Ewald Frank
Krefeld le 31 octobre 1984 (19:30)
(Retransmis le 09 octobre 2024)
LÀ OÙ IL N’Y A PAS DE RAPPORTEURS, LA QUERELLE CESSE
(PROVERBES 26 : 20 À 26)
Oui, bien-aimés frères et sœurs, je crois que nous pouvons encore et toujours répéter la grâce de notre Seigneur et la fidélité de notre Seigneur. Nous sommes si heureux et si reconnaissants de ce qu'Il nous a préservé jusqu'à cette heure, et de ce qu'Il nous a fait miséricorde et qu'Il va continuer à nous conduire et à nous guider.
Avant que nous ne priions ensemble, je voudrais lire un Psaume. Lisons le Psaume chapitre 5, verset 2 :
« Écoute mes paroles, ô Seigneur ! Sois attentif à mes gémissements ! Ah, écoute ma forte supplication, mon Roi et mon Dieu ! Car c'est vers toi que va ma prière ».
C'est quelque chose de très particulier ; et je crois que c'est aussi le désir de tous nos cœurs, que Dieu puisse écouter nos paroles et nos prières, qu'Il puisse être attentif à nos soupirs lorsque nous sommes parfois dans certaines situations, comme cet homme de Dieu ici, David. Oui, il tenait beaucoup à ce que sa prière ne soit pas seulement en l'air, mais que les paroles qu'il élève vers Dieu soient effectivement entendues.
Et je crois qu'il en va de même pour nous. Je crois que nous aimerons aussi qu'Il entende nos paroles et nos prières, et qu'Il soit attentif à nos gémissements ; car nous aussi, nous vivons dans le même monde, et nous sommes parfois dans différentes situations difficiles de la vie. Et alors, le seul désir que nous avons est que Dieu puisse nous entendre ; et pas seulement qu'Il nous entende, mais que ce soir aussi Il puisse nous entendre, qu'Il soit attentif à ce que nous Lui apportons, car nous ne voulons rien de particulier, mais nous voulons vraiment qu'Il nous aide dans tous nos besoins, et qu'Il nous assiste chaque jour, chaque heure, car il y a beaucoup d'oppression dans ce monde et beaucoup de détresse.
Mais nous pouvons exprimer ces paroles comme David ici. Et je pense que ça ne doit pas simplement être des paroles, mais que quelque chose de profond doit venir de l'intérieur du cœur pour atteindre le trône de Dieu. Et il poursuit en disant au verset 4 :
« Ô Seigneur ! Dès le matin, Tu entends ma voix. Le matin je t'offre une offrande et je regarde ».
Que ce soit le matin, ou tard le soir, ou dans la nuit, oui, notre désir est toujours qu'Il vienne à nous comme Il est toujours venu vers Son peuple. Je crois que ces hommes n'ont pas invoqué en vain. Et nous aussi, nous n'invoquerons pas en vain, mais Il exaucera toutes nos prières, toutes nos demandes, toutes nos supplications. Il dit au verset 5 :
« Tu n'es pas un Dieu qui aime l'impiété ; aucun méchant ne peut séjourner auprès de toi. Les grands hommes ne doivent pas se présenter devant toi. Tu hais tous ceux qui font le mal. Tu fais périr les menteurs ; celui qui se livre à l'effusion de sang et à la tromperie, le Seigneur l'a en horreur. Mais moi, par ta grande grâce, je peux entrer dans ta maison, je peux me prosterner avec crainte devant toi dans ton saint temple ».
Quelle grâce nous avons aussi dans nos jours, chers frères et sœurs, de pouvoir séjourner dans la maison du Seigneur ! Beaucoup aimeraient séjourner dans la maison du Seigneur, beaucoup aimeraient être en ce lieu ici, mais ils n'ont pas cette possibilité. Croyez-moi : Beaucoup de bien-aimés ont déjà exprimé le désir d'être ici parmi le peuple de Dieu sous la proclamation de la parole. Et David l'exprime ici au verset 8 : « Mais moi, par Ta grande grâce… », pas seulement une grâce, mais une grande grâce de Dieu, oui « …je peux entrer dans Ta maison ». Oui, ce n'est que grâce, le fait que nous puissions être ici.
Oui, et la suite du verset 8 : « Je peux me prosterner avec crainte devant Toi dans Ton saint temple ». Non pas se prosterner devant les hommes, mais dans le Temple de Dieu, ils se sont attendus à Dieu, et ils se sont prosternés avec foi, sachant que Dieu les écoutait. Verset 9 :
« Seigneur ! Conduis-moi dans ta justice, à cause de mes ennemis. Aplanis ton chemin devant moi. Car dans leur bouche, il n'y a pas de sincérité ; leur cœur est rempli de malice, leur gosier est un sépulcre ouvert, ils ont sur leur langue des paroles flatteuses. Fais-les payer, ô Dieu ! Qu'ils tombent par leurs attaques ! Repousse-les loin de toi, à cause de la multitude de leurs iniquités ! Car ils se révoltent contre toi ».
