Ewald Frank
Krefeld, le 03 mars 1985 à 15 heures 00
(Retransmis le 04 décembre 2024)
Dans le calme, en moi j'ai espéré que le frère parle plus longtemps pour qu'il ne me reste plus de temps à parler.
Je suis si touché de tout ce que nous avons reçu de Dieu ! En général, c'est si puissant ! Et ce qui est merveilleux, c'est que c'est vrai ; et ce qui est encore plus beau, c'est que bientôt tout cela sera accompli. Et nous sommes une partie de ce que Dieu fait maintenant. Je ne sais pas qui aurait envie de parler s'il pensait à cela. Cela m'a si touché que je préfèrerai dire : Levons-nous pour prier. Que Dieu descende parmi nous de cette manière, et qu’Il prenne soin de nous, et qu'Il puisse vaincre notre entêtement, la dureté de nos cœurs, et avec nous qui sommes aussi tordus qu'une corde, Il peut nous remettre dans le droit chemin.
Pensez à tout l'effort ! Nous aurions déjà abandonné. Nous aurions dit : « Si vous ne voulez pas marcher dans mes voies, donc faites ce que vous voulez ! ». Mais Il a tant fait pour nous, pour ensuite nous abandonner ? Non, Il ne le peut pas. Il veut atteindre avec nous le but, et Il atteindra Son objectif avec nous.
Et si nous nous représentons devant les yeux ce que nous venons de lire et d’entendre, que nous serons semblables au Seigneur, semblables à Lui, mais qui veut encore dire quelque chose là-dessus, nous qui sommes comme un tas de misère ? Et si on voulait aller sortir quelqu'un de sa tombe après sa mort, qu'est-ce qu'on trouverait là ? Nous nous sentirions mal si nous nous revoyions ainsi, nous nous enfuirons, nous ne voudrions même pas nous voir ! Mais il est semé faible, il ressuscite fort, semé incorruptible, mais ressuscité encore incorruptible. C'est ainsi que c'est écrit, et c'est ainsi que ce sera : « Nous serons tels qu'Il est, semblables à Lui ».
Bien-aimés, ce que nous serons n'a pas encore été manifesté, mais quand cela sera manifesté, nous serons semblables à Lui. Que puisse saisir celui qui veut le saisir ! Et qui veut le comprendre ? Nous pour qui aucun homme donnerait quelque chose, nous serons semblables à Lui. Et pourquoi est-ce que cela sera ainsi ? Parce que Lui, en tant que le Premier-né, en tant que le Grain de blé, Il est tombé en terre, Il a souffert la mort ; et parce qu'Il a payé le prix pour ton rachat et pour mon rachat, Il est devenu comme nous sommes pour que nous puissions devenir comme Il est.
Ça, c'est l'évangile ! Ça, c'est le noyau ! Pas une sagesse que nous apprendrons nous-mêmes, pas une connaissance que nous pourrions distribuer à droite et à gauche, mais la réalité que Lui qui était dans Son corps spirituel, Il est venu dans un corps de chair, Il est devenu mortel, Il a souffert ici sur la terre, et dans Son corps, Il a appris l'obéissance. Et les saintes Écritures disent « qu'Il était obéissant, obéissant jusqu'à la mort de la croix ». Il est devenu semblable à nous, né comme un être humain. Mais je m'excuse si aujourd'hui je le dis ainsi : Il a été circoncis au huitième jour, Il n'était plus céleste ! Il était un homme, Il était homme. Il est venu dans cette chair, dans ce corps ; et aussi pour que ce qui était lié au péché originel soit, par la circoncision, un rappel, pour ensuite porter sur Lui toute la conséquence de la chute, toute la malédiction, faire tout ce qui était nécessaire et nous sauver, nous ramener.
Ça, c'est le rachat ! Ça, c'est le programme de Dieu avec toi et avec moi pour effacer, pour racheter. Pas ce que nous amenons de nous-mêmes, pas ce que nous aurions à prouver ! nous venons en tant que des hommes misérables, mais nous ne repartons pas ainsi, nous ne restons pas tels que nous sommes. Nous venons au Seigneur, et nous avons la grâce de repartir comme des hommes changés.
En cet endroit, plusieurs fois nous avons eu à le dire : Le changement de notre corps pourra avoir lieu seulement si le changement de notre âme a eu lieu. Seulement si notre cœur a été régénéré, renouvelé, notre corps aussi pourra être renouvelé. Le spirituel doit premièrement venir. C'est le spirituel qui vient d'abord. Si nous attendons le changement de notre corps sans que notre cœur ait été changé, sans que notre âme ait été changée, nous attendons en vain le changement de notre corps ! Mais, si l'intérieur a été changé, alors c'est seulement une question de temps. Et nous savons que ce temps est très rapproché et, par la grâce de Dieu, nous expérimenterons toutes ces choses, nous vivrons toutes ces choses.
