Ewald Frank
25 septembre 1985 à 19 heures 30, Krefeld
DEMANDEZ, ET L'ON VOUS DONNERA ; CHERCHEZ, ET VOUS TROUVEREZ ; FRAPPEZ, ET L'ON VOUS OUVRIRA
Matthieu 7 : 7 à 11
(Retransmis le 12 février 2025)
[Introduction]
Avant la prière, lisons une parole tirée de Matthieu chapitre 7, à partir du verset 7 :
« Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. Lequel d'entre vous donnera une pierre à son fils s'il lui demande du pain ? Ou, s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent ».
Jusqu'ici cette précieuse et sainte parole. Nous sommes ici pour une heure de prière. Levons-nous et présentons-nous devant Dieu, et soumettons-Lui tout, même ce qui pourrait peser sur nous.
Dieu fidèle, nous sommes à nouveau réunis ici ce soir, nous sommes rassemblés en ce lieu. Nous Te remercions, Dieu fidèle, pour Tes paroles précieuses. Tu as dit que nous devons demander, alors nous recevrons. Nous ne voulons pas demander selon notre volonté, mais nous voulons demander selon Ta volonté, Seigneur.
Fais grâce, ô Seigneur, à tous en toutes choses dans ces derniers temps dans lesquels nous sommes arrivés. Nous savons que nous vivons dans un monde obscur, dans un monde ténébreux, dans un monde confus où l'ennemi rôde comme un lion rugissant et veut faire tomber Ton peuple. Dieu fidèle, nous levons les yeux vers Toi, et nous T'adorons et nous célébrons Ton glorieux nom. Nous ne sommes que des vases, Maître saint, mais nous Te prions : Remplis-nous de Ta puissance, de Ton bon Saint-Esprit.
Descends puissamment au milieu de nous, Seigneur, et bénis-nous ce soir. Nous Te disons merci pour les puissantes bénédictions, Seigneur, pour tout ce que Tu nous as accordé jusqu'ici par grâce, et nous Te prions de nous recevoir aussi ce soir et de parler avec nous.
Nous Te remercions d'avoir ramené notre frère parmi nous et de l'avoir béni et de le bénir encore. Et Tu nous béniras aussi. Bénis la parole de la richesse de Ta grâce quand il nous l'apportera. Nous Te le demandons dans le nom de Jésus. Amen.
[Frère Frank]
Louange et remerciements soient rendus à notre Dieu de ce que nous portons en nous l'espérance vivante, et encore plus que ça, l'espérance liée à la certitude absolue que nous y entrerons par grâce. Nous savons que tout ce que Dieu fait, ce qu'Il fait en nous, n'est que grâce, miséricorde et compassion, comme le compositeur de cantique chante : « Miséricorde dont je ne suis pas digne, mais Il nous a acceptés ».
J'ai voyagé toute la nuit et je ne me sens pas encore tout à fait capable de me tenir ici devant. C'est toujours si étrange. Mais il ne s'agit que de rendre témoignage très brièvement de ce que Dieu a fait ; et je crois que c'est toujours le plus important, pas ce que les hommes font, mais ce que Dieu fait pour les hommes. C'est ça qui est important.
Vous savez que j'étais dans trois pays : En Tanzanie, en Afrique de l'Est ; en Zambie, en Afrique centrale ; et ensuite au Kenya. Et Dieu a comme toujours manifesté Sa fidélité. Je n'exagère pas, mais les gens viennent vraiment de loin, oui, et dans des circonstances qui ne sont même pas imaginables pour nous ici ; et ils viennent pour écouter la parole du Seigneur. Même ceux qui étaient peut-être un peu réticents sont venus, ils ont écouté et des larmes ont coulé ; Dieu a béni et nous en sommes très reconnaissants.
