Ewald Frank
Krefeld le 13 juillet 1986 à 10 heures 00
1 Jean 1 : 1-5: NOUS DEVONS ÊTRE EN COMMUNION AVEC DIEU ET EN COMMUNION LES UNS AVEC LES AUTRES
(Retransmis le 02 mars 2025)
Si seulement nous pouvions en saisir toute la portée ! Dieu nous a offert en un seul jour, par un seul acte de rédemption, une œuvre parfaite de grâce, de rédemption, un pardon et une réconciliation parfaite. Il y a eu des milliers et des milliers de sacrifices, mais ensuite est venu Le sacrifice de tous les sacrifices ; et après cela, plus rien n'a dû être sacrifié. Tous ceux à qui cela était destiné l'ont reconnu et accepté avec reconnaissance.
Je vois maintenant que certains sont empêchés, aujourd'hui nous ne connaissons pas les raisons, nous ne regardons pas le nombre, nous regardons au Seigneur, et nous sommes reconnaissants de pouvoir encore nous réunir pour écouter la parole de Dieu, pour la recevoir. Et comme il a été dit ici, que nous devons nous approcher avec un cœur sincère et une pleine certitude de foi (Hébreux 10 : 22) ; nous pouvons avoir de l'incrédulité et des doutes envers les hommes, ce ne sont que des hommes, ils peuvent échouer, mais Dieu est parfait. Celui qui vient à Lui doit croire qu'Il est là, et qu'Il Se laisse trouver par ceux qui le cherchent. Celui qui Lui parle doit croire qu'Il écoute. Celui qui prie doit croire qu'il est exaucé. Nous ne pouvons pas traiter Dieu comme nous traitons les hommes. Nous devons Lui témoigner le respect et la crainte nécessaires qui Lui sont dues.
Vous avez certainement entendu dire que nous étions hier dans l'autre partie de notre pays. Et je dois dire qu'après toutes ces années, cela a été une très grande surprise pour moi, une bénédiction particulière, de voir autant de gens, et de constater que tout le monde n'a pas dévié à droite ou à gauche, mais que les gens ont la grâce de revenir ou de ne pas oublier ce que Dieu a fait en eux.
Vous savez, je n'ai besoin d'aucun bouquet de fleurs de la part de qui que ce soit ici sur la terre. Une couronne sur le cercueil me suffit. Mais, on comprend quand même ce que cela signifie, lorsque des personnes témoignent avec émotion, avec le cœur touché, témoignent de ce que la parole de Dieu signifie pour elles, et de ce que les épreuves que nous devons tous traverser provoquent, produisent.
Je vous transmets les salutations de tous. Ils venaient de tout le pays, et ce fut une surprise pour tous. Tout le monde a été surpris, chacun a été surpris, tout le monde, pas seulement moi, mais tous ceux qui se sont aussi revus ont été surpris ; et à la fin, un frère a demandé à lire une parole, et c'est sur cette parole que je voudrais revenir. Nous allons y réfléchir brièvement et approfondir cette pensée.
Au fait, j'avais un très bon chauffeur. Cela faisait longtemps que je n'avais pas roulé à deux cent vingt, mais c'était très agréable. De Berlin à ici, exactement quatre heures et demie, même en comptant le trajet de transit. Je n'ai pas eu peur, mais j'étais content d'être rentré à la maison.
Voici le passage que mon frère a lu. 1 Jean chapitre 1 verset 1. Il est écrit :
« Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché, concernant la parole de vie – et la vie s’est manifestée, et nous l'avons vue et nous en rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée – ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons, à vous aussi, afin que vous soyez en communion avec nous. Or, la communion avec nous, c'est aussi la communion avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ. Et nous vous écrivons cela afin que notre joie soit parfaite ».
Il a ensuite ajouté quelques paroles à ce qu'il avait lu, et il a souligné et m'a interpellé et s’est adressé à tous, et il a simplement témoigné que rien n'avait été dit et prêché jusqu'à aujourd'hui, à moins que ce ne soit la parole de Dieu. Il a rendu un témoignage pour tout dont je ne suis pas digne, mais cela m'a renforcé de savoir qu'il y a partout des gens qui ne se laissent pas emporter ; et il a dit textuellement : « Tu as été là depuis le début, tu as été témoin de l'œuvre de Dieu, tu as vu ce que Dieu a fait, tu étais là quand la parole a été révélée ; et en plus, Dieu t'a personnellement mandaté pour transmettre cette parole ». Et puis il a dit : « Nous y croyons tous, et c'est pourquoi nous sommes fidèles à Dieu et au ministère qu'Il t'a donné en ce temps ».