Quand nous pensons que des prophètes ont désiré voir ces choses, vivre ces choses ! C'est aussi sûr que notre bien-aimé frère Branham s'est attendu à rester jusqu'à la fin, et vivre la perfection, et vivre trop ; mais le Seigneur l'a repris. Qui sera encore repris avant le temps ? Nous ne le savons pas ! Mais il y a une chose que nous savons, qui est certaine : Mais nous serons tous rassemblés et nous nous reverrons ! Il y a la résurrection des morts, il y a le changement des vivants, il y a une résurrection, il y a un enlèvement, il y a une rencontre avec le Seigneur, et nous serons en tout temps pour toujours, pour toujours avec le Seigneur.
Quand nous pensons que des hommes marchaient sur cette terre qui avaient reçu les promesses de Dieu, parfois ils devaient attendre ! Pensez à Abraham. Frère Branham l'a toujours de nouveau pris comme exemple. Il avait reçu la promesse pour Isaac, et il devait attendre, attendre et attendre ; et la Bible dit « Qu'il ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, et ayant la pleine conviction que ce qu'Il promet, Il peut aussi l'accomplir ». Extérieurement, son corps s’usait toujours plus, mais intérieurement, il fut toujours fortifié dans la foi, par la foi, donnant gloire à Dieu, sachant que ce que Dieu a promis s'accomplira.
C'est la même chose aussi avec nous. Si nous sommes la descendance d'Abraham, alors nous avons une relation à la promesse et à la foi, et ainsi par cela à Dieu qui a fait la promesse ! C'est pour cette raison que la foi a été suscitée en nous. Nous ne croyons pas à n'importe quoi. Nous ne croyons pas comme le principe de l'arrosoir où plusieurs choses sont étalées devant nous. Nous croyons ce que Dieu a promis. Nous nous concentrons clairement sur les choses qui étaient déterminées pour nos jours et qui ont à s'accomplir maintenant ; et ce n'est pas à cause de nous mais c'est parce que Dieu l'a dit ainsi.
Pensez à combien de temps Joël 2 verset 28 était écrit dans la Bible, subitement le temps est venu dans lequel ce qui était écrit dans Joël 2 verset 28 s'est accompli ; et quand la foule s'est accourue, et que Pierre tenait sa première prédication le jour de la pentecôte, il a dit : « Bien-aimés frères, ces gens ici ne sont pas ivres, comme vous le pensez. Ici s'est accompli ce que le prophète Joël a dit, que dans les derniers jours, dit l'Éternel, dit Dieu, Je répandrai de Mon Esprit sur toute chair ». Depuis combien de temps ce qui était écrit dans le Psaume 22 était écrit : « Ils ont percé Mes mains et mes pieds, ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique » ? Subitement cela s'est accompli : Le Fils de David était accroché sur la croix, était cloué sur la croix, et Ses mains et Ses pieds étaient percés, et ils ont tiré au sort Sa tunique !
Ça n'a pas d'importance combien de temps nous avons à attendre, nous n'attendons pas en vain ! L'heure de Dieu doit arriver dans laquelle les dernières promesses vont s'accomplir. Et nous le voyons par exemple de manière plus claire dans le peuple d'Israël. Rien n'est plus clair sous nos yeux que nous pouvons voir, constater que le peuple d'Israël. Dieu avait promis qu'à la fin des jours, Il les rassemblerait. Même par Moïse déjà, il disait qu'ils seront éparpillés sur toute la terre, et qu'à la fin des jours Il voulait les rassembler. Lisez Jérémie 30, je ne sais pas combien d'Écritures existent là-dessus. Si le Seigneur se tenait ici aujourd'hui, Il dirait : Les Écritures sont accomplies devant vos yeux !