Ça, c'est ce que David a prié, parce qu'il y avait beaucoup d'ennemis autour de lui. Et si nous regardons en arrière, quand Étienne a été lapidé, il a prié : « Seigneur, ne leur impute pas leur péché ». Voilà la différence : Dans l'Ancien Testament, les hommes voulaient encore se venger de leurs ennemis, mais, dans le Nouveau Testament, ils ont imploré la grâce. Il est dit ensuite au verset 12 :
« Alors tous ceux qui se confient en toi se réjouiront. Ils seront toujours dans l'allégresse, que tu les protèges. Et tous ceux qui aiment ton nom seront dans l'allégresse à cause de toi. Car toi, Seigneur, tu bénis le juste, tu le protèges de ta grâce comme d'un bouclier ».
Jusqu'ici, cette précieuse et sainte parole de Dieu. Que le Seigneur nous bénisse tous ce soir ! Qu'Il écoute nos paroles, nos prières. Je crois que nous ne voulons pas seulement donner des paroles vides, mais quand nous venons à Lui, nous voulons véritablement Lui offrir du fond de notre cœur l'honneur, l'adoration, et aussi les requêtes pour les bien-aimés frères et sœurs qui l'ont demandé. Alors levons-nous pour prier ensemble.
Dieu fidèle, nous venons devant Toi dans l'humilité et avec des cœurs courbés, avec des esprits courbés ; et nous Te remercions, Seigneur, de nous permettre, selon Ta grande grâce, de nous prosterner dans Ta maison, de ce que Tu nous places Ta parole sous les yeux. Et nous attendons que Tu nous bénisses aussi et que Tu continues à nous parler.
Seigneur, prends toutes nos iniquités, prends toutes nos fautes, prends toutes nos erreurs, tous ce qui ne T’es pas agréable dans ma vie et dans nos vies à tous, ô Dieu ! Car nous ne sommes que des hommes oublieux et faibles, Seigneur, mais nous regardons vers Toi, et nous voulons toujours louer Ta grâce qui nous a porté jusqu'à cette heure. Seigneur, nous sommes si heureux de faire partie de Ton peuple et de faire partie de ceux pour qui Tu as été particulièrement miséricordieux en ces jours.
Seigneur, nous Te prions de nous accorder Ta grâce à tous, et à tous ceux qui ont peut-être leurs pensées vers ce lieu et qui sont dans l'attente, ô Dieu fidèle, que Tu puisses les toucher et que Tu puisses les aider. Aie pitié d'eux, ô Dieu. Aie pitié de nous aussi ce soir, Seigneur, et parle-nous. Entends mes paroles, ô Seigneur ! Entends ma prière, ô Dieu ! Sois attentif à nos gémissements, ô Seigneur. Tu connais nos cœurs. Tu connais nos prières. Seigneur, ce qui est au plus profond de nos cœurs, Tu le connais. Puisses-Tu faire grâce encore à beaucoup d'autres, Seigneur.
Viens à ce qui Te revient de droit en cette heure. Ô Dieu, nous T'adorons et Te prions d'aider aussi les bien-aimés de Maharaja ; aussi les autres bien-aimés, frères et sœurs qui se sont recommandés par des requêtes ; que Tu fasses grâce à tous, ô Dieu ! Que Tu aies pitié de tous, Seigneur. Touche-les maintenant, ô Seigneur ! Car nous savons que Tu n'as pas changé. Tu es encore celui qui étais, Seigneur, le même au commencement et le même jusqu'à la fin. Tu as encore la grâce, Seigneur, et Tes mains de miséricorde sont encore étendues. Et c'est pourquoi nous T'adorons. Nous Te prions d'être avec nous.
Bénis aussi notre frère, Seigneur, lorsqu'il apportera Ta parole ce soir. Sois la parole dans sa bouche, ô Seigneur. Bénis-le, bénis-nous tous, nous qui allons écouter. Aide-nous, Seigneur, et nous serons aidés ! Loué et glorifié soit Ton merveilleux et glorieux nom de Jésus. Amen !
[Frère Frank]
Louange et remerciements soient rendus au Seigneur ! Aujourd'hui je souhaite que tous s'avancent sur les premières rangées, car c'est bien mieux pour la prière. Vous savez que quand on prie, les charbons qui doivent dégager la chaleur doivent être très proches les uns des autres. Mais, quoi qu'il en soit, peut-être qu'à partir d'aujourd'hui, nous prendrons cela à cœur. Nous prendrons à cœur d'occuper les premières rangées, et de nous rapprocher en esprit, épaules contre épaules, et dans la foi dans notre Seigneur.
Je suis désolé, mais j'avais un certain nombre de sujets de prière qui sont restés sur la table, dans le bureau. Mais Dieu les connaît tous. Dieu connaît tous les besoins, pas seulement les nôtres, mais aussi ceux de tous ceux qui se trouvent partout dans le monde.
