus tard, croyaient aussi que Dieu avait autorisé ceux qu'Il avait envoyés pour confirmer sa Parole.
Je crois que c’était le frère Gajdac qui m’a lu une lettre de la CSR (Tchécoslovaquie) il y a une dizaine de jours, une femme qui souffrait tellement du rhumatisme à tel point qu’elle ne pouvait plus du tout utiliser ses mains, il fallait la soulever et faire tout pour elle, elle ne pouvait plus rien faire ; et aujourd’hui, elle fait tout pour tous les autres, pour tout le monde ! Elle a seulement demandé qu’on lui envoie un mouchoir avec lequel la sueur a été essuyée ici pendant la prédication, et ensuite Dieu a éprouvé sa foi, et ensuite Il a confirmé Sa parole en elle. Aujourd’hui elle n’est pas portée ou servie par d’autres, aujourd’hui c’est elle qui sert les autres, et Dieu a guéri.
Je l’ai toujours fait l’expérience que si les gens ont cru qu’ici un esclave serviteur de Dieu qui est sous un ordre divin prêche Sa parole et que Dieu leur accorde cela et qu’un mouchoir leur est même envoyé, cela a lieu : Ils sont guéris. Je vous ai raconté cela : Un couple n’a pas eu d’enfant pendant dix-sept ans, ils étaient tristes. Allez en Asie, allez en Afrique, si une femme n’a pas d’enfant, c’est une honte pour elle. Elle ne peut pas le supporter. Et voilà que les frères et sœurs sont venus. Qu’est-ce que je dois vous dire ? Moins d’un an après la prière, ils ont eu un fils et ils l’ont appelé Frank. Dieu répond à la prière, mais c’est l’attitude des gens. Il faut savoir que c’est à Dieu que nous avons affaire et pas à un homme.
Ici, on ne fait quand même pas un peu de politique religieuse pour faire passer le temps. Ici on proclame la parole du Dieu Tout-Puissant ! Je l’ai dit récemment dans une conversation, je ne sais avec quel frère c’était : « Si je n’annonce pas la Parole, je ne veux rien annoncer du tout ! Rien du tout ». Il faut être sûr que c’est vraiment la Parole de Dieu qu’on prêche. « Le ciel et la terre passeront, mais la Parole de Dieu demeure éternellement ». Qui peut croire que sur ce point aussi nous entrerons dans la phase telle qu’elle était au commencement selon le verset 9 ?
Comment c’était au commencement ? C’était l’action de Dieu Lui-même ! Elle était si puissante ! Pierre marchait dans les rues de Jérusalem et son ombre se posait sur les gens et tous ceux sur qui son ombre tombait étaient guéris, se levaient et formaient à la fin un beau cortège qui pouvait traverser les rues de Jérusalem ! Oui, vous diriez : « Est-ce que cela était biblique ? » Oui, c’était très biblique ! Très biblique. Quand Dieu le fait, c’est toujours biblique. Et Pierre ne l’a pas fait du tout, ce n’est pas lui qui l’a fait. Il a simplement suivi son chemin. C’est Dieu qui l’a fait. Mais je vais vous dire comment cela s’est passé : Les gens qui se sont rendus là-bas, croyaient que Pierre était un homme de Dieu. Ils croyaient que la puissance de Dieu était à l’œuvre en lui. Ils ne croyaient pas en Pierre. Ils ont cru en la puissance de Dieu qui S’est manifestée puissamment en Pierre, et c’est par la foi qu’ils y sont allés et c’est par la foi qu’ils ont été guéris. Alléluia !
Bien-aimés, nous devons atteindre cet état de foi. Paul a-t-il dit, par exemple : « Si vous prenez ici mon mouchoir ou ma sueur, ou mon tablier » et ainsi de suite ? À l’époque les vêtements n’étaient pas comme ils sont aujourd’hui. D’ailleurs, on critique encore cela et on dit : « Si le frère Franck était vraiment un esclave serviteur de Dieu, il ne marcherait aussi bien vêtu qu’il est ». Mais comme je l’ai dit, je ne l’ai même pas encore remarqué moi-même, n’est-ce pas. Mais il y a des gens qui tournent leur col dans l’autre sens et baissent la tête en pensant que c’est de l’humilité ! Bien au contraire, dans la bosse qui se forme, alors là se trouve le démon. Si quelqu’un pense que c’est de l’humilité, non.
