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Ewald Frank

Le lundi 29 décembre 1986 à 15h00 

(Retransmis le samedi 23 octobre 2021 à19h30)

Loué et remercié soit le Seigneur. La pensée m'est venue en chantant que toutes ces choses sont là. Ces choses que nous savons et que nous croyons, ça, nous le savons et nous le croyons. Mais la question est celle de savoir si nous savons comment les utiliser. Comment tout cela peut avoir un effet sur nous, doit avoir un effet, doit devenir apparent, doit devenir réalité. 

La rédemption, la totale délivrance est là, mais la totale délivrance vécue, expérimentée personnellement, est une autre chose qu'une totale délivrance que l'on croit vraie. L'expérience de la guérison est différente de la simple connaissance de la guérison, de la simple connaissance d'avoir été guérie par ses meurtrissures. La différence entre connaître le divin et le vivre et l'exploiter personnellement doit se rapprocher. La différence ne doit plus être aussi grande. Elle doit être comme elle doit être, comme dirait un imprimeur, passée exactement et que Dieu puisse nous accorder sa grâce. 

Encore cette après-midi, nous vous souhaitons à tous la bienvenue. Nous souhaitons la paix de Dieu et la bénédiction de Dieu de tout notre cœur. Ce soir, c'est maintenant la question. Nous pourrions montrer le film de frère Branham. Je veux, bien sûr, aussi le voir. Est-ce qu'il y a un nombre parmi nous qui ne l'ont jamais vu ? Avons-nous parmi nous des frères et des sœurs, des personnes qui n'ont jamais vu le film de frère Branham ? Oui, oui, il y en a, il y en a. Il y en a quand on regarde de la droite à la gauche, entre 15 et 20 personnes. 

J'ai vu ce film. Je pourrais l'estimer plus de 70 fois parce qu'à l'époque, je l'ai pris avec moi et l’ai montré de ville en ville, de pays en pays. Il y avait eu une époque comme ça, où j'avais pris ce film dans les voyages, et je l'ai montré et donc je l'ai vu très souvent. Mais je peux dire que je le vois à chaque fois volontiers, car ça me rappelle ce que Dieu a fait. Les bonnes choses, on peut souvent les reprendre, et cela c’est le cas ici. 

Si cela ne vous dérange pas, donc ce soir nous verrons le film de frère Branham. Cela me permet de me détendre un peu, mais il faut savoir gérer le temps. Nous devons savoir gérer le temps, car tout sera bientôt terminé. Bientôt, le temps sera terminé et alors nous aurons le 1er janvier 1988. Il arrive sûrement à 87, je pensais 88. Ha ! Vous pouvez supposer que j'ai dit cela exprès. Les pensées sont libres quand elles sont bonnes. Les pensées de paix, elles sont libres. Mais je dois vous avouer ouvertement que dans mon cœur, j'accepte encore d'une certaine manière l'année 1987 calmement mais, mais que je m'attends à une intervention de Dieu. Comment et quand, je ne le sais pas. Mais, je ne veux plus expliquer. Nous allons avec le Seigneur simplement dans le futur et aussi les choses à venir deviendront alors présentes, car, beaucoup de choses qui étaient futures sont devenues présentes par l'accomplissement, par leur accomplissement. Et c'est ainsi que cela sera aussi dans le futur. Un jour, nous regarderons en arrière et pourrons dire, ce que nous avions attendu de tout notre cœur avec plein désir s'est accompli et nous pourrons dire :  Aujourd’hui, cette écriture est accomplie sous nos yeux”. 

Nous sommes convaincus que Dieu fait ce qu'il dit, tient sa parole et qu'il fera tout au temps convenable. Donc nous avons ce soir le film et demain soir, nous avons donc le baptême d'eau et le souper. Et donc, mercredi, nous aurons seulement l'agape le soir. Mais pendant ces deux jours, nous aurons le matin et l'après-midi …nous aurons encore des heures ici dans la présence de Dieu, devant la face de Dieu, pour nous approfondir dans les Saintes Écritures, avec cette demande à Dieu, qu'Il puisse, en nous tous, confirmer Sa Parole, la vivifier et la rendre vivante et que nous devenions une partie de cette Parole, une partie de Son plan, une partie de Son royaume. Que dans ces jours nous soyons une partie de l'histoire du salut et que nous passions dans le domaine prophétique et ce domaine que nous attendons tous et que ces jours-là puissent contribuer à ce qu'à tous, il nous soit accordés une meilleure compréhension des Saintes Écritures. Levons-nous encore pour la prière. 

 

Père Céleste, de tout notre cœur, de tout mon cœur, je te remercie pour le privilège que nous avons de vivre dans ce temps, de reconnaître la diversité de Ta Parole et de voir Ton plan avec Ton peuple. Bien aimé, Seigneur, nous sommes rassemblés devant Ta face pour n’écouter personne d'autre et ne voir personne d'autre que Toi et Toi seul. Parle avec nous. Rends-nous, calmes et tranquilles, devant ta face. Ôte toute la résistance intérieure, ôtes toutes les incompréhensions, ôtes toute la tristesse, ôtes tout ce qui t'es un obstacle. Que tous les esprits se retirent et que seul ton Esprit prenne le contrôle et la conduite de toutes choses. Et agis et sois parmi nous, bénis-nous avec tout ton peuple dans l'adoration. À toi, le Dieu Tout-Puissant, le Dieu vivant, nous te disons, nous t'exprimons la reconnaissance pour toutes choses dans le saint nom de Jésus. Amen. Amen. 

Vous pouvez vous asseoir. Nous avons des comparaisons de l'ancien ... Nous avons déjà tiré des comparaisons dans l'Ancien et le Nouveau Testament et nous continuerons à le faire. Nous savons que Dieu a donné des promesses dans Sa parole, qu'Il accomplit ensuite comme vrai. Et en cela, notre foi est fondée ; dans ces choses notre foi est fondée. Nous pouvons totalement, entièrement faire confiance à Dieu et à Sa Parole. Nous pouvons croire Dieu. Dieu est digne de foi. Dieu est digne de foi. De Sa bouche, jamais un mensonge est sorti. Il tient ce qu'Il promet. Il a même laissé dire que si nous sommes infidèles, Il reste malgré tout fidèle parce qu'Il ne peut pas se renier Lui-même. 

Aujourd'hui, nous voulons tirer encore plusieurs comparaisons dans la parole de Dieu. Nous commençons avec cela en lisant Actes 16. C'est, n'est-ce pas, cette famille connue du geôlier de Philippe que nous lisons ici le verset 31. Actes 16 :31 : 

Paul et Silas répondirent : “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, toi et ta famille” “. D'autres traductions disent : “… et tu seras béatifié, béni, toi et ta famille”.  