Tout à l'heure, j'ai été touché –bien que ce soit une chose terrestre, mais parce que j'ai été si souvent en Inde– quand j'ai appris que la présidente de l'Inde avait été assassinée par seize coups de feu par deux de ses gardes du corps. J'ai dû penser en moi-même : Les gardes du corps qui avaient le devoir de la protéger, l'ont criblé de balles ! Et elle ne fait plus partie des vivants. Mais au-delà de ce que l'on pense d'un système, ou d'une femme présidente, ou quoi que ce soit d'autre, chaque être humain a le droit de vivre, et personne n'a le droit de doter la vie à un autre ! Mais comme le frère Branham l'a prédit : « Le monde sera un asile de fous », c'est ainsi qu'il en est aujourd'hui. Et nous devons veiller à vraiment pointer nos armes et nous préparer contre toutes les tentatives de l'ennemi, et protéger, garder le camp.
Le week-end dernier était bien. J'ai expérimenté quelque chose de spécial à Salzburg. Vous savez que là-bas, le peuple n'est pas très nombreux, mais c'est toujours très intime et beau, une atmosphère chaleureuse comme les Autrichiens en ont l'habitude ; et ensuite, ça ajoute le divin à cela, et tout le monde se sent bien. Je me suis également bien senti à Zurich. Il y avait beaucoup de monde. Et vous savez bien que le fait de parler beaucoup influence les gens. On ne peut rien y changer. Mais nous sommes encore sur Terre, et tant qu'il y a quelque chose à dire, on parlera.
Parfois, on parle même là où il n'y a rien à dire ! Et, en fait, cela devrait s'arrêter. Mais quand est-ce que ce sera le cas ? Oui, je ne le sais pas. Mais nous espérons seulement qu'entre nous, parmi nous –et je ne le dis pas par rapport à quelqu'un de particulier, mais je me place moi-même dans le nombre, et je souhaite que tout le monde puisse en faire de même– oui, j'espère que nous puissions tenir notre langue en bride, que nous ne disions rien à personne, à moins que nous ne soyons convaincus que c'est vrai. Et si c'est quelque chose de négatif, alors nous devrions aussi nous taire.
Qui se souvient du sermon de frère Branham où il disait : « Parler (ou discourir) dans une assemblée est comme… qui le sait ? La Bible le dit, c’est comme une gangrène. C'est ce que la Bible dit. C’est comme un acide qui ronge tout ». Et nous devons le comprendre une fois pour toutes.
Toutes nos prières, et frère Russ l'a déjà mentionné, doivent monter au trône de la grâce. Mais, de quel cœur viennent ces prières ? Comment peuvent-elles monter vers Dieu ? Il doit se passer quelque chose avec nous tous, et chacun doit être prêt à dire simplement : « Seigneur, me voici ! Prends-moi comme je suis ». Et dès l'instant où nous disons stop à l'ennemi, alors la porte s'ouvre au Seigneur. Il ne peut en être autrement.
Le problème n'est certainement pas la prédication, et le problème n'est certainement pas aussi Dieu. Et je l'ai déjà dit quelques fois : Si, en ce lieu, nous avions apporté la parole seulement en tant que frères, alors nous ne nous en voudrions pas. Et c'est ce que nous faisons dans tous les cas. Mais nous avons soigneusement traduit les prédications de frère Branham pendant toutes ces années, et nous avons le droit d'attendre une récolte, une bénédiction qui devrait correspondre à la parole qui nous a été adressée.
Oui, c'est difficile pour moi ce soir de me tenir ici devant parce que je suis une personne que tout touche très profondément. Et tout me touche très profondément pour les raisons suivantes : Pas seulement personnellement, mais parce que je sais que le temps est court, et parce que je suis convaincu que le Seigneur veut confirmer Sa parole, parce que je compte sur le fait que toutes les promesses qui ont été données seront accomplies.
Quand le frère Russ a dit tout à l'heure que beaucoup désirent être ici, je ne peux que dire oui et amen à cela. Si je disais que des milliers de personnes dans le monde entier auraient pris l'avion, si c'était possible, pour être ici, alors ce ne serait pas exagéré. Mais quelle douleur m'a saisie lorsque notre frère a dit cela, et que j'ai pensé : Que faisons-nous, nous qui sommes ici, avec le temps que Dieu nous donne ? Comment l'utilisons-nous, et quelles responsabilités portons-nous ?
Ce que je n'ai jamais fait d'habitude, je le ferai ce soir. Et si je le fais, c'est seulement parce que je veux en tirer une leçon pour moi et pour nous tous, et je le fais parce que cela concerne des personnes avec lesquelles je peux le faire.
