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Ewald Frank

Krefeld, le 27 novembre 1985 à 19 heures 30 

Jean 6 : 60 à 65 : LES PAROLES QUE JE VOUS AI DITES SONT ESPRIT ET SONT VIE. MAIS IL EN EST PARMI VOUS QUELQUES-UNS QUI NE CROIENT POINT

(Retransmis le 19 février 2025)

Lisons une parole de Dieu avant de prier, une parole tirée de l'évangile de Jean chapitre 6, à partir du verset 60. Il est dit :

« Plusieurs de ses disciples qui l’avaient écouté dirent : C'est un discours dur (ou difficile à entendre) ; qui peut l'écouter ? Mais comme Jésus savait en lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet, il leur dit : Cela vous scandalise-t-il ? Qu’en sera-t-il quand vous verrez le Fils de l'homme monter là où il était auparavant ? C'est l'Esprit qui vivifie ; la chair ne sert à rien. Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie. Mais il y a parmi vous quelques-uns qui ne croient pas. Jésus savait en effet dès le commencement qui étaient ceux qui resteraient incrédules, et qui était celui qui allait le trahir. Il ajouta : C'est pourquoi je vous ai dit : Nul ne peut venir à moi, si cela ne lui a été donné par le Père ».

Louange et remerciements soient rendus à notre Seigneur, pour Sa précieuse et sainte parole ! Nous ne croyons pas seulement que notre Seigneur, en ces jours-là, connaissait toutes les pensées sur tout, et qui croyait ou non, mais nous savons aussi qu'Il connaît aujourd'hui encore le cœur des hommes. Il n'a pas changé. Nous sommes à nu devant Lui, et nous ne pouvons rien cacher. Mais nous sommes si reconnaissants qu'Il nous ait attiré, sinon nous n'aurions pu rien faire, ni venir de nous-mêmes. Et pour cela, nous ne pouvons que Lui offrir encore et encore l'honneur, l'adoration, les remerciements et la louange.

Vous savez, même dans nos jours, les hommes peuvent se heurter à telle ou telle parole que Dieu proclame dans nos jours ; mais les élus, ils ne se heurtent pas aux paroles de leur Dieu, mais ils se réjouissent quand Dieu parle, ils sont heureux quand Dieu fait connaître quelque chose qui Lui est agréable. Et c'est ainsi que nous ne pouvons que rendre grâce, remercier et louer Son nom pour cela. En ces jours-là, c'était choquant bien sûr. De nos jours aussi, cela peut choquer beaucoup de gens, et beaucoup peuvent se mettre à murmurer à ce sujet ; mais les vrais adorateurs, les vrais croyants ne murmureront pas, ils ne s'achopperont pas. S'ils marchent dans la lumière, ils ne peuvent pas être achoppés.

Et c'est ainsi que nous sommes reconnaissants au Seigneur ce soir aussi, et nous aimerons Lui demander de rester parmi nous et de nous bénir de la richesse de Sa grâce. Nous nous levons maintenant pour la prière commune.

Dieu fidèle, nous Te remercions du fond de nos cœurs pour ces heures de grâce, pour ce temps de grâce que nous pouvons encore avoir, que nous puissions nous approcher pour invoquer, exalter ensemble Ton nom.

Seigneur, nous savons que Tu connais les cœurs et Tu sais comment nous pensons. Seigneur, Tu es pour nous à la première place. Et nous louons Ta grâce qui nous a cherchés et qui nous a trouvés. Et, Seigneur, notre désir est qu’aujourd'hui encore, Tu puisses nous visiter, chacun qui est venu de loin ou de près, d'autres personnes qui avaient d'autres choses à faire ne sont pas venues ; mais nous, en tant que Ton peuple, nous sommes venus pour adorer, pour élever Ton nom.

Toi, merveilleux Dieu, Tu Connais les chemins de chacun d'entre nous, Tu connais les pensées, Seigneur, rien n'est caché devant Toi ; dès le commencement, Tu connaissais chacun et Tu sais, oui, ce qu'il en est de chacun. Seigneur, nous Te prions : Sois au milieu de nous ce soir encore, Seigneur ! Prends-nous tel que nous sommes, Seigneur, prends-nous à Toi. Nous venons tel que nous sommes ; et nous ne Te prions pas seulement pour nous, Seigneur, mais nous Te prions pour tout Ton peuple, nos frères et nos sœurs et tous ceux-là qui sont malades, ô Seigneur, ceux qui sont affligés. 