Et ainsi, la décision était prise même pour ceux qui étaient venus avec des questions, et c'était peut-être nécessaire, pas tant pour moi que pour ceux qui ne savaient peut-être pas encore exactement où et comment prendre position. Plus tard, à ce moment-là, ils l'ont reçue, et vous savez comment les gens réagissent.
Moi, comme un Jean, un Paul et un Pierre, Jean écrit dans 3 Jean verset 3 : « C'est une joie pour moi d'apprendre que vous marchez dans la vérité ». Il dit : « Je ne peux pas avoir de plus grande joie ». Les personnes qui sont destinées à entendre, à écouter la vérité, puis à marcher dans la vérité, sont également destinées à être en communion avec Dieu et avec ceux qui leur ont apporté la vérité de la parole. Et c'est finalement là-dessus que l'accent a été mis. J'aimerais approfondir un peu ce sujet ce matin.
Ici, il est question de la vie qui s'est manifestée, de la parole de vie, de ce que Dieu a fait, de ce qui a été vu, entendu, vécu, expérimenté ; et puis vient cette déclaration au verset 3 : « Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons », et maintenant il y a une virgule, pas un point, une virgule. La suite du verset 3 : « …afin que vous aussi soyez en communion avec nous ».
La communion des vrais croyants, la communion de ceux qui ont été introduits dans la vérité avec ceux qui ont apporté la parole, signifie en même temps la communion avec Dieu Lui-même. Et c'est pourquoi tout cela est exprimé ici en un seul verset ou en une seule pensée. Verset 3 : « …afin que vous aussi vous soyez en communion avec nous, et la communion avec nous, est en même temps la communion avec Dieu ». Ça, c'est la chose ! Il n'y a aucune possibilité d'être en communion avec Dieu, et d'exclure ceux qui ont d'abord, par la prédication de la parole, ramené les hommes en communion avec Dieu en prêchant la parole. Certains aimeraient bien cela, être en communion avec Dieu, mais leur communion est alors une communion illusoire, car il manque un maillon dans la chaîne, la chaîne est alors rompue. Je le relis encore une fois le verset 3 :
« Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons à vous aussi, afin que vous soyez en communion avec nous. La communion avec nous est aussi celle avec le Père et avec son Fils, Jésus-Christ ».
La véritable communion, celle que Dieu nous a donnée, qui est liée à la révélation de la parole et de la volonté de Dieu, à la révélation de Jésus-Christ, ne passe pas en se méprisant, mais est une communion qui inclut tous les vrais enfants de Dieu, une communion intime, profonde de Dieu, opérée par l'Esprit, produite par Dieu, car la parole a été rendue vivante par l'Esprit ; et cette communion est une communion avec l'Esprit de Dieu dans la parole de Dieu. Il ne s'agit pas d'une communion qui dure peu de temps, mais une communion de l'Esprit dans l'assemblée des saints, entre eux les uns les autres, et aussi avec Dieu, jusqu'à ce que nous passions de la foi à la vue. Si ce n'est pas le cas, si les gens se détachent, suivent leur propre chemin, etc., ce qu'ils n'ont pas encore été intégrés dans cette communion de l'Esprit de Dieu dans le corps du Seigneur.
Est-ce que vous pouvez vous imaginer qu'un corps composé de plusieurs membres, et soudainement, la main et le pied se détacheraient, chacun allant dans une direction différente ? Cela ne peut pas se produire ! Dieu révèle Sa parole et Sa volonté dans un but bien précis : C'est pour nous ramener à la communion qui a été interrompue par la chute originel de l'homme, par la transgression de la parole. C'est pour nous ramener à cette communion-là.
Nous avons lu dans la parole d'introduction que nous avons désormais libre accès au trône de grâce de notre Dieu. Ce que le péché (ou la chute, la transgression) a apporté a été réglé. Et nous pouvons être en communion avec Dieu ; mais, la communion avec Dieu est en même temps la communion entre nous, et la communion entre nous est en même temps la communion avec Dieu. Nul ne peut dire : J'aime Dieu, et ne pas aimer son frère ou sa sœur. C'est impossible. De même, nul ne peut dire : J'ai communion avec Dieu, s'il n'a pas communion avec les enfants de Dieu. L'ordre est important. La plupart des gens sont des artistes dans le changement de l'ordre. Mais il est dit ici, je le relis encore une fois, verset 3 :
« Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons à vous aussi, afin que vous soyez en communion avec nous. La communion avec nous, c'est aussi la communion avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ ».
Approfondissons cela en deux ou trois points. À l'époque de Jésus-Christ, il y avait pourtant suffisamment de gens qui chantaient Dieu dans le temple et dans les synagogues, qui offraient des sacrifices, qui célébraient des services religieux, et qui pensaient être en relation, en communion avec Dieu. Ce n'était plus qu'une forme. La communion, la vie dans la chose n'était plus là. Il ne restait plus que la forme morte ; et avec cette forme morte, le Dieu vivant ne pouvait rien faire.