Quand quelque chose a été dit, je n'ai jamais posé des questions. Cela m'a simplement ému, touché ; mais je ne suis jamais allé vers quelqu'un et je lui ai demandé : « Est-ce que c'est vrai ? Est-ce que ce n'est pas vrai ? ». Mais quand des choses lourdes sont mises en avant, et que des personnes sont nommées, et que ce qu'elles sont censées avoir dit est également cité, alors, si on a de vrais doutes à ce sujet, on doit avoir la possibilité de demander si c'est vrai. Et c'est ce que j'ai fait vendredi dernier. J’ai demandé au frère, et je l’ai aussi demandé à la sœur. Ni lui n'a rien dit, ni elle aussi n'a passé aucun coup de fil en ce qui concerne ce sujet !
Je mentionne cela seulement pour montrer en ce lieu combien il est dangereux de continuer à dire ou à faire circuler des choses qui ne seront absolument jamais réparables, même mille ans après ! Cela n'a aucune valeur. Nous devons comprendre que nous ne sommes pas là pour transporter de telles choses. Mais, si elles devraient vraiment exister, alors nous sommes ici en tant que frères, et nous pouvons répondre aux questions des frères et sœurs concernés, et en cas de besoin, les éclairer, les soutenir, les accompagner avec des conseils et des actes.
Si toutes sortes de choses sont dites sur moi, j'ai tout supporté ! Mais je suis tout à fait honnête : Je ne voudrais pas, pour un million de dollars, de Mark, ou de Livres, ou tout ce qui peut exister, je ne voudrais pas me retrouver dans la peau de ceux qui, consciemment ou inconsciemment, intentionnellement ou non intentionnellement, ont fait du mal à l'œuvre de Dieu !
Nous devons être conscients de ce que signifie la diffamation. Celui qui n'a pas compris cela, que le caractère d'une personne peut être piétiné dans la boue, peut être injurié jusqu'à devenir méconnaissable ; celui qui n'a pas compris ce que cela signifie ! Il n’y a aucun incroyant ayant un peu de décence et d'éducation, il n'y a aucun incroyant qui puisse se permettre un tel comportement ! Alors, que devons-nous faire en tant que des hommes qui souhaitent passer l'éternité ensemble avec notre Seigneur ? Que devrait-on attendre de nous ? Alors là, nous entendons frère Branham dire : « Si vous n'avez rien de bon à dire sur un frère, alors taisez-vous ! ».
Si nous croyons effectivement avoir trouvé grâce auprès de Dieu, alors nous devrions garder le respect devant le Seigneur, pour Sa parole, mais aussi le respect les uns les autres.
Les croyants ont le plus grand problème avec cela. On pense qu'on a joué ensemble dans le sable, et chacun peut tout se permettre. Cela ne doit pas être ainsi. Bien-aimés, cela ternit toujours la communion entre nous. On parle au lieu de prier, et on ne fait que faire ceci et cela ! Cela ne peut pas continuer ainsi.
Nous avons donné de tout notre cœur notre engagement dans le royaume de Dieu, mais avec un objectif, et cet objectif doit consister en ce qu'une une épouse-parole puisse être présentée à l'Époux, puisse être mise à part, et préparée comme résultat de la proclamation de la parole. Peut-être que nous entrons maintenant dans une toute nouvelle phase, oui, dans la crainte de Dieu, le respect de Sa parole ; une phase où l'on reconsidère ce qui peut être le résultat de ce qu'on dit.
Si nous tournons nos regards vers le Seigneur, et si ce que nous confessons de la bouche est devenu précieux pour nous, à savoir la parole de Dieu et la cause de Dieu, comment devrions-nous proclamer avec nos lèvres ce qui est devenu grand pour nous ? Il est dit dans les Actes des Apôtres au chapitre 2 (verset 11) : « Lorsqu'ils furent remplis de l'Esprit, ils annoncèrent les grandes œuvres de Dieu ». Un homme qui a trouvé grâce aux yeux de Dieu et qui est rempli du Saint-Esprit, n'a qu'une seule tâche : Celle de proclamer les grandes œuvres de Dieu !
Mais il y a quelques versets que j'ai noté rapidement tout à l'heure ; ici, dans les proverbes. Salomon était un homme avec une sagesse de vie, avec de l'expérience. Nous allons peut-être lire au chapitre 26 jusqu'au chapitre 24. Proverbe chapitre 26 verset 20 :
« Là où le bois manque, le feu s'éteint ; et là où il n'y a pas de rapporteur, les disputes cessent ».
Ne souhaitons-nous pas tous que cela soit ainsi ? Tant qu'on a encore du bois et qu'on peut le mettre sur le feu, alors le feu continue à brûler ; mais s'il n'y a plus de bois, alors le four aussi s'éteint. Et il serait temps, grand temps, que le four s'éteigne ! Il est dit ici dans la suite du verset 20 :
« …et là où il n'y a pas de rapporteur, les disputes cessent ».