Chaque parole de Dieu est une semence, et elle doit sortir, parce qu'elle a la vie de Dieu en elle. C'est pour ça que notre espérance est justifiée. Bien sûr que la dernière chose viendra à la fin, ça, nous le savons tous. Nous avons seulement besoin dans cette comparaison, ou bien alors dans les paraboles de données dans Matthieu 13, alors que le Seigneur n'est-ce pas, parlait des différentes choses et dit ensuite : « Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende ». Et ici aussi, il est parlé de la fin des temps, de la moisson, du champ, du semeur, etc., de la fin de la moisson, du champ, du semeur. La fin est donc la fin du monde, et ce sera aussi le temps de la moisson. Peut-être que je devrais aussi lire de Matthieu 13. Ici il est écrit dans Matthieu 13 à partir du verset 40… oui peut-être le verset 39 avec le verset 40 :
« L'ennemi qui a semé, c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges. Or, comme on arrache l'ivraie et qu'on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde. Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l'iniquité, et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende »
La moisson peut être récoltée quand l'heure pour cela sera venue. Alors que le frère Long utilisait cette expression : « Le grain doit être jaune comme de l'or », ça c'est une expression que j'ai faite il y a plusieurs années, alors qu'à l'époque j'avais vu le champ de blé avec la nouvelle moissonneuse-batteuse sur laquelle personne s'était déjà assis, et que j'entendais la voix : « Elle est déterminée pour toi » ; et je voyais comment est-ce que le ciel se couvrait, et que tout devenait obscur, et j'étais au bord, et je disais : « C'est trop tard ! Le jugement frappe déjà », et subitement la voix a retentie : « Monte sous la moissonnée-batteuse, et récolte la moisson ! ». Le champ de blé n'avait pas un seul chardon, une seule mauvaise herbe, absolument pas ! Ce n'était que du blé à cent pour cent ! Et, ça pourrait nous paraître étrange, nous qui venons des champs, qui avons assez vu de champs de seigle, d'orge, d'avoine, ça pourrait paraître étrange pour nous, mais ici, nous avons lu que d'abord, tous les scandales, tout ce qui n'a pas sa place dans le royaume de Dieu sera ôté, et ensuite la moisson sera récoltée, sera enlevée, ôtée.
Je vous dis, les dernières heures seront glorieuses, bénies, divines ! Tout le désordre, toutes ces différentes divisions et directions, le fait d'être encore les uns contre les autres, tout cela aura une fin, tout cela aura une fin, ça cessera, ça disparaîtra ; ce sera Dieu en nous, Lui-même, Dieu en nous, Christ en nous l’espérance de la gloire ! Qu'Il est déjà maintenant l’espérance de la gloire, mais alors, ce sera manifesté qu'Il est l’espérance de la gloire.
Et nous pouvons déjà nous imaginer comment est-ce que c'est impressionnant de voir un tel champ : Les tiges étaient toutes longues, elles étaient toutes pleines, pleines, elles étaient toutes courbées, toutes courbées. Il n'y a pas une seule tige qui était droite comme ça ! Elles étaient toutes courbées, pleines de grains ; et l'impression que j'avais c'était que les grains étaient plus que mûres ! Pas seulement mûres, mais plus que mûres, et presque comme bronzées, un peu, un peu, un peu comme ça, légèrement brûlées par le feu (C'est une expression allemande. N.d.t). Ça semblait ainsi, complètement pures, entièrement pures, pas pour dire totalement pures et pas pour dire plus que mûres. Et ce fut le moment précis où la moisson devait être récoltée.
Mes bien-aimés, Dieu ne va pas arriver trop tard. Et moi aussi, parfois, j'ai un état de nervosité, et je me culpabilise, et je me dis : « Mais, Seigneur, est-ce que je suis un obstacle pour Toi ? Un obstacle pour Toi ? Les choses n'avancent pas comme on aurait bien voulu les voir parmi Ton peuple ». Peut-être que ça vous arrive aussi comme ça, de vous culpabiliser pas les autres.
Le chemin divin est toujours celui-là : Que chacun s'examine lui-même. C'est toujours comme ça ; et cet examen que nous faisons toujours de nouveau, que ce soit tous les jours, quotidiennement ou bien, en tout cas, je ne sais pas, mais en tout cas, assez souvent. Un homme qui veut subsister devant Dieu, il doit toujours de nouveau s'examiner lui-même, et dire : « Seigneur, est-ce que je suis un obstacle pour Toi, est-ce que je suis un obstacle pour Toi et pour les autres ? Et, en quoi ? Pour quelle raison ? » ; et alors profondément dans notre cœur, la réponse divine vient : « Tout aura lieu quand l'heure pour cela sera venue ». S'il y a maintenant des obstacles, alors elles ont leur sens : C'est pour que personne ne fasse quelque chose, si ce n'est que le temps de Dieu soit venu pour cela, pour cette chose.
Et je voudrais ici… je me suis rappelé ici dans quelle grande attente frère Branham lui-même était justement dans l'année soixante-cinq, comment est-ce qu'il a attendu ardemment que quelque chose de particulier apparaisse, arrive, commencerait. Il a même dit mot pour mot son histoire avec son estomac à cause de la nervosité, et que cela est fini, c'est passé, et que maintenant ça recommence encore. Il était dans une grande attente que quelque chose de très particulier se passerait. Il disait dans une prédication : « Je chevaucherai encore une fois sur ce sentier ». Il était dans une grande attente ! Tous les prophètes étaient dans une grande attente.