Et il y a des croyants qui ont expérimenté cela et qui expérimentent cela encore aujourd'hui tel qu'il est écrit, qu'il a été dit ici. Ils sont sauvés avec toute leur famille. Et pour cela, nous sommes très reconnaissants à Dieu du fond de notre cœur. 

Mais comment placer ceux pour qui, tout d'abord, si l'on se base sur la date d'aujourd'hui, la question ne se présente pas encore comme si quelqu'un croit, mais que toute sa maison ne croit pas. Cette personne a été bénie, mais toute sa maison n'a pas été bénie. Je veux dire à la date d'aujourd'hui. Comment pouvons-nous alors classer cela ? Très rapidement, cela peut arriver qu’alors nous entrons en jugement avec nous-mêmes et que le diable, avec toute force, se jette sur nous et nous dit : “Mais c'est parce que tu ne crois pas vraiment. Ta conversion est-elle authentique ?” Alors arrivent ces différentes pensées à ces choses, l'une après l’autre, il vient sur nous de fortes pensées. Alors nous nous posons la question pour finir : “Est-ce que vraiment nous avons cru ? Ou bien alors, est-ce que nous prétendons croire que notre ami n'a pas encore été sauvé ?” 

Mais si nous regardons dans les saintes écritures et que nous voyons qu'ici aussi, cela peut être complètement et fondamentalement différent d'une maison à l'autre et d'un cas à l'autre. Alors, ce n'est pas censé être un anti-douleur maintenant que je vous donne, mais juste pour clarifier cela, pour que nous ne fassions pas naufrage dans notre foi, mais que nous puissions continuer à nous attacher à cela, à croire que le Seigneur tient sa parole et qu'encore aujourd'hui, des croyants sont sauvés avec toutes leurs maisons, avec toute la famille, peuvent être sauvés avec toute la famille. Et ça, je l'ai lu dans Actes 16 :31 et ça reste valable. 

Maintenant, allant dans 1 Corinthiens 7. Il est écrit au verset 16… Je ne vais même pas lire les versets avant le verset 16. Peut-être que je vais les lire, si, si, pour que vous puissiez aussi voir comment est-ce que les choses peuvent être proches l'une de l'autre. Et laissez-moi commencer au verset 14. 1 Corinthiens 7 :14 :  

Car le mari, incroyant, est consacré et sanctifié par sa femme croyante. Et la femme incroyante, est consacrée et sanctifiée par le frère. Sinon, vos enfants seraient impurs. Et pourtant, ils sont en réalité sains. Si toutefois [le verset 15], la partie incrédule désire profondément la séparation, elle peut se séparer. Dans de tels cas, le frère ou la sœur ne sont pas liés servilement à un mariage, au contraire. Dieu nous a appelés à une vie dans la paix”. 

Restons d'abord ici un moment. Auparavant, il est dit clairement que “le partenaire, incroyant, est consacré et sanctifié par la partie croyante”. Et directement après, de ce partenaire incrédule qui est consacré et sanctifié, selon le verset 14, il est dit ensuite que si “la partie incrédule désire profondément la séparation, elle peut se séparer. Dans de tels cas, le frère ou la sœur ne sont pas liés servilement à un mariage”.  

Qu'est-ce que nous remarquons ici ? C'est que dans une famille, cela s'applique et dans une autre famille, cela ne s'applique pas. Dans une famille, c'est comme ça et dans une autre famille, c'est différent. Et les deux cas sont donnés si près l'un de l'autre dans les écritures, ... pour que nous sachions et ne pensions pas toujours que la même chose s'applique partout ici. L'un s'applique ici, l'autre làbas. Dieu a différents chemins, avec chacun individuellement. Je continue à lire, c'est à dire le verset 16, 1 Corinthiens 7 :16 :  

car comment peux-tu, oh femme, savoir si tu sauveras vraiment ton mari ? Ou comment, peux-tu, oh mari, savoir si tu vas vraiment sauver ta femme ?”. Dans Actes 16 :31, nous avons lu : “Crois au Seigneur Jésus-Christ et toi et ta famille, vous serez sauvés.” Point. Finish.  

Et ici, qu'est-ce que nous lisons ? “Comment peux-tu savoir si tu sauveras vraiment ton mari ?” Je croyais qu'ils étaient tous sauvés selon Actes 16 :31. Je pense qu'ils sont déjà tous bénis dans la famille, tous sauvés parce que quelqu'un croit. Vous voyez que dans tous les cas, nous devons lire toute la Bible, pas seulement un seul verset biblique, le ressortir, le souligner et ensuite en brûler, mais vraiment, vraiment dans l'équilibre lire toute la parole de Dieu et ensuite la prêcher pour qu'aucun homme soit confus. 

Personne, de toutes les manières, n'a besoin d'être confus, qu’il mette sa confiance dans le Seigneur. On a seulement besoin ... Il est seulement nécessaire que tous nous puissions nous-même nous classer dans l'ordre biblique et classer dans l'ordre biblique ce qui se passe avec nous et nous reposer en Dieu. Comprenez-vous cela au moment où cela n'arrive pas, au moment où nous ne le faisons pas ? Nous sommes donc sans repos et sans paix. 

Et avec cela, n'ayant pas de repos, nous n’avons pas non plus de paix. Mais nous avons la paix avec Dieu et nous savons qu’il a, de toute manière, avec chacun des croyants, un chemin particulier. 

Lisons encore dans 1 Timothée 2. Je voudrais vous prescrire ou vous administrer volontairement des médicaments puissants pour que nous guérissions. 1 Timothée 2. Ici, il est écrit au verset 3 et 4, la chose suivante. 1 Timothé 2 :3 :  

C'est ainsi qu'il est louable et agréable aux yeux du Dieu, notre Seigneur et Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité”.  

Et nous prions dans le “Notre Père”, c'est ainsi que cela nous a été ordonné : “Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel”. Et la volonté de Dieu, ainsi que nous la lisons ici : “Il veut que tous les hommes soient sauvés et que tous parviennent à la connaissance de la vérité”.  

Ça, c'est la volonté de Dieu exprimée ici. Mais ce ne sont pas tous qui se laissent sauver. Ce ne sont pas tous qui se laissent secourir. Ce ne sont pas tous qui acceptent la vérité. C'est la volonté de Dieu, c'est vrai. Mais Dieu ne peut imposer sa volonté à personne. Il peut nous la représenter sous les yeux, nous la montrer. Ensuite, Il attend que nous puissions suivre, répondre et que nous puissions nous laisser introduire dans sa volonté et de tout notre cœur pouvoir dire : “Seigneur, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel, après que tu nous l'ais montrée”. Donc ici, nous lisons que c'est la volonté de Dieu que tous les hommes soient sauvés et parviennent tous à la connaissance de la vérité. 