Oui, on remercierait Dieu si cela était vrai, si cela était le cas au milieu de nous, s'il n'y avait plus de disputes ; alors nous aurions enfin le calme et la paix, et nous pourrions servir le Seigneur entièrement consacrés et sans souci. Il est dit au verset 21 :
« Le charbon attise les braises, et le bois le feu ; et l'homme querelleur attise la dispute ».
Comparons cette parole avec le sermon sur la montagne : « Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu ». « Recherchez la paix et la sanctification, sans laquelle personne ne verra Dieu ». Il est dit plus loin, dans Proverbes chapitre 26, on est au verset 22 :
« Les paroles du rapporteur sont comme des friandises qui descendent jusqu'au plus profond du corps. Comme des scories brillantes dont est recouvert un vase de terre, ainsi sont les lèvres brûlantes d'amour et un cœur mauvais ».
Si nous prenons ces paroles à cœur, si nous les prenons vraiment à cœur, et si nous disons : « Seigneur, aie pitié de nous à cause de Ton saint nom ! ». Toute parole de Dieu est pourtant la pure vérité ! Chaque parole de Dieu a été donnée pour que nous puissions la croire de tout notre cœur ; et pas seulement la croire, mais l'approuver intérieurement, et dire : « Seigneur, si ce n'est pas encore le cas, alors fais qu'il en soit ainsi ! ».
Je ne sais pas si nous pouvons tous mesurer la portée et les conséquences de ces choses. Oh Dieu ! Si Dieu nous fait grâce, alors nous nous efforcerons de faire en sorte que Sa parole, à cet égard aussi, fasse dans notre vie ce pourquoi elle a été envoyée, ce pourquoi elle a été écrite. Verset 22 :
« Les paroles du rapporteur sont comme des friandises qui descendent jusqu'au plus profond du corps. Comme des scories brillantes dont est couvert un vase de terre, ainsi sont des lèvres brûlantes d'amour et un cœur mauvais ».
Cela ne sert à personne, ni à toi, ni à moi ! Oui, c'est un bel ornement, joliment recouvert, mais rien de plus ! Le cœur et les lèvres doivent être en accord. Il faut y arriver, il faut arriver à ce point, on ne peut pas faire autrement. Il est dit ensuite au verset 24 :
« Avec ses lèvres celui qui hait se déguise, mais au fond de lui il nourrit la tromperie ».
Mais, Dieu voit tout cela ! Dieu voit tout, Il entend tout. Il est écrit dans la suite, au verset 25 :
« Lorsqu'il tient des propos aimables, ne lui faites pas confiance, car il a sept abominations dans son cœur. Mais si la haine se cache sous le déguisement, sa méchanceté sera révélée dans l'assemblée du jugement ».
Nous ne sommes pas ici pour juger, mais une chose devrait être claire pour nous tous : Nous sommes ici pour que Dieu nous dise que nous ne devons pas laisser libre cours à notre langue. C'est pour cela que nous sommes ici. Et personne ne parle avec colère, mais vraiment parce qu'il souhaite profondément que Dieu vienne à ce qui Lui revient de droit. Il souhaite que la confiance soit rétablie, que l'unité et le lien entre les uns et les autres puissent être renoués, et que le Seigneur puisse agir.
Il y a encore quelques passages. J'aurais souhaité qu'on n'ait même pas besoin de lire de tels passages, mais s'ils sont écrits dans la Bible, alors il est nécessaire qu'ils soient aussi lus, sinon ils n'auraient pas leur raison d'être. Dans le chapitre 25 au verset 21, il est écrit :
« Si ton ennemi a faim, donne-lui le pain ; et s'il a soif, donne-lui de l'eau à boire. Car en faisant cela, tu amasses du charbon ardent sur sa tête, et le Seigneur te récompensera ».
Ça aussi c'est une parole du Seigneur. Si parfois nous pensons que quelqu'un nous veut du mal, alors nous avons le devoir d'amasser simplement des charbons ardents sur sa tête, et ensuite vient la promesse : « et le Seigneur te récompensera ». Dieu voit tout. Il connaît les motifs et sait pourquoi nous faisons des choses et pourquoi nous disons ce que nous disons. Au chapitre 25 au verset 11, il écrit :
« Comme des pommes d'or dans des coupes d'apparat en argent, ainsi est une parole prononcée au temps convenable ».
Ainsi, oui, est une parole prononcée au temps convenable ! Oui, ce sont des pommes d'or dans une coupe d'argent ! Oh ! Une vue magnifique, quelque chose de beau dont on peut se réjouir ! Ainsi sont des paroles prononcées au temps convenable.
Je me le souhaite, je nous le souhaite à tous, que nous ayons la possibilité, par la grâce de Dieu, de suivre et d'appliquer ces choses. Et je suis sûr que le Seigneur aidera chacun d'entre nous à le faire. Nous pourrions continuer à passer outre ces choses. Et j'ai toujours pensé pendant toutes ces années que Dieu ferait tout. Mais, comment est-ce que Dieu le fait ? Toujours par Sa parole et par Son Esprit. Dieu ne peut pas faire plus que ce qui nous a été dit, nous a été promis, nous a été ordonné par Sa parole ; car la foi vient de la prédication. Tout ce que Dieu fait, Il le fait selon Sa parole.