Le Dieu vivant a besoin de quelque chose qui soit également vivant. Et, dans une forme morte, Il ne peut pas Se manifester comme étant le vivant. Il a donc dû rétablir la communion de vie avec Lui-même et avec nous. Et, lorsque des hommes pensaient pouvoir adorer Dieu mais rejeter le Christ, ils n'ont pas franchi le lien, ils n'ont pas emprunté le pont que Dieu a construit, ils ne l'ont pas escaladé, ils sont restés de l'autre côté. Dieu a pourtant construit un pont vers nous, Il a ouvert une voie et nous devons le voir. C'est pourquoi l'Écriture dit dans Jean 3 : 36 : « Celui qui croit au Fils de Dieu a la vie éternelle », car Dieu en tant qu'Esprit était inaccessible, nous ne pouvions pas aller à Lui, et Il ne pouvait pas non plus Se révéler à nous ainsi. C'est pourquoi Il S'est manifesté dans la chair, afin de pouvoir entrer en communion avec les hommes qui sont dans la chair en portant sur Son corps notre culpabilité sur la croix, et en l'expiant en tant que Souverain Sacrificateur des biens à venir. Et ainsi, Il nous a ramenés dans la communion de vie avec Dieu.
C'est exactement ainsi que les choses se sont poursuivies par la suite. Personne ne pouvait dire : « Paul ! Reste où tu es, il me suffit d'être en communion avec Dieu ». C'est une illusion, cela n'a rien à voir avec la réalité. La communion des vrais enfants de Dieu se crée là où la parole de Dieu est annoncée avec véracité. Et qui pense pouvoir exclure ceux que Dieu a désigné pour porter Sa parole dans notre temps ? Parce que c'est une époque où beaucoup se mettent à leur compte.
Mais on entend aussi parler de ceux qui ont fait faillite, ceux qui se sont mis à leur compte et qui ont fait faillite. Et un jour viendra pour tous les croyants qui se sont mis à leur compte, qui se sont détachés de la tête et des autres membres, l'heure viendra un jour où ils devront faire aveu de faillite, et admettre que la banqueroute est arrivée à la maison.
La communion avec Dieu est la communion avec ceux qui apportent la parole de Dieu, qui entendent la parole de Dieu, qui croient en la parole de Dieu, c'est-à-dire avec ceux qui appartiennent à l'Église du Dieu vivant. Et si nous appartenons vraiment à l'Église des premiers-nés, alors, comme le dit frère Branham dans un sermon, nous n'attendrons plus que la porte s'ouvre pour que nous puissions entrer dans la maison de Dieu afin d'entendre la parole de Dieu.
Souvenons-nous de ce qui est écrit ici au verset 3 : « …afin que vous aussi vous soyez en communion avec nous. La communion avec nous, c'est aussi la communion avec le Père et avec Son Fils Jésus-Christ ». C'est cela la vraie communion.
La parole de Dieu est venue par les prophètes, pendant des millénaires, Dieu a parlé et a ainsi construit le pont, puis il fut franchi, et Dieu Se révéla en Christ, la parole s'est faite chair, et nous avons contemplé Sa gloire. Depuis l'époque de Jean-Baptiste, ce que Dieu avait promis est désormais appliqué dans la pratique divine. Le temps de l'accomplissement a commencé. Et déjà, il est dit de lui comme l'a annoncé l'ange, qu'il conduira au Seigneur un peuple bien préparé. C'est ce qu'il a fait. Il a ramené les hommes à la communion avec Dieu, il les a ramenés sur le chemin de Dieu par sa prédication.
Et c'est encore le cas aujourd'hui. Quiconque est envoyé de Dieu –et c'est de ça qu'il s'agit ici– celui-là annonce la parole de Dieu ; et tous ceux qui sont de Dieu entendent la parole de Dieu, et ils entrent dans cette communion divine. La communion est opérée par l'Esprit de Dieu.
Je vais passer au passage biblique suivant, mais je le relis quand même, car pour la première fois de ma vie, il a pris une telle importance pour moi. Si je peux ajouter ici un témoignage personnel. Combien ont entendu frère Branham, ont vu ce que Dieu a fait, et ont suivi malgré tout leur propre chemin ? Ils disent : « J'ai aussi été appelé, je prêche aussi, et j'ai aussi un ministère ; j'ai aussi une assemblée, une église » ; et ils ont tous connu le succès, même si ce succès était dû aux moyens des organisations et n'avait pas besoin d'être d'origine divine, mais ils pensaient tous avoir une communion avec Dieu. Mais l'homme qui a apporté la parole de l'heure, du jour, la parole promise pour notre époque, ils l'ont écarté. Ils avaient une belle communion avec Dieu, oh oui ! Ils chantaient, ils exultaient, ils poussaient des cris de joie, tout était là.