Vous savez qu'au Zaïre, nous avons eu les plus grands rassemblements de ce message ; mais cependant, il y a beaucoup de gens qui croient et qui ont accepté ce que Dieu a promis pour ce temps, et nous sommes très, très liés, connectés à ces personnes. Chaque lettre circulaire et aussi la brochure « Le christianisme traditionnel », ils l'ont déjà tous lu et ils sont toujours à la page. Et c'est encore là l'avantage des pays francophones par rapport aux pays anglophones. Et c'est peut-être aussi pourquoi il y a un plus grand écho ou bien élan, peu importe comment on veut l'appeler, ou un grand succès dans ces pays francophones ; et c'est justement parce que ces frères et les assemblées là-bas reçoivent, lisent et entendent tout comme nous lisons et entendons ici. C'est pourquoi on est en accord, au même pas et avec la même connaissance et enseignement de sorte qu'ils puissent avoir une merveilleuse harmonie, et c'est là que tout se joue.
Si les choses ne se passent pas bien dans le royaume de Dieu, personne ne pourra en tirer profit. Mais, là où Dieu est, là est l'amour, là est la paix, là est la joie dans le Saint-Esprit. Oui, le royaume de Dieu ne vient pas avec des choses extérieures, mais c'est véritablement intérieurement, en nous.
Et je sais que cette question ou cette réponse a été donnée par le Seigneur lorsque les scribes l'ont interrogé. Il y a des gens qui disent : « Oh ! Il ne peut pas avoir voulu dire que le royaume de Dieu est à l'intérieur des scribes ! ». Notre Seigneur a pourtant laissé les scribes qui l’interrogeaient, et a parlé à ceux qui ont reçu Son royaume, à ceux qui l'ont reçu. Bien sûr, il n'est pas nécessaire d'avoir une sagesse particulière pour s'en rendre compte.
Avant de quitter Lusaka, j'ai vécu une expérience très particulière. Nous avons conduit dans une voiture pleine, je crois en tout cinq personnes avec moi ; nous étions cinq jusqu'à l'aéroport, nous avons fait la route ; et comme c'est la coutume, on prend un peu de temps avec les frères, et quand nous sommes revenus après avoir mangé un peu ensemble, une femme m'a interpellé soudainement et voulait parler avec moi. J'ai regardé autour de moi, je ne la connaissais pas, et elle est venue et me dit : Me connais-tu ? Et j'ai dit : Non. D'où ? Elle me dit : Il y a deux ans, tu étais à l'hôtel Hilton, à Nairobi au Kenya. Et c'est là que j'ai commencé à comprendre.
Une femme qui, il y a deux ans, n'était pas seulement au bout de ses forces, mais qui était remplie et sous le contrôle des démons au point de vouloir se suicider ! Mais cette femme fait partie du parlement, elle en est un membre, je ne sais pas comment on le dit, ou bien elle est un député du parlement ; et ils étaient venus en Nairobi pour une fête, ou sans doute pour la fête de l'indépendance, je ne sais pas, et toute la délégation était retournée à Lusaka, et cette femme était restée seule, elle ne pouvait pas rentrer, elle était confuse, elle était faible, elle était malade.
Et je lisais la Bible dans le hall de l'hôtel, tout près de la réception, il y a deux ans, et elle m'a vue et elle s'est approchée de moi, et elle m'a interpellé ; et après qu'elle ait dit brièvement ce qu'elle avait, je n'ai pu que dire : « Ce n'est pas possible ici ! Nous devons trouver quelque part une pièce afin de pouvoir parler et prier » ; et elle a dit : « Oui, si ça ne te dérange pas, viens dans ma chambre » ; et je vous le dis, la chambre ressemblait à un champ de bataille ! C'était incroyable, absolument, totalement en désordre. Et la femme aussi. Tout ce qu'on pouvait imaginer était par terre, complètement à bout, complètement à bout, et puis elle dit : « Je n'ai plus qu'une seule espérance, c'est que tu pries, et que Dieu m'aide ». Il y avait la sorcellerie, la magie et tout ce que l'homme peut s'imaginer dans la famille, et cette femme m'a fait pitié d'une manière ou d'une autre ; et j'ai pensé : Maintenant Dieu doit intervenir. Et j'ai prié pour elle du plus profond de mon cœur, je lui ai imposé les mains, et je l'ai délivrée de l'emprise de Satan au nom de Jésus Christ.