Nous croyons de tout notre cœur que Dieu est avec ceux qui s’en tiennent à Lui et à Sa Parole ; et tous ces hommes qui vont de maison en maison et qui transportent autant de saleté qu’un chariot de récolte ne peut contenir, devraient avoir honte ! Je l’ai déjà dit ici : Celui qui a une petite idée du temps et de l’heure, ne conduira pas de fumier au moment de la moisson. Il ne conduira pas de fumier au moment de la moisson. Au moment de la moisson, il utilisera la faucille, la moissonneuse-batteuse, il utilisera tout pour récolter la moisson. Est-ce vrai ou pas ? C’est ce que dit le bon sens le plus naturel. C’est donc à cela que nous reconnaissons celui qui moissonne, c’est-à-dire celui qui actionne la moissonneuse-batteuse et fait rentrer le blé.
Donc, ce n’était pas Paul qui a dit : « Venez, prenez ici mes mouchoirs et partez ». Non, mais les personnes qui ont vu Paul dans son service étaient convaincues qu’il s’agissait d’un homme de Dieu. Et je suis heureux de constater que je ne suis pas le seul à avoir des sueurs froides pendant la prédication. Il est évident qu’elle lui a aussi coulé, n’est-ce pas. Personne ne me l’a dit jusqu’à présent. « Arrête ! Tu es fou ! ». Paul a prêché avec tant de force devant Festus et Agrippa qu’on lui a dit : « Arrête, tu t’emportes ». Personne ne me l’a jamais dit, n’est-ce pas, seuls mes amis comme frère Russ disent que je devrais être un peu moins fort et un peu plus lent. Mais cela aussi, on ne peut le faire que si on le peut.
Revenons-en à cela, et j’en arrive à ma conclusion. Ce sont des hommes de Dieu que le Seigneur a béni, et ces hommes croyaient que s’ils prenaient maintenant un mouchoir en sueur et il l’apportait aux gens qui ne pouvaient pas venir à la réunion, Dieu les guérirait. Et cela s’est donc produit et ces hommes ont été guéris. Pourquoi ? Parce qu’ils ont cru que s’ils faisaient cela, Dieu le fera et le fera arriver. Tout a lieu selon notre foi. Jésus n’a jamais dit selon « ton imagination », non mais : « Qu’il te soit fait selon ta foi ». Mais, s’il vous plaît, pas une foi issue d’un raisonnement ! Celui qui doit encore réfléchir à comment et à ce qu’il doit faire, qu’il continue tranquillement à réfléchir et qu’il attende le moment où la foi deviendra une révélation. Et, au moment où la foi devient pour toi une certitude, une révélation, alors tu sais exactement ce que tu dois faire, et alors Dieu est avec toi et confirme Sa Parole selon ta foi.
Et je vous le dis, le temps est proche où nous verrons les merveilles de Dieu, les miracles de Dieu, et certains seront étonnés de ce que Dieu fera encore. Je sais qu’Il devra faire à la fin ce qu’Il a fait au commencement. La restitution, la restauration signifie la restitution de toutes choses, la restauration. C’est ainsi que la bouche de Dieu a parlé et il en sera ainsi. Et nous vivons dans le temps où tout sera restitué et restauré pour la gloire de Dieu dans l’Église du Seigneur.
Que Dieu bénisse en nous toutes les différentes choses qui ont été exposées ici aujourd’hui à partir de Sa Parole ! Qu’Il nous permet d’en tirer des leçons afin que nous sachions comment nous comporter et nous conduire, et comment faire face à ceux qui vont, n’est-ce pas maintenant, effectivement de lieu en lieu, de maison en maison, de ville en ville, avec des motifs malhonnêtes. Nous voulons faire partie plutôt de ceux qui préparent le chemin pour le Seigneur, qui Le précède et qui L’amènent avec eux pour Le laisser ensuite agir et bénir.
Êtes-vous également reconnaissant pour de tels enseignements ? Je pense que cela est important. Maintenant il faut avoir les yeux ouverts ! Il faut savoir où en est l’œuvre devant Dieu, comment Dieu la voit. Nous ne devons plus juger d’une chose par notre propre expertise. Nous devons toujours nous référer aux saintes Écritures en toutes choses. Que Dieu nous aide. Telle est ma prière. Amen !