A cela, lisons maintenant dans l'Évangile de Jean 6 :64-65 :  

Mais, il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient point. Car Jésus savait dès le commencement qui étaient ceux qui ne croyaient point et qui était celui qui le trahirait”.  

Et maintenant, suit, maintenant arrive le verset :  

Il poursuivit ensuite. C'est pourquoi, je vous ai dit : Personne ne peut venir à moi si cela ne lui est pas accordé par le Père”.  

Une autre traduction dit : “Personne ne peut venir à moi. Si le père ne l'attire, premièrement”. 

On doit être tiré. On doit être attiré pour venir, pour pouvoir venir ici, mais c'est la volonté de Dieu que tous les hommes soient sauvés. Mais alors cela dépend quand même de Dieu qui attire. Que Dieu produise cela dans le cœur de cette personne, cela a produit dans le cœur de la personne qu'elle soit tirée. Alors quelqu'un peut s'excuser et dire : “ Bon, alors pourquoi m’inquiéter ? Jusqu'à maintenant, Dieu ne m’a pas attiré ; ça veut dire qu’Il ne me veut pas”. Non, c'est faux, non.  

Nous devons reconnaître que sous l'écoute de la parole de Dieu, c'est là que Dieu commence à nous tirer, à nous attirer. Déjà, le fait de venir pour écouter la parole de Dieu signifie que tu t'es engagé avec Dieu. Je voudrais donner ce conseil à tous, de ne pas venir dans une réunion où la parole de Dieu est prêchée s’ils ne veulent pas marcher vraiment avec Dieu. Car, c'est dangereux de venir dans une réunion où la parole de Dieu est prêchée parce que c'est là que Dieu commence à agir et c'est là qu'il commence à nous attirer dans le profond de notre cœur, à nous tirer. Celui qui ne veut pas être sauvé n’a pas le droit de venir à une réunion, mais que celui qui veut être sauvé puisse venir. Que celui qui veut être béni puisse venir. Qu'il puisse ensuite être tiré par Dieu sous l'écoute de la parole de Dieu. Être tiré et attiré par Dieu. Alors s’accomplira : “Tous ceux qui le Père attire, que le père tire, viennent à moi. Et tous ceux qui viennent à moi, ou bien alors chacun qui vient à moi, je ne les rejette pas”.  

Donc l’offre de grâce de Dieu est pour tous. Mais, ce ne sont pas tous qui l'acceptent. Elle est là pour tous, mais pour tous ceux qui la reçoivent, c'est ainsi que c'est écrit dans l'Évangile de Jean le premier chapitre (Jean 1) : “Tous ceux qui l'ont reçue, Dieu leur donne le pouvoir ensuite de devenir enfants de Dieu, c'est à dire parce qu'ils croient en Son Nom”. C'est ainsi que Dieu commence à nous tirer dans le cœur, dans notre cœur, dans le cœur d'un homme. Alors nous reconnaissons que nous avons été déterminés à être sauvés. 

Nous lisons une autre parole dans l'Évangile de Marc, dans l'évangile de Marc 12 :29-31 :  

Jésus répondit : Voici le premier : “Ecoute Israël. Le Seigneur, notre Dieu est l'unique Seigneur. Et tu aimeras le Seigneur, ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ta force”. Voici le second : “Tu aimeras ton prochain comme toi-même, car il n'y a pas d'autres commandements plus élevés que ces deux-là”.  

Vous n'avez peut-être pas compris pourquoi j'ai lu cette parole. Mais ici nous passons maintenant dans un autre domaine. Ici il nous est dit que nous devons de tout notre cœur et de toute notre âme et de toutes nos pensées, de toutes nos forces, de tout ce qui est en nous, avec tout ce qui est à nous aimer Dieu, aimer Dieu et aimer notre prochain comme nous-mêmes.  Il dit que c’est le second commandement qui lui est semblable. 

Maintenant, je voudrais lire dans Luc et maintenant s'il vous plaît, asseyez-vous bien, tenez-vous bien dans votre chaise. Tenez-vous bien maintenant, pour ne pas tomber. Dans Luc 14 :25, rappelez-vous, s’il vous plaît, de cette parole de Marc que nous venons de lire au chapitre 12, “Aimer ton prochain comme toimême ...”. Luc 14 :25 :  

De grandes foules faisaient route avec Jésus. Il se retourna et leur dit : Si quelqu'un vient à moi et s'il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple ”.  

Alors mais, qu'est-ce que c'est, ça ? Et nous venons de lire concernant l'amour, d'aimer notre prochain : “Tu aimeras Dieu. Premièrement, ton Seigneur de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, de toutes les pensées”, et ensuite, “ton prochain comme toi-même”.  

On pourrait encore lire d'autres paroles. Le premier commandement avec promesse s'intitule : “Honore ton père et ta mère pour que tu ailles bien et que tu vives longtemps sur terre”. Mais ensuite ici, le Seigneur semble renverser tout sur la tête et parle de haine. Cela ne m'arrange pas du tout. Moi, je veux aimer. C'est pour ça que je suis là, pour aimer. Mais ici le Seigneur m'ordonne, ou bien alors me demande, peut-être aussi Il te le demande à toi, peut-être à nous tous. Je ne sais pas combien se laisse toucher par cette parole ou bien combien se sentent concernés par cette parole. Combien sont concernés ? Ainsi, ici il est écrit que si quelqu'un vient à moi et s'il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, sa propre vie, il ne peut être mon disciple. Mais nous voulons tous être disciples du Seigneur Jésus, n'est-ce pas ? Comment devons-nous accorder tout cela ? Qu'est-ce que nous devons faire avec cette parole ? Regardez, regardez le contexte. 

Nous avons déjà eu ce matin à parler de ça. Le Seigneur disait : “Je suis venu dans ce monde pour une séparation, pour que ceux qui voient deviennent aveugles et que ceux qui sont aveugles voient”. Et ensuite les scribes et pharisiens ont demandé : “Mais est-ce qu'il veut parler de nous ?” Alors le Seigneur leur dit : “ si vous étiez aveugles, vous n'auriez pas de péché. Mais parce que vous prétendez voir, c'est pour cette raison que votre péché demeure ”.  

De la lettre, il connaissait la parole, mais ils n'étaient pas prêts à suivre le Seigneur. Mais qu'est-ce qui se passe avec toi, avec moi, avec nous tous quand Dieu nous appelle, nous choisis et que sa visitation de grâce vient dans notre vie ? 

La même chose s'est passée avec Abraham et c'est ce qui doit se passer avec nous. Avec Abraham qui était de l'autre côté du fleuve Euphrate à Ur en Chaldée et avait servi d'autres dieux de l'autre côté du fleuve l'Euphrate. Il lui a été dit : “Sors, abandonne tout et va dans le pays que je te montrerai”.  

