Ewald Frank
Krefeld, le 12 mai 1984 (19:30)
(Retransmis le 12 octobre 2024)
CITATIONS DU SERMON DE FRÈRE BRANHAM : « UN PRISONNIER DE JÉSUS-CHRIST »
N°1
Loué et remercié soit le Seigneur, de ce que nous avons cette certitude et cette assurance dans notre cœur. Parce que Dieu a donné la promesse, nous pouvons aussi nous abandonner à elle. Si c'était Mahomet qui l’avait donnée ou bien quelqu'un, alors nous pourrions nous laisser enterrer avec lui ! Mais puisque c'est Dieu qui a donné la promesse, nous pouvons nous reposer sur elle, et savoir que le jour arrive.
Rien n'est plus sûr que le retour du Seigneur ! Rien n'est plus sûr pour ceux qui l’attendent, tel qu'il est écrit dans Timothée : « ceux qui auront aimé Son avènement ». Il y a des gens, des hommes qui aiment Son avènement. Pas seulement L'aimer, Lui, mais ils désirent être rassemblé avec Lui, réunis autour Lui. Nous devons devenir de tels hommes. Si cela n'est pas encore ainsi, alors il faut que cela ait lieu très rapidement, pour que cela devienne comme ça avec nous.
Vous connaissez tous la parole de Timothée dans laquelle Paul dit que désormais, en ce jour-là, le Seigneur donnera la couronne de justice, mais pas seulement à lui, mais à tous ceux qui auront aimé Son avènement. Qui de nous peut dire ce soir que ce n'est pas seulement que nous aimons le Seigneur, mais que nous aimons Son avènement ? Son avènement signifie quelque chose pour nous, nous avons été saisis dans notre cœur. C'est écrit dans 2 Timothée 4, à partir du verset 8 :
« Désormais, la couronne de justice m'est réservée. Le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là ; et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement ».
Ça, ce sont des hommes qui sont aussi prêts. Pas seulement à aimer Son avènement, mais à être prêts pour Son avènement ! Des hommes qui, de tout leur cœur, avec une joie profonde, attendent Son retour, étant prêts. Et peut-être qu’extérieurement, nous pouvons passer par des troubles et soupirer, et c'est ainsi que nous serons liés avec Dieu encore plus profondément. Plus nous sommes détachés de la terre, plus profondément nous serons liés et unis avec Dieu. Celui qui, du point de vue terrestre, a encore fermement toutes ses racines ici sur la terre, ça veut dire que spirituellement il n'en a pas, il n'a même pas de racines. Mais si, terrestrement, nous n'avons plus de racines sur cette terre, alors nos racines pourront être affermies en Dieu. Quel privilège !
J'ai apporté aujourd'hui avec moi une prédication de frère Branham intitulée : « Un prisonnier de Jésus-Christ ». J'ai seulement lu quelques pages, et elles ont déjà eu beaucoup de choses à me dire.
Avant de lire plusieurs passages de cette brochure, j'aurais bien voulu parler avec quelqu'un qui était déjà en captivité. C'est toujours facile dans la théorie de philosopher, et aussi en ce qui concerne les choses de la foi ; mais personne ne connait la réalité des choses, si ce n'est qu'ils sont passés par là. Nous avons entendu parler de la captivité russe, la captivité chinoise, comment les choses ont été pour les gens, par exemple la captivité en Allemagne, etc. Mais quand on rencontre ceux qui ont vécu ces choses, qui ont vraiment été prisonniers, tous les droits leur ont été ôtés, ceux qui étaient prisonniers… Moi j'ai rencontré des prisonniers, j'ai vu des prisonniers. J'ai vu des prisonniers russes, ils étaient dans une clôture, il y avait en haut des fils barbelés, et en bas des fils de fer normaux. Mais ces hommes n'avaient plus de droits, tout droit leur a été ôté ! Ils étaient sur une terre étrangère, et on pouvait faire d’eux ce qu'on voulait. Le vainqueur dirigeait donc leur vie.
Si nous sommes devenus des prisonniers du Seigneur, et qu'Il nous a vaincus et qu’Il a vaincu notre vie, alors, ça veut dire que c'est Lui qui dirige toute notre vie ! Alors, c'est seulement comme ça que nous sommes prisonniers de Jésus-Christ. Pas si nous sommes libres et faisons de la philosophie au sujet d’être prisonniers de Jésus-Christ, tout en conduisant notre propre vie. Si vraiment toutes ces choses sont devenues une réalité divine dans notre vie, c'est seulement après que notre témoignage soit en accord avec la parole de Dieu.
Il y a aussi cette pensée ici que Paul exprime : « Le Seigneur, le juste Juge, me donnera la couronne de justice qui m'est réservée, mais pas seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé Son avènement ». Pas seulement aux apôtres et aux prophètes, il n’y a pas qu’eux qui seront couronnés, pas seulement les hommes de Dieu, mais tous ceux qui ont cru au témoignage de ces hommes de Dieu. Et ils sont classés… nous connaissons cette Écriture, et la parole du Seigneur : « Celui qui reçoit un en qualité de prophète, il recevra la récompense d'un prophète ». On n'a pas besoin d'être prophète et apôtre pour être récompensé un jour ; mais on doit reconnaître devant Dieu, que Dieu a envoyé des apôtres et des prophètes, et on doit accepter et recevoir le message qu'ils ont apporté, et, de tout le cœur, aimer le Seigneur qui les a envoyés, et attendre Son avènement. Il n'y en a pas beaucoup qui le font ; beaucoup qui, dans tout ce que le Seigneur demande, sont prêts à mettre ces choses en pratique. Mais nous sommes en chemin vers cela.