Et aujourd'hui nous regardons en arrière, et nous remarquons où toutes ces assemblées, ces communautés sont allées et où elles vont : Dans la direction opposée ! Pas dans la direction divine, nous le savons très bien. Et il y avait suffisamment de personnes qui ont commencé dans l'Esprit, et qui ont terminé dans la chair. Il y avait suffisamment de personnes qui avaient la bonne approche pour suivre leur chemin avec Dieu, mais soudain, tout s'est arrêté, il y a eu une interruption, car ils n'ont plus été prêts à suivre le Seigneur dans ce qu'Il révélait, annonçait et faisait.
Croyez-moi, nous ne parlons pas ici pour notre propre compte. Mais de nos jours aussi, des dizaines de personnes peuvent se référer au frère Branham et à son ministère. S'ils ne savent pas, ne constatent pas et ne reconnaissent pas ce que Dieu a fait dans Son église depuis lors, et de quelle manière l'œuvre de Dieu s'est poursuivie, alors je n'ai pas besoin de m'y attarder longtemps, mais je dis franchement et ouvertement : Chacun a accompli quelque chose de ses propres mains, même s'il s'agit d'un veau d’or, et puis la danse a commencé avec beaucoup de joie, d'agitation et de gaieté, sans qu'ils se rendent compte qu'ils s'étaient détachés.
Et, je fais maintenant référence à Aaron et à certains de son temps, ils s'étaient soudainement détachés. Dieu avait envoyé un homme, et cet homme était parti depuis trop longtemps pour eux. Ils ont perdu la patience. Il fallait faire quelque chose. Cela durait trop longtemps pour eux. Et, au moment où nous devenons impatients, l'ennemi a déjà un beau programme pour nous, et nous nous jetons sur le programme, nous formulons les choses, nous les façonnons et nous formulons les deux ensemble, et puis l'enthousiasme puissant commence.
Moïse descend de la montagne et dit dans Exode 32 : 18 : « J'entends les cris de joie d'une grande fête. Il a donc dû se passer quelque chose de très spécial ». La danse, la musique, tout était là, l'ambiance était là ; et en s'approchant, il vit ce misérable veau. Et ce que Dieu a pu encore mettre dans son cœur était la bonne chose à faire : Écraser cette chose qui n'était plus que poussière.
Et nous ne serons pas épargnés par la même chose ces jours-ci. En ce temps où l'histoire du salut se fait, les hommes perdent patience aujourd'hui. En perdant patience, ils se détachent de la volonté de Dieu, et se réfugient dans leur propre sagesse, dans leur propre pensée. Et nous savons tous ce qui en résulte.
Nous devrions être d'autant plus reconnaissants pour la grâce indescriptible que Dieu nous a accordée à nous et à beaucoup d'autres, de suivre le Seigneur, de ne pas retirer ou laisser un maillon de la chaîne, mais de considérer l'ordre dans lequel Dieu a poursuivi Son œuvre.
Permettez-moi de souligner une fois de plus au verset 3 de 1 Jean 1 : « …afin que vous aussi soyez en communion avec nous, et que la communion avec nous soit en même temps la communion avec Dieu ». Pourquoi ? Parce que nous avons mis les hommes en relation avec Dieu par la parole, et que le Saint-Esprit a pu révéler à chacun la parole qui a été révélée.
Ici, personne n'est allé de porte en porte pour frapper et faire tourner la tête de quelqu'un. Ici, la vraie parole de Dieu a été proclamée en toute liberté et en public, et Dieu a fait le reste avec les individus. Cela va encore plus loin à partir du verset 5 :
« Et voici le message... ». De nos jours, on parle beaucoup de message, et on est en droit de se demander de quel message il s'agit encore en fait. Mais ici, il nous est dit au verset 5 :
« Et voici le message que nous avons entendu de lui ».
Alléluia ! Loué soit notre Dieu ! 1 Jean 1 verset 5 : « le message Que nous avons entendu de Lui ». Pas qui nous a été interprété, pas d'interprétation, mais au verset 5 : « Et ceci est le message que nous avons entendu de lui ». Je ne veux pas d'un autre message. Je veux le message, le pur message divin que nous avons entendu de Lui. Et cela continue verset 5 :
« Et que nous vous annonçons ».
