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Ewald Frank

Krefeld le 05 mai 1985 à 10 heures 00

TOUT CE QUE DIEU NOUS COMMANDE ET ATTEND DE NOUS, IL NOUS LE POURVOIT AUSSI

(Retransmis le 11 janvier 2025)

[Introduction]

Loué et remercié soit le Seigneur ! Dans le Psaume 112, le psalmiste dit au verset 1 :

« Alléluia ! Heureux l'homme qui craint le Seigneur, et qui prend plaisir à ses commandements ».

Oui, peut-être seulement ce verset. Je pense que si nous nous plongeons dans ce verset, il a beaucoup à nous dire. « Heureux l'homme qui craint le Seigneur ! ». Qu'arrivera-t-il à tous les autres, qui ne craignent pas le Seigneur ? Nous pourrions ainsi demander. Mais je pense que Dieu a un peuple, que Dieu a des hommes qui le craignent, qui se rassemblent devant Lui avec crainte, avec respect, qui Lui apportent l'honneur et la louange, qui trouvent une joie sincère dans Ses commandements.

Et vous savez, cela a toujours été le désir du Dieu vivant, que Son peuple soit attentif à Ses commandements. Je voudrais peut-être juste lire ce qui est écrit dans le prophète Jérémie, au chapitre 11. Ici, Jérémie doit apporter ces paroles de la part de Dieu, et les présenter au peuple en leur rappelant ce que Dieu lui avait demandé de faire. Il est dit dans Jérémie chapitre 11, au verset 1 : 

« La parole qui fut adressée à Jérémie de la part du Seigneur, était la suivante : Écoutez les paroles de cette alliance, et annoncez-les aux hommes de Juda et surtout aux habitants de Jérusalem ! Et toi, dis-leur encore ceci : Ainsi a parlé le Seigneur, le Dieu d'Israël : Maudit soit quiconque ne se conforme pas aux dispositions de cette alliance, que j'ai imposée à vos pères le jour où je les ai fait sortir du pays d'Égypte, de la fournaise de fer, en leur disant : Obéissez à mes instructions, et faites-les entièrement comme je vous les commande ; et vous serez mon peuple, et je serai votre Dieu ».

Ce sont des paroles précieuses. Et nous voyons ici qu'il a toujours été important d'apporter la gloire au Seigneur, d'être attentif à la parole et au commandement du Dieu vivant. Seuls ceux-là Lui appartiennent, bien-aimés, comme nous l'avons déduit de cette parole, ceux qui sont attentifs à Sa parole, qui tremblent devant Lui dans le respect, qui s'approchent de Lui, et qui sont disposés à suivre, à mettre en pratique Sa parole et à croire, bien-aimés, ceux-là seuls sont Son peuple. Tous les autres, bien-aimés, nous avons lu à leur sujet ce qui est à venir ; mais pour ceux qui observent Sa parole, nous ne pouvons que dire : « Heureux l'homme qui craint le Seigneur ! ». Vous savez, alors vient le bien, le bonheur ; le bien non pas des hommes, mais le bien, le bonheur qui vient de Dieu ! C'est ça l'essentiel, bien-aimés.

La plupart des gens ne cherchent que l'estime et le bien-être, peut-être auprès des hommes, mais le peuple de Dieu veut ce qui vient de Dieu, et c'est ce que nous voulons, toi et moi. À quoi bon ce que les hommes disent, ce que les hommes font ? Nous voulons ce que Dieu dit de nous, c'est ce que nous voulons, et nous voulons L'écouter. 

Nous l'avons lu ici, il ne s'agissait pas seulement de faire sortir le peuple de l'esclavage, de la forge, de la captivité, non ; il s'agissait, pour Dieu, qu'ils Le servent, qu'ils écoutent Sa parole. C'est ce que Dieu voulait. Et nous nous demandons : De quoi Dieu Se préoccupe-t-Il aujourd'hui, bien-aimés ? Dieu veut-Il qu'on ait seulement une apparence de piété, ou s'agit-il pour Dieu qu'on écoute Ses instructions, Sa parole, Ses commandements qu'Il nous a laissés pour nos jours ? N'est-ce pas la même chose qu'en ces jours d'autrefois ? C'est ce dont Dieu s'occupe en ce jour ; et seuls ceux-là sont le peuple de Dieu, bien-aimés, les autres… 

Bien-aimés, nous ne voulons juger personne. Nous ne sommes pas destinés à cela, et nous ne sommes pas ici pour cela ; mais nous sommes là pour reconnaître ce que Dieu nous dit à nous, ce qu'Il veut nous dire, et pour répondre à Ses paroles. C'est ici que Ses paroles nous sont si précieusement présentées, et c'est ici qu'elles nous ont été si merveilleusement dites. Verset 5 :

« Afin que je puisse tenir le serment que j'ai fait à vos pères, de leur donner un pays débordant de lait et de miel, comme c'est encore le cas aujourd'hui. Je répondis alors par ces paroles : Oui, qu'il en soit ainsi. Amen, Seigneur ! »

Oui, amen ! Il doit en être ainsi, bien-aimés. Dieu a voulu respecter l'Alliance. Il a fait la promesse de les faire entrer dans le pays où coulent le lait et le miel, qu'Il avait promis à leurs pères. Mais, bien-aimés, si nous regardons en arrière, nous voyons ce qui s'est passé : Ils ont tous péri dans le désert. Et pourquoi, bien-aimés ? Parce qu'ils ont suivi leurs propres pensées, parce qu'ils ont suivi leurs propres voies et n'ont pas écouté ce que Dieu disait, mais ils ont commencé à murmurer, ils ont commencé à se plaindre, et ils ont commencé à suivre leurs propres voies. Mais Dieu a maintenu Son alliance avec ceux qui Lui avaient donné la foi, qui le croyaient réellement ; et ils ont pu entrer. Ce sont ceux-là qui ont pu entrer dans les pays promis.

Chers frères et sœurs, il en va de même de nos jours. Dieu maintient Son alliance de nos jours aussi, nous pouvons nous y fier. Et tous ceux qui écoutent Sa parole en ces jours obtiendront le bien promis. Oh ! Quelle grâce glorieuse Dieu nous a accordée ! Nous pouvons nous réjouir que Dieu ne soit pas un homme, mais que Dieu soit Dieu. Ce qu'Il promet, Il le tient assurément. Louange et action de grâce à Son nom glorieux !

Peut-être encore les deux versets suivant du prophète, puis nous prierons tout de suite. Verset 6 :

« Alors le Seigneur me dit : Fais connaître toutes ces paroles dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem, en disant : Écoutez les paroles de cette alliance, et mettez-les en pratique ! Car j'ai averti vos pères, depuis le temps où je les ai fait sortir du pays d'Égypte jusqu'à ce jour, toujours et encore avec la plus grande sincérité, et je leur ai demandé d'obéir à mes instructions. Mais ils n'ont pas obéi et ne m'ont pas écouté, mais ils ont suivi chacun l'obstination de leur propre mauvais cœur ; c'est pourquoi j'ai fait s'accomplir sur eux toutes les paroles de menace de cette alliance que je leur avais commandé d'observer, parce qu'ils ne les avaient pas pratiquées ».