Mon Dieu ! Tu connais tous les cœurs. Tu sais ce qu'il en est de chaque chose. C'est pourquoi nous déposons tout entre Tes mains. Et nous savons que Tu donneras au-delà de ce que nous pensons et demandons. Reçois la louange et l'adoration !

Seigneur, nous Te remercions d'avoir aussi ramené notre frère en bonne santé au milieu de nous. Seigneur, bénis-le ce soir, ô Seigneur, fortifie-le dans l'esprit, l'âme et le corps, ainsi que chacun de nous. Nous avons besoin de Toi, nous avons besoin de Toi encore plus et encore plus. Alléluia ! Nous croyons que Tu n'es pas loin mais que Tu T'es approché de nous. C'est pourquoi nous louons Ton glorieux nom de Jésus. Amen !

[Frère Frank]

J'ai dû penser à tout ce qui peut arriver en quelques jours : Un tremblement de terre couvre vingt-cinq mille personnes, ici ceci, là cela ; les choses se passent qui nous font voir le retour du Seigneur très, très proche. J'ai vu et entendu à New York ce qui se passe à Genève, et j'ai dû penser à la parole de 1 Thessaloniciens chapitre 5 verset 3 qui nous est toute connue de tous : 

« Quand les hommes diront : Maintenant il y a la paix et la sécurité ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs d'une femme enceinte, et ils n'échapperont pas ».

Les paroles principales dont il était question étaient paix et sécurité. Et il faut reconnaître, à moins de taper complètement à côté, on doit reconnaître que Gorbatchev était vraiment sincère. L'un des rares… je sais, frère Schmidt, oui frère Schmidt, je sais que celui qui vient du système a perdu pour toujours la confiance ; mais le temps est venu de juger de manière réelle. D'un autre côté, ce que Dieu a dit par la bouche de tous les prophètes doit s'accomplir, y compris ce qu’Il dit par le frère Branham, que la Russie détruirait l'Amérique ; et il n'a vu que la ruine et la cendre.

Et si c'était sincère de la part de cet homme, et qu'il dise : « Je vais mettre à la casse, sous surveillance, la moitié de tout l'arsenal, si vous ne montez pas jusqu'aux étoiles » ; j'ai tout écouté. Pour la première fois depuis des années j'ai regardé la télévision, pourquoi pas ! Et si d'un autre côté la partie adverse ne réagit pas, alors on peut imaginer quelle pensée ils ont. Et l'homme dit : « Avant que tu ne montes là-haut, je vais te montrer ici-bas comment ça se passe ». Et cela aussi doit être ainsi pour que la parole de Dieu s'accomplisse en tout.

Ça donne un trio direct, oui un triangle : L'Amérique, Rome et ensuite Harmaguédon ; oui pour les deux premiers, le Russe s'en sortira bien, mais oui, pour le dernier, Dieu s'occupera de lui, nous le savons tous. Il arrivera à sa fin sur la montagne d'Israël ou dans la vallée de Megiddo. Mais tout cela doit être ainsi parce que c'est écrit ainsi dans les saintes Écritures. Et s'il est écrit trois fois de suite dans Apocalypse 18 : « Oh ! Grande Ville ! En une seule heure le malheur s'est abattu sur toi », et ainsi de suite (Apocalypse 18 versets 10, 16, et verset 19), alors cela s'accomplira aussi. Les choses vont s'aggraver très, très rapidement.

Même si j'écris dans la nouvelle Lettre Circulaire où j'utilise le mot génération, je ne suis pas de ceux qui pensent que mon Seigneur prendra encore du temps pour revenir, au contraire, je suis de ceux qui croient que le retour du Seigneur est proche ; mais aussi de ceux qui croient que Dieu Se manifestera encore une fois, que Dieu doit Se manifester encore une fois, pour que nous vivions au moins ce que nos frères ont vécu au commencement. Il faut que cela arrive, il n'y a pas d'autre alternative.

Mais aujourd'hui, nous voulons aussi avoir une heure de prière. Dans la parole que nous avons lue, on peut lire encore plus loin. Comme nous le savons depuis des jours et des années, au verset 68 il est dit :

« Pierre dit : Seigneur, à qui d'autre irions-nous ? ».