Et puis, je vous dis, je n'ai vraiment pas pu reconnaître cette femme quand je l'ai revue. Dieu a fait de grandes choses pour elle ; et elle a rendu le témoignage là, à l'hôtel, devant les frères ; et elle a répété et a dit : « Ce jour-là, ce même jour, Dieu m'a secourue ». Le même jour ! C'était un merveilleux témoignage. Une femme qui, en soi, se tient avec deux pieds dans la vie, mais qui était prisonnière de la puissance de Satan. Et imaginez-vous, on est là, et on attend que les frères viennent, et on lit un peu les saintes Écritures ; et voilà que Dieu fait en sorte que cette femme vienne. Je ne suis pas allé vers elle, mais c'est elle qui est venue vers moi, et nous avons mis sa situation entre les mains de Dieu, et Il est intervenu.
Cela signifie beaucoup pour moi. Nous pouvons tous parler, agir de manière pieuse, mais quand Dieu peut-Il vraiment nous utiliser ? Et comment peut-Il nous utiliser pour être une bénédiction pour les autres ? Pour moi, c'était un témoignage que Dieu intervient encore aujourd'hui, qu'Il aide.
Nous sommes parfois timides, faibles, parce que nous regardons aux circonstances et peut-être à nous-mêmes, et nous n'osons pas prendre Dieu à Sa parole comme nous le devrions. Ah ! Et pourtant nous disons toujours que Dieu est digne, qu'Il est vrai, que Sa parole est vraie, que Ses promesses sont oui et amen.
Frère Russ nous a lu la parole : « Demandez et l'on vous donnera » ; nous avons demandé et Dieu a donné. Je souhaite que de telles choses se produisent et se répètent plus souvent. Que Dieu nous amène, oui, qu'Il amène à nous des hommes qui sont dominés par l'ennemi. Les autres sont en bonne santé, ils n'ont pas besoin du Médecin, ils passeront à côté de Lui. Qui est-ce que le Seigneur a servi ? Qui est-ce qu'Il a aidé ? De qui S'est-Il occupé ? De tous ceux qui étaient confus avec eux-mêmes et qui étaient prisonniers du diable et qui ont été maltraités : Ceux-là sont venus au Seigneur ; pas les orgueilleux, pas ceux qui savaient et pouvaient tout faire mieux, non, mais tous ceux qui étaient dans le besoin, tous ceux qui étaient véritablement sous la puissance de l'ennemi. Ils sont venus et ils étaient les plus reconnaissants, ils savaient ce que Dieu avait fait en eux, pour eux.
Et je pense que c'est comme ça que nous tous nous devons nous sentir. Nous devons devenir reconnaissants de ce que Dieu a fait pour nous. Je souhaite seulement que le Seigneur nous fasse revivre cela, que nous puissions assister à une répétition de Son ministère dans toute son ampleur ; rien de moins que ce qui a été rapporté dans les Actes des Apôtres.
Et puis, comme je l'ai dit, je suis allé après à Nairobi. Là aussi, nous avons eu deux belles réunions. Les gens sont venus de près et de loin, et Dieu nous a bénis. Vers minuit nous nous sommes séparés avec les frères, et la question était directement : « Oui, quand reviens-tu ? ». Et c'est comme ça que d'un pays à un autre, d'une ville à une autre, la question est toujours posée : « Quand reviens-tu ? » ; et quand on doit dire : « Je ne sais pas », surtout les frères du Zaïre, ils m'ont demandé de revenir, de revenir absolument ; et j'ai dit : « Si Dieu le veut, je reviendrai en décembre ». Mais après j'ai réfléchi à tout ce que j'avais déjà promis, où je veux aller, où je dois aller, où je peux aller, et puis on ne sait pas où aller en premier. Mais nous sommes reconnaissants pour les portes ouvertes, reconnaissants pour les cœurs ouverts, reconnaissants pour chaque âme qui est appelée à sortir et qui sert et suit fidèlement le Seigneur.