Le frère Schmidt a lu la parole précieuse, et chaque verset, chaque phrase, chaque pensée est précieuse. Mais ce qui m'a touché particulièrement, c'est ce verset, le verset 18 :
« Et nous avons entendu cette voix venant du ciel, lorsque nous étions avec lui sur la sainte montagne ».
Ça n’a été seulement ainsi que le Seigneur leur disait quelque chose, mais ils ont vu, ils ont entendu, ils étaient présents alors que Dieu faisait quelque chose. Aujourd'hui, nous vivons avec le Seigneur. Et si nous vivons avec Lui, si nous marchons avec Lui, si Sa parole s'adresse à nous, et si vraiment nous sommes dans le royaume de Dieu, alors, aujourd'hui nous devons être témoins de ce que Dieu fait aujourd'hui. Pas de ce qui s'est passé dans les âges passés ! Ça, ce sont d'autres qui l'ont vu, qui l'ont entendu. Mais, nous vivons aujourd'hui. Nous devons entendre aujourd'hui, écouter ce que l'Esprit dit aujourd'hui, et nous devons aussi expérimenter et recevoir ces choses personnellement.
Pour moi, cela a une grande importance, une grande valeur, pas seulement être prédicateur de la parole de Dieu, mais la présence de Dieu, la manifestation de Dieu, la parole de Dieu, la gloire de Dieu, d'être présent, de voir, d'entendre et de vivre dans son époque pendant que Dieu Se manifeste et Se révèle sur la terre.
Alors, cette pensée est ajoutée à cela : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique que nous possédons ». Les deux vont ensemble. Celui qui possède la parole prophétique, il sera en relation avec Dieu qui l'a révélée, et qui l'a prononcée. Si je parle avec vous, alors je suis en relation, j'ai communion avec vous, alors il y a une relation qui existe ! Si Dieu parle avec nous, alors Il a communion avec nous, alors il y a une relation qui existe. Et c'est de cette relation-là avec Dieu qu'Il nous parle, et c'est de ça que sortent toutes les expériences que nous pouvons avoir avec Lui.
Dans cette prédication, frère Branham donne un exemple, et je vais tout de suite le lire. Cela m'a beaucoup touché le cœur aussi parce qu’ici, il est parlé de ce que la gloire de Dieu est descendue. Le texte de cette prédication est dans Philémon. Philémon c'est après l'épître de Tite. C’est seulement un seul chapitre. Ici, il est écrit dans Philémon au verset 1 :
« Paul, prisonnier de Jésus-Christ, et le frère Timothée, à Philémon, notre bien-aimé et notre compagnon d'œuvre ».
Ici, nous avons cette pensée que j'ai déjà exprimée : « Paul, prisonnier de Jésus-Christ ». Il a été pris captif sous l'obéissance de la volonté de Dieu. Il a été appelé à sortir, arraché de tout ce qu'il savait auparavant, de tout ce qu'il avait reçu comme instruction, et de tout ce qu'il avait l'intention de faire ; et il a été introduit dans la révélation de Dieu, dans la volonté de Dieu ; et c'est ainsi qu'il est devenu un prisonnier de Jésus-Christ. Le Seigneur qui l'avait racheté, qui l'avait appelé, qui l'avait placé dans le ministère, qui l'avait établi dans le ministère, devait maintenant être seul celui qui dirige sa vie, qui décide pour lui, et qui le conduit. Ici, au verset 4, il dit :
« Je rends continuellement grâce à mon Dieu, faisant mention de toi dans mes prières, parce que je suis informé de la foi que tu as au Seigneur Jésus, et de ton amour pour tous les saints. Je lui demande que ta participation à la foi soit efficace pour la cause de Christ, en faisant reconnaître en nous toute espèce de bien. J'ai, en effet, éprouvé beaucoup de joie et de consolation au sujet de ton amour ; car par toi, frère, le cœur des saints a été rafraîchi ».
Un jeune homme ! Pas un grand-père, pas un homme avec beaucoup d'expérience de la vie, mais un jeune homme consacre sa vie à Dieu, et de ce jeune homme, il peut déjà être dit tout de suite tel que nous l'avons lu jusqu'à maintenant, que même Paul est tranquillisé, et le cœur des saints, par ce que le Seigneur pouvait produire dans ce jeune homme et par lui.
Qu'est-ce que Dieu veut aujourd'hui ? Qu'est-ce que Dieu cherche aujourd'hui ? Il cherche des jeunes hommes, des jeunes femmes, nous tous qui sommes ici. Et la plupart de nous ont presque vécu toute leur vie. Donc, le Seigneur veut nous encourager de vivre le reste de notre vie pour Lui, de devenir Son prisonnier, Sa prisonnière tout le reste de notre vie, tout le long de notre vie.
Je l'ai déjà dit : J'ai eu un grand privilège dans ma vie de vivre la guerre et aussi la captivité. J'ai vu comment est-ce qu'un général à quatre étoiles a levé ses mains, j'ai vu, il s'est livré ; j'ai vu ce que cela veut dire que de se livrer, c'est plus que de se faire saluer, mais rester là ; c'est comme ça qu'on est emporté dans la captivité avec les mains levées, et on va là où on ne veut pas aller.
Nous tous, nous devons apprendre et comprendre ce que cela veut dire d'être rendu captif ; et comme Paul pouvait dire : « ce n'est plus moi qui vis, maintenant c'est Christ qui vit en moi ». Si nous pouvons encore vivre, Il ne pourra pas vivre ! Et si Lui, Il vit, nous ne pouvons plus vivre ! Ou alors, nous marchons selon nos propres pensées et notre propre volonté, ou alors, nous sommes prêts à faire la volonté de Dieu pour qu'Il puisse vivre Sa vie par nous. Il n'y a pas de mélange. On ne peut pas être en train de faire de la philosophie sur toutes ces choses. Cela ne nous amènera pas au but, seulement si ces choses peuvent devenir une réalité en nous. Oui.