Remarquons-nous cela que suivre Jésus ne peut pas impliquer de compromis. Si nous sommes pour le Seigneur, nous devons obligatoirement nous détacher de tous ceux qui ne veulent pas suivre le même chemin du Seigneur avec nous. C'est seulement comme ça que nous avons la possibilité de suivre le Seigneur... Vous savez, le mot haïr me rappelle à ces paroles de l'Ancien Testament où Dieu dit “J'ai aimé Jacob et j'ai haï Ésaü”. Ce mot “haïr” veut dire, en fait, dans ce contexte ici que l'autre est accepté, l'autre est rejeté. Mais ici nous voyons que suivre Jésus ne permet pas de compromis. Si Dieu t'a appelé, si Dieu t'a fait grâce et que toute ta famille ne veut pas suivre, est-ce que tu vas aussi rester pour, avec eux, aller en bas et périr ? Ou bien alors, est-ce que tu vas comprendre que le Seigneur a fait un choix dans ta vie et que toi qui a été appelé par le Seigneur, tu dois le mettre à la première place ? Et si cela te coûte tout, mais la chose la plus précieuse te demeure, c'est à dire le Seigneur et ce qu'il a fait pour toi. Et si toi, tu as le courage, même si tu devrais rester seul même, tu dois rester seul, te faire un commencement authentique avec Dieu pour que ceux qui sont restés en arrière reçoivent aussi la chance de suivre le Seigneur. 

Mais si tu restes avec eux, en sachant dans ton cœur ce que le Seigneur a fait pour toi, tu te rends responsable parce que, par cela, les autres de ta famille n'auront pas l'occasion de réfléchir et de dire : “Ah mais, peut-être que nous devrions suivre le Seigneur”. Vous savez, parfois, il y a un peu de diplomatie, hein ? Un peu de capacité de comprendre, de ressentir les sentiments ou de se mettre à la place d'une autre personne. Ce sont de belles paroles, un peu de considération et surement qu'elles ont leur justification dans le monde et leur place. Mais ici, quand il s'agit des choses divines, quand il s'agit de la vie éternelle, quand il s'agit du salut, alors là je vous demande si vous voulez expérimenter Dieu, ne faites aucun compromis, mais prenez votre décision et qu'elle soit la décision que Dieu a prise pour vous. Et le Seigneur va ensuite attirer alors tous ceux qui, un jour, respecterons cette décision. Et soudain, ce qui, sur le moment, se révélait est une séparation dans la famille sera à nouveau comme une réunification, une unité, comme une union dans le Christ. Mais il est nécessaire, pour le moment de prendre la décision correcte. Cela continue encore ici. Au verset 27, il est écrit dans Luc 14 : 

et quiconque ne porte pas sa croix et ne me suis pas ne peut être mon disciple.” 

De quelle croix il s'agit ici, dans ce contexte ? L'une des croix les plus lourdes consiste à ce que quelqu'un dans une famille pour le moment, a à suivre le Seigneur seul et que tous les autres restent derrière. Il y a beaucoup de choses dans la vie que l'on peut supporter et une chose mieux que l'autre. Mais de laisser sa propre famille derrière, de perdre les siens, ça, c'est une croix difficile, lourde ; une croix qui est lourde, qui fait mal. Mais ici, le Seigneur nous l’ordonne : “celui qui ... quiconque ne porte pas sa croix…” Tout ça, ce sont des fardeaux que nous avons à porter. “et ne me suit pas ne peut pas être mon disciple”.  

Nous remarquons comment est-ce que les situations peuvent être différentes et je suis tellement reconnaissant à Dieu qui n'a laissé de côté aucune des situations qui se sont présentées et qui pourraient exister, et qu'il a pensé à tout dire, à tout ce qui pourrait nous arriver avec notre foi dans la famille, où que nous soyons, Il a pensé à tout. Pourquoi ? Pour nous consoler, nous réconforter et nous fortifier dans la foi. 

Continuons à lire dans Luc. Nous venons de lire dans Luc, je veux dire dans Éphésiens maintenant, Ephésiens 5. Et là aussi, il est écrit une parole qui, directement, aurait pu être connectée à ce que nous venons de lire dans 1 Corinthiens 7 tout à l'heure. Ephésiens 5 :25 : Rappelez-vous s'il vous plaît de Luc 14 :25. “Celui qui ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ...”. Et ici il nous est dit :  

Maris, aimez vos femmes comme Christ a aimé l'Église et s'est livré lui-même pour elle.”  

Alors qu'est-ce que je dois faire maintenant ? Quel devoir m'est donné, en fait ? Vous voyez ce que vise la parole de Dieu. Les deux sont vrais. Les deux contextes sont vrais et les deux ont leur place. Et si Dieu fait grâce, l'un des cas peut être remplacé par l'autre, alors c'est la paix et la joie dans le Seigneur. 

Dans la famille, il y a la paix et la joie dans toute la famille. Alors s’accomplit : “Cette maison a reçu le salut de Dieu”. Le salut peut être donné par celui qui nous l'a apporté, ça c'est notre Seigneur Jésus-Christ. 

Je ne sais pas comment est-ce que les choses vont pour vous. Je ne peux que parler de moi. J'ai dû constater que des paroles dans certaines situations ne suffisent pas et que Dieu seul est capable de changer la situation. Et on doit lui laisser les choses entre les mains, comment et quand est-ce qu'il interviendra, nous savons que sa volonté en toutes choses sera faite. Nous avons la parole de 1 Corinthiens 7 :15 que nous venons d’observer : “Que sais-tu frère ou bien toi, sœur, si tu ne gagnerais pas ton prochain”. La réponse est très facile : Si les deux sont tirés par Dieu, attirés par lui, et reçoivent la grâce de Dieu et suivent le Seigneur, alors il n'y a plus de problème, de difficultés. Alors il y a le pardon, il y a la grâce, il y a le salut, il y a de la considération. Il y a de la considération pour lui, pour l'un, pour l'autre. Il y a tout pour la compréhension. Il y a tout.  

Mais s'il n'y a pas toutes ces choses, si ce n'est pas le cas, nous devons attendre jusqu'à ce que Dieu apporte un changement. Dans Éphésiens 6, il est écrit. J'avais déjà là un peu anticipé tout à l'heure sur le sujet. Et ici il écrit Ephésiens 6 :1 :  

Vous, enfant, soyez obéissants à vos parents dans le Seigneur, car cela est dans l'ordre des choses”.  