Il y a une chose que je veux vous dire : Si les prophètes n'avaient pas vu ce qu'ils attendaient, mais cela allait arriver. Et quand l'heure de Dieu arrive, cela arrive, cela s'accomplit. Ils avaient une attente, une espérance justifiée. Si l'heure de Dieu n'était pas encore arrivée dans leur époque, ça ne voulait pas dire qu'elle n'allait pas arriver, mais elle arrivera, ça devait s'accomplir à l'heure de Dieu.
Qu'est-ce que le Seigneur disait autrefois dans Jean 7 versets 6 à 8 ? « Mon temps n'est pas encore venu, mais votre temps est toujours prêt ». C'est pour ça que maintenant, c'est aussi le cas, notre temps est toujours prêt ! Nous pouvons toujours faire quelque chose, quelque chose de nouveau. Ce ne sont pas des programmes qui nous manqueront, ou alors les paroles. Tout cela ne nous intéresse plus. Dieu doit recevoir ce qui Lui revient de plein droit. Nous ne voulons pas Lui demander de bénir nos programmes et de donner Son amen, Son accord, mais qu'Il puisse nous insérer vraiment dans Son programme, que nous puissions devenir une partie de ce programme, de ce plan divin du salut dans notre temps. C'est ce qui compte.
Et si le prophète dans l'Ancien Testament dit, dans le prophète Habacuc au chapitre 2 au troisième verset : « Car c'est une prophétie dont le temps est déjà fixé, elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas ; si elle tarde, car elle s'accomplira, elle s’accomplira certainement ». Donc, c'est ici que c'est écrit : Si la promesse se fait attendre et qu'elle n'est pas encore accomplie en une seule nuit, donc attend la, soyez certains, elle s'accomplira certainement. Cela sera manifesté que chaque parole de l'Écriture s'est accomplie.
Combien de temps est-ce que cela durera ? Ce n'est pas nous qui le déterminons ! Dieu l'a déjà fixé, c'est écrit ! Le temps est déjà fixé. Nous, nous voulons seulement que Dieu nous amène à cet état où nous pouvons dire de tout notre cœur : « Que Ta volonté soit faite dans ma vie », et que nous puissions aussi le penser réellement : « Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel », mais pas seulement ça, mais aussi en nous et par nous. Par la grâce de Dieu, ce que Dieu a promis et ce qui reste encore à s'accomplir, nous le verrons s'accomplir
J'ai encore une parole. Je ne sais pas si je pourrais la trouver tout de suite, mais nous l'avons lu plusieurs fois ici, une parole où il est écrit qu'aucune des promesses que Dieu a données n’est restée inaccomplie, toutes se sont accomplies. Je crois que c'est écrit dans Josué, quelque part à la fin. Ça, c'est Dieu qui l'a dit autrefois ; et c'est de la même manière que cela sera encore aujourd'hui. Ici dans Josué chapitre 21 verset 45 :
« De toutes les paroles de bénédiction que l'Éternel avait données à la maison d'Israël, aucune ne resta sans s'accomplir. Toutes s'accomplirent ».
Ça, ce n'est pas moi qui l'ai dit. Ça a été écrit ici, ça a été la constatation qui pouvait être faite après que Dieu avait accompli ce qu'Il avait promis à Israël. La même constatation, nous pourrons la faire quand Dieu achèvera Son œuvre avec l'Église, et nous aura amené à la perfection, au but : Aucune de toutes les promesses que Dieu a donnée à l'Église, aucune ne peut rester sans s’accomplir, ce n'est pas possible, car Dieu veille justement sur Sa parole pour l'accomplir. Il veille à cela. Nous nous attendons aux choses qui vont encore venir, qui vont encore s'accomplir, mais nous voulons faire attention à ce que nous soyons insérés dans ces choses.
Peut-être que je devrais le dire avec les paroles suivantes : Une épouse sera là, une résurrection aura lieu, le changement de nos corps aura lieu, l'enlèvement aura lieu, tout cela aura lieu. Maintenant, la question est simplement la suivante : Est-ce que moi et toi, nous prendrons part à tout ça ? Qu'il y aura un faisceau de noces de l'Agneau, ce n'est pas la question ! Qu'il y aura un enlèvement, ce n'est pas la question ! La question, c'est comme un cantique le dit : « Est-ce que ce sera toi ? Ce sera moi ? Est-ce que ce seront nous qui prendrons part à ces choses quand tout cela aura lieu ? ». Qu'elles auront lieu, ça c'est certain ! Et, pour pouvoir être certain de ça déjà maintenant, nous devons, maintenant déjà, avoir expérimenté un changement intérieur de notre cœur, de notre âme.