Bien-aimés, si nous lisons encore ces versets –et nous les avons lus– c'est vraiment une triste chose. Ils ont bien entendu la voix de Dieu, ils ont bien vu l'action de Dieu, ils ont vu la grande et puissante main de Dieu, et pourtant, comme il est écrit ici, ils ont marché selon l'obstination de leur mauvais cœur ! 

Je crois que c'est un exemple pour notre époque, que nous nous souvenions, que nous rentrions en nous-mêmes et que nous demandions au Seigneur de nous donner un cœur humble afin que nous puissions toujours nous présenter devant Lui humblement en nous abaissant, et dire : « Seigneur, aide-nous et accorde-nous la grâce de ne pas marcher selon l'obstination de notre mauvais cœur, mais d'être attentif à la parole que Tu as prononcée pour notre temps ». 

Frères et sœurs, je crois qu'en ce matin aussi, nous voulons demander à notre Dieu de nous accorder la grâce de continuer à écouter Sa parole, de l'accueillir, la recevoir ; de ne pas nous rebeller contre elle, mais si nous ne la comprenons pas encore, de prier, de dire : Seigneur, aie pitié de moi, ouvre-moi Ta parole, ouvre-moi l'intelligence à Ta parole, la compréhension à Ta parole, à Tes promesses et à tout ce que Tu veux dire, afin que je puisse donner mon intelligence, ma compréhension à Ta parole, et que je ne sois là que pour Toi, et que je puisse obéir comme Ta parole le dit.

Ce qui compte, chers frères et sœurs, ce n'est pas seulement que nous venions ici pour écouter la parole de Dieu, mais que Dieu nous donne la grâce de pouvoir aussi la mettre en pratique, la mettre en pratique. C'est ce que nous devons faire, bien-aimés, sinon nous sommes dans une mauvaise condition. Mais j'ai foi que Dieu nous a appelés, qu'Il nous a désignés et qu'Il veut nous faire grâce même en ces jours, et qu'Il nous aidera à traverser tout cela, à passer de la foi à la vue pour ce à quoi Il nous a destinés. Et c'est pour cela que nous voulons Lui offrir ce matin aussi l'honneur, la louange et l'adoration.

Levons-nous et invoquons ensemble Sa bénédiction.

Dieu fidèle, nous nous tenons en ce lieu ce matin avec Ta parole que Tu as adressée à Ton peuple en ces jours-là. Aujourd'hui, Tu nous parles, ô Seigneur ! Et Tu veux nous donner des instructions sur la manière dont nous devons marcher. Tu l'as déjà fait, et Tu veux continuer à guider Ton peuple et à diriger Ton peuple.

Seigneur fidèle, je Te prie d'ôter de nous tout ce qui s'oppose à Ta parole, et de nous donner la grâce, à moi et à nous tous, de l'accueillir dans un cœur fin et bon. Donne-nous des cœurs de chair, ô Seigneur, afin que nous puissions repasser cela dans notre cœur, et que nous puissions, Seigneur, croire cela, et que nous puissions le faire !

Accorde la grâce à mon frère pendant qu'il apporte Ta parole, et accorde-nous la grâce pendant que nous pouvons l'entendre. Adoration à Ton glorieux nom, ô Seigneur ! Nous sommes si reconnaissants de ne pas avoir à écouter des fables humaines, mais de pouvoir avoir Ta sainte et précieuse parole véritable, vraie, de la croire et de la suivre, de la mettre en pratique. Adoration à Ton nom glorieux ! Amen !

[Frère Frank]

Nous nous asseyons. Louanges et merci au Seigneur. Nous tous qui étions ici hier soir, nous sommes encore reconnaissants aujourd'hui pour les heures merveilleuses que nous avons pu passer ensemble devant le Seigneur. C'est la première fois que j'ai entendu notre frère Helmut parler. Ce qu'il a dit était très fin, très bien. Dieu nous a abondamment béni lors de la cérémonie qui a suivi ce mariage, et nous avons pu nous rappeler à nouveau que nous avons été invités au grand festin des noces de l’Agneau, et nous savons que cela se rapproche de plus en plus. Le jour du retour du Seigneur est de plus en plus proche, et nous en sommes reconnaissants. C'est avec joie que nous acclamerons le Seigneur quand nous monterons dans la gloire ; car nous serons toujours auprès de Lui, pour toujours ; et nous aurons oublié pour toujours ce qui était avant, et nous ne nous souviendrons plus des conditions antérieures, sinon notre joie serait toujours ternie, et cela ne peut pas être le cas.

J'ai encore entendu ce matin une prédication de frère Branham que j'aurais voulu traduire, mais elle est un peu adaptée à la fin de l'année et ne convenait peut-être pas tout à fait ici ; mais il y a fait une déclaration, il disait : « En tant qu'êtres humains, nous pouvons pardonner, mais pas oublier ! », mais il dit que : « L'attribut de Dieu, c'est de pardonner et d'oublier ». 

Il a mentionné l'histoire que vous connaissez tous, celle d'un vieux frère que sa fille avait fait venir de la campagne ; et ils avaient une fête à la maison et elle ne voulait pas que cet homme qui remerciait toujours le Seigneur à haute voix parce qu'il était submergé, interrompe cette fête. Elle dit donc : « Écoute ! Je vais t'amener là-haut. Tu seras comme ça tout seul, sans être dérangé. Je vais te donner un livre de géographie ». Elle avait peur que si elle lui donnait la Bible, ce serait fini pour lui, que les louanges et les remerciements recommenceraient. Et il venait de lire auparavant le passage de la Bible selon lequel Dieu a jeté nos péchés dans la mer, là qu'elle est la plus profonde (Michel 7 : 19), et maintenant, il lisait là, dans ce livre ; et ils avaient leur fête en bas, et lui, il était en haut. 

Puis il y a lu qu'on avait découvert dans la mer un endroit dont on ne pouvait absolument pas distinguer le fond, oui, où on ne pouvait absolument pas saisir la profondeur, sans fond ; et c'est là qu'il s'est souvenu du passage de l'Écriture, et qu'il a pensé : « C'est là que Dieu a jeté mes péchés. Ils ont tous simplement disparu là où c'est le plus profond » ; et soudain, il interrompt toute la compagnie, et se met à louer, à crier de joie, et à glorifier Dieu ! Et sa fille monte en courant, gênée qu'elle l'était, et dis : « Écoute ! Qu'est-ce qui se passe ? Je ne t'ai pas donné la Bible ! Comment oses-tu élever la voix ici ? Et qu'est-ce qu'il y a ici ? Qu'est-ce qui se passe ? » ; et puis, il lui a expliqué.

Bien-aimés, la parole de Dieu a tellement de choses à nous dire, car ce qu'elle dit est vrai, nous pouvons nous y fier. Et nous n'avons pas besoin de nous cacher avec ce que Dieu nous a donné, mais nous pouvons le confesser en tout temps. 

Nous avons entendu des paroles graves. Je souhaiterais avoir fait l'introduction, et laisser à frère Russ la deuxième partie. Ce sont des paroles très sérieuses que nous avons entendues. Une alliance de Dieu avec Son peuple est quelque chose de merveilleux, mais cela nous engage aussi ; c'est un contrat que Dieu a conclu avec Son peuple, et ce contrat a toujours deux parties : Les deux doivent être d'accord avec ce contrat. Dieu l'a rédigé, et nous devons approuver ce contrat d'alliance.