Avant que nous puissions voir ces choses, avant qu'elles ne puissent exister, elles doivent être prononcées ouvertement, mais elles doivent être lues de la parole de Dieu. Ce ne doit pas être une chose que quelqu'un présente ici devant juste pour présenter. Cela doit être tiré de la parole de Dieu. Nous avons ici l'instruction suivante, au chapitre 24 à partir du verset 11 :
« Délivre ceux qu'on traîne vers la mort et ceux qui chancellent vers l'exécution, ô, délivre-les ! »
Qu'est-ce qui ressort de ces paroles ? « Délivre ceux qu'on traîne vers la mort et ceux qui chancellent vers l'exécution ». Quand quelqu'un est condamné, quand il doit être, pour ainsi dire, exécuté, nous sommes appelés à crier : « Ô, délivre-le ! ». Nous ne devons pas participer à un jugement. Notre tâche est de plaider la délivrance comme il est écrit ici : « Ô, délivre-les ! ». Au verset 12 :
« Veux-tu dire : Nous n'en savions rien ! Celui qui pèse les cœurs ne le verra-t-il pas ? Et celui qui observe ton âme, ne le saura-t-il pas ? Oui, il rendra à chacun selon ses œuvres ».
Dieu veut que nous prenions aussi Ses paroles à cœur ; et Il veut que nous soyons adoucis intérieurement, et que nous puissions fondre en Sa présence. Que toute la dureté de notre cœur, tout ce qui peut nuire à l'autre, tout ce qui peut blesser l'autre, devenir un obstacle pour lui dans la marche à la suite du Seigneur, que nous puissions éloigner tout cela de nous par la grâce de Dieu. Verset 11 :
« Délivre ceux qu'on traîne vers la mort, et ceux qui chancellent l'exécution, ô, délivre-les ! Veux-tu dire : Nous n'en savions rien ? Celui qui pèse les cœurs ne le verra-t-il pas ? Oui, il rendra à chacun selon ses œuvres ».
Et ça va encore plus loin. Il nous est même donné l'ordre –où il s'agit plutôt de ceux-là qui sont incrédules, qui ne connaissent pas Dieu, car ceux qui craignent Dieu ne feront pas ces choses– au chapitre 24 verset 15, il est dit :
« Ne tends pas méchamment des embûches dans la demeure du juste, et ne détruis pas le lieu où il se repose ; car sept fois le juste tombe, et se relève ; mais le méchant tombe dans le malheur ».
Combien de sagesse, de sagesse divine est dans Sa parole ? Pas la sagesse des hommes, mais la sagesse de Dieu. Mais, il y a aussi la sagesse de vie. Pensez-vous que Dieu soit étranger au monde ? Pensez-vous que Dieu ne savait pas de quelles instructions nous aurions besoin en tant que des hommes ? Quels conseils devaient nous être dit ? Et particulièrement depuis que le Seigneur a pris une forme humaine et est venu sur cette terre, n'a-t-Il pas traversé toutes les épreuves ? Ne compatit-Il pas à ta douleur, à la mienne ? Et ta douleur, n'est-elle pas Sa douleur ? Et ta détresse n'est-elle pas Sa détresse ? Il est écrit qu'Il est un grand Souverain Sacrificateur qui compatit dans nos faiblesses (Hébreux 4 : 15).
Et s'il n'y a personne qui se lève et qui prononce un jugement, et s'il n'y a personne qui veut faire du mal à l'autre, ce serait la dernière chose que nous ferions. Mais une chose est sûre : Dieu veut nous aider tous. Il n'y a aucune parole de Dieu, même la plus sévère, aucune parole de Dieu sans que l'amour de Dieu ne vienne à notre rencontre, et que Sa main qui nous secoue ne nous soit tendue. En principe, dans chaque parole de Dieu, il y a de l'aide, du réconfort, de l'édification, et tout ce dont nous avons besoin.
Si le Seigneur pouvait nous accorder la grâce de nous distinguer de tous les autres en tant que des enfants de Dieu, de faire une différence, de savoir que notre langue a été embrasée par le feu divin, nos lèvres ointes pour dire ce qui glorifie Dieu, et nous édifier les uns les autres, car nous devons tous contribuer à l'édification spirituelle, chacun pour sa part.
Et pourtant, si peu d'entre nous ont la possibilité de servir le Seigneur de manière très large. Tout le monde ne peut pas être évangéliste, mais nous tous avons la possibilité de servir le Seigneur d'une manière humble, d'une manière dévouée, en tant qu'hommes qui ne vivent plus pour eux-mêmes, mais qui vivent pour le Seigneur.