Les promesses de Dieu doivent très personnellement devenir maintenant une révélation vivante de Dieu pour nous. Nous devons faire nos expériences personnelles avec Dieu. Nous devons les avoir faites pour être certain. Que ce ne soit pas seulement que nous ayons entendu parler de ces choses et su ces choses qui vont arriver, ces choses que Dieu a promises, mais que nous puissions savoir : Elles sont déterminées pour moi ! J'ai personnellement part à ce que Dieu fait.
Regardez, alors que le Seigneur vint pour la première fois, c'était un grand événement. C'était écrit dans Michel 5 : « Et toi, Bethléhem Ephrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi Celui qui dominera sur Israël ». L'heure vint, Bethléem était là, Christ, le Messie naquit. Qui l'a reconnu ? Les sages étaient venus de l’orient : « Où est le nouveau-né, Roi des Juifs ? », et ils ne savaient rien, les Juifs ne savaient rien ! Cela peut arriver. Si aujourd'hui on demandait dans toute la chrétienté : « Où est la chose que Dieu a promise ? » ; tous vont remuer la tête ! Ils diront : « Nous ne savons pas ! Peut-être que cela va arriver ». Mais il y a des hommes dont Dieu a attiré l'attention sur ces choses. Il y a des gens qui ont reconnu le signe, qui ont reconnu le jour de leur visitation divine, des gens dont Dieu a attiré l'attention sur les choses qu'Il fait dans leur jour. Et nous avons la grâce d'appartenir à ce groupe.
Imaginez-vous, dans cette ville ici, nous n'avons aucune signification pour les gens. Les gens voient les numéros des voitures de cette ville-là, de cette ville-là, de cette région… Il y a un professeur qui vient extra de l'Angleterre pour nous parler ici, etc., et il remue la tête, il dit : « Mais ils ont tous des églises dans leurs villes, dans leurs pays et dans leurs régions. Pourquoi ils viennent jusqu'ici ? Qu'est-ce qui s'est passé ? Ils viennent d'Hambourg, ils viennent de cinq cent, de mille kilomètres ! Mais ils ne sont pas normaux ! Il y en a qui viennent de Munich ! Mais ils ont perdu la raison ! Ils n'ont pas d'églises dans leur ville ? Ils ont besoin de venir jusqu'ici pour écouter, pour prendre part à un culte ? ».
Mes bien-aimés, il y en a qui viennent d’Hanovre, d'ici et de partout, ils viennent de l'Est et de l'Ouest, ils viennent du Sud et du Nord, ils viennent au repas, à la salle céleste, et ils écoutent la parole de Dieu ! Ils ne viennent pas dans une ville pour visiter la ville. Je suis heureux de ce qu'il n'y a pas de choses à voir ici à Krefeld, il n'y a rien à voir ! Mais il y a quelque chose de précieux : Et c'est la parole de Dieu révélée ! Pour nous, les choses vont comme pour les Grecs autrefois. Ils sont venus et ont dit : « Nous voulons voir Jésus », après qu'Il a ressuscité Lazare.
Et nous croyons que Dieu encore une fois va Se glorifier. Je ne veux pas dire qu'Il nous doit quelque chose. Non, c'est nous qui Lui devons quelque chose ! Pas Lui, mais nous. Mais Il a promis, Il a promis, et nous l'avons entendu : « Je l'ai glorifié, et Je le glorifierai encore », en parlant de Son nom. Et je vous pose la question : Est-ce que le nom de Jésus, depuis les jours des apôtres, dans sa signification divine, dans sa majesté et sa gloire, a été placé sur le chandelier comme maintenant dans nos jours ? Est-ce que cela a déjà eu lieu comme dans nos jours ? Combien utilise le nom du Seigneur sans avoir Sa révélation spirituelle et signification ? Ceci est le jour.
Et c'est pour cette raison qu'il faut que la fin soit semblable au commencement. Le même qui, au commencement, était en tant que l'Alpha, est à la fin le même en tant que l'Oméga ! Lui, le Premier et le Dernier et est reste le même éternellement, qui a glorifié Son nom au commencement, et qui accomplissait autrefois la parole et toutes les promesses qu'Il avait données pour l'époque d'autrefois. Il est le même à la fin qui glorifiera Son nom en accomplissant encore aujourd'hui toutes Ses promesses dans Son peuple. C'est par cela que Son nom sera glorifié et que Son nom est glorifié ! Le nom de Jésus est grand pour nous, précieux, d'une grande valeur ! Il n'y a eu aucune génération depuis la première dans laquelle ce nom a reçu une telle importance, comme dans nos jours. Oui ou non ? Pour moi cela est vrai !