Et il est vrai que Dieu traitera ceux qui ont rompu Son alliance pire que ceux avec qui une alliance n'a jamais été établie. Les personnes qui n'ont jamais entendu la parole de Dieu, seront mieux loties que celles qui l'ont entendu mille fois mieux qu'une fois, et qui ne l'ont pas mise en pratique. Et il en va de même pour ce message que Dieu nous a donné de Sa parole pour ces jours-ci : Tous ceux qui ne l'ont jamais entendu, seront mieux lotis par rapport à ceux qui l'ont réformé et retourné dans tous les sens, et qui l'ont vilipendé jusqu'à le rendre méconnaissable ! Les autres seront mieux lotis.

Entendre la parole du Seigneur, entendre Sa parole, c'est quelque chose de merveilleux ; mais quelle responsabilité nous incombe à ce moment-là ! Quelle responsabilité envers Dieu et Sa parole ! Et c'est pourquoi nous avons besoin d'un respect saint pour cette parole sainte et précieuse qui est sortie de la bouche de Dieu.

Quand je pense que l'on traduit –je compatis avec ceux qui traduisent, car je sais combien c'est difficile– dans une autre langue, certains passages de la Bible sont même exprimés différemment, et il n'est pas toujours facile de le rendre tel qu'il est présenté dans la première langue. J'espère que frère Kupfer et celui qui traduit auront de la patience avec nous, et que nous serons bénis ensemble.

Je n'ai lu que très brièvement Jérémie 14, et là, Dieu a presque prononcé un jugement sur Ses lèvres, et a dit certaines choses qui ont été transmises au peuple. Jérémie 14 à partir du verset 11 :

« Le Seigneur m'a encore dit : Tu n'intercèderas pas en faveur de ce peuple pour qu'il soit heureux. S'ils jeûnent, je n'écouterai pas leurs supplications ; et s'ils offrent des holocaustes et des offrandes, je ne les recevrai pas favorablement ; au contraire, je les exterminerai par l'épée, par la famine et par la peste. Alors je dis : Ô ! Seigneur mon Dieu ! Voici que les prophètes leur disent : Vous ne verrez pas l'épée, et la famine ne vous atteindra pas ; non, je vous donnerai un salut durable en ce lieu. Alors le Seigneur me répondit : C'est le mensonge que les prophètes prophétisent, et cela en mon nom ; Je ne les ai pas envoyés, et je ne leur ai pas donné d'ordre. Ils vous prophétisent des visions mensongères, des prophéties trompeuses, des tromperies qu'ils se sont fabriqués. C'est pourquoi le Seigneur a parlé ainsi : Les prophètes qui prophétisent en mon nom et qui, bien que je ne les ai pas envoyés, annoncent néanmoins ni l'épée, ni la famine n'atteindront ce pays : Par l'épée et par la famine, ces prophètes trouveront la mort ».

Ce n'est pas facile. Et celui qui pense que les choses du royaume de Dieu peuvent être prises à la légère, se trompe. Dieu a un plan avec Son peuple, Il a conclu une alliance que ce soit avec Israël ou avec l'Église, et Il exige de nous l'obéissance en toutes choses à Sa parole. Et là où il y a désobéissance, alors aucun jeûne, aucune prière, aucune prophétie, aucune vision ne sert à rien. Il ne sert à rien de suivre Sa propre voie et Ses propres pensées. Dieu a prescrit le chemin, et ce chemin doit être suivi. Si des gens qui ne sont pas envoyés parlent, ils peuvent promettre le ciel sur la terre. Il ne vient pas. Il ne vient pas. Seul ce que Dieu a dit dans Sa parole arrive. Et cette obéissance inconditionnelle est pourtant nécessaire. Dans Jérémie chapitre 12, seulement la deuxième partie du verset 2 :

« Tu es près d'eux selon leur bouche, mais loin de leur cœur ».

Les choses peuvent être portées à la bouche, mais sont-elles dans le cœur ? Dieu peut-Il mettre sa Parole au plus profond de nous ? Nous l'avons déjà entendu, le Seigneur a donné des instructions pour qu'elles soient suivies. Prenons quelques exemples de l'Ancien Testament, à partir desquels nous verrons que la bénédiction de Dieu repose sur ceux qui ont suivi Ses instructions, qui n'a jamais fait défaut ; et cela s'accompagne de la pensée et de l'effet que nous pouvons croire que le Seigneur est encore toujours le même aujourd'hui. 

Nous lisons le chapitre 6 de la Genèse. Ici, je m'intéresse à la seule pensée qui doit être soulignée, à savoir que Dieu Se soucie de nous, que nous ne Lui sommes pas indifférents. Pour la résumer en une phrase : Dieu est responsable de nous dès l'instant où Il S'est adressé à nous, où Il nous a appelés et élus ; Il a assumé cette responsabilité.

Dans la Genèse au chapitre 6, la construction de l'arche nous est décrite ; et c'est peut-être parce que l'épître de Pierre parle du baptême que je le lis : « Celui-ci, en référence à l'eau, vous sauve de la même manière qu'à l'époque par rapport à l'arche dans laquelle les hommes sont entrés et sont ensuite restés en sécurité et préservés ». (1 Pierre 3 : 20). Noé était un homme très simple, il n'était pas un spécialiste de la direction dans laquelle son ordre était orienté, mais Dieu a pourvu à tout, fondamentalement à tout. Il a donné des instructions précises sur la manière de construire, sur les moyens de construire, sur la répartition, Il a donné des instructions précises, Il a indiqué en détail comment tout cela devait être fait, et ensuite, Il a veillé à ce que lorsqu'Il a vu que l'arche devait être construite en bois de sapin (gopher), le bois doit être là ; alors ensuite, Dieu fait en sorte que Son ordre puisse être exécuté ; alors il n'y a plus besoin de s'inquiéter pour cela, car Dieu a une vue d'ensemble.

S'Il dit que l'intérieur et l'extérieur du bateau doivent être revêtus ou enduits de poix, ou comme le dit ici la traduction, de résine de terre, alors Il veille à ce que le matériau soit là, car Il a donné le commandement. Et si ce n'était pas là et que Dieu l'a dit, alors ce serait là quand même. Comprenez-vous ce que cela signifie ? Et s'il n'y avait pas eu de forêt dans laquelle on aurait pu aller chercher le bois de sapin, et si Dieu dit que c'est ainsi qu'il faut construire, Il fait pousser les sapins pendant la nuit, parce qu'Il est Dieu, Il s'occupe de tout. S'Il donne un ordre, s’Il donne un commandement, et dit : « C'est ainsi qu'il faut faire ! », et qu'il se trouve un homme prêt à faire ce que Dieu a dit, alors le matériel sera là, ensuite les gens seront là, puis tout sera exécuté exactement selon les mesures exactes. Dieu a aussi donné les dimensions, Il a dit où devait se trouver la fenêtre, comment devaient être les étages, les différentes pièces, tout a été annoncé. 

Qu'est-ce que c'était ? Dieu a un concept, Il a un plan, et ensuite Il révèle Son plan, Son projet, à Ses serviteurs, les prophètes ; et alors, par l'Esprit, ils ont une compréhension de ce que Dieu veut exécuter et faire ; et ensuite, Il place à leur côté des gens sur lesquels le même Esprit vient, pour pouvoir exécuter la mission de Dieu, comme Dieu l'a dit.