« …Une grande joie et une grande consolation au sujet de ton amour ; car par toi, frère, le cœur des saints a été tranquillisé (rafraîchi, en allemand) ».
Cela, je le souhaite à tous mes jeunes frères, de tout mon cœur. Que ce témoignage puisse vous être donné ! Dans les dernières années, on pouvait aussi le dire : « Oh ! Par un témoignage, il a rafraîchi nos cœurs ! ». Qu'on puisse le dire à votre sujet : « Nous avons été bénis ! Le jeune frère a rendu un témoignage ! Nous avons été fortifiés dans la foi par le témoignage de ce jeune frère ! ».
Donc, lisons quelques passages de cette prédication qui seront sûrement précieux pour nous. Citation :
« Nous reflétons une lumière qui vient de quelque part. Si vous êtes chrétien, cela est votre ombre qui ne fait que prouver qu'il y a une vie qui existe où vous ne mourrez plus ; car cette vie a de la mort en elle ici. Cette vie terrestre a la mort en elle, depuis le premier souffle de vie, parce qu'il a été donné à l'homme de mourir après quoi vient le jugement (Hébreux 9 : 27). Cette vie terrestre a la mort en elle. Mais le Seigneur est venu dans cette vie terrestre pour ôter la puissance de la mort, pour ôter de cette vie l'aiguillon de la mort ; car Dieu nous a accordé la vie éternelle, et c'est en cela qu'il n'y a plus de mort dans cette vie éternelle là »
Que le nom du Seigneur soit loué ! Et pour cela, tout a été réglé, et tout est terminé. Dans la vie de Dieu, dans la vie divine, il n'y a plus de mort. La suite. Citation :
« Vous voyez ! C'est une ombre, car vous êtes des créatures agiles avec des capacités de voir, de penser, de parler, de vous déplacer. Vous avez cinq sens du corps ; mais malgré tout, vous savez que vous devez mourir. Il y a tellement de chagrin ! Vous savez qu'il ne peut y avoir qu'un seul reflet, parce que la vie et la mort sont mêlés. Oui, dans ce corps, dans cette vie terrestre. Mais alors, plus maintenant. Ici, il y a de la douleur, il y a de la souffrance, il y a des larmes, il y a des pleurs, il y a des chagrins, il y a des difficultés, et ensuite la mort ».
Il n'y a pas longtemps, j'ai souvent pensé de la vie à la vie à la mort. Et c'est vraiment vrai : Celui qui vivait sans Dieu, sa vie ne valait pas la peine d'être vécue ! Qu'est-ce que le monde a à offrir –même vue terrestrement– avec tout ce qui pourrait être agréable ? Un arrière-goût amer persiste ! Ici il dit :
« Si nous sommes devenus lumière, si notre vie est en accord avec la lumière du jour dans lequel on vit, c'est à ce moment-là seulement que nous marchons dans la lumière. Pas seulement que la lumière ait apparu, mais son éclat nous a atteints pour que nous soyons amenés en accord avec la parole qui est déterminée pour ce jour, et que nous puissions marcher en accord avec cette parole. C'est à ce moment-là que nous sommes enfants du jour, comme c'est décrit dans 1 Thessaloniciens 5, et que nous ne pouvons plus nous heurter, parce qu'en raison de la parole, nous pouvons voir où nous marchons et où nous avons à aller ». Ici il est dit :
« Aussi vrai que le Saint-Esprit reflète la lumière et la vie, la mort reflète l'obscurité devant Dieu ».
Donc, le Saint-Esprit reflète la lumière et la vie, la mort reflète l'obscurité ! Et ici, frère Branham dit : « Le mauvais esprit est obscur, c'est ainsi, comme si votre vie est couverte d'obscurité ». Le mauvais esprit est obscur, et nous savons qu'il fait tout dans l'obscurité, parce que lui-même il est obscur, il est ténèbres. Dieu est Lumière, et celui qui Le suit ne demeurera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie ; pas seulement en parole ! Combien d'évangélistes et de prédicateurs ont prêché cette parole, mais cette parole n’a pas trouvé son accomplissement en eux ? Dieu veut que chaque parole puisse trouver en nous son accomplissement.
Maintenant suit quelque chose tirée d'une expérience qui m'a beaucoup touché :
« Il y a à peu près une semaine d'ici, nous avions envoyé dans le monde entier des bandes magnétiques sur les sept sceaux, jusqu'à l'intérieur de l'île de la Jamaïque, où je suis déjà allé en mission. Là-bas, derrière la montagne, tout est primitif. Parfois les indigènes, là-bas, ont un vieil appareil pour bandes magnétiques qu'on doit encore tourner manuellement, vous connaissez cela, avec une manivelle qu'on doit donc faire tourner. Et ces gens avaient un vieil appareil à bandes magnétiques, avec une batterie de six volts, et tous étaient assis ensemble, rassemblés tel que nous le sommes ici ce soir, et écoutaient ces prédications sur les sceaux. C’était ainsi. Pendant que je parlais, ils ont observé comment est-ce-que la même colonne de feu est entrée dans la pièce où ils se trouvaient, et est allée là où l'appareil à bandes magnétiques se tenait, et est restée suspendue sur l'appareil. Ils sont allés chercher un appareil photo, et ils ont pris une photo : Exactement la même colonne de feu qui était suspendue là, sur l'appareil. Nous allons l’agrandir, et nous allons la placer là-bas, l'exposer pour que vous puissiez voir cette photo ».