Sans que nous ne voulions juger les autres, je vous pose la question : Dans quelle génération est-ce que Jésus-Christ aurait été comme dans notre génération dans Sa divinité ? S'Il dévoilait tout dans nos jours, quand est-ce que les sept seaux ont été ouverts, révélés ? Dans nos jours. Quand est-ce que Dieu a révélé les mystères ? Dans notre temps, dans nos jours. Quel est ce temps dans lequel nous vivons ? « Sentinelle, quelle heure il est dans la nuit ? ».
Mes bien-aimés, si nous résumons tout cela, alors nous sommes touchés ! Alors les paroles nous manquent, les mots nous manquent pour exprimer ce que nous ressentons envers Dieu dans nos cœurs. Alors, ce grand privilège de vivre maintenant, et pas seulement ça, mais d'écouter les paroles des promesses divines, de les croire. C'est pour cette raison que nous vivons dans une grande attente, dans la grande attente que Dieu fera ce qui reste encore à faire, à accomplir.
Persévère, attends ces choses, car ce que Sa bouche a promis, cela aura lieu ! Il faudra que le ciel s'écroule avant que ce que Dieu a dit ne s'accomplisse pas. Aussi vrai que le ciel ne peut pas s'écrouler, aussi vrai la parole de Dieu ne peut pas ne pas s'accomplir. Même si le ciel et la terre brûlaient et que les collines et les montagnes disparaissaient, celui qui cherche trouvera et constatera que la parole de Dieu reste vraie.
Résumons. Dieu a un plan. Le temps de la grâce a eu un commencement, le temps de la grâce aura une fin. Deux générations sont d'une grande importance dans ce temps de la grâce : La première et la dernière. Autrefois, c’était une époque prophétique. Si docteur Larkin a bien compté, cent et neuf prophéties se sont accomplies lors de la première venue de Christ. C'était un âge prophétique. Mais je voudrais attirer votre attention sur quelque chose de bien précis : De Sa naissance jusqu'au début de Son ministère, il y a eu un laps de temps ; mais quand Il a commencé, alors les choses se sont mises en place. Et dans les derniers trois jours, la plupart des prophéties qui étaient écrites se sont accomplies.
Quand l'heure arrive, alors les choses se mettent en place, et s'accomplissent promptement, et cela est en accord avec la parole qui est écrite dans l'épitre de Romains. Mais nous ne voulons plus entrer dans ces choses, mais comme il est écrit, le Seigneur exécutera pleinement et promptement sur la terre… Parce que je l'ai, j'aimerais le lire. Romains 9 verset 28 :
« Car le Seigneur exécutera pleinement et promptement sur la terre ce qu'il a résolu, sa parole ».
Nous pouvons attendre et attendre, mais quand cela se met en place, quand l'heure arrive, alors cela arrive promptement, pleinement. Et je vous dis, quand cette heure arrive, alors nous allons tous le savoir, nous allons le remarquer, car cela n'aura pas lieu sans nous, mais cela s'accomplira avec nous. Dieu, par Sa grâce, nous a insérés, nous a pris dans Son plan.
Nous voulons aujourd'hui de notre cœur Lui dire merci, vraiment Lui dire merci. Est-ce qu'il y a un cœur ici parmi nous qui ne serait pas encore rempli de reconnaissance ? Alors que cela ait lieu aujourd'hui ! Alors Dieu veut Se révéler à toi aujourd'hui. Et si cela s'est passé, alors s’accomplira ce qui est écrit : « Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle ».
À la fin, lors de la moisson, tous les fils et toutes les filles de Dieu seront semblables à l'image de Jésus-Christ. Nous serons comme Il est, et nous Le verrons comme Il est. Maintenant, Il est avec nous, mais nous serons ensuite avec Lui. Loué et exalté soit Son merveilleux et saint nom ! Amen !
Nous savons qui est-ce que nous adorons et nous savons aussi pourquoi est-ce que nous L'adorons. Notre Seigneur disait autrefois : « Le temps arrive dans lequel les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et dans la vérité ». Il y a eu des temps l'Esprit de Dieu agissait, mais la vérité, la parole n'était pas encore là. Maintenant, la parole est là, le sang, l'Esprit sont là pour agir dans le peuple de Dieu.
Et, mes bien-aimés, nous recevons avec reconnaissance que depuis les jours de l’apôtre Paul, le Seigneur ne s'était plus révélé dans la lumière, la colonne de feu ; mais cela a eu lieu de nouveau dans nos jours. Autrefois, tout enseignement devait être apporté, c'était nécessaire. Mais maintenant, tout doit être de nouveau révélé, restauré et replacé sur le chandelier. C'était aussi nécessaire que le Seigneur, de la même manière, Se manifeste ; et Il est apparu à frère Branham dans la même colonne de feu, la même ; pas seulement pour dire bonjour. Il y avait un haut objectif lié à cela. Ainsi, Dieu voulait attirer notre attention sur quelque chose d'important ; donc, pour détourner nos regards de tout ce qui vient des hommes, et nous fixer sur ce qui vient de Lui, et prêter nos oreilles à Sa parole et à ce qu'Il veut nous dire. Qu'Il ait utilisé des lèvres humaines pour nous parler, cela n'a pas d'importance ! Nous sommes reconnaissants pour la parole de Dieu dans ces jours.