Cette fois, j'ai eu l'impression que la chose de Dieu s'était affermie et que les croyants avaient pris leur position dans la parole de Dieu plus que jamais auparavant ; et je pense que même les vents qui ont soufflé dans le pays n'ont laissé que du bon parmi les vrais croyants. Chaque vent qui souffle et qui secoue l'arbre ne fait qu'assoupir un peu les racines et leur permet de pénétrer plus profondément dans le sol, et tout cela est juste. Ça ne peut pas faire de mal à ceux qui sont destinés à contempler la gloire de Dieu. Maintenant, je vous remercie vous aussi pour vos prières. Je sais qu'elles m'accompagnent. Que Dieu vous bénisse et qu'Il vous le rende !
Nous avons lu ici et entendu dans la parole d'introduction Matthieu 7 verset 7 : « Demandez et l'on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l'on vous ouvrira ». J'ai dû penser au chapitre 6 à partir du verset 7, où le Seigneur donne l'instruction de prier ; et ensuite, Il dit ici au verset 8 de Matthieu 6 :
« Ne leur ressemblez pas ; car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. Voici donc comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ».
Pas notre volonté, mais la volonté de Dieu doit être faite. Ici, dans Matthieu 7, nous avons lu : On ouvrira à celui qui frappe, celui qui demande le pain ne reçoit pas une pierre, et celui qui demande un poisson ne reçoit pas un serpent ; et le Seigneur dit au verset 11 :
« Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent ».
Et nous sommes en effet ici ce soir pour Lui demander que Son royaume vienne, que Sa volonté soit faite dans Son royaume. Pas seulement qu'Il nous révèle Son royaume, mais que cela puisse se produire, que cela puisse s'exécuter, oui, puisse s'exécuter.
Lorsque nous avons chanté le cantique de vainqueur : « Tu vaincras aussi », nous l'avons chanté dans la troisième strophe, il m'est venu en pensée : C'est vraiment ainsi : Soit nous avons la victoire sur le mal, soit le mal a la victoire sur nous. Nous sommes engagés dans un combat spirituel. Il n'y a pas de croyant qui puisse me dire : « J'ai une vie qui est sans combat ». Non. Nous sommes engagés dans un grand combat spirituel, et nous devons revêtir les armures complètes de Dieu avec l'aide de Dieu, et nous devons aussi être capables de repousser les flèches du malin.
C'est vraiment comme ça. Dans un combat, il s'agit de la victoire. L'un doit prendre le dessus sur l'autre. Soit, nous avons la victoire sur le mal, soit le mal a la victoire sur nous ; soit, nous sommes et nous nous positionnons du côté de Dieu et nous acceptons la victoire de Golgotha comme acquise et mise à notre disposition et nous croyons que Dieu l'a destinée pour nous, soit nous n'avons aucune chance de vaincre et de sortir vainqueur. Ce n'est pas le combat que nous devons combattre, mais c'est la foi en la victoire de Golgotha qui nous donne à toi et à moi la puissance de savoir : Ça a eu lieu pour moi, ça a eu lieu pour toi et ça a eu lieu pour nous tous.
Et ainsi, que la parole et le cantique que nous avons entendu puissent simplement nous toucher le cœur, et que nous puissions nous poser la question chacun pour soi : En quoi suis-je vainqueur et en quoi est-ce que je suis vaincu ? Il n'y a toujours qu'un entre les deux. Dans toutes les épreuves, dans tout ce qui peut survenir dans notre vie ou se manifester dans notre vie, soit nous avons la victoire sur la chose, soit la chose a la victoire sur nous ; soit la chose nous domine, soit nous dominons la chose. Il ne peut pas en être autrement, et il n'y a pas de neutralité à ce niveau.