Avant, on nous a lu que beaucoup se sont détournés du Seigneur, ils l'ont abandonné et ne l'ont plus suivi ; et puis au verset 68 : « Seigneur, à qui d'autre irions-nous ? ». Ça, c'est notre attitude : « Seigneur, à qui d'autre irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » ; et nous nous y tenons, nous nous tenons aux paroles du Seigneur. Même si nous sommes parfois ou temporairement comme des personnes qui sont peut-être un peu en retard, nous voulons aller de l'avant avec le Seigneur. Nous ne voulons rien fabriquer, mais que l'action de Dieu en vérité et en fidélité puisse être faite. 

Il est dit ici dans Jean 6 verset 63 : « C'est l'Esprit qui vivifie, la chair ne sert à rien ». Nous pouvons faire tous les efforts du monde, seul Dieu peut créer la vie divine en nous par la parole et par l'Esprit. Toute volonté et toute action personnelle sont condamnées à l'échec dès le départ. Verset 62 :

« Qu’en sera-t-il quand vous verrez le Fils de l'homme monter là où Il était auparavant ? ». 

Si ce que le Seigneur a dit auparavant était pour eux un choc, quand sera-t-il quand Il sera monté ? J'ai parlé tout à l'heure d'un Juif avec lequel j'ai voyagé à travers tous les États-Unis, de Kansas City à New York, et dès les deux ou trois paroles, on pouvait comprendre qu'il est Juif. C'est toujours pour moi un grand privilège de parler avec un Juif. Et quand le Juif dit qu'il n'y a pas un Dieu personnel, et ça continue ainsi, alors ça fait d'autant plus mal ! Quand un païen le dit, alors on l'accepte et on dit : « Il est ainsi conçu dans le cœur et dans les oreilles. Que peut-il pour cela ? ». Mais c'était quelque chose de simplement merveilleux lorsque j'ai pu dire à ce gentil Juif : « S'il n'y a pas de Dieu personnel pour toi, cela ne veut pas dire qu'il n'existe pas pour moi ! ». Et j'ai pu lui donner mon témoignage, et j'ai sorti la Bible, et j'ai dit : « Maintenant, lis dans tes prophètes » ; et nous avons lu. Et ne me demandez pas ce qui s'est passé. Les gens ont regardé de gauche à droite, et nous avons fait une étude biblique dans l'avion. Ces moments ont été pour lui une bénédiction et pour moi naturellement aussi ; car j'ai pu rendre témoignage de ma rencontre personnelle avec le Seigneur.

David avait déjà dit : « Le Seigneur est mon Berger », pas un berger, mais : mon Berger. Ça, c'est la grande différence. Et puis, on est arrivé à parler de ce qui s'est passé ; oui, sur le troisième empire, et il a donné lui-même la réponse, et il a dit : « Si Dieu est vraiment là… », et j'ai dit : « On ne te demande pas ton avis. Il est là, sinon tu ne serais pas là ». Vous savez, c'est toujours là que ça se corse. Je ne me fais pas attendre, mais j'ai simplement dit… ou il a dit : « S'il y a un Dieu, alors Il a aussi eu dans Son plan ce qui s'est passé avec notre peuple ». Il est allé plus loin et a dit : « Sinon, l'État d'Israël n'aurait peut-être jamais vu le jour ». Et j'ai dit : « Chef, nous voilà arrivés au point dont il s'agit ». 

Et c'est ainsi que Dieu conduit tout d'une manière simplement merveilleuse. Il a fait dire par Moïse qu'Il devait disperser Son peuple, et qu'à la fin des jours, Il ramènerait un reste. Et je lui ai fait lire ; et il m'a dit : « Est-ce vraiment écrit ? » ; bien sûr ! Bien sûr, dans Genèse, Genèse chapitre 15 ; et il m'a dit : « Ce n'est pas possible ! », et j'ai dit : C'est vrai ! 

Et nous sommes aussi arrivés à parler du Messie ; et il dit : « Écoute ! Le Messie est pour nous un homme comme tous les autres, approximativement de la taille du roi de David », et j'ai dit : « Oui. Aurais-tu du mal à croire que Dieu, quoi qu'il soit Esprit, pourrait Se manifester sous une forme visible ? » ; il dit : « Oui ». Il me dit : « Oui, je peux le croire. Avec Dieu, s'Il existe, alors tout est possible ». Oui, j'ai dit, alors crois qu'Il S'est révélé, manifesté de manière visible en Jésus-Christ. Puis je lui ai lu encore un passage de Zacharie 13, et il en est vraiment arrivé à admettre que tout cela s'est accompli en notre Seigneur. Mais le voile est encore sur leurs yeux, ils ne peuvent pas encore voir ; mais quand l'heure sonnera, ils verront.