Donc, l'origine de ce qui était dès le commencement, ce que nous avons vu, entendu, vécu de la parole de vie, et la vie s'est manifestée et ainsi de suite… et nous vous en témoignons, et vous l'annonçons, à savoir la vie éternelle qui était dans le Père et qui s'est maintenant manifestée à nous afin que vous soyez en communion avec nous, et notre communion est en même temps la communion avec Dieu qui S'est révélée comme Père dans le Fils. Et maintenant nous en venons au fait : « Et voici le message ». Pas un message, mais le message, le message divin qui est la parole divine révélée ; et cette semence divine est déposée en nous afin que la vie divine puisse émerger en nous. Verset 5 :
« Et c'est le message que nous avons entendu de Lui et que nous vous annonçons ».
Il en sera ainsi jusqu'à la fin. Dans le message divin que nous avons entendu de Lui et qui était là depuis le commencement. Au verset 6… ou même plus loin à la fin du verset 5 :
« Dieu est lumière et il n'y a aucune ténèbres en Lui. Si nous affirmons avoir communion avec Lui, alors que nous marchons dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne sommes pas dans la vérité (nous ne nous attachons pas à la vérité). Mais si nous marchons dans la lumière, comme Il est Lui-même dans la lumière, nous sommes en communion les uns avec les autres (Nous avons communion les uns avec les autres), et le sang de Son Fils, Jésus, nous purifie de tout péché ».
Nous sommes donc en communion totale avec Dieu, mais aussi en communion totale avec tous ceux qui sont nés de Dieu, avec tous les frères et sœurs qui ne sont pas nés selon la volonté d'un homme, mais de Dieu. C'est le message que nous avons entendu de Lui ; pas d'un homme, pas une interprétation, pas un substitut, pas ce à quoi on colle l'étiquette « message », mais ce qui est vraiment le message divin. Nous n’en voulons pas plus, nous n'avons pas besoin de plus.
Nous avons une autre parole du mot communion dans Philippiens 2 verset 1. Nous connaissons tous bien cette parole. Philippiens chapitre 2 verset 1 :
« Ainsi donc, s’il y a réprimande prononcée en Christ, s'il y a une consolation qui vient de l'amour, s'il y a une communion de l'esprit, s'il y a une profonde compassion et une grande miséricorde, rendez ma joie parfaite en étant de la même pensée, en ayant le même amour, et en tendant d'un commun accord vers le même but. Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l'humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-même. [Considérez les autres comme plus important que soi]. Que chacun ne cherche pas son propre intérêt, mais que chacun cherche aussi celui des autres ».
Oh ! Quelles merveilleuses paroles de Dieu ! La communion de l'Esprit, voici le noyau de la chose. C'est en cela que… afin que vous ayez communion avec nous. On l'a lu dans Jean. Il ne s'agit pas d'être d'accord avec quelqu'un parce qu'il a une opinion, une connaissance ou une doctrine particulière, mais parce que la parole de Dieu a été révélée par l'Esprit ; et ceux à qui la parole a été révélée par l'Esprit, ils ont la communion de l'Esprit entre eux, et cela inclut même une profonde compassion et miséricorde.
On ne peut pas marcher sur des cadavres, on ne peut plus faire ce qu'on pouvait faire autrefois ; mais la compassion et la miséricorde rempliront notre cœur, et il y aura aussi une unité, une union dans l'Esprit, et nous tendrons vers le même objectif, le même but comme il est écrit ici, sans avoir à faire preuve d'arrogance, de dogmatisme et d'esprit de parti.
Dans le dernier verset du dernier chapitre, Paul a écrit aux Corinthiens ce qui suit. 2 Corinthiens chapitre 13 verset 13 :
« Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l'amour de Dieu, et la communion du Saint-Esprit, soient avec vous tous ! ».
Ici aussi, nous trouvons l'accent mis sur la communion de l'Esprit, la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ. Nous savons que les saintes Écritures parlent de la grâce de Dieu et de la grâce de Jésus-Christ de la même manière. Tout est interchangeable. On ne peut pas changer ces choses. Tout ce qui peut être lié à Dieu, peut être lié au Christ. Voici comment la chose nous est présentée. Verset 13 :
« Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l'amour de Dieu, et la communion du Saint-Esprit, soient avec vous tous ! ».
On peut dire en toute bonne conscience : Si la grâce de Jésus-Christ s'est manifestée dans notre vie, alors la deuxième partie est également accomplie, c'est-à-dire que l'amour de Dieu s'est révélé en nous ; car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils, et qu'Il a ainsi fait grâce au monde en Jésus-Christ notre Seigneur.
Juste pour m'en tenir à cette pensée : Là où la grâce de Jésus-Christ a été réellement vécue, là où l'amour de Dieu est présent et a été réellement vécu, là se trouve aussi la communion du Saint-Esprit avec tous ceux qui ont fait l'expérience de l'amour et de la grâce de Dieu, et qui ont ainsi été intégrés dans le corps du Seigneur, dans l'Église.