Une formulation très belle, n'est-ce pas ? Un tel ordre, nous le souhaitons tous pour que cette parole s’accomplisse : “ Vous enfants, soyez obéissants à vos parents dans le Seigneur ”. Donc, ce sont des enfants croyants. Et alors il leur est demandé d'avoir aussi la crainte de Dieu pour être, pour pouvoir être obéissants aux parents. Sinon, cela ne sera pas possible sans la crainte de Dieu dans le cœur. “ Et vous enfants, soyez obéissants à vos parents dans le Seigneur, car cela est dans l'ordre des choses ”. Je vous le dis aussi, je vais dire ça, c'est vraiment en ordre, dans l'ordre des choses, si cela s'accomplit.  

Ainsi, la plupart de nous, n'est-ce pas, ont sûrement vécu de telles années. Et nous regardons tous à ces temps, bien sûr, volontiers en arrière. 

Et là, je pense à un frère à l'époque, qui était jeune, alors que la question était venue dans l'église, “qui pourrait être ancien d'une église, d'une assemblée”. Et alors, il y a quelqu'un qui est venu très agité et a dit : “ Oui, mais ce n'est pas n'est-ce pas vrai ? N'est-ce pas c'est écrit : Voici comment est-ce que les enfants d'un ancien doivent être. Ils doivent être ainsi, ainsi, ainsi, et ainsi ”. On lui a dit oui, c'est écrit et cela reste aussi écrit et valable. Mais autrefois, j'ai dit à ce frère qui était à l'époque très jeune : “Mais toi, attends”. Il n'était pas encore marié. “Toi, attends jusqu'à quand tu te marieras, et tes enfants soient grands et adultes comme des enfants des frères qui sont établis comme ancien”. Et alors, Il a dit à haute voix : “Moi, je reste attaché à la parole”. Bon, et quand le temps a pris son cours, n'est-ce pas ça, ça fait très longtemps en arrière, alors cela aussi s'est révélé, ce qui s'était passé avec Samuel.  

Samuel était un prophète puissant. Le premier devoir que le Seigneur lui avait ordonné d'exécuter était : “Va à Eli et dis-lui de mettre sa maison en ordre parce que ses fils ne marchent pas dans les voies de Dieu”. 

C'était un devoir difficile. Il n'avait pas le choix. Et quand ce bien-aimé frère Samuel, qui autrefois était, était très jeune et avait écouté la voix de l'Éternel, il avait exécuté son ordre. Quand ce bien-aimé Samuel, lui aussi était vieux, avait donc à son tour des fils adultes et lui-même étaient très âgés, alors les anciens d'Israël sont venus à lui et lui ont dit : “ Samuel, tes fils ne marchent pas dans tes voies. Etablies-nous un roi”. Quel couteau, cela a dû être dans son cœur ? Quand tous étaient jeunes, et bien, tous étaient obéissants et n'étaient même pas mariés et ne connaissaient rien des problèmes qui peuvent arriver, etc. Et là, on peut tout de suite dire quelque chose rapidement. Mais quand, plus tard, par le développement du temps, les choses changent pour nous, et alors là, nous devons aussi en finir. Et Dieu nous accorde la force pour en finir, pour que nous puissions surmonter ces choses. 

Et je vais vous dire d'où moi, je puise ma force, je la puise dans la Parole de Dieu pour que moi aussi, dans ma situation et toi dans ta situation, nous recevions toujours de la consolation par la Parole. Et si quelqu'un vient à vous et dans la misère dans laquelle vous vous trouvez déjà, vient encore vous frapper, vous affliger, vous condamner, vous accuser. Un tel homme, vous pouvez lui montrer la porte, car il n'est sûrement pas envoyé par le Seigneur. 

Quelqu'un qui est envoyé par Dieu, vous savez ce qu'il va faire avant, quand il va arriver. La première chose avant même de fouler le seuil, ou bien en foulant le sol le seuil de la porte de la maison, il dira : “Que la paix soit avec cette maison”. Et moi j'aimerais compter combien de fois j'ai dit cela en entrant chez quelqu'un. Combien de fois quand je rentre, quand j'entre dans une maison, je dis toujours : “Que la paix soit dans cette maison, vienne dans cette maison”. Et s'il y a des enfants de paix, alors cette paix de Dieu reste avec eux. Car si quelqu'un vient, qui lui-même n'a pas de paix et est conduit par … est excité, agité, alors qu'est-ce qui arrive quand il arrive et vient visiter une maison, une famille ? Il n'y a que ... il apporte des malheurs. Voyez ? Les vrais enfants de Dieu sont des gens qui procurent la paix, sont des hommes que Dieu peut bénir et utiliser. 

Mais venons ici à un autre verset biblique. Et nous le trouvons dans 2 Timothée chapitre 3, dans Timothée chapitre 3. Là, il est dit quelque chose sur la fin des temps, dans laquelle nous vivons. Ici dans Ephésiens 6 nous avons vu que les enfants doivent obéir à leurs parents dans le Seigneur. Maintenant regarder ce qui est écrit ici dans 2 Timothée 3 :2.  

Alors les hommes seront égoïstes et avides d'argent, vantard et hautains, injurieux, désobéissant aux parents, ingrats, impies, sans amour, ni fidélité, calomniateurs, intempéramment, cruel, hostile, etc. Hostile à tout ce qui est bon”.  

Et celui qui n'a pas lu le premier verset, il n'a pas compris et n'a pas compris que cette lettre, ces expressions-là se réfèrent aux derniers jours, car au premier verset il est écrit : “mais tu sauras ceci qu'il y aura des temps mauvais dans les derniers jours”. 

Mais nous vivons, n'est-ce pas, dans ces derniers jours ? Oui ou non ? Oui, et des jours qui ne nous plaisent pas sont venus sur nous. Mais ce sont les derniers jours et dans ces derniers jours, ce n'est pas seulement l'ordre divin qui est en jeu, mais aussi l'ordre des hommes est renversé sur la tête. Et Salomon, autrefois, a déjà dit de son temps : “Ne demande pas pourquoi les temps d'autrefois étaient mieux. Parce que ce n'est pas la sagesse qui te t'inspire cette question”. [Ecclésiaste 7 :10]. Et si souvent, officiellement, je l'ai dit et je n'ai pas honte de le dire. J'ai lavé les pieds de mon papa qui avait difficile à travailler l'agriculture quand il revenait tard et fatigué le soir. J'ai pris un seau et je lui ai, à 12 ans, à 13, 14 ans, je lui ai lavé les pieds quand il revenait du travail. Cela ne m'a pas dérangé. C'était normal pour moi. J'ai aimé du fond de mon cœur mon papa, et cela appartenait à ma vie. Mais quand je regarde le temps d'aujourd'hui, alors je dois dire “Oh mon Dieu”. Et toi, n'est-ce pas, ne demande pas pourquoi, est-ce que les temps d'autrefois étaient mieux que ceux d’aujourd’hui. 