Nous ne savons pas quand le Seigneur reviendra, mais nous savons une chose, ce qu'Il revient bientôt. Et jusqu'à la fin, je croirai que l'Église sera comme elle était au commencement. Il y a deux choses : L'une parle du fait que l'amour se refroidira chez beaucoup parce que l'injustice abondera (Matthieu 24) ; mais de la même manière, dans l'épouse de l'Agneau, l'amour, le premier amour doit être à nouveau présent et brûler. Et je voudrais croire que nous pouvons en faire partie, par grâce, faire partie de l'épouse de l'Agneau.
Mais nous devons être vigilants et voir clair par rapport à tout ce qui s'approche de nous. Moi aussi, je ne l'ai pas fait. J'ai échoué assez souvent. J'ai échoué assez souvent. Et je ne me tiens pas ici comme un pharisien, comme quelqu'un qui se place ou s'élève au-dessus des autres, mais je me tiens ici comme un homme qui ressent sa propre souffrance et sa propre misère. Mais une chose doit être claire : Notre Dieu nous regarde avec grâce. Il veut nous aider, nous montrer le chemin, comment nous pouvons être une bénédiction les uns pour les autres et comment nous pouvons être utilisés par Lui.
Qu'est-ce que Jacques écrit ? Nous connaissons tous les passages de l'Écriture. Il écrit que : « D'une même source ne peut jaillir le doux et l'amer ». Il faut qu'une source divine jaillisse en nous, et de cette source doit alors jaillir une eau agréable, une atmosphère dans laquelle tout homme se sent bien. Lorsque nous ouvrons nos bouches, alors les autres doivent être bénis.
Je l'ai dit très souvent, Abraham n'a pas eu besoin de prier pour cela. Il n'a pas eu besoin de dire : « Bien-aimé Dieu, bénis-moi, Seigneur bénis-moi ». Non ! Dieu lui a dit : « Je te bénirai et tu seras une source de bénédiction » (Genèse 12 : 2), terminé, et il est parti ; et il était une bénédiction. Pourquoi ? Parce que c'était un homme qui avait reçu dans son cœur, par la foi, la promesse divine qui contenait la bénédiction. Et, parce que la parole du Seigneur lui avait été adressée, et que Dieu avait fait alliance avec lui, et que cette promesse avait été donnée dans cette parole, il pouvait être une bénédiction. Et savez-vous ce que le Seigneur a même ajouté ? : « En toi seront bénies toutes les nations de la terre ». Qu'est-ce que c'était ? Un homme de Dieu, un homme comme toi et moi qui habitait à Ur en Chaldée, de l'autre côté du fleuve Euphrate, servant d'autres dieux, et soudain Dieu entre dans sa vie. Et à partir du moment où Dieu est entré dans sa vie, un tournant s’est produit, il avait un chemin devant lui, un but à atteindre, et Dieu a honoré tout ce qu'Il avait promis.
Selon l'épître aux Galates, par Christ, nous sommes la semence spirituelle d'Abraham, des hommes issus de la promesse en raison de la parole de Dieu, selon (Galates 16). Et ainsi, ce que Dieu a promis devait devenir réalité par nos vies. Mais cela ne peut être le cas que si nous nous mettons vraiment à la disposition du Seigneur, et si nous sommes capables de distinguer ce qui détruit et ce qui édifie.
Si je regarde en arrière aujourd'hui, si je regarde en arrière à tant de choses, à quel point les critiques peuvent être destructrices ! À quel point les remarques et les contestations peuvent être destructrices ! Et nous remarquons quels résultats en découlent. Et parfois, je me suis posé la question en silence : Avons-nous tiré, nous tous, la leçon de tout cela ? Où est-ce que nous nous tenons spirituellement aujourd'hui, Seigneur ? Dieu a-t-Il pu nous montrer par grâce ce qui est édifie et ce qui n’édifie pas ? Ce que nous devons faire et ce que nous ne devons pas faire ? Dans cette parole aussi qui nous a été lue dans le Psaume 5, il est dit au verset 8 :
« Même moi, par ta grande grâce, je peux entrer dans ta maison. Je peux me prosterner avec crainte devant ton saint temple ».
C'est ainsi que nous voulons le faire : Venir dans la présence de Dieu, dans une sainte crainte, et dire : « Seigneur, nous voici ! Fais de nous ce qui Te plaît ». Et au verset 9, il est dit :
« Seigneur, conduis-moi dans ta justice à cause de mes ennemis. Aplanis ton chemin devant moi. »
Pas seulement un chemin, pas seulement mon chemin, mais ton chemin. Que ce soit aujourd'hui ma prière et ta prière, que nous puissions dire : « Aplanis Ton chemin devant moi ». Il se peut que nous ayons assez souvent des chemins à suivre, et que nous présentons notre chemin au Seigneur en disant : « Seigneur, aplanis mon chemin ! ». Mais, si ce n'est pas le chemin de Dieu, pourquoi l'aplanirait-Il ? Est-ce Son chemin ? Si c'est Son chemin, alors Il l'aplanira ! Il ne peut pas en être autrement. Dieu ne peut pas, il ne peut pas dire oui à notre chemin, mais nous devons dire oui à Son chemin. Tel est l'ordre divin. Verset 9 :
« Seigneur, conduis-moi dans ta justice à cause de mes ennemis, et aplanis ton chemin devant moi ».