Je lis encore une parole que j'ai brièvement retenue du chapitre 10 de la première épitre aux Corinthiens, ici nous lisons au verset 16 :
« La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas la communion au corps de Christ ? ».
Nous remarquons la construction de cette communion divine avec nous et avec le Seigneur, l'édifice, par le sang de Jésus-Christ, par Golgotha, par le sacrifice de Son corps et par l'effusion de Son sang. Ici, on nous met en évidence en nous indiquant le repas du Seigneur. Verset 16 :
« La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion au sang du Christ ? »
Oh ! Si seulement nous pouvions comprendre cela complètement et entièrement dans la foi, et savoir que nous formons la communion que les saints ont entre eux, que Dieu nous a destinés à cela parce que nous avons été rachetés par le sang de l'Agneau. Et ici aussi, le pain est représenté comme le corps, puis à nouveau comme l'église ; et nous devons simplement le voir. Le corps de l'église, l’église elle-même, a été rachetée par l'offrande du corps de Jésus-Christ, afin d'être la demeure, le lieu de la révélation de Dieu. Encore une fois, le verset 16 :
« Le pain que nous rompons, n'est-il pas la communion avec le corps du Christ. Parce que c'est un seul pain, nous sommes un seul corps malgré notre pluralité, car nous partageons tous le même pain ».
Qu'était-ce ? Cela a été représenté dans le pain. Il s'agit ici de l'église, et l'église est composée des membres, de nombreux membres, et ces membres forment à leur tour un corps, à savoir le corps du Seigneur. Mais il s'agit ici de la communion. Verset 16 : « N'est-ce pas la communion avec le sang du Christ ? ». Une communion rétablie et établie par Dieu Lui-même, sur la base du sang de la nouvelle alliance ; et cette communion doit exister et existera en tous et avec tous ceux qui ont été inclus dans Golgotha, qui en font partie, qui peuvent dire et chanter à juste titre : « Je suis racheté ! Je peux bien le proclamer ! Sauvé, sauvé ! ». Et nous devons alors également accorder la rédemption, nous devons laisser valable cette rédemption à tous ceux, pour tous ceux qui ont été rachetés.
Dans 1 Corinthiens 1 verset 9, il est écrit : « Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur ». Comme nous le soulignons, communion avec Dieu, communion les uns avec les autres. Pas n'importe quelle communion, mais la communion de l'Esprit, l'union avec Dieu, être uni avec Dieu, lié à Lui, et unis, liés entre nous, l'union entre nous.
Je ne sais pas si j'ai jamais connu consciemment le frère qui lisait ce passage de l'Écriture et faisait ces remarques : « Je ne fais que venir et repartir sans m'intéresser aux individus », mais il a dit alors : « Frère Frank, crois-moi, j'ai l'impression que nous avons toujours été ensemble, comme si nous nous étions toujours connus ».
Ceux qui sont de Dieu ont la même origine, le même Père, la même ascendance, la même nature. Chez nous, on dit que les enfants sont rarement à l'image des autres. Mais je crois que les enfants de Dieu ne peuvent être attribués à personne d'autre qu'à Dieu Lui-même. Et si nous sommes différents dans nos origines terrestres, que ce soit en termes de mentalité, de jugement ou quoi que ce soit d'autre, il peut y avoir des différences aussi grandes que celles qui séparent l'Est de l'Ouest, chacun a une taille différente, un nez différent, chacun est complètement différent, nous le savons tous ; mais lorsqu'il s'agit de la chose divine, nous sommes tous égaux devant notre Dieu, d'autant plus que nous sommes nés de nouveau par le Saint-Esprit et que nous portons en nous la vie de Dieu.
Nous l'avons dit au début, la communion a été interrompue puis rétablie pour tous ceux qui sont prêts à suivre le Seigneur, à croire en Lui et à accepter ce qu'Il a dit. Et au commencement, comme nous le lirons encore, il y avait cette véritable communion des croyants qui n'étaient qu'un cœur et qu'une âme (Actes des Apôtres 2 : 44). Et aussi sûrement que nous croyons que le Seigneur est l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, Il rétablira complètement cette communion divine à la fin, par Sa parole et par Son Esprit, dans la troupe rachetée par le sang.
Mais, je voudrais vous lire et souligner brièvement les quatre choses qui constituent cette communion des croyants. Actes des Apôtres chapitre 2 verset 42 :
« Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres ».