Et quand, si je fais un pas de plus, j'avais eu le privilège de baptiser mon père et ma mère bibliquement au nom du Seigneur Jésus-Christ. Et c’étaient des années auxquelles je peux regarder en arrière comment les choses …Les choses allaient pour moi comme pour Job à l'époque où le Seigneur l'entourait et que rien ne lui arrivait, il était béni. Il y en a même qui étaient jaloux, sûrement. Mais alors, si des jours et des temps arrive où les choses sont différentes pour moi, ne me déplorez pas, ne me déplorez pas. S'il vous plaît, priez simplement pour moi. Et dites : ” Seigneur. Le Seigneur sait ce qu'il fait dans sa vie ” et la fin sera plus glorieuse. Et ensemble, nous louerons et glorifierons le Seigneur. Est-ce que nous devons nous retenir aux choses qui sont passagères ? Nous nous attachons à ce qui est éternel. Et nous devons prendre des décisions. Ce qui passe, ce qui est passager nous retient, et ce qui restent éternellement nous tient ferme et nous fait entrer dans l'éternité. 

Donc, la décision est déjà prise. Nous avons été saisis par Christ et nous ne pouvons rien faire d'autre. Nous allons à sa rencontre avec empressement. Nous le suivons. Et je crois que si Dieu nous a donné des hommes, qui sont, n'est-ce pas, notre propre chair et sang, une partie de nous et qui sont déterminés à prendre part à l'enlèvement, alors le temps arrivera où les choses changeront quand c'est comme ç’a eu lieu avec Job. Alors subitement, la joie et la paix seront dans toute ta famille. Mais entre-temps, je ne veux pas malgré cela, à cause de ça, tourner le dos au Seigneur parce que ma famille n'est pas encore croyante. Non, ça, c'était l'histoire de job. Satan lui a dit : ” Mais si, n'est-ce pas, tu me laisses me jeter sur lui, tu verras que Dieu, il ne te servira plus ”. Et le Seigneur a pris ça au sérieux et lui a dit : “Bon, d'accord, Satan, si tu penses qu'il ne me servira plus quand les choses iront mal pour lui, alors le voilà pour toi. Prends-le, mais ne touche pas à sa vie, à son âme”. 

Il a vraiment touché tout de la tête aux pieds ; sa maison, ses biens, tout. Satan est passé par la femme et lui a dit : “Renies Dieu et meurs”. Et qu'est-ce que Job a dit ? Il était assis sur la cendre, extérieurement encore plein de douleur, avec des ulcères de la tête aux pieds. Et alors encore les coups de ses amis. Il y a différentes sortes d'amis. Et il y en a qui ont un don spécial. Ils ont la main gauche libre et la main droite avec un couteau caché. Et quand ils t'ont embrassé avec le bras gauche, alors la main droite avance et il te donne un coup de couteau. Non, nous n'avons pas besoin de ça. Nous avons besoin d'hommes …  

Et ça, je veux le dire clairement. Ça n'a pas d'importance, dans quel état, dans quelle situation, tu te trouves. Bien-aimés frères et bien-aimées sœurs, si nous sommes enfants de Dieu, alors nous ressentons mutuellement les douleurs les unes des autres ici et nous marchons ensemble sur le chemin de Dieu. Nous ne nous corrigeons pas les uns des autres. Nous n'allons pas dans les maisons pour distribuer des ordonnances et dire : “Ecoute, dans ton problème, voilà comment tu dois faire les choses ; ça tu dois faire comme ça, et là …”. Non, nous-mêmes, nous avons besoin d'une ordonnance. Et si nous l'avions, n'est-ce pas, nous serions aidés, secourus nous-mêmes. Mais nous avons la promesse qu'il y a encore du baume en Galaad [Gilead]. Le médecin est encore là, car il peut, il peut guérir ; il peut panser ; il peut guérir tout. Il peut faire du bien à tous. 

Pourquoi est-ce que nous lisons toutes ces différentes écritures et ces versets, pour nous montrer que nous, nous pouvons nous trouver dans différentes situations et personnes dans sa situation, a besoin de se décourager ? Croyezmoi : Aujourd'hui, personne n'a besoin de se décourager dans sa situation. 

Qu'elle soit difficile. Vous ressentez dans votre cœur que Dieu vous a appelé à sortir. Vous n'êtes pas venu de vous-même au Seigneur. Vous avez été attirés par le Seigneur, par Dieu et vous êtes maintenant ici et maintenant, vous avez mis le Seigneur dans votre vie à la première place. Vous avez, dans votre vie, reçue la parole de la vérité en lumière. Et vous avez, vous êtes passés par là. Vous avez supporté beaucoup de choses. Et lui, vous pensez qu'il va vous laisser dans vos problèmes ? Il a vu tout et Il voit tout. Et il écoute tout. Il a tout vu et Il a tout écouté. Et Il veille sur nous et sur sa parole qui est dans notre cœur, pour, au temps convenable, faire la chose adéquate. Ce n'est pas toi et ce n'est pas moi qui allons apporter un changement, mais le Dieu Tout-Puissant dont nous portons les promesses dans nos cœurs, lui, à qui appartient tout pouvoir, sur la terre comme au ciel, Il a déjà frayé le chemin pour ton problème. Il a déjà aplani le chemin. Nous avons seulement besoin d'attendre jusqu'à ce que nous puissions y marcher. 

Entre temps, avant que cela n'arrive, nous voulons faire confiance au Seigneur et cela, entièrement. Malgré tout, comme homme, n'est-ce pas, rapidement avec nous et avec les autres, et encore même avec Dieu, nous allons peut-être nous plaindre et dire : “Merci Seigneur. Pourquoi est-ce que cela doit m’arriver ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi” Parfois, il y en a qui recevront leurs réponses seulement dans la gloire. Que nous recevions la réponse ou pas, nous voulons servir le Seigneur dans la foi, Lui faire confiance, Le suivre. Et tout le reste, si cela doit être ainsi que toute la famille n'est pas encore croyante, nous voulons malgré tout laisser tout derrière nous et nous sommes du Seigneur. Même si ça fait mal. Ou alors nous nous laissons retenir par ceux qui ne suivent pas et qui ne croient pas. Ou bien alors nous suivons le Seigneur et alors par cela nous leur donnons la possibilité d'être attirés par le Seigneur. Je crois que la première solution est la meilleure parce que Dieu nous a attiré, nous a appelés. Nous voulons suivre notre chemin en suivant le Seigneur Jésus-Christ. Et tout le reste, nous voulons le remettre entre les mains du Seigneur. Comme il a dit Isaïe 49 :25, il peut enlever les captifs d'un homme puissant et le butin d'un homme puissant. Et il peut rendre les grands petits. Il peut élever, il peut abaisser. Ce qui est important, c'est d'avoir pris dans notre cœur la disposition juste devant Dieu, et tout le reste, le remettre entre ses mains. 