Levons-nous et prions ensemble en inclinant la tête, en fermant les yeux, en ouvrant les cœurs.
Je voudrais quand même demander combien sont ici, ceux qui, en effet, désirent de tout cœur juger correctement une chose, agir dans une certaine situation conformément à la Parole de Dieu, et juger les choses comme Dieu les voit et ainsi de suite ? De tout ce qui a été considéré, je pense qu’il y avait une multitude de pensées qui ont été exprimées ou que nous avons considérées ensemble. Qui, à partir d’aujourd’hui, voudrait servir le Seigneur de cette manière, vraiment à toute heure et à tout moment, dans toute situation, pour situer les choses devant Dieu et les juger correctement, trouver grâce devant Dieu, pour que nous puissions devenir une Église biblique qui, en tout et pour tout, non seulement sur certains points d’enseignement, mais aussi dans la manière de les traiter et certaines choses qui soient en tout cas bibliques ?
Seigneur fidèle, nous Te remercions de tout cœur. Nous avons fermé nos yeux terrestres, mais les yeux du cœur sont ouverts ! Nous Te voyons, nous T’entendons. Tu marches au milieu de nous, Tu nous parles, Tu agis sur nous, en nous, Tu nous redresses, Tu nous ramènes, Tu nous corriges, Tu nous aides à atteindre la perfection.
Seigneur bien-aimé, nous ne nous regardons pas nous-mêmes, car comme nous l’avons entendu dans le Psaume, il n’y a pas de juste sur la terre qui puisse subsister devant Toi, mais il y a des justifiés par Toi, des bénis par Toi, Tes sauvés, Tes sanctifiés, Tes remplis de Ton Esprit. Seigneur bien-aimé, il y a une Église sur la terre qui porte Ton nom, qui porte Ta Parole, qui porte Ta nature, une Église vivante, et nous pouvons en faire partie.
Seigneur fidèle, que ce qui a été annoncé ici aujourd’hui devienne réalité dans nos vies. Donne-nous le juste jugement, accorde-nous la grâce et la sagesse en toutes circonstances. Seigneur, donne-nous le discernement des esprits, le discernement des motifs, le discernement des frères, des enseignements et de la prédication et ainsi de suite.
Seigneur, je Te remercie. Tu as fait de grandes choses pour nous aujourd’hui et en nous en cette heure. Tu nous as aidés. À partir d’aujourd’hui, Tu vas marcher avec nous sur un chemin que nous ne voyons pas encore, mais Tu le connais et Tu nous prends par la main. Même si je ne connais pas le chemin, Toi Tu le connais bien. Mon Jésus n’est jamais en retard.
Seigneur fidèle, nous prions pour nos frères qui prêchent Ta Parole : Seigneur, sois avec eux d’une manière toute particulière ici en ce lieu et en tout lieu dans le monde ! Aide-nous à faire en sorte que Ton épouse revienne à marcher au même pas, en accord total avec Ta Parole ; car comment deux personnes peuvent-elles marcher ensemble à moins qu’elles ne soient en accord ? Seigneur, fais que nous soyons tellement en accord avec Toi, c’est-à-dire avec Ta Parole, que Tu pourrais marcher avec nous, et nous avec Toi.
Seigneur bien-aimé, Tu nous as bénis. Nous T’en remercions du fond du cœur. Touche maintenant les malades, les faibles, ceux qui souffrent. Tu as envoyé Ta Parole et tous ceux qui la croient sont guéris. Nous T’en remercions de tout cœur. La rédemption totale, le salut total : C’est ce qu’enseigne notre Bible !
Alléluia ! Louange, honneur, gloire et adoration à Toi, le Dieu vivant, qui S’est révélé à nous en Jésus-Christ ! Père céleste, que Ton nom soit sanctifié, que Ton règne vienne, que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Seigneur, remplis-nous et exauce-nous, et fais-nous participer à ce que Tu fais ! Loué sois-Tu pour la visitation de grâce que Tu nous as accordé aujourd’hui, et aussi pour nous permettre de distinguer Ta voix de toutes les autres voix : Ta voix est Ta parole !
Alléluia ! Gloire et honneur Te soient apportés aujourd’hui, maintenant et dans toute éternité ! Amen !