J'ai dû penser à ça : Que ces hommes simples croient de tout leur cœur, et ils sont liés avec Dieu de tout leur cœur d'une telle manière qu’Il peut descendre dans leur union, et Se manifester visiblement parmi eux, rendre témoin de Sa présence ! Ici, nous écoutons des choses puissantes, mais nous ne sommes pas saisis par ces choses que nous écoutons, nous ne sommes pas touchés, nous ne sommes pas emportés par elles. Nous écoutons, nous écoutons souvent les prédications sans que Dieu ait la possibilité de répéter tout ce qu'Il a fait autrefois.
Ces gens ne priaient pas pour ça ! Cela a eu lieu parce qu'ils étaient rassemblés dans la crainte devant Dieu ! Et peut-être même qu'une vieille grand-mère a dit : « Seigneur, Tu peux aussi descendre parmi nous, comme Tu le faisais alors que les sept sceaux avaient été prêchés autrefois ». Qu'est-ce qu'on sait ? Et déjà, le Seigneur a exaucé le souhait et la prière de ces gens.
La chose la plus convaincante de cet exposé consiste à ce qu’un appareil photo a été pris, et qu'une photo a été prise qui devrait ensuite être suspendue pour que vous puissiez voir.
[Ce n’est] pas que nous cherchions de telles choses. Dieu est souverain. Il fait ce qu'Il veut, et pas ce que nous voulons ! Ça, nous le savons tous. Nous sommes sortis des chaussures d'enfants, quoi que, quand je pense à Hébreux 6 où Paul dit que nous ne sommes plus des enfants qui boivent encore du lait, mais nous devrions consommer de la nourriture solide ; mais parfois, nous buvons le lait même de travers ! Alors, comment est-ce que nous pourrons consommer de la nourriture solide ?
Mais ici, j'ai remarqué que le peuple d'Israël, en fait, avait un voyage merveilleux jusqu'au point où il fallait traverser et entrer dans le pays de la promesse. Auparavant, Dieu avait frayé tous les chemins, tout aplani. Et, s'ils n'avaient pas été dans l'incrédulité, ils auraient atteint le but sans problème. Mais, quand le temps était arrivé où ils devaient justement passer dans le pays, les dix espions ont carrément exprimé qu'ils ne croient pas, et ils ont emporté tous les autres, et les ont ravis de nouveau dans l'incrédulité. Mais, il y en avait deux qui étaient prêts à croire malgré tout.
Et vous voyez, si on a compris ce que Dieu veut, alors nous devons nous placer dans le devoir que nous avons à remplir. Parfois, nous tirons à côté, mais nous nous n’abandonnons pas, nous continuons. Et chacun de nous qui a joué au football, il sait que chaque attaquant tire plus de coups à côté du but que dans le but, mais, les tirs qui sont allés à côté du but n'ont jamais été comptés ! Je n'ai jamais entendu une seule personne qui aurait compté tous les tirs qui sont allés à côté du but ! Aucun homme n'est aussi idiot sur la terre. Tous ceux qui regardent un jeu de football ne comptent pas les tirs qui passent à côté du but, mais ils exaltent, ils crient de joie quand un but est tiré ; et alors ils ont le droit de dire : Nous avons marqué trois buts aujourd'hui ici.
Et vous savez ce qui s'est passé ? Et ça nous l'avons tous vécu parce que j'avais toujours bien couru depuis ma jeunesse, n'est-ce pas, j'avais même souvent ce devoir-là, de courir. Mais quand vraiment on donne tout son effort, cette personne-là doit justement parfois rester assise sur le banc, et on siffle sur elle, sur cette personne. Mais celui qui est parmi les spectateurs, jamais il ne doit aller sur le banc et rester assis, ou bien alors on sifflerait sur lui. On ne siffle sur aucun spectateur. Ils peuvent tous regarder, il n'y a aucune pénalité, etc.
Pourquoi est-ce-que je vous ai dit cela ? Pour vous rappeler un sport ? Non, sûrement pas ! Nous sommes dans une bataille, dans un combat, une bataille spirituelle. Et si parfois, aux attaques du diable, il y a des tirs qui passent à côté de nous, nous ne les comptons pas, parce que Dieu ne les compte pas non plus. Dieu compte seulement les choses qui sont un but et qui visent la cible. Et on dit : « L'exercice fait le maître ». Et vous savez comment c'est bien après l'exercice. Mais nous sommes justement dans cette course, et nous ne sommes pas prêts à abandonner, mais à continuer à courir. Avec Dieu, nous ne pouvons rien faire d'autre que de nous mettre à la disposition du Seigneur, et de ce grand devoir que nous avons. Continuons à lire la citation. Ici, il est dit :
« Nous sommes reconnaissants pour la grâce de Dieu qui nous a été accordée dans ces jours dans Sa présence. Nous sommes reconnaissants pour beaucoup de choses ».
Oui, pour tout ce qui vient de Dieu, nous sommes reconnaissants. C'est seulement ça qui compte. Tout le reste, n'est-ce pas, ne sera pas compté et ne compte pas. Le Seigneur a dit une fois : « Les enfants de ce monde sont plus sages que les enfants du royaume ». Et ça, c'est vraiment ainsi. Mais, il y a aussi une sagesse divine, et nous devons justement la recevoir, nous devons être présents quand Dieu la distribue. Ici il est dit encore. Citation :
« Les réunions de prière, le mercredi soir, sont seulement une réunion courte dans laquelle nous venons seulement pour prier tel que nous l'avons fait, et pour avoir communion les uns avec les autres. Parfois, je crois que l'une des plus grandes choses que je constate dans ce temps, c'est le manque en sincérité dans ce que nous croyons. Si Dieu avait fait du temps de Wesley ce qu'Il fait aujourd'hui, qu'est-ce qui se serait passé ? Et ensuite, ça continue. S’Il l’avait fait du temps de Martin Luther, etc. ».