J'ai pensé à une parole du prophète Ésaïe. Ici, toutes les choses ont été prédites, mais nous avons dit que nous voulons prier, et ce sera peut-être la meilleure chose à faire, que nous n'allons pas plus loin dans la considération des Écritures, mais que nous puissions simplement prier. Et, je demande que nous n'attendions pas à être interpellés pour la prière, mais que nous nous ouvrions au Seigneur comme nous le connaissons déjà et l'avons déjà fait, afin que l'Esprit de Dieu puisse descendre, être sur nous et nous pénétrer, et que la bénédiction de Dieu puisse nous être accordée en pleine mesure. Ici, nous avons tous lu dans Jean chapitre 6 verset 63 : « C'est l'Esprit qui vivifie ». Ainsi, nous avons besoin de l'Esprit de Dieu qui crée la vie divine en nous.

L'instruction est quelque chose de merveilleux, elle est nécessaire, elle doit avoir lieu, elle est en effet comme le support, comme la colonne vertébrale dont nous avons besoin ; mais ensuite, l'Esprit de Dieu doit venir pour créer la vie en nous. Il est écrit ici au verset 63 : 

« C'est l'Esprit qui vivifie ; la chair ne sert à rien ».

Et nous l'avons compris. La vie divine ne peut venir que de Dieu ; et l'Esprit de Dieu crée la vie divine en ceux qui ont été rachetés par le sang de l'Agneau, qui ont reçu le pardon de leurs fautes, la réconciliation, le salut ; et l'Esprit de Dieu crée une vie nouvelle en eux. Et puis, à la suite du verset 63 vient : 

« Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie ».

Comme c'est merveilleux ! Comme c'est harmonieux ! Pas seulement l'Esprit, mais aussi la parole : « Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie ». Combien de fois l'avons-nous dit ? Il y a le mouvement charismatique, ils ne veulent que bouger, bouger, ils veulent vivre, mais ils ne veulent pas la parole. Il faut que les deux soient là, la parole et l'Esprit. Les paroles du Seigneur sont Esprit et sont vie ; et c'est l'Esprit qui prend la parole et qui crée la vie divine en nous par grâce. Nous sommes reconnaissants de pouvoir non seulement le savoir, le reconnaître et le lire dans les saintes Écritures, mais nous sommes reconnaissants aussi de pouvoir l'expérimenter. Nous voulons expérimenter ce que nous lisons dans les Écritures. 

Au verset 64 de Jean 6. Le verset 64 ne doit s'accomplir en aucun de nous. Il est écrit ici : « Mais il y a parmi vous quelques-uns qui ne croient pas ». Ça ne doit pas être le cas. Celui qui poursuit la lecture de ce passage, se rendra compte que cela va jusqu'à Judas qui allait trahir, et l'a aussi fait. Ainsi, aucun de nous n'a besoin de porter ces chaussures. Elles ne conviennent à personne. Nous sommes ici parce que nous croyons. Est-ce vrai ou non ? Si nous ne croyions pas, nous ne serions pas ici.

Je l'ai dit à notre frère bien-aimé avant la réunion : Nous sommes parfois tourmentés par des pensées qui sont aussi de l'ennemi. Tout ce qui nous déprime, qui veut nous détruire, ne vient pas de Dieu.

Il y a une grande différence entre Pierre et Judas. Qui est-ce ? Je crois que c'est un des grands hommes de Dieu qui a sombré dans le désespoir, je ne sais pas qui c'était. Je ne sais plus. Peut-être Moody ou bien un autre ; et après deux ans de désespoir, il voulait se suicider parce que Satan lui disait toujours et encore : « Tu es comme Judas, tu es comme Judas, tu es comme Judas ». Il ne pouvait pas s'expliquer ça ; et puis il a rencontré un homme, un simple croyant, et ils ont parlé ensemble, et le croyant lui a dit : « Écoute, le diable qui est entré dans Judas t'a aveuglé les yeux ! Tu n'es pas Judas, mais tu es Pierre. Tu n'as pas trahi le Seigneur, tu n'as pas pris d'argent, oui, tu ne l'as pas vendu. Tu ne l'as pas trahi, mais tu n'as simplement pas eu le courage de le confesser. Tu t’es déclaré pour lui, mais tu n'as fait que le renier ».