Et c'est aussi de cela qu'il s'agit maintenant, dans le dernier message que nous avons reçu, dans le dernier tour que Dieu a avec Son peuple sur la terre, maintenant. Il s'agit d'appliquer le concept divin, à savoir ce que Dieu a réellement dit, et non ce que d'autres ont dit, comme à l'époque du prophète Jérémie : Ils ont vu, ils ont parlé, mais ils ont parlé et vu à côté de Dieu ! La parole du Seigneur avait été adressée à Jérémie et non à tous les autres qui avaient parlé. Et, ne devait parler, que celui à qui le Seigneur avait vraiment parlé.

Tout était là, et par cette exécution, Dieu a dit clairement : « Noé a trouvé grâce auprès du Seigneur ». Des hommes destinés à être édifiés en tant qu'église du Dieu vivant sur le fondement très saint de la foi qui a été posé depuis longtemps, et pas seulement maintenant. 

Permettez-moi de le dire clairement : Frère Branham n'est pas allé au-delà du fondement biblique. Il était destiné à déblayer les décombres et tout ce qui s'était effondré dessus, afin de remettre les choses en ordre, tout comme nos prédécesseurs dans l'apostolat, et de tout restituer, rétablir. Cela c'était la tâche à accomplir, et nous devons nous y tenir.

Si nous construisons, nous devons construire selon les instructions divines. Et c'est sans doute ce que Paul a écrit en toutes lettres dans le même contexte, dans 1 Corinthiens 3 verset 10 : « Que chacun prenne garde à la manière dont il construit dessus ». On construit beaucoup, même avec du bois, de la paille et du chaume, mais on construit, l'important c'est que l'on construise, l'important, pour eux, c'est que l'on construise, semble-t-il. Non ! L'important, c'est que l'on construise comme Dieu l'a dit, selon les mesures, les prescriptions, les instructions et les dispositions divines. Tout le reste est construit sans tenir compte de Dieu, et le jour du feu donnera alors le compte pour la chose.

Le respect de Dieu et Ses décisions et de Ses instructions, de ce qu'Il fait est la condition absolue pour prendre du recul par rapport à toute action personnelle, humaine. Celui qui n'a pas le respect nécessaire pour la parole de Dieu, trouvera beaucoup de parole personnelle dans ce qu'il fait. Celui qui n'a pas le respect pour le plan de Dieu actuellement, aura ses propres plans. Et il y a suffisamment d'entre eux qui construisent leur propre royaume dans le royaume de Dieu, tout cela, semble-t-il, au nom du Seigneur. Mais le Seigneur n'est présent réellement et responsable que là où Sa parole est vraiment reçue, avec tout le respect et la crainte qu'elle mérite, est mise en pratique avec un cœur volontaire et croyant.

Noé avait trouvé grâce auprès de Dieu. C'est avec Noé que Dieu a conclu l'alliance. Il lui a dit ce qu'il devait faire ; et le dernier verset de Genèse 6 en dit long, le verset 22 : « Et Noé le fit. Il fit tout exactement comme Dieu le lui avait ordonné ».

Passons à Exode 16. Exode 16 verset 4. Il est dit ici : « Le Seigneur dit à Moïse » –C'est bien– « Je ferai pleuvoir pour vous du pain, du ciel. Le peuple n'aura qu'à sortir, et à ramasser jour après jour ses besoins quotidiens ». Quelle parole magnifique ! Dieu a pris Ses responsabilités : Quand le pain manquait, Il a veillé à ce qu'il y en ait ; quand l'eau manquait, Il a veillé à ce qu'elle arrive. Dieu a toujours pris soin ; et comme Il n'a pas changé, cela doit être encore le cas aujourd'hui, qu'Il prend soin. 

Nous connaissons la prédication de frère Branham : « Dieu prend soin. Vous aussi, soyez préoccupés » ; et nous aimerions à notre tour être préoccupés par le fait que ce que nous faisons puisse être placé dans les limites de la parole de Dieu, sans plier, sans rompre, sans interpréter, sans rendre convenable. Nous n'avons pas à adapter la parole de Dieu à nous. Nous avons à nous conformer nous-mêmes au modèle de la parole, comme il est dit de Moïse dans Exode 40 verset 1 : « Il fit tout selon le modèle qui lui avait été montré sur la montagne sainte ». Ici, le pain a manqué, Dieu l'a fait tomber en pluie. Nous pensons ici au « Notre Père », dans Matthieu 6 verset 11. 

Lorsqu'il s'agit des révélations de Dieu, du dévoilement de l'ensemble de Son conseil, nous avons reçu en ce temps une introduction incomparable à tous les autres temps. Dieu nous a accordé, à nous qui vivons à la fin des jours, les bénédictions qui nous étaient destinées en vertu des promesses faites au peuple de Dieu pour cette période. Ce n'est pas parce que nous sommes meilleurs, cela n'a aucune importance pour Dieu. Chaque être humain est de toute manière égale, même si beaucoup ou certains se sentent particulièrement bons ; au fond, tout le monde est pareil : Chaque femme est comme Ève, chaque homme est comme Adam. Il n'y a pas de différence. Aux yeux de Dieu, nous sommes tous égaux, mais Dieu nous a fait des promesses, et nous les acceptons avec reconnaissance. Il nous a introduit dans Son plan par une révélation prophétique. Il nous a offert cela. 

Il y a toujours eu des hommes à qui Dieu pouvait donner des instructions, et ils ont exécuté ce qu'Il leur disait, exactement selon la mesure. Vous pouvez lire les mesures partout, les dimensions, que ce soit chez Noé, ou plus tard chez Moïse, lorsqu'il a fait construire le tabernacle et ce qu'il devait faire, tout a toujours été exécuté comme Dieu l'avait dit. Dans Exode 19, nous lisons une parole qui nous rappelle celle que nous avons entendue en introduction. Exode 19 à partir du verset 5 :

« Et maintenant, si vous obéissez de bon cœur à mes instructions, et si vous gardez mon alliance, vous serez ma propriété particulière parmi tous les peuples, car toute la terre m'appartient ; et vous serez pour moi un royaume de sacrificateurs, un peuple saint ».

Dieu dit : « À Moi toute la terre, à Moi toute la terre, tous les peuples, toutes les nations M'appartiennent ; mais vous, Mon peuple choisi par Abraham, Isaac et Jacob, vous serez pour Moi un peuple particulier, vous serez pour Moi un royaume de sacrificateurs ». Il a déjà annoncé dans l'Ancien Testament que Son peuple était destiné à devenir roi et sacrificateur, et qu'il serait dans Son royaume ; et tous ceux qui, depuis cette époque, ont mis leur espérance en Dieu, ceux-là seront en effet avec Abraham, Isaac et Jacob, et avec nous tous dans le royaume de Dieu, car selon Matthieu 27 verset 51, plusieurs des saints qui s'étaient endormis se sont levés et ils sont sortis avec le Christ, et sont apparus à plusieurs dans la ville sainte.