Et les comparaisons sont faites dans cette brochure. Dieu, le Seigneur, est descendu dans notre génération dans la colonne de feu. Il a parlé avec nous de manière contraignante, et Il nous a révélé les mystères de Sa parole et de Sa volonté ; et malgré tout, il y a assez de personnes qui passent à côté de ces choses, et qui continuent à croire ce qu'ils ont toujours cru jusqu'à maintenant.
Pourquoi est-ce que la gloire de Dieu est descendue là où ils écoutaient la bande magnétique Jamaïque ? C'est parce que des gens, dans la crainte de Dieu et dans le tremblement, pas dans la peur, mais avec crainte, dans la présence de Dieu, du Seigneur, étaient rassemblés dans Sa présence, et croyaient sincèrement que là où deux ou trois sont réunis au nom du Seigneur, là où ils sont un, là, Il est parmi eux.
« Ici, Paul continue à écrire et dire… je voudrais prendre deux mots du premier verset : Paul, prisonnier de Jésus-Christ. Ce que, si le Seigneur le veut, je veux prendre comme texte ce soir, c’est : Un prisonnier ».
Laissez-moi lire entièrement tout ce paragraphe ici.
« Est-ce que vous pouvez vous imaginer que Paul se considérait comme prisonnier ? Un homme né dans la liberté, qui était rempli du Saint-Esprit, et qui se désigne ici comme étant prisonnier ! Nous constatons qu'il écrit aux Corinthiens et il dit : Paul, apôtre de Jésus-Christ ; et une autre fois : Paul, un serviteur (esclave) de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, alors qu'il s'adresse à Timothée et aux autres. Dans son écrit à Philémon ici, il dit : Paul, prisonnier de Jésus-Christ. En ce qui concerne Paul, apôtre, j’en parlerai aussi un soir ; et de Paul en tant que serviteur et esclave, je vais aussi en parler. Mais ici, je veux parler de Paul en tant que prisonnier. C'est de ça que je parle ce soir ; car j'aurai besoin d'heures pour prendre l'un de ces sujets en détail. Ce soir, je parle de cela : Paul, un prisonnier ».
Bon, pas seulement Paul, mais moi, frère Frank, et toi, frère, et toi, sœur ; nous tous, nous devons aujourd'hui comprendre que nous devons insérer nos noms à la place de Paul. À quoi cela nous sert-il que Paul était un serviteur de Dieu, un prisonnier de Jésus-Christ, et qu'il était prêt à rencontrer le Seigneur, à aller à Sa rencontre, aimait Son avènement, était conduit par le Saint-Esprit, rempli du Saint-Esprit, conduit par le Saint-Esprit dans toute la vérité ; si toutes ces choses n'étaient pour nous seulement qu'un cours auquel on prend part, un enseignement, sans que nos noms ne puissent être insérés dans ces choses, pour que les choses qui nous ont été révélées par la parole deviennent aussi une réalité en nous ?
Combien de nous l’attendent vraiment ? Que ces choses deviennent une réalité ? Combien ne prient pas seulement, mais s’attendent à ce que cela arrive ? Combien sont dans une sainte insatisfaction que cela ne soit pas encore arrivé ? Nous ne voulons pas passer à un mécontentement, mais malgré tout, je pense qu'une insatisfaction sainte et saine que Dieu n'a pas encore reçu ce qui Lui revient de plein droit, est à sa place.
Si nous pouvions dire : « Seigneur, nous ne pouvons plus rien faire d'autre, si ce n'est qu'en tant que le Ressuscité, en tant que le même, hier, aujourd'hui et éternellement, Tu Te révèles, Tu prouves Ta présence parmi nous ! ». Si c'est vraiment un ardent désir, cela aura lieu, cela doit avoir lieu. Maintenant arrive :
« Ne jugez pas votre vie selon la puissance que vous avez pour faire des miracles ; et nous ne nous jugeons pas seulement aussi selon la connaissance que nous avons de la parole ; mais jugez-vous seulement en entrant en vous-mêmes pour faire un inventaire de votre vie, pour savoir quelle sorte de fruits porte la vie que vous menez actuellement, car c'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez ; pas à leurs dons et à leurs devoirs, pas à ce que nous pouvons produire ou bien apporter de nous-mêmes ; mais par ce qui peut naître et croître comme fruit de la vie spirituelle que Dieu nous a donnée ».
Prenons le temps, et faisons cet inventaire. Je dois aussi le faire. Quels fruits l'Esprit de Dieu a pu produire en nous ? Dans Galate 5, les neuf fruits de l'Esprit sont clairement énumérés ; et la question est la suivante : Est-ce que ces fruits-là ont pu croître en nous ? Est-ce qu'ils ont pu sortir de nous ? Ou bien, est-ce que rien n'a germé ? Il faut que cela germe dans notre vie. Si cela ne germe pas, ça ne peut pas croître ; et ce qui ne croît pas, ne peut pas non plus mûrir.
Si nous savons que dans le temps de la moisson, tout doit être mûr avant d'être récolté, alors nous nous posons la question, n'est-ce pas, déjà maintenant et dans le tout le sérieux : Est-ce que les choses divines ont germées ? Encore moins : Est-ce qu'elles ont mûries ? On peut toujours poser la question, mais sûrement à la fin, pas déjà maintenant, quand il s'agit de la maturité ; est-ce que c'est mûr ou pas ?