Et quand cet homme lui a ainsi mis la clé sous la main, il a saisi la main du Seigneur et a dit : « C'est vrai ! Et la grâce est pour moi ». Et l'homme s'est mis à pleurer, et cela a changé toute sa vie parce qu'à ce moment, il a compris que le diable voulait le détruire. Et puis, il a soudain vu qui il était et quelle est sa position, et il pouvait se laisser placer correctement sur sa position.

Et c'est ainsi aussi que nous devons le faire. Parfois l'ennemi vient et veut fondamentalement tout détruire jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien, jusqu'à ce que l'on veuille même presque se prendre la vie, s’ôter la vie ; et alors, il rirait, il aurait alors obtenu tout ce qu'il voulait obtenir.

Mais nous ne sommes pas ici pour que le diable nous fasse quitter la vie ! Nous sommes ici pour que Dieu nous fasse passer de la mort à la vie, car c'est ainsi qu'il est écrit dans Jean chapitre 5 verset 24 : « Celui qui écoute Ma parole, et qui croit à Celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement », non, il ne viendra pas en jugement. L'ennemi peut nous reprocher certaines choses et vouloir vraiment nous rendre la vie difficile, mais croyons, croyons de tout notre cœur, car c'est ainsi que nous honorons Dieu. Sans la foi, il est impossible d'être agréable à Dieu ; mais avec la foi, nous pouvons aller de l'avant.

J'ai la demande, et je pense très sérieusement et sincèrement, nous avons notre frère ici aujourd'hui. Mon ministère est le ministère de l'enseignement, de la proclamation et de la parole, comme cela m'a été ordonné de faire. Mais si nous avons un frère au milieu de nous qui a la foi, peu importe ce qu'il puisse avoir, nous voulons saisir l'occasion de prier, ne pas la laisser passer, et que personne ne reste en arrière.

Personne ne devrait penser : « Que pense l'autre ? ». Oubliez tous les autres ! Nous sommes ici devant Dieu, nous voulons faire l'expérience de Dieu. Nous sommes ici pour que l'Esprit de Dieu puisse agir par la parole de Dieu sur la troupe rachetée par le sang. Et c'est ainsi que nous voulons croire de tout notre cœur. Et je demanderais que nous nous levions simplement, que notre frère s'avance, et que nous prions pour tous ceux qui souhaitent la prière. Ne vous inquiétez pas si vous avez la foi. 

Levons-nous et prions, et que ceux qui se sentent poussés avancent, et le fassent en toute confiance. Nous prions en tant que frères, et Dieu bénira.

Dieu Tout-Puissant, nous Te remercions de tout cœur, nous Te remercions pour Ta parole, pour Ta grâce, pour la rédemption, pour le salut. Nous Te remercions pour tous Tes serviteurs, les prophètes, pour tous les apôtres ; nous Te remercions pour le frère Branham qui a remis Ta parole sur le chandelier, qui a pu la proclamer sans compromis par la révélation de l'Esprit. Nous Te remercions pour les frères, tous les frères, pour toutes les sœurs ; nous Te remercions aussi pour les anciens. Nous Te remercions pour les frères qui servent, que Tu puisses les bénir.

Nous sommes unis dans Ton amour, bien-aimé Seigneur ; et nous Te prions pour tous ceux qui ont bu de la coupe du salut, afin que Tu les conduises, que Tu changes chaque situation pour le meilleur, et que Tu aies Ton chemin avec nous. Nous Te croyons, nous Te faisons confiance.

Aide-nous, Seigneur fidèle, et nous serons aidés ! Bénis-nous, et nous serons bénis ! Tu connais aussi les besoins de chacun, et aussi les demandes de prière ; la demande de prière des frères de l'Italie qui ont appelé aujourd'hui. Seigneur, tous les autres besoins, où qu'ils soient, nous T'apportons toutes les requêtes de prière à Toi, le Dieu Tout-Puissant ; et nous voulons très bientôt entendre que Tu T'es manifesté comme le vivant.

Bien-aimé Seigneur, mets-nous dans la position où Ta volonté puisse s'accomplir à travers nous. À Toi l'adoration pour tout ! Au nom de Jésus. Amen.