Et ça, c'est le cri de mon âme ce soir : « Aplanis Ton chemin devant moi ». » Qu'est-ce qui a été écrit par Jean ? « Il marchera devant toi pour préparer le chemin ». Ce doit être le chemin de Dieu. Un autre chemin ne conduira pas au but. Verset 10 : « Car dans leur bouche, il n'y a pas de sincérité » et ainsi de suite. Mais ça, ce n'est pas ce qui nous importe. Ce qui nous importe, ce que nous puissions dire : « Seigneur, conduis-moi dans Ta justice à cause de mes ennemis, et aplanis Ton chemin devant moi ». Comme ce serait beau si nous pouvions tous invoquer le nom du Seigneur du plus profond de notre âme, et dire: « Oh Dieu ! Sonde-moi, connais mes pensées, et vois si je suis sur le chemin de la vérité, si je suis sur Ton chemin ! ».
Vous connaissez le témoignage de frère Branham, lorsque cette déclaration prophétique a retenti, disant : « Tu as fait le bon choix, c'était Mon chemin, c'était Mon chemin ». Nous devons faire le choix, mais pour qu'il soit juste, il doit être dans la volonté de Dieu. Aucun homme, aucun homme ne peut assumer une quelconque garantie, à moins que Dieu ne le lui ait accordé par grâce. Et on verra alors s'il en est ainsi, si Dieu peut y mettre Sa bénédiction. « Seigneur, montre-moi Ton chemin, et donne-moi la force de le suivre ! Seigneur, révèle-moi Ta volonté et donne-moi la force de la faire ! ». Et si nous disons cela au Seigneur de toute notre âme ce soir, alors Il nous exaucera, parce que c'est une prière selon Son cœur. C'est ainsi que David a prié, et c'est ainsi que nous pouvons prier. David a été exaucé. Pourquoi ne serions-nous pas exaucés ?
Que le Seigneur vienne à mon aide. Que le Seigneur vienne à notre aide, et aussi en aide à tout Son peuple sur toute la terre, afin que nous puissions très bientôt faire l'expérience de Sa puissance et de Sa gloire ; Lui qui S'est donné tant de mal, qui a fait preuve de tant de patience à notre égard, et qui nous a fait preuve d'une telle miséricorde jusqu'à ce jour ! Que nous ne puissions pas simplement nous en aller en pensant que tout est en ordre, mais que nous puissions toujours nous examiner devant Sa face et nous présenter devant Lui en disant : « Seigneur, nous voici : Fais de nous ce qui Te plaît ». Et à partir du moment où nous avons vraiment mis et placé notre cœur, tout notre être et aussi nos lèvres dans les limites de la parole, par la grâce de Dieu, il ne pourra pas en être autrement que le Seigneur confirme Sa parole et la révèle.
Combien voudrait que Dieu Se fasse connaître dans Sa gloire ? Alléluia ! Il ne peut pas en être autrement. Cela doit être ainsi. La parole de Dieu est vraie, et Il est véritable. Il est fidèle dans tout ce qu'Il fait. Tous Ses témoignages, toutes Ses ordonnances, tout ce que Sa sainte bouche a dit, c'est éternellement vrai et nous pouvons nous y fier. Oh ! Si nous pouvions croire et nous mettre à la disposition du Seigneur, alors nous devrions et nous verrions nous aussi la gloire de Dieu. Amen !
Levons-nous et prions.
Père céleste, nous Te remercions pour Ta précieuse et sainte parole. Nous sentons maintenant que Tu veux nous aider. Chaque heure, chaque instant de notre vie où il nous est encore permis de Te rencontrer, Tu T'efforces, ô Dieu, d'aider Ton peuple.
Je Te remercie du fond de mon cœur pour toutes ces paroles précieuses, pour les paroles de réprimande, pour les paroles d’avertissement, ô Seigneur, car aucune parole n'a été écrite en vain, mais elle est là pour que nous soyons corrigés, Seigneur. Moi et nous tous, Seigneur, nous voulons nous incliner devant Toi dans la poussière, ici, dans Ton Saint-Temple, car Tu es le Dieu véritable, et Tu veux que nous puissions marcher dans Ta parole, ô Dieu.
Fais-nous grâce, et fais-nous grâce à tous, Seigneur. Donne-nous à tous une langue circoncise, un cœur circoncis, un esprit circoncis, ô Seigneur. Tu me connais, Tu nous connais tous.
Seigneur, à Toi seul revient la gloire. Seigneur, je Te le demande ce soir : Seigneur, aide-moi par grâce ! Au nom de Jésus ! Amen !