« Toute la terre m'appartient ». Dieu peut dire la même chose aujourd'hui encore. Sur toute la terre, Dieu a quelque chose de particulier, une propriété spéciale, parce qu'il y a eu une conclusion d'alliance, une rédemption. Il a une église. Cette église est au milieu de la terre, un peuple parmi les peuples, une église parmi les communautés, un royaume de sacrificateurs, un peuple saint, un peuple sanctifié par Dieu Lui-même. Il est également écrit au verset 7 d’Exode 19 :

« Moïse alla appeler les anciens du peuple, et leur rapporta toutes ces paroles que le Seigneur lui avait ordonnées. Tout le peuple répondit d'un commun accord : Nous ferons tout ce que le Seigneur a ordonné ».

Le mot : « D'un commun accord », nous rappelle le jour de la Pentecôte : « Ils étaient réunis d'un commun accord ». La parole de Dieu fut prononcée, le prophète l'a transmise, tous ceux qui l’entendirent étaient unanimes dans leur cœur, c'était une chose fermement établie : Dieu a parlé, nous avons cru et écouté : Seigneur, nous voici. Et ils disaient d'une seule voix, d'un commun accord : « Tout ce que le Seigneur a commandé, nous le ferons ».

Si nous pouvions dire la même chose ! Se tenir d'un commun accord, d'une seule voix, sous la proclamation de la parole de Dieu, écouter la même parole en ce moment, croire de tout cœur de la même manière, et se présenter ainsi d'un commun accord devant la face de Dieu, nous montrant ainsi comme Son peuple, des hommes dont Il a fait des rois et des sacrificateurs ! Si c'est le cas, car voici le contexte : « Toute la terre M'appartient, mais vous êtes pour Moi un royaume de sacrificateurs, et un peuple saint ».

Tous ceux qui, parmi le peuple de Dieu, forment ce peuple saint, ce sacerdoce saint, cette royauté sainte aux yeux de Dieu, doivent parvenir sous le message prophétique à cette unanimité divine, à cette union, à ce commun accord divin ; et alors, Dieu réalisera tout ce qu'Il a promis, tout ce qu'Il a promis. Tel est le contexte ici. Verset 6 :

« Mais vous serez pour moi un royaume de sacrificateurs, un peuple saint ».

Après que ce peuple saint, ce royaume de sacrificateurs, ait entendu les paroles de Dieu, ils ont répondu d'une seule voix, d'une seule voix, d'un commun accord : « Tout ce que le Seigneur a ordonné, nous le ferons ». C'est sur l'action, sur la pratique de la parole que repose la bénédiction, et cela d'un commun accord. Nous lisons dans Exode chapitre 25 verset 10 :

« Ils feront donc une arche de bois d'acacia ».

Je lis brièvement la moitié du verset. L'arche de l'alliance et tout ce qui devait être fait, a été fait exactement selon les instructions que Dieu avait données. Il dit à l'un d'eux : « Prends du bois de sapin, fais-en l'arche ! » ; à l'autre, Il dit : « Prends du bois d'acacia, fais-en l'arche de l'alliance », toujours et à tout moment, en tout temps, tous les hommes de Dieu ont fait ce que le Seigneur leur a ordonné pour être des hommes de Dieu. Et c'est sur cela que reposait la bénédiction.

Je souhaite une chose, que vous me croyez ou non, je souhaite une chose : Être trouvé dans la volonté parfaite de Dieu, et faire ce qu'Il a ordonné. Tout le reste ne mène pas au but, nous fait manquer le but, tout le reste est voué à l'échec. Il peut être décoré de jeûne et de prières, de visions et de prophéties, de tout ce qui est nécessaire, ça peut être décoré de jeûne et de prières et de tout, et si cela n'est pas conforme aux paroles de Dieu, c'est voué à l'échec.

Dieu n'assume Sa responsabilité que si les hommes acceptent Sa parole, s’y plient et s’y conforment, car c'est là seulement que l'obéissance et la foi sont garanties. Et la foi ne doit pas être liée à ce que nous avons inventé. La foi doit être liée à ce que Dieu a dit. Ça, c'est la foi biblique qui seule conduit à la justification divine. La foi personnelle peut conduire à sa propre justice. La foi qui vaut devant Dieu, qui vient de Sa parole, conduit à la justification par la foi ; et la justification entraîne l'obéissance, à savoir l'obéissance de la foi dont Paul a écrit à la fin de l’épître aux Romains, que Dieu l'avait envoyé pour susciter l'obéissance de la foi parmi les nations païennes à la gloire de Dieu.

Dans Exode 25 verset 31, il est écrit : « Tu feras encore un chandelier d'or fin ». Tout était là : Le bois nécessaire ici ; ou là, l'or était là ; tout était là. Chaque fois que Dieu a donné une instruction, il a fourni les hommes et le matériel. Il n'a laissé personne dans le désarroi. En principe, Il a pourvu Lui-même en toutes circonstances à ce qu'Il voulait voir faire. N'est-ce pas là quelque chose de merveilleux !

Cette pensée me bouleverse, me submerge. Nous pouvons rester debout ou nous asseoir, et nous dire : « Mon Dieu ! Comment tout cela va-t-il se passer ? ». Laissons-nous dire par cette parole de Dieu aujourd'hui : Tout ce que Dieu nous commande et attend de nous, Il le met à notre disposition ! Amen ! C'est ainsi. Tu n'apportes pas cela de toi-même, et moi non plus ! Cela ne vient pas de toi. Il y a suffisamment de croyants qui ont les poches pleines, qui apportent tout d'eux-mêmes, et qui repartent ensuite les mains vides ; et puis, il y a aussi ceux qui n'apportent rien d'autre qu'un cœur fin et bon, vide, et qui repartent ensuite remplis. Oh ! Quelle grâce ! Dieu a parlé : Ses serviteurs et Son peuple ont écouté ; et c'est sur cela que repose toute la bénédiction.

Dans Exode 26 verset 1, il est question du tabernacle, de la tente de la révélation qui devait être faite. Il est dit ici au verset 1 d’Exode 26 : « Tu feras le tabernacle de dix tapis… », puis vient toute la description de ce que devait être sa composition. Au milieu du désert, là où il n'y a rien à prendre, il y a tout, tout ce qu’un homme peut imaginer ? Non, pardon ! Il y a tout ce tout ce que Dieu a dit, sinon il n'y aurait peut-être eu que du sable. Mais, quand Dieu dit : « Fais-moi ici maintenant dix tapis de… et tout ce qu'on appelle matériaux », Moïse regarde : Voici une montagne, voici une montagne, voici une autre montagne, oui, d'où vient tout cela ? D'où viennent les tapis ? C'est là parce que Dieu l'a dit !

Nous avons toujours reçu cette formule ou ce terme de « Parole parlée » (La parole prononcée). Dieu dit des choses qu'Il veut voir se réaliser. Il a les gens et le matériel, et cela se passe comme Il l'a dit. Personne ne se précipite sans réfléchir pour se procurer les choses : Elles sont là, vous pouvez vous y fier. Il est écrit ici dans Exode chapitre 26 verset 7 maintenant : 

« Tu feras aussi des tapis de poils de chèvre, pour servir de couverture au tabernacle ».

Cela aussi était là. En principe tout. Vous pouvez continuer à lire. Le verset 14 dit : 

« Tu feras encore pour le toit de la tente une couverture de peau de bélier teinte en rouge, et par-dessus une autre couverture de peau de lamantin ».