D'abord, il faut qu'une semence soit semée ; et cette semence ne doit pas être semée sur un champ épineux, sur un sol pierreux, ou alors sur le chemin où la semence sera piétinée, mais sur le bon sol du cœur. Il faut que la semence soit semée, et ensuite, il faut qu'elle germe. Mais ensuite, les pierres et les épines et tout ce qui pourrait empêcher le déroulement normal, naturel, tout doit être ôté. Le Seigneur donne cet exemple-là dans Matthieu 13. Il que même les soucis de la vie peuvent venir pour couvrir cette semence, pour étouffer cette semence.
N'avons-nous pas tous fait cette constatation ? Si nous parlons des choses que Dieu a faites et que nous nous en réjouissons et avons des pensées positives, nous sommes aussi en bonne santé. Mais si nous nous occupons de choses négatives et toutes sortes de choses négatives, alors elles nous rendront malades et elles nous attristent et nous découragent. N’est-ce-pas ? Oui ou non ? N'êtes-vous pas encore tous des hommes ? Bien sûr ! Nous ressentons tous les mêmes choses en tant qu’hommes, et nous devons maintenant reconnaître ce qui nous nuit, et ce qui nous aide ; ce qui nous retient, et ce qui nous donne de l'élan ; ce qui nous sépare de Dieu, et ce qui nous permet de continuer à marcher avec Lui. Nous devons être assez réalistes et nous le dire, et nous laisser dire cela d'un autre : Tout ce qui nous retient et nous paralyse et ne nous fait pas suivre le Seigneur dans la foi, ne peut pas venir de Lui ; parce que ce qui vient de Lui ramène à Lui et nous édifie, et nous fortifie dans la foi et dans notre vie spirituelle. Tout ce qui nous retient et nous paralyse ne peut pas venir de Dieu.
Donc, nous devons faire un inventaire de notre vie pour voir quelle sorte de fruit sort de notre vie. Le Seigneur veut que ce fruit-là soit réellement bientôt visible. Ici, il est dit encore :
« Comme il n'y a pas longtemps, dans une réunion des hommes d'affaires chrétiens, à Phoenix, en Arizona, j'ai parlé du reflet de Jésus que la vie chrétienne reflète. Donc, la vie d’un chrétien reflète Christ ».
Donc, notre Seigneur doit Se refléter dans notre vie, par notre vie. Et là, aucune théorie ne sert à quelque chose, aucun bon conseil non plus, ou proposition. Là, il s'agit de reconnaître la volonté parfaite de Dieu, et être prêt à la faire. Ici encore, citation :
« Alors, là aussi, nous nous posons la question. Je me suis dit : Nous aussi, nous reflétons quelque chose, notre vie est retransmise. Si nous avions vécu du temps de Noé, de quel côté est-ce que nous nous serions tenus ? De quel côté nous serions-nous tenus dans les jours dans lesquels Noé vivait ? ». Et ensuite, il cite ici plusieurs choses dans la brochure, et il continue à parler dans ce contexte des choses : « De quel côté nous serions-nous tenus dans les jours de Moïse, d’Abraham et tous ces prophètes, jusque même aux jours de Jean-Baptiste, de notre Seigneur Lui-même, des apôtres, et jusqu'à notre temps ? ».
Quelle est la chose particulière dans le message divin ? Est-ce que c'est un enseignement ? Est-ce que c'est une connaissance ? Non ! La chose particulière dans le message divin dans ces jours parmi le peuple de Dieu, consiste à ce que le Seigneur nous a mis à jour dans les choses de Son royaume ; et, selon les promesses de Sa parole, Il nous a montré ce qui doit arriver dans ces jours ; et nous nous trouvons au milieu de l'accomplissement de toutes ces choses que Dieu a promises et qu’Il fait maintenant.
La différence entre ceux qui suivent le Seigneur, et ceux qui ne le suivent pas, consiste simplement en ce que les uns ne sont pas prêts à continuer à marcher avec le Seigneur selon la révélation de Sa parole et de Sa volonté pour être justement en accord avec Sa parole et avec Sa volonté jusqu'à la fin. Aujourd'hui, ça ne suffit pas d’être seulement en accord avec ce qui s'est passé il y a quarante ans, cinquante ans, cent ans en arrière ; mais il s'agit d'être en accord avec ce que Dieu fait aujourd'hui. Nous devons être en accord avec cela.
Et pour être assez clair, il y en a assez qui se réfèrent à frère Branham, et ils marchent dans toutes sortes de directions, mais seulement pas dans celle dans laquelle il a marché ! Et ils disent toutes sortes de choses, mais pas seulement ce lui il a dit en re référant à lui. Et je l'ai raconté une fois. Une fois à Singapour, j'ai eu un entretien avec un homme assez égocentrique qui se prenait pour quelque chose de particulier je ne sais pas pourquoi jusqu'à aujourd'hui, mais c'était ainsi ; et il disait : « Frère Frank, je vais écrire sur ce sujet, je vais éditer une brochure ! ». J'ai dit : « Mais, frère, qu'est-ce que tu veux écrire ? » ; « oui, je veux écrire et je veux exposer la chose ! ». J'ai dit : « Mais, est-ce que tu ne crois pas que frère Branham a déjà exposé la chose de manière claire ? ». Il dit : « Non ! Il y a trop d'incompréhension, tout cela doit être corrigé ! ». Et pour finir, j'ai même reçu sa brochure et je l'ai lue. Je souris maintenant, mais c'était à pleurer, c'est à pleurer.
Si c'était moi ou quelqu'un d'autre, que nous voulions nous asseoir pour écrire sur un sujet et philosopher sur un sujet sur lequel Dieu déjà a accordé la vérité et la clarté, et que cela reste seulement caché à ceux qui, dans la dureté de leur cœur, restent attachés à leur credo et ne sont pas prêts à se laisser mettre à jour dans le royaume de Dieu. Il y a eu des choses offensantes, blessantes dans son exposé, de manière que ce n'est même pas possible à quelqu'un de répéter ces choses.