Vous savez que nous devons aussi faire preuve de plus de tact dans nos relations avec les autres. Malheureusement, ce sont les personnes de foi qui peuvent devenir déraisonnables ou irraisonnables le plus rapidement. Les incroyants font attention à leur conduite qu'ils aient lu Heman Cludis [NDL son inaudible] ou pas. Mais ils savent exactement comment se comporter, comment se conduire. Vous savez ce que je veux dire. Mais avec les croyants, ce n'est parfois pas le cas. Et là, nous devons faire attention à reconnaître si nous ne sommes pas motivés par une autre puissance, qui fait de nous tout sauf une bénédiction pour les autres. 

Mais je voudrais ici vous montrer un autre contraste frappant qui vous donnera du fil, du fil à retordre. Et dans l'Évangile de Matthieu, dans le Sermon sur la montagne, notre Seigneur a adressé un avertissement très sérieux à nous tous, une exhortation, et un rappel à l'ordre. Et ici il dit la chose suivante. Matthieu 5 :21 :  

Vous avez appris qu'il a été ordonné aux anciens : Tu ne tueras pas, mais c'est lui qui tuera, sera jugé. Mais moi, je vous dis : Quiconque se met même en colère contre son frère sera passible du jugement et quiconque dira à son frère idiot. Sera puni par le Haut Conseil et quiconque lui dira insensé sera puni par le feu de l'enfer”. 

Des paroles très sérieuses. Si rapidement un croyant dit à l'autre, réellement quelque chose, des expressions qui n'ont pas à être trouvées dans notre bouche car c'est ainsi que c'est écrit dans Ephésiens 4 :29, qu'il ne sorte de vos bouches aucun discours grossier, vain ou indécent. Ephésiens 4 :29. Vous connaissez tous cette écriture. Je n'ai pas besoin de lire, mais je veux ici tirer une comparaison. Et vous savez exactement dans votre cœur. Je ne suis pas ici comme juge. Je ne me tiens pas ici comme juge. La parole que je lis. Elle est adressée à moi aussi comme à vous tous, et elle va dans mon cœur aussi, comme dans votre cœur à vous tous. Et elle me concerne aussi. Elle concerne chacun et nous avons tous à nous examiner devant la face de Dieu. Mais ici, il est écrit réellement Matthieu 5 :29 :  

Et quiconque dit à son frère idiot sera puni par le Haut Conseil”.  

Un jugement très, très grave. Et vous savez ce que le même Seigneur a dit. Il a utilisé la même parole de sa bouche, il a prononcé la même parole. 

Lisons dans Luc 12. Nous parlons aujourd'hui de “ prétendues contradictions dans les Écritures ”. Dans Luc 12 :20. Vous pouvez tous le lire selon les traductions et ici il nous est dit de quoi il s'agit. Luc 12 :20 : 

 Mais Dieu lui dit Tu es un idiot. Cette nuit même, on réclamera ton âme”.  

Le Seigneur ici nous donne l'instruction de ne pas désigner un frère d'idiot, insensé, et de ne dire à personne “ Toi insensé, toi idiot ”, parce que la condamnation suit et ici lui-même, n'est-ce pas ? Il dit lui-même : “Tu es un idiot cette nuit même, on réclamera ton âme”. Et lui-même, Il utilise cette expression ici. Où est la différence ? Avez-vous compris de quoi s'agit-il ? Où est la différence ? L'un est un frère en Christ qui a reçu la grâce de Dieu, un homme à qui tout a été pardonné et que personne n'a le droit de lui donner encore une facture et de l'accuser. Et si quelqu'un vient et accuse un frère en Christ et lui exprime une telle formulation, ou bien l'utilise en relation avec lui en se référant à lui, alors, il annule pour ce frère ce qui s'est passé pour lui à Golgotha. Alors nous ne voyons plus de frère en Christ comme Dieu le voit, c'est à dire par Golgotha, c'est à dire comme complètement, totalement racheté, délivré et qui a reçu la grâce de Dieu. 

Mais ici, il y a un incroyant qui ne peut rien être d'autre que ce qu’il est et qui a laissé passer et laisse passer l'offre de grâce de Dieu sans l'accepter. Ce n'est pas le frère qui est un idiot. Il ne peut pas être un idiot et un insensé. Il est un homme intelligent parce qu'il a accepté la grâce de Dieu. Mais l'incroyant est un idiot, est un insensé qui n'accepte, qui n'a pas accepté la grâce de Dieu. Et vous comprenez la différence ? Dieu a le droit d'utiliser ces expressions et de dire à un incroyant... Peut-être qu'un croyant pourra peut-être lire cela et remuer la tête et dire : “Mais comment est-ce que cela est possible ici ? Le Seigneur lui a dit de ne pas parler comme ça et lui-même, Il le fait”. Non, tout a son contexte, a sa place et a sa justification. 

Et nous, comme croyants, particulièrement pour la fin des temps, Il nous est dit dans Jacques 5 :6, un rappel à l'ordre particulier nous est donné pour notre marche que nous avons à recevoir dans notre cœur. Jacques 5 :7, il est écrit :  Soyez donc patients, frères, jusqu'à l'avènement du Seigneur” “Voici le laboureur attend le précieux fruit de la terre, prenant patience à son égard jusqu'à ce qu'il ait reçu les pluies de la première et de l'arrière-saison. Vous aussi, soyez patients. Affermissez vos cœurs, car l'avènement du Seigneur est proche. Ne soupirez pas les uns contre les autres frères”. 

Je pourrais m'arrêter ici et lire Romains 8, où Paul écrit que “toute la création soupire et que nous aussi qui avons l'esprit comme prémices, nous soupirons de la même manière, dans notre cœur et attendons la manifestation des fils de Dieu”. 

Mais ici, il y a deux sortes de soupirs qui montent ici au ciel : l'un est lié avec l'attente du retour du Seigneur Jésus-Christ, qu'enfin toute la création soit délivrée de la corruptibilité et que les enfants du Dieu soient glorifiés et rencontrent le Seigneur dans les airs. Et cet autre soupir ici est dans le contexte, comme il est écrit : “Ne soupirez pas les uns contre les autres, frères”. Ça, c'est une grande différence comme le ciel est éloigné de la terre, que nous soupirions parce que nous avons quelque chose contre un frère et que nous n’en finissons pas ou bien alors, est-ce que nous soupirons parce que nous désirons que, enfin, la rédemption de notre corps ait lieu et que toute la création en prenne part. 