Eh bien, j'aimerais aussi être dans le désert de sable isolé, et pouvoir ensuite travailler les peaux de lamantin dans le désert. Ce serait une belle chose. Mais si Dieu l'a dit, c'est qu'il en est ainsi, Il y pourvoit ! Et s'ils n'étaient pas dans le lac, alors ils y seraient quand même ; et s'ils ne sont pas dans le désert, alors ils sont dans le désert, pour autant que Dieu l'a dit. Oh ! Que nous pouvons le croire ! Ce dont Dieu a besoin, ce ne sont pas des gens qui Lui font de bonnes propositions, mais des gens qui peuvent croire à Sa parole révélée pour ce temps, pour que, comme Abraham et Moïse, ils ne regardent pas à ce qui est visible, mais à ce qui est invisible comme s'ils le voyaient. Ils pouvaient Lui faire confiance en sachant qu'Il fera toutes les choses qu'Il veut voir faites, qu'Il veillera Lui-même à ce que les bonnes personnes et tout le matériel soient là au bon moment.

Ou bien ne croyez-vous pas cela ? Pensez-vous que Dieu dit quelque chose, et ne veille pas à ce que ce qu'Il a dit puisse être fait et exécuté ? Notre Dieu n'est pas un Dieu de philosophie ou de théorie. Notre Dieu est toujours orienté vers la pratique. Il ne parle pas dans le vent. Il parle à Son peuple, et cela, par la bouche de Ses serviteurs et de Ses prophètes.

Nous avons ici de magnifiques exemples d'hommes qui ont suivi les instructions de Dieu. Nous ne pouvons maintenant formuler qu'un seul souhait : Seigneur, fais-nous connaître Tes voies, et donne-nous Tes instructions, afin que nous puissions les mettre en pratique et les exécuter. C'est tout ce dont nous avons besoin : Un cœur obéissant dans la foi en Dieu et en Sa sainte parole, et une confiance telle que celle d'Abraham, lorsqu'il devait offrir Isaac en sacrifice et qu'il pouvait dire à ses serviteurs : « Restez ici, mon fils et moi allons adorer, puis nous reviendrons » ; et il savait parfaitement qu'il devait l'offrir en sacrifice d'holocauste sur l'autel. Il croyait que Dieu lui avait fait la promesse de bénir par Isaac toutes les nations, bénir les générations de la terre. Il croyait donc que s'il l'offrait en sacrifice, Dieu le ressusciterait d’entre les morts ici et là (c'est-à-dire ici et là-bas), et qu'ils reviendront tous deux ensemble.

Nous sommes les fils d'Abraham, n'est-ce pas ? Fils d'Abraham. Frère Branham a utilisé cette expression dans un sermon : « Abraham croyait Dieu ». Il prit là les vingt-cinq ans, et dit : « Nous prétendons être la semence d'Abraham, et nous ne pouvons pas croire Dieu pendant vingt-cinq minutes ! ». Nous avons chanté : « Oh ! Que tu pourrais croire ! », quoi ? Ne pas croire en moi ou en toi, mais en la parole de la promesse divine ! Croire que Dieu a déjà fourni le pays, les gens, le matériel et tout ce qui va avec. Jehova-Jireh : Le Seigneur pourvoit. 

Vous savez, quand Abraham a entendu la voix d'en haut, sa main était levée, le couteau dans sa main pour descendre, et la main reste en haut parce que la voix vient d'en haut : « Abraham, Abraham ! », et sa main est levée, levée comme ça : « Ne fais pas de mal à ton fils, j'ai vu ton obéissance ». Il regarda autour de lui et voici que le bélier, le mouton mâle était pris dans les fourrés avec ses cornes. Et là aussi, Frère Branham dit : « S'il n'avait pas été là-bas, Dieu aurait fait en sorte qu'il soit là-bas ». Un symbole de Jésus-Christ, notre Seigneur, un symbole de l'Agneau de Dieu qui a été offert à notre place à Golgotha. Nous avions tous dû subir la mort de cette manière, mais nous avons soudain réalisé qu'Il l'avait fait à notre place. Il a pris notre place, Il a fait pour nous.

Combien de temps allons-nous tourner en rond et remettre sans cesse sur le tapis la question de notre pardon ? Aussi vrai que Dieu est vivant, et que Jésus-Christ est mort, tes péchés et les miens ont été expiés et pardonnés lorsque le sang a coulé à Golgotha ! Dieu était en Christ, et a réconcilié le monde avec Lui-même. Et c'est ce que nous croyons. Celui qui ne croit pas cela fait de Dieu un menteur, et traînera toujours les choses avec lui sans jamais connaître la joie de la justification divine et la paix de Dieu qui est supérieure à toute la raison des hommes.

C'est une chose de chanter le cantique numéro trois cent de nos livres de cantique : « Si la paix avec Dieu pénètre mon âme », et c'en est une autre de porter réellement cette paix divine, et d'apporter la paix là où l'on va et là où l'on se tient. C'est une toute autre chose ! L'un peut être un chant, l'autre une réalité. Mais si les paroles et les actes, le chant et la prédication, la vie et la parole, si tout cela concorde, alors nous avons la paix avec Dieu, et cela par notre Seigneur Jésus-Christ ; alors nous avons le pardon, alors nous avons la grâce, alors nous avons le salut. Je peux vous demander : Qu'est-ce que nous n'avons pas alors ? Dieu ne devrait-Il pas nous donner tout cela avec Lui ? (Romains 8.32). Il l'a fait. Acceptons-le par la foi.

Nous ne devons nous soucier de rien d'autre, que de croire Dieu, de nous considérer comme Son peuple saint des rois et des sacrificateurs. Et nous sommes humiliés lorsque nous prenons conscience de la grâce qui nous a été accordée ; et alors la reconnaissance naît dans nos cœurs, la reconnaissance pour ce que Dieu a dit dans Sa parole. Lisons Exode 28 verset 3 :

« Consulte donc tous les hommes de talent, que j'ai remplis d'un esprit de talent ».

Dieu a donné l'ordre, Il a prononcé les paroles, Il a dit ce qui devait être fait, et Il avait les gens, Il avait le peuple. Et certes, Moïse ne pouvait pas tout faire. Il y avait beaucoup de gens qui aidaient. Verset 3 :

« Parle donc avec toutes les personnes qui connaissent l'art et que j'ai inspiré d'un esprit sensible à l'art ».

Dieu avait déjà équipé ceux qui devaient participer à l'œuvre. Chacun était un artiste dans le métier, dans la tâche que Dieu lui avait confiée. Ici, une comparaison stupide n'est pas appropriée, mais Dieu ne mettra pas des bons à rien ou des gens qui ne savent rien à l'un de Ses travaux. Il équipera et donnera la sagesse et l'intelligence pour que ce qu'Il a ordonné puisse être exécuté, et cela, à la lettre.

Qu'est-ce que tout cela a à nous dire aujourd’hui ? Beaucoup, beaucoup pour moi, et j'espère pour nous tous. Si quelqu'un pense qu'il peut venir et qu'il a déjà toutes les capacités, il n'est pas à sa place, je vous dis, devant Dieu, auprès de Dieu. Mais si le choix de Dieu se porte sur nous et qu'Il nous appelle réellement, alors tous ceux qui ne savent rien et tous ceux qui ne peuvent rien viendront, et Dieu les éclairera, Dieu les équipera, Dieu donnera ce qui est nécessaire à la tâche qu'Il a fixée pour qu'ils puissent l'accomplir. Verset 3 :

« Parle donc avec toutes les personnes qui connaissent l'art et que j'ai inspiré d'esprit sensible à l'art ».