Mais, qu'est-ce que je voulais dire par cela ? Des gens prêchent le message, mais, tel que le prophète l'a apporté, il n'était pas correct pour eux, ils doivent donc corriger les choses ! Non. Personne ne pourra subsister devant Dieu avec cela. Si Dieu a justement envoyé le prophète, c'est pour te corriger, toi et moi et chacun qui veut subsister devant Dieu. Oui ou non ? Est-ce que nous voulons corriger Dieu ? Est-ce que nous voulons corriger Son prophète ? Ou bien, est-ce que nous sommes là pour être corrigés par Dieu, par Sa parole révélée et être conduits dans toute la vérité par le Saint-Esprit ? Ici, il est écrit :
« De quel côté est-ce que vous vous seriez tenus ? Alors, ne dites … votre vie, la vie que je vis maintenant, reflète maintenant exactement ce que vous auriez fait autrefois, car vous êtes encore en possession du même esprit. Si vous vous tenez maintenant de leur côté, vous l'auriez fait aussi autrefois, car le même esprit qui est en vous aujourd'hui, maintenant, actuellement, était dans les gens autrefois ».
Ça, nous le croyons de tout notre cœur. Tous ceux dans lesquels le Saint-Esprit était vraiment, se tenaient du côté de Dieu, et par cela, aux côtés de ceux par lesquels la parole de Dieu avait été annoncée dans leur âge ; et en cela, ils ne se tenaient pas du côté d'un homme. C'est seulement l'impression d’être aux côtés d'un homme, mais en fait, ils se tenaient du côté de Dieu qui avait seulement parlé par la bouche d'un homme ! Ensuite il est dit, citation :
« Donc, le même esprit qui était sur Élie, est venu sur Élisée. Qu'est-ce que c'était ? L'homme croyait de tout son cœur que cet homme, Élie, était envoyé de Dieu ; et plus tard, même une double portion est venue sur lui ».
Pensez maintenant à la différence entre Élisée et Guéhazi, alors que Naaman qui était venu de Damas pour parler avec Élisée … c'était Élisée, oui, oui, bien sûr, c'était Élisée, oui sûrement, c'était Élisée ; et Élisée n'est même pas sorti à lui !
Si j'ai bien l'histoire dans la mémoire, il lui fit dire par un messager : Va, et lave-toi sept fois dans le Jourdain, ta chair redeviendra saine, et tu seras pur et guéri de ta lèpre ! Et quand cet homme a entendu cela, il s'est irrité, et il a dit : « Quoi ! Les fleuves de Damas sont mieux que toutes les eaux d'Israël ! Ne pourrais-je pas m’y laver et devenir pur là-bas, en Syrie ? Et ses serviteurs lui ont dit : Mais, si le prophète t'avait demandé quelque chose de difficile, ne l'aurais-tu pas fait ? Combien plus tu dois faire ce qu'il t'a dit : Lave-toi, et tu seras pur ! Et voilà, il l'a fait. Et quand il est sorti de l'eau la septième fois, sa peau était comme la chair d'un jeune enfant, il fut pur, c'est ainsi que c'est écrit, parfaitement pur. Qu'est-ce qui l’a purifié ? L'eau sale du Jourdain ? Non, sûrement pas ! C'est la parole du Seigneur qui avait retenti, qui était sorti, et déjà cela a eu lieu.
Vous savez ce qui s'est passé encore ? (2 Rois 5 : 14). Guéhazi a pensé en lui-même : « Voici, mon maître a ménagé cet homme, il n'a rien pris, il n'a rien accepté de sa main ! Moi, je vais le suivre, et je vais lui dire : Écoute, il y a une fête qui a eu lieu. Mon maître m'envoie te dire de donner des présents pour la fête ». Et c'est ce qu'il a fait. Et qu'est-ce qui s'est passé ensuite ? Que s’est-il passé ensuite ? Il revient ensuite à l'homme de Dieu, et Élisée lui demande : « Où est-ce que tu étais ? Ne continue pas à parler, je t'ai observé » ; et Élisée lui a dit : « Mon esprit n'était pas absent lorsque cet homme a quitté son char pour venir à ta rencontre. Pourquoi est-ce que tu l'as fait ? Pourquoi est-ce que tu as accepté cela ? Maintenant, la lèpre de Naaman est sur toi ! ». Et il est ressorti avec une lèpre comme la neige.
Et là, nous remarquons que dans le royaume de Dieu, on ne peut pas faire du business (ou bien des affaires). Tout ce qui a lieu, a lieu avec la grâce, et avec et par ceux par qui Dieu a déterminé à faire Son œuvre dans le royaume de Dieu. Personne ne peut venir ici dans le royaume de Dieu et tendre la main avec l'intention de faire des affaires (ou du business), sinon ils vont recevoir ce qu'ils ne veulent pas recevoir ! Il y a beaucoup de leçons ici, dans la parole de Dieu. Ici il est écrit :
« Alors, revenons ici à Paul. Ça a dû être quelque chose de terrible pour cet homme ; donc Paul, Saul de Tarse, qu'il persécutait exactement ce qu'il avait désiré être ».
Nous sommes déjà ici à Saul de Tarse, oui. Il voulait de tout son cœur servir Dieu ; il était convaincu qu'il le faisait. Et voilà, ce que Dieu faisait dans son temps, il l'a persécuté ! Et c'est pour cette raison que l'expression est faite ici :
« Ce qu'il avait l'intention de faire, c'est-à-dire servir Dieu de tout son cœur, et bâtir le royaume de Dieu et faire la volonté de Dieu, c'est justement ce qu'il détruisait. Et maintenant, le tournant est venu pour lui : Le Seigneur lui est apparu dans la nuée, dans la colonne de feu ; et déjà, toute son instruction reçue par Gamaliel était terminée, était passée, et il a été enseigné par Dieu. Il est allé dans le désert de l'Arabie, il est resté là-bas à peu près trois ans, trois ans et demi ; et ensuite, il est revenu enseigné de Dieu ».