Arrêtons-nous là. C'est le point un. Ils n'ont pas permis qu'un autre enseignement étranger s'introduise en eux, ni dans leur cœur, ni parmi eux. Ils sont restés fermes, ou pour reprendre les mots de Luther dans sa traduction : « Ils ont toujours demeuré fidèles à l'enseignement des apôtres ». Ce qui perturbe la communion, ce sont les enseignements étrangers, car les enseignements étrangers sont suscités par des esprits étrangers, et les esprits étrangers sèment le trouble et la confusion dans l'Église du Dieu vivant. L'Esprit de Dieu, Lui, nous maintient dans le vrai enseignement : Celui qui nous a été transmis par les apôtres et les prophètes.
Les Apôtres n'ont rien annoncé d'autre que ce que les Prophètes avaient annoncé, avaient prédit, avaient annoncé à l'avance, car c'est par eux que Dieu Lui-même a parlé. Et plus tard, les Apôtres ont souligné, ont montré cette parole prophétique dans son accomplissement, c'est-à-dire ce qui avait été annoncé par les Prophètes. Ça, c'est le point Un. Donc, si nous ne voulons pas que la communion entre nous et avec Dieu soit interrompue, nous devons rester fermes et persévérer et demeurer constamment fidèles à l'enseignement des apôtres.
Je ne porte pas de jugement, je me contente de lire et d'observer. D'où viennent toutes ces différentes orientations et directions, tous ces malheurs, toute cette confusion, d'où vient tout cela ? C'est parce que les hommes se sont écartés du message divin originel, du véritable enseignement, de l'enseignement des apôtres et des prophètes ; et cela entraîne toutes les erreurs et la confusion, sépare, divise, cause des souffrances. Mais ici, il nous est dit dans Actes 2 : 42 : « Et ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres », ils restaient attachés fermement à l'enseignement des apôtres.
Voulons-nous l'affirmer de tout notre cœur, et dire : « Seigneur, nous aussi nous voulons faire partie de ceux qui tiennent bon, qui restent attachés à l'enseignement des Apôtres » ? Et quand on a lu : « Ce qui était au commencement, c'est ce que nous vous annonçons », nous l'avons lu dans 1 Jean 1, j'aurais presque ajouté : « Nous vous l'annonçons aussi à la fin ». Pas seulement au commencement, comme c'était au commencement, mais à la fin aussi. Comment pourrions-nous annoncer à la fin autre chose que ce qui a été annoncé au commencement ?
Nous en sommes bien conscients : Tout comme dans l'Ancien Testament, certaines choses étaient encore cachées parce que le temps de leur accomplissement n'était pas encore venu, et qu'elles n'ont été vues que beaucoup plus tard à la lumière de leur accomplissement, il en va de même pour de nombreux éléments de la parole concernant la période de l'église du Nouveau Testament.
Bien sûr, il y a des choses qui n'ont pas été vues dans l'Apocalypse et dans d'autres écrits, mais elles doivent être dans les Écritures pour que nous puissions les voir. Et si elles ne sont pas dans les Écritures, alors nous ne les voyons pas, car nous ne voyons que dans les Écritures, parce que nous croyons seulement ce que les Écritures ont dit. Aucun homme ne peut croire autrement s'il prétend croire Dieu, car Dieu S'est révélé dans Sa parole, et nous nous y tenons et nous y restons attachés. « Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres », ça, c'est le point Un.
Le point Deux est : « dans la communion ». C'est le deuxième point, la communion. Si nous nous accrochons ensemble à la parole de Dieu, si nous restons ensemble attachés à elle, nous nous retrouvons alors, nous avons un dénominateur commun que nous n'avons pas besoin de chercher dans le monde entier. Nous l'avons grâce à la parole véritable de Dieu, et Sa parole ne sera pas seulement prononcée aujourd'hui, non. Sa parole a déjà été consignée dans Sa parole. Il a simplement donné vie à la parole écrite, et l'a transformée en parole parlée, vivante pour nous, révélée par le Saint-Esprit.
Mais, la parole écrite et la parole parlée, la parole écrite et la parole prêchée doivent concorder à cent pour cent. Et si ce n'est pas le cas, alors ce sont des hommes qui parlent de leur propre chef, ce n'est pas la parole parlée de Dieu qui est prononcée, c'est la parole des hommes. Si elle est conforme, alors et seulement alors, c'est la parole écrite de Dieu, la parole révélée de Dieu, et ensuite la parole prêchée de Dieu en ces jours.
Donc, ensuite le point Trois, Actes 2 : 42 : « …dans la fraction du pain » (donc le souper ». « …dans l'enseignement des apôtres et dans la communion fraternelle, les uns avec les autres, et ensuite dans la fraction du pain ». Il voulait dire ou démontrer par-là : nous sommes unis, nous sommes un seul corps, Christ a donné Sa vie pour nous.