Dieu a mis les capacités, même les capacités dans les gens, et tout d'un coup, il y avait un homme qui n'avait aucune idée, et tout d'un coup il a pris les choses en main, et peut-être l'autre outil dans l'autre main, et c'est là que les miracles se succédaient, c'est là que cela se manifeste grâce à des gens que Dieu a désignés –j'ai failli dire exécutés– et qui n'avaient auparavant aucune idée de ce qu'était un son de cloche, soudain tout était différent parce que Dieu avait parlé. 

Dieu avait un programme, un projet, et Il a dit Moïse : « Tu es ici, le peuple est ici : Mets-toi maintenant au travail. Les gens auxquels tu t'adresses, Je les ai déjà dotés de compétences ». Tout se déroula dans l'harmonie et la beauté. Notre Dieu est un Dieu merveilleux ! Il peut transformer d'un seul coup des gens qui n'ont aucune idée en hommes de Dieu, des hommes de Dieu. 

En ce moment, je ne peux pas penser à un meilleur homme que Saul de Tarse. Il avait beaucoup d'idées, de connaissances, mais pas sur ce que Dieu voulait. Il avait une grande connaissance de l'érudition et encore de l'érudition et encore de l'érudition, mais soudain celui qui a un plan lui est apparu, et Il l'a pris pour collaborateur, Il l'a établi, et Paul l'a exprimé plus tard ainsi : « Quand il a plu à celui qui m'a mis à part dès le ventre de ma mère de manifester en moi Son Fils ». Ce n'était plus alors la capacité de Paul, mais la puissance de Dieu. Ce n'était pas Moïse, ce n'était pas Noé, ce n'était pas tous ces hommes qui auraient pu dire plus tard : « Regardez ! Nous avons quand même réussi à faire une belle chose ». Ils étaient eux-mêmes surpris, ils étaient eux-mêmes stupéfaits, étonnés de ce qu'ils avaient soudain reçu par inspiration et par leur habilité manuelle.

Il en va de même pour nous tous. Nous ne venons pas ici avec toutes nos capacités. Nous venons ici parce que Dieu nous a appelés. Alléluia ! Nous venons ici pour être équipés. Je te le dis : Dieu accordera la réussite au plus pauvre des bricoleurs, car Il opère les deux : Le vouloir et le faire. Avec Dieu toutes choses sont possibles. Le Seigneur Lui-même a mis la compréhension de tout ce qui doit être fait dans les hommes qui doivent le faire. L'un d'eux devait faire le tapis, soudain il avait toutes les idées nécessaires, il avait toutes les dimensions, toutes les couleurs, tous les différents matériaux, il avait tout, tout était là. Aucun surveillant n'était nécessaire. L'autre devait fabriquer le chandelier d'or. Le chandelier d'or ? À quoi ressemble-t-il ? Et puis le Seigneur dit encore : « Il doit être d'une seule pièce ». Il a alors un morceau d'or, un seul morceau d'or, un très gros morceau d'or, et il le regarde : Où est le chandelier ? Où sont les sept bras ? Où est le chandelier ? Et tout d'un coup, tout d'un coup, il était là, parce que Dieu l'avait dit.

Pour moi, c'est un renforcement de la foi. Les personnes que Dieu a appelées n'apportent pas leur propre capacité, ni leur propre programme non plus, mais ils se laissent insérer dans le programme de Dieu, et doter des capacités nécessaires pour que chacun puisse accomplir de manière professionnelle et approprier la tâche que Dieu lui a confiée.

Peut-être juste un extrait rapide d'Exode 28 verset 15. Exode 28 à partir du verset 15, c’est la description du bouclier pectoral. Le verset 17 dit alors :

« Garnis-le d'une garniture de pierres précieuses en quatre rangées de pierres ».

Puis alors elles sont toutes énumérées, elles sont toutes énumérées, tout était là, il y avait des pierres précieuses, il y avait de l'or, on pouvait faire des tapis, il y avait des peaux de lamantins. Oui, je vous le demande : Qu'est-ce qui n'était pas là ? Tout ce qui était dans le concept de Dieu, dans Son plan, tout était là, tout le matériel, les gens étaient là parce que Dieu était là, parce que Sa parole était là, parce que Son peuple était là, parce qu'Il avait fait les promesses. 

Que Dieu ouvre mes yeux et les tiens et qu'Il nous arrache à l'incrédulité dans laquelle nous nous ne faisons qu’errer et nous donner des mots de tête pour savoir comment les choses vont se passer. 

Dans la foi, nous voyons une épouse appelée à sortir, une épouse purifiée, une épouse sanctifiée, une épouse parée. C'est ce que Dieu a dit. Je vous le demande aujourd'hui : Fournira-t-Il tout le matériel nécessaire ? Est-ce qu'Il donnera fondamentalement tout ce dont nous avons besoin ? Je vous le dis, Il l'a déjà donné ! Il y a veillé.

Nous trouvons ici de nombreuses instructions. Nous l'avons entendu dans la parole d'introduction. Exode 19 verset 5 :

« Et maintenant, si vous obéissez de bon cœur à mes instructions et si vous gardez mon alliance, vous serez ma propriété particulière parmi tous les peuples ».

Nous trouvons ici un grand nombre d'exemples dans lesquels les instructions de Dieu ont été observées, et la bénédiction de Dieu reposait sur eux. Les douze pierres précieuses étaient là. Je crois qu'il y avait douze rangées, quatre rangées, quatre rangées, quatre rangées, trois pierres chacune. Dieu s'occupait fondamentalement de tout. Peut-être que les trois mêmes étaient dans une rangée, c'est possible, ce n'est pas important ; en tout cas, il y avait en principe tout ce que Dieu avait prévu dans Son plan, et ce qu'Il a ordonné de faire a été exécuté tel qu'Il l'a ordonné.

Dieu aurait-Il changé quelque chose ? Que cela soit lointain de Sa manière de faire ! « Jésus-Christ reste le même hier, aujourd'hui et éternellement ». Il achèvera en nous tous l'œuvre qu'Il a commencée. Il n'y a pas d'autre chemin que ce chemin-là de Dieu. Reconnaissons aujourd'hui, prenons à cœur, et croyons que Dieu a un peuple des rois et des sacrificateurs, des premiers-nés, une troupe de premiers-nés destinés à participer à l'enlèvement. Elle sera unie sous la proclamation de la parole de Dieu, elle sera témoin de la manière dont Dieu fera les différentes choses qui restent à faire ; non pas par un enseignement, non pas par une connaissance, mais lorsque l'heure de Dieu sonnera, les choses dont Il a parlé seront néanmoins une réalité.

Est-ce que l'un de ces hommes a erré en parlant de ces choses ou s'est-il mis à l'œuvre ? S'agissait-il de théorie ? Non, pas du tout. Était-ce une interprétation ? Non. Qu'est-ce que c'était ? Réalité divine parmi le peuple de Dieu à l'heure que Dieu avait fixée, l'heure prévue. Il en sera de même maintenant. Absolument rien n'a changé chez Dieu. Encore un seul verset. Chapitre 28, Exode 28, verset 36 :

« Tu feras ensuite une lame frontale en or fin, et tu y graveras, au moyen d'un ouvrage de graveur les mots : Consacré au Seigneur ».