Et je vous pose la question : Dans combien de millions de maisons la Bible est-elle ? Alors je vous pose la question : Dans le cœur de combien de personnes dans les millions des maisons dans lesquelles la Bible existe, les promesses de Dieu qui sont écrites dans cette Bible, par l'Esprit de Dieu, ont-elles aussi été écrites ? C'est un petit nombre dans lequel cela est ainsi. Et c'est important que ce qui est écrit dans la Bible soit écrit dans nos cœurs, pour que nous ayons par cela une relation personnelle avec Dieu, et que nous nous attendions à ce que ce qui est écrit dans notre cœur s'accomplisse en nous ; sinon, Dieu n'est pas encore entré en relation directe et personnelle avec nous. Il est écrit : « Vous serez Mes fils et Mes filles, Je serai votre Dieu et Je serai votre Père ». Quelle grâce ! « Je vous accueillerai ! ».
Mes bien-aimés, l’élection et la prédestination ont une si grande importance que parfois nous ne pourrions mesurer ou bien estimer. Ce ne sont pas seulement des paroles. Il y a quelque chose de très grand qui est liée à l'élection, à la prédestination.
On ne doit plus nous supplier pour remercier le Seigneur. Ça devrait de nous jaillir comme une source. Vraiment, ça devrait jaillir pour remercier et apporter l'adoration d'un cœur reconnaissant au Seigneur. Et nous le faisons comme le ferait Abraham : Nous ne nous laissons pas égarer par l'incrédulité, nous ne regardons pas à notre propre état qui est parfois plus que misérable. Nous regardons au Seigneur. Notre incapacité nous est connue. Maintenant, que Sa toute-puissance nous soit aussi connue ! Lui qui a glorifié Son nom autrefois, Il Le glorifiera encore une fois dans ces jours ! Lui qui, autrefois, a révélé Sa parole, Il l'a aussi révélée maintenant ! Lui qui l'a confirmé autrefois, Il est le même qui la confirmera aujourd'hui. En Dieu, rien n'a changé. Oh ! Si nous pouvions croire, nous verrions la gloire de Dieu. Mes bien-aimés, lentement mais sûrement, nous arriverons à cet état, au but.
Ce week-end aussi nous a fortifiés dans la foi. Je ne savais pas si j'aurais pu encore parler cet après-midi, si je pouvais encore dire quelque chose, mais cela m'a touché plus que jamais auparavant depuis tôt ce matin. Comme Dieu est plein de grâce ! À quel point étions-nous loin de Lui, mais Il nous a fait grâce, Il nous a cherchés, Il nous a parlé comme un Ami parle à Son ami. Nous l'avons entendu ce matin : « Vous n'êtes plus des serviteurs, mais vous êtes Mes amis. Un serviteur ne sait pas ce que fait son maître, mais vous, vous êtes Mes amis. Je vous ai tout dit ». Oh ! Qui peut saisir cela ?
Loué soit le nom du Seigneur ! Soyez pleins de courage, faites confiance au Seigneur. Restez fermes jusqu'à la fin, car celui qui persévère jusqu'à la fin sera couronné de la couronne de la vie. Que Dieu puisse nous accorder Sa grâce à tous pour cela.
Parfois, c'est celui-là qui est bas dans les épreuves ou bien alors un autre, mais nous ressentons l'un pour l'autre, nous prions les uns pour les autres, nous portons les fardeaux l'un de l'autre et accomplissons la loi de Christ. Que Dieu puisse nous accorder cette compassion et nous unir les uns les autres dans cet amour qui est devenu visible à Golgotha. Que Dieu puisse nous lier dans cet amour devenu visible. L'amour de Dieu est devenu visible à Golgotha : « Dieu a tant aimé le monde ». C'est ça l'amour, dans le salut, dans la réconciliation, dans le pardon, par la grâce, dans la grâce, par le salut, par la guérison ; et cet amour divin est déversé par le Saint-Esprit dans les rachetés. Cela ne peut pas être plus clair ou plus vrai que ça.
Loué soit le nom de notre Seigneur ! Nous n'avons affaire qu'aux réalités de Dieu. Tout ce que Dieu dit est une réalité. Et un jour la dernière promesse sera devenue une réalité : Les morts en Christ seront ressuscités et les vivants seront changés, et nous irons ensemble à la rencontre du Seigneur dans les airs. Tout cela deviendra une réalité. Aux yeux du Dieu, tout est déjà accompli. Et nous attendons seulement que cela arrive. Nous attendons seulement que cela arrive. Cela arrivera, cela arrivera certainement.