Et puis, last but not least, (qui signifie : Dernier point mais non le moindre) : « …et aux prières ». C’est le quatrième point : « et aux prières ». Cela en fait aussi partie. Ces quatre choses constituent la véritable communion des croyants. Et si nous les prenons à cœur, si Dieu peut nous amener à les mettre en pratique, non pas parce que nous pensons devoir le faire, mais parce que nous y sommes intérieurement poussés.
Chacun n'a qu'un seul désir : rester, demeurer dans l'enseignement du Christ, dans l'enseignement de la parole, dans l'enseignement des apôtres, comme il est écrit ici : « ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres ». Nous aussi, nous avons ce désir. Si c'est le cas, alors dites vraiment Amen. Et la deuxième chose : « dans la communion fraternelle ». Est-ce aussi notre besoin ? Amen ! Et puis la troisième chose : « La fraction du pain ». Amen ! Et la quatrième chose : « les prières ». Les croyants se réunissaient et avaient ces quatre caractéristiques.
Je peux vous assurer : Si Dieu parvient à rassembler une telle troupe de croyants en ces derniers jours, et à les amener là où Il le souhaite, alors ces quatre choses seront également présentes. Ensuite il y aura les prières communes, ensuite il y aura la fraction commune du pain, ensuite il y aura l'enseignement commun des apôtres ; alors la communion entre les vrais croyants sera une communion profonde, intime et chaleureuse, cordiale, une véritable communion de l'Esprit. C'est ce à quoi nous aspirons.
Et nous ne plaçons pas notre objectif trop haut lorsque nous disons que Dieu est plus que capable de le faire. Comme au commencement, ainsi à la fin. Voici notre vie, nous soumettons notre volonté à la Sienne, et disons : « Seigneur, ce qui était dès le commencement, ce que nous avons vu, ce que nous avons entendu, de la parole de la vie, ce que nos mains ont touché, nous vous l'annonçons afin que vous soyez en communion avec nous, non sans nous. Et la communion avec nous est en même temps la communion avec le Père et avec le Fils ».
Aujourd'hui, je suis très reconnaissant de cet ordre que l'on peut voir encore et encore : La communion avec Dieu, la communion de Dieu, la communion entre nous. Proclamation et réception, écouter et parler. Tout ce qui est là, il faut aussi le prêcher.
Et, j'aurais souhaité que Dieu ait vraiment choisi quelqu'un d'autre. Combien de fois j'ai cherché la face du Seigneur ? Lui seul le sait concernant cela. Mais avec Dieu, on ne peut pas choisir quand ou quoi faire ou si on ne veut rien faire ou qu'est-ce qu'on doit faire. Il est souverain dans Ses actions, dans Ses décisions, et Il dit par l'intermédiaire de Paul dans Romains 11 que les appels de Dieu sont irrévocables. C'est Dieu qui appelle, c'est Lui qui prononce un mandat, c'est Lui qui envoie, Il révèle, Il montre les liens et Il veille à ce que les choses continuent ; et elles continueront, elles iront vers le haut. Dieu ne laissera pas Son œuvre se terminer dans une défaite. Il veillera à ce que Sa victoire, la victoire de Golgotha soit manifestée !
Nous concluons avec la pensée de l'épître aux Hébreux 10, avec la parole qui a été lue :
« Après avoir offert un sacrifice une fois pour toutes, il est entré dans la gloire et s'est assis à la droite de la majesté de Dieu ; attendant désormais que tous ses ennemis soient mis sous son marchepied ».
À la fin, le grand triomphe de notre Dieu sera révélé, manifesté. Mais nous aussi, nous voulons prendre part à ce qu'Il fait maintenant déjà, et former la communion des vrais croyants, sanctifiés par Dieu dans Sa parole, et purifiés par Son sang, attachés à l’enseignement des apôtres, à la fraction du pain, aux prières, et ainsi former la communion des saints. Que Dieu nous l’accorde à toi, à moi et à nous tous, ainsi qu'à tous ceux qui invoquent Son nom d'un cœur pur. Qu'Il accorde la grâce de reconnaître : C'est le moment maintenant d'être en communion avec Dieu et d'être en communion les uns avec les autres.
Et chacun devrait suivre son chemin avec Dieu. Laissez chacun suivre son chemin avec Dieu, et laissez les autres suivre leur chemin avec Dieu, le chemin qu'ils ont avec Dieu. Que plus personne ne juge l'autre. Les parcours et les destinées de la vie humaine peuvent être si différents, et nous ne devons pas les transférer dans le domaine spirituel.
Nous formons une communion de l'Esprit, une communion de ceux qui sont nés de l'Esprit de Dieu, engendrés par la semence de la parole et de l'Esprit, une communion de ceux qui ont été rachetés par le sang.
Que le Seigneur nous accorde à tous la grâce de le remercier du fond du cœur. Amen !