Ainsi donc, que Dieu nous aide à sortir victorieux, à sortir vainqueur. Et chacun sait où se déroulent les combats spirituels, chacun sait de quoi il s'agit. On n'a pas besoin de poser la question à quelqu'un ; nous savons tous où et dans quel domaine, dans quel secteur ces combats spirituels ont lieu. Puisse Dieu faire de nous des vainqueurs, et ceux qui triomphent. Pas des hommes qui ont toujours raison, mais des hommes que Dieu a aidés, secourus des hommes qui peuvent être classés et rangés comme il est dit sept fois dans Apocalypse 2 et 3 : « Celui qui vaincra héritera de tout ceci ». Seulement les vainqueurs y entreront.
Et nous savons exactement que pour devenir bienheureux, il suffit de croire en Jésus-Christ, au pardon, à la réconciliation, et c'est ainsi qu'on devient participant du salut ; mais cela n'assure que la vie éternelle, mais pas l'enlèvement, pas la gloire, pas le repas de noces. Celui qui veut participer à la première résurrection doit vaincre. Oui, nous savons tous que le Seigneur a vaincu. Maintenant c'est notre tour. Que Dieu fasse de nous des vainqueurs ! Que nous puissions distinguer dans les situations ce que Dieu veut de nous et croire qu'Il nous donne la puissance. Nous ne l'avons pas, mais Il nous la donne. Qu'Il nous donne la puissance de sorte que nous puissions en sortir vainqueur !
Que le Seigneur puisse véritablement prendre forme en nous, que nous ne vivions plus nous-mêmes, mais qu'Il vive au travers de nous, qu'Il parle au travers de nous, qu'Il agisse au travers de nous. J'ai failli le dire : « Qu'Il sauve par nous et qu'Il guérisse par nous », mais là, on irait un peu trop loin ; mais cependant, dans Acte des Apôtres chapitre 13, Paul utilise tout de même la parole connue du prophète Ésaïe chapitre 13 : « Car Dieu nous a donné cet ordre : Je t’ai établi pour être la lumière des nations jusqu'aux extrémités de la terre » ; et quand le Seigneur l'a appelé, Il a bien dit littéralement : « Je t’ai établi pour ouvrir les yeux des nations païennes ».
Dieu poursuit Son œuvre. Et nous l'avons toujours dit et répété : Ce qui a commencé avec le Nouveau Testament est encore aujourd'hui ici. Ça se poursuit jusqu'à ce que nous parvenions à la perfection ; et pour cela, que Dieu me fasse grâce, à moi, à toi, à nous tous, que nous puissions demander selon Sa volonté ; et nous allons encore un peu plus loin : Que nous puissions vivre selon Sa volonté, que Sa volonté puisse s'accomplir dans nos vies. Je ne sais pas s'il n'y a jamais eu une période dans ma vie où le cri de mon âme était si profond : Ô Dieu ! Que Ta volonté soit faite dans ma vie et dans Ton Église ! Alléluia ! Et j'espère qu'il en est le même pour nous tous, que nous recherchions l'unité, l'union avec Dieu, la connexion avec Dieu, que nous cherchions ce lien et cette connexion dans la prière et dans la foi, et le Seigneur nous écoutera, nous exaucera et nous bénira. Amen !
Père céleste, je Te remercie du fond du cœur pour toutes Tes grâces que Tu nous manifestes, pour Tes voies, pour Ton peuple. Ô Dieu fidèle ! Qui suis-je et qui sommes-nous pour avoir trouvé grâce devant Toi ? Alléluia ! Seigneur bien-aimé, utilise-nous. Que Ta volonté soit faite dans ma vie et dans nos vies à tous ; que Ta volonté soit faite dans Ton Église, dans Ton royaume ! Aies Ton chemin, ô Dieu !
Seigneur, je Te remercie pour tous ceux que Tu as sauvé ce que Tu as appelé, ceux à qui Tu T'es révélé ; je Te remercie pour toutes les âmes précieuses qui sont nées dans Ton royaume. Seigneur bien-aimé, garde-les et bénis-nous aussi en ce lieu. Seigneur fidèle, crée quelque chose de nouveau en nous puis à travers nous pour la gloire de Ton nom. Amen !