Loué et exalté soit le nom Seigneur ! Pensez à moi d'une manière particulière pour ce voyage. Je crois que c'est un nouveau pays où je ne suis jamais allé. Je voudrais annoncer la parole du Seigneur, et dans ces réunions là-bas, exposer de quoi il s'agit dans le message de la fin du temps. Je suis dépendant de l'aide du Seigneur. Pensez à moi, pensez à tous les frères qui portent la parole dans tous les pays, pensez à ceux qui traduisent et qui prennent par l'œuvre de Dieu, qui travaillent.
Et vous aussi qui pouvez prier, que Dieu puisse aussi vous bénir. Nous voulons être ensemble, comme jamais auparavant, liés dans l'amour de Dieu, qu'aucune puissance de l'ennemi ne peut percer et diviser ; liés par Dieu, joints par Dieu. Reconnaissez que Dieu, l’Éternel, conduit Ses saints de manière merveilleuse.
Loué et exalté soit Son saint nom ! Nous voulons encore ensemble prier.
Père Céleste, nous Te remercions de tout notre cœur de ce que, dans toute la simplicité, nous pouvons venir à Toi ; et nous avons l'impression que nous étions assis à Tes pieds et écoutions les paroles merveilleuses de Ta bouche ! Jamais auparavant quelqu'un n’a parlé comme ça, comme Toi. Personne, jamais ! Personne ne peut avoir des pensées de paix comme Toi Tu les as pour nous.
Seigneur, je Te remercie de ce que les promesses ne sont pas seulement écrites dans un livre, mais elles sont écrites par l'Esprit, par Ton Esprit, dans nos cœurs ; et je Te remercie de ce que nous pouvons croire. Oh Seigneur ! Nous pourrions dire, comme Marie autrefois : « Mon âme exalte l'Éternel, le Seigneur, et mon esprit et mon âme se réjouissent en Dieu, mon Sauveur ».
Ô Seigneur Dieu ! Bénis mes frères, bénis mes sœurs ! Pense à ta Troupe rachetée par Ton sang éparpillée sur toute la terre, à l'Est, à l'Ouest, au Sud et au Nord, ô Seigneur ! Et nous Te remettons aussi la moisson, nous Te remettons la moisson qui doit être récoltée, Seigneur, que Tu puisses accorder Ta grâce qu’au moment là où cela doit avoir lieu, nous nous tenions à Ta disposition.
Ô Dieu au ciel ! Exerce Ta grâce, et fais nous miséricorde, nous qui ne mettons pas toujours en pratique les choses comme Tu le demande, mais Seigneur, nous voulons le faire ! Seigneur, Tu connais nos cœurs : Nous voulons marcher seulement selon Ton Esprit ! Nous voulons que Ton bon plaisir se repose sur nous. Sois sur nous, que Ton affection soit sur nous. Accueille-nous, ceints-nous, conduis-nous sur le chemin sur lequel nous devons marcher.
Je Te remercie, Seigneur, de ce que jusqu'à maintenant, Tu as secouru, Tu as aidé. Et nous regardons à des années en arrière dans lesquelles Tu nous faisais grâce. Nous Te remercions pour chaque âme que Tu as sauvée, et pour chaque parole que Tu as révélée ; et nous Te remercions pour tout. Bien-aimé Seigneur, que cela soit manifesté, que Ta parole en nous apparaît en une vie nouvelle, et que, de cette vie nouvelle, la nature nouvelle, la nature de Jésus-Christ devient visible en nous, par nous. Seigneur Tu feras toutes ces choses en nous par Ta parole. Tu produiras tout cela en nous par Ta parole, par Ton Esprit dans la troupe rachetée par le sang. Nous T’appartenons. Alléluia :
Tu nous as élu, Tu nous as choisi ; et ce n'est pas nous qui T'avons élu, c'est Toi qui nous tiens, et ce n'est pas nous qui Te tenons. Et c'est pour cette raison que nous atteindrons le but : Parce que c'est Toi qui nous as choisi, et c'est Toi qui nous tiens.
Bénis tous les frères et les sœurs qui ne regardent pas la fatigue du trajet, qui ne regardent pas la distance du trajet, et qui viennent pour écouter Ta parole. Ô seigneur ! Je désire voir ce jour dans lequel ils seront surpris par Ta présence. Ô Dieu je Te remercie de tout mon cœur ! Tu as encore beaucoup de surprises pour nous. Subitement cela sera révélé et manifesté. Nous Te remercions pour cela, et nous Te louons, nous louons Ton merveilleux et glorieux nom !
Amen !