Trois mots : « Consacré au Seigneur ». Il me suffirait, il me suffirait, consacré au Seigneur. Là où Dieu parle, là où Il trouve des hommes qui Lui donnent foi et des hommes qu'Il peut équiper, revêtir pour assumer les tâches, et là où il y a un peuple de rois et de sacrificateurs, il y aura aussi tout à coup un bandeau, comme il est écrit ici, qui devra être mis sur le front, et sur lequel sera alors gravé les paroles : « Consacré au Seigneur ».

Oh ! Comment remercierons-nous notre Dieu ! Qui peut le saisir, le comprendre ? Il a un plan pour l'Église, Il a un plan pour Israël ; et pour être encore plus précis, Il a un plan pour Son épouse bien-aimée. Ça, c'est le programme de Dieu. Si nous sommes une foule de rois et de sacrificateurs, alors nous sommes destinés à souffrir avec Lui et à régner avec Lui, alors nous sommes classés parmi ceux qui font partie de l'Église-épouse, et alors il est écrit sur nous : « Consacrés au Seigneur ». Nous sommes les consacrés de Dieu.

Vous pouvez penser dans l'incrédulité, mais j'ai à parler dans la foi. Nous devons choisir, nous devons décider si nous voulons penser dans l'incrédulité ou si nous voulons parler dans la foi. Celui qui ne croit pas Dieu, et là je me répète en fait, fait de Lui un menteur ! Mais celui qui croit ne sera pas confondu. Citez-moi un cas où des gens ont été confondus en se laissant conduire dans la volonté de Dieu, en se laissant conduire dans la volonté de Dieu. Recevez-le aujourd'hui, acceptez-le aujourd'hui : Consacrés au Seigneur, mis à part, appelés à sortir, destinés à contempler la gloire de Dieu. Le même Dieu de Moïse est notre Dieu aujourd'hui.

Et lorsque frère Branham a été appelé, l'Ange du Seigneur lui a dit : « Comme deux signes ont été donnés à Moïse, ainsi deux signes te seront donnés ». La même colonne de feu qui était avec Moïse et qui est apparue plus tard à Paul, a été avec frère Branham. Heureux l'homme qui n'ajoute rien aux paroles de la révélation divine et qui n'en retranche rien ! 

Et il y en a qui le disent tout haut : « Oui, vous êtes quand même là-bas, où le Seigneur s'est arrêté en 1965 ». Eh bien ! Je voudrais le dire comme suite : En ce qui concerne la prédication, nous sommes et nous resterons là. Et pour cela, je voudrais que vous disiez tous amen ! En ce qui concerne la prédication, nous sommes et restons là, nous nous arrêtons là où Dieu S'est arrêté. S'Il a commencé avec nous, nous ne pouvons pas faire autrement. Si Dieu n'a jamais commencé avec nous, il n'y a pas non plus de cessation. Là où Dieu s'est tu, nous nous taisons ; là où Il a parlé, nous parlons ; là où Il a commencé, nous commençons ; là où Il a cessé, nous cessons.

Et quelqu'un peut bien faire la danse ici ou crier là, cela ne nous dérange pas. Pour le moment, la seule chose qui m'attriste et qui nous attriste, c'est lorsque nous constatons avec une évaluation réelle que nous ne sommes pas encore là où Dieu veut que nous soyons. Mais ce n'est certainement pas en agissant et en interprétant nous-mêmes les choses que nous résoudrons le problème, au contraire, nous créerons d'autres problèmes différents qui constitueront un obstacle pour nous, et nous pouvons nous en passer. Avec l'aide de Dieu, nous continuerons à avancer jusqu'à ce que nos passions de la foi soient à la vue.

Puisse cette méditation sur la parole qui, dans l'ensemble, à l'exception du passage de Matthieu 6 verset 11, était tirée de l'Ancien Testament, avoir quelque chose à nous dire aujourd'hui en tant qu'église du Nouveau Testament. Toutes les paroles ont été écrites pour notre instruction, afin que nous comprenions mieux et si possible correctement les voies de Dieu. Dieu donne des instructions, et là où elles sont exécutées, Il pourvoit au pays et aux gens, aux matériels et aux compétences, et tout vient de Lui ; et c'est donc à Lui seul que nous devons présenter nos remerciements.

Je souhaiterais seulement que l'Esprit de Dieu puisse vraiment transfigurer pour chacun ce que nous avons observé aujourd'hui à partir de cette parole. Dieu prend soin et ne tarde pas. Il a déjà préparé tout ce qu'Il a ordonné ou exigé dans Sa parole. Tout est déjà prêt. Pouvons-nous tous le croire ? Amen ! Amen.

Levons-nous pour remercier le Seigneur.

Je Te remercie pour Ta sainte et précieuse parole, pour tous les exemples dans lesquels nous avons vu Ta fidélité et Ta sollicitude. Tu avais des gens sur la terre auxquels Tu pouvais T'adresser, que Tu pouvais intégrer dans Ton plan, auxquels Tu pouvais donner des instructions. Seigneur, c'était alors un peuple de rois et de sacrificateurs consacré au Seigneur. C'est ce qui était écrit sur leur front.

Seigneur, Tu as une troupe scellée, une troupe élue qui Te croit, qui a reçu Ta parole, qui devient une partie de ce que Tu as prévu. Et nous aussi, nous serons encore étonnés de la grâce que Tu révéleras parmi ceux qui Te sont consacrés, un peuple de rois et de sacrificateurs reposant en Dieu, étant entré dans le repos en Dieu, croyant pleinement à la parole de la promesse, demeurant dans la parole jusqu'à la fin.

Dieu fidèle, donne-nous le saint respect, la sainte crainte devant Toi et de Ta parole, de Tes décisions, de Tes directives et Tes décisions, pour tout ce que Tu fais. Met fin à toute agitation humaine au sein de Ton peuple, et que Ton temps soit venu où Tu distribueras Toi-même, Tu équiperas, habiliteras, donneras la grâce, comme au début par la révélation de l'Esprit à ceux qui ont reçu la révélation de Ta parole et de Ton nom, Seigneur.

Tu nous as subjugués et mis à nouveau en évidence que Tu pourvois à tout au milieu du désert, pour le pain et pour l'eau, pour les vêtements, pour tout, même pour les peaux du Lamentin. Seigneur, mon Dieu ! Tout est possible. Qui peut le comprendre ? Tu es notre Dieu et Tu resteras le même pour l'éternité ! 

Qu'en cette heure, nous T'ayons été véritablement consacrés, et que Ta parole devienne en nous une réalité divine. Seigneur, comme il est écrit : « Consacré au Seigneur », fais qu'il en soit ainsi pour moi et pour nous tous, pour la glorification et la gloire de Ton saint nom. À la fin, tout aura été exécuté comme Tu l'as dit dans Ta parole. Rends-nous obéissant, rends-nous consentant, enlève tout ce qui nous est propre, et Toi, glorifie Ton nom et confirme Ta parole.

Je Te remercie pour la leçon que nous avons pu tirer de Ta parole ce matin. Gloire à Toi, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ! Le Dieu d'Abraham, le Dieu de Moïse, le Dieu de Noé ! Tu es notre Dieu, car il n'y a que Toi et personne d'autre ! Alléluia ! Toute la gloire à Ton nom glorieux ! Amen !