Quelle sorte de soupir est en toi et en moi ? Je dirais que des soupirs selon Romains 8 ? Amen. Ce n'était pas assez fort. Ou bien selon Jacques 5 ? Quelle sorte de soupir est en vous ? Faites attention, n'est-ce pas, que ce ne soient pas des soupirs comme c'est écrit ici dans Jacques 5 : “Ne soupirez pas les uns contre les autres, frères, de peur…”. Mais un soupir que l'Esprit de Dieu a mis en nous par lequel ce désir est exprimé : “Seigneur, quand est-ce que tu reviendras, Seigneur, quand est-ce que tu viens ? Reviens bientôt pour nous prendre auprès de toi, pour que nous puissions en finir avec tout cela”. Pas “Seigneur. Et quand est-ce que tu règles les comptes contre ces frères. Quand est-ce que tu le saisis ? Et quand est-ce que tu lui fais arrêter ce qu'il fait, et règle son compte, ou bien met de l’ordre ?”. 

Oublions cela, nous voulons nous-même mettre de l'ordre dans notre vie, entre nous et notre Dieu. Alors le monde entier sera en ordre si chacun est en ordre avec Dieu et ne s'occupe de personne. Alors moi, j'ai la grande foi que les uns avec les autres aussi nous serons en ordre et en accord, si chacun est en ordre avec Dieu. Cela commence avec chacun, individuellement avec Dieu. Que chacun soit apporté en ordre avec Dieu. Que lui-même il mette sa vie en ordre avec Dieu. Je vous dis que si nous tous qui sommes ici rassemblés aujourd'hui et tous ceux qui invoquent, qui nomment le nom de Seigneur et croient sa parole révélée, si tous se mettent en ordre, se laissent apporter en ordre avec Dieu, alors il y aura l'ordre divin dans toute l'église qui sera restaurée. 

Nous avons déjà dit auparavant que ce n'est pas seulement que l'ordre divin, mais aussi l'ordre des hommes, n'est-ce pas, a été renversé sur la tête. Mais il y a une église qui est appelée à sortir. Et de cette église, de nouveau, elle sera ramenée dans l'état qui existait devant Dieu, dans l'Église primitive, et à cela, je veux appartenir, que cela coûte ce que ça coûte. Le message de la fin des temps a été apporté pour mettre de l'ordre, l'ordre divin dans la maison de Dieu, pour créer l'ordre divin dans la maison de Dieu, ramener, rétablir. 

Et dans l'Épître aux Hébreux, il est écrit que nous sommes la maison de Dieu, Hébreux 3 :6. Donc, il faut que dans la maison de Dieu, en nous qui sommes la maison de Dieu, l'ordre de Dieu doit être rétabli et créé en nous. Alors pour toi et pour moi, le monde est en ordre, la politique est un ordre, tout est en ordre alors. Si tu es en ordre avec Dieu, alors Il s'agira seulement d'une seule chose pour toi, c'est d'avoir la relation avec Dieu et de l'alimenter, de vivre avec lui, pour lui et d'être à sa disposition et d'être béni par lui et d'être une bénédiction pour pouvoir être ainsi une bénédiction, ensuite pour les autres. 

Combien dans leur cœur peuvent dire amen, oui à cette parole de Dieu que nous avons observée ? Amen. Amen ! Nous la croyons, nous l'avons entendue, nous l'avons reçue, nous l'avons écoutée. Et il nous sera fait comme Dieu l'a dit. Nous expérimenterons, nous vivrons ce qu'Il nous a promis. Il n'y a aucune contradiction dans la parole de Dieu. Tout est en ordre pour ceux qui sont en ordre avec Dieu. Qu'Il me l'accorde. Qu'il te l'accorde. Qu'il puisse nous accorder tout cela et nous accorder à tous sa paix, sa paix. Amen. Amen. Nous nous levons pour la prière. 

Père céleste, aucun de nous, voudrait chanter ou bien, jubiler de joie. Nous nous examinons tous sérieusement devant ta sainte face pour voir dans quel état nous sommes réellement en face de cette Parole. Nous te remercions ensemble pour les comparaisons dans les Saintes Écritures qui, pour la compréhension des incroyants, semble être une contradiction. Mais ceux qui ont trouvé grâce devant toi, c'est une harmonie entière à chaque fois dans le contexte bien précis, apporté en lumière.  

O bien aimé Seigneur, comment est-ce que nous pouvons te dire merci pour cette compréhension, comment nous pouvons exprimer notre reconnaissance de ce que tu nous as fait grâce de comprendre ces choses ? Qui sommes-nous pour que tu parles avec nous ainsi, comme un ami parle à son ami, de ce que tu parles avec nous ? Qui sommes-nous pour que ton Esprit nous vivifie ta parole ? Et c'est justement maintenant dans ces moments que, profondément, dans notre âme, tu agis. Nous ressentons que ta Parole est plus tranchante qu'une épée à deux tranchants. Elle a pénétré jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, des articulations et la moëlle, et elle a apporté dans notre vie une décision divine que nous avons pu prendre par ta grâce. Nous voici, Seigneur, Dieu Tout-Puissant, rassemblés devant ta face telle que nous sommes.  

Personne ne peut changer sa grandeur, ajouter une mesure à sa taille. Personne n’est capable dans sa vie de changer quelque chose, de faire quelque chose différemment. Nous sommes dépendants de toi. Nous sommes, depuis le ventre de notre mère, dépendants de toi. Jusqu'à ce jour, tu nous as portés avec plein de patience. Et malgré tout, nous ressentons qu'après tout cet enseignement, très peu de vie divine a été manifestée. Et nous avons Seigneur ensemble cette demande, que la parole qui a été semée par toutes ces prédications, que cette semence soit abreuvée, arrosée par ton Esprit et que, en nous, cela porte du fruit, le même grain de blé qui est tombé au sol, a porté du fruit. Seigneur fidèle, et que ce fruit soit manifesté en nous. Nous sommes nés de toi selon l'Esprit et nous sommes devenus fils et filles de Dieu. Nous sommes encore dans ce corps de chair et nous avons beaucoup de difficultés. Nous te demandons O Seigneur, mais nous demandons que l'esprit ait le contrôle pour que la chair soit soumise et que ton Esprit puisse nous oindre et nous utiliser puissamment et nous revêtir de la puissance d'en haut pour les devoirs divers, pour les différents devoirs. O Seigneur, que la parole que nous avons écoutée ne puisse pas revenir à vide sans effet, mais qu'elle puisse exécuter ta volonté dans notre vie et produire l'effet pour lequel tu l’as envoyée. Nous te croyons et nous te faisons confiance. Tu nous as attirés, tu nous as parlé. Tu as touché notre cœur.  

Nous avons compris Ta Parole, compris ce que Tu nous as dit et nos cœurs brûlent encore parce que tu as parlé avec nous. Seigneur fidèle, que Tu puisses laisser luire Ta face sur nous et accorde nous Ta paix. Et que Ta grâce et Ta bénédiction soient avec nous dans le saint Nom de Jésus. Alléluia, Amen. Amen ! Amen ! Alléluia ! Gloire à Dieu !