Vous savez, même si cet homme… J'ai lu cette parole aujourd'hui, je pensais que ce serait bien pour une lettre circulaire. Si cet homme de Dieu, ici, dans 1 Corinthiens 14, écrit au verset 37 : « Si quelqu'un croit être prophète ou spirituel, qu'il reconnaisse que ce que je vous écris ici est un commandement du Seigneur ». Ça ne sert à personne de dire : « Je suis spirituel ! Je suis oint ! J’ai des dons de l’Esprit ! Je suis un prophète ! ». Si quelqu'un est vraiment spirituel, et que l’onction est vraiment sur lui, alors il y aura un accord avec ce que Dieu a dit par les prophètes, par les apôtres, et par Ses serviteurs, par la même onction du Saint-Esprit. Il ne peut pas y avoir de contradiction.
Et là, ça commence déjà avec le même sujet, le sujet sur la divinité. Quelqu'un peut dire : « Ça n'a pas d'importance qu'on croit comme ça ou bien comme ça ! ». Non, justement pas ! L'enseignement biblique est vrai, et tout le reste est faux ! On ne peut pas dire que ça n'a pas d'importance. On ne peut pas dire que ça c'est vrai, ou ça c'est vrai. Non. Il faut que ce soit biblique, exact, pour que ce soit vrai !
L'exemple n'a pas encore bien sa place ici, mais celui qui croit en Dieu… que Dieu me pardonne si je tire une comparaison un peu humaine. Si vous avez une table avec trois pieds, et qu'elle se tient quand même, elle ne tombe pas ; mais si vous la poussez un peu et qu'elle tombe, alors qu'est-ce qu'elle a ? Vous n'avez plus rien. On ne peut pas dire : « Bon, ce n'est pas grave, trois sont devenus un ! ». Il faut qu'on dise que le seul vrai Dieu, constitué d'une seule personne éternelle, en tant que Père, ensuite dans le Fils, et ensuite, le même Dieu par le Seigneur de l'Esprit S'est révélé.
On ne peut pas prendre une chose, la renverser sur la tête, et dire que c'est en ordre ! On ne peut plus manger là-dessus. Si une table a trois pieds, on ne peut pas dire que c'est quand même une table, ce n'est pas grave. On ne peut pas manger là-dessus. Que Dieu me pardonne cet exemple. On ne peut pas prendre une table à trois pieds et dire que c'est quand même une table. Non, si elle tombe, alors qu'est-ce qui se passe ? Non, on ne peut pas dire que ce n'est pas grave, on peut manger là-dessus, non.
Il y en a qui disent : « Mais, frère Branham s’est fait tant d'ennemis ! Est-ce qu'il aurait pu éviter cela ? Le jour de l'éternité aurait décidé ». Non, il fallait que Dieu révèle la vérité. Il fallait que Dieu sépare la lumière des ténèbres ! Il fallait que cela soit révélé. Celui qui croit avec l'intelligence humaine, et qui est prêt à croire du tout son cœur ce que Dieu a dit. Car il y a seulement deux choses dans ces derniers jours : Les uns sont sous l'influence du Christ, et les autres sous l'influence de l'antichrist ! Et entre les deux choses, il n'y a pas une première position.
Il y en a qui veulent être entre les deux, danser en même temps à deux mariages, être en même temps au ciel et en même temps chez les rois ici sur la terre. Non ce n'est pas possible. Notre Dieu a parlé de manière claire, contraignante, pour nous tous aujourd'hui. Celui qui n'est pas prêt à prêter l'oreille à la parole de Dieu, Dieu ne lui a pas encore ouvert l'intelligence pour les Écritures, Dieu ne S'est pas encore occupé de cet homme. Cela peut encore arriver. Mais, si c'est vraiment arrivé que Dieu t’a rencontré, alors la révélation que tu as sera selon les Écritures, elle sera la révélation biblique divine qui est en accord avec tous les apôtres et les prophètes. Chaque sujet différent sera clair et accordé à chacun, individuellement. Ce n'est pas possible autrement.
Nous voyons ce qui se passe dans le monde. L'antichrist ensorcelle toute l'humanité ! Il parle, il a des textes religieux, il a des écritures qu'il utilise dans sa bouche. Et comme les Écritures disent, en tant qu'ange de lumière habillé en blanc, tous tombent à ses pieds. Et qu'est-ce que frère Branham a dit dans la prédication ? « Satan voulait être adoré, être vénéré, il voulait s'élever, il voulait se rendre semblable à Dieu ; et alors il a été précipité sur la terre ». Et il dit : « Depuis lors, il voulait influencer les gens sur la terre, faire en sorte que les hommes l'adorent, lui ». Et frère Branham dit : « Cela arrive dans ces derniers temps en ce que l'antichrist se personnalise. Satan lui-même se manifeste dans l'antichrist, avec un masque religieux ».
Et moi, est-ce que je dois croire ce qu'il croit tout en disant que lui il est faux et moi je suis vrai ? Ce ne serait pas possible ! Si des gens croient à la divinité telle que l'antichrist l'a enseigné depuis le commencement, et disent qu'il est faux, et qu'eux ils sont justes, alors qu'ils croient comme lui croit ! S'ils baptisent comme il baptise, et qu'ils utilisent même formule, comme lui il l’utilise et tous ses compagnons. Depuis quand est-ce que la même chose sont deux choses ? Ce n’est pas possible ! Vous baptisez comme lui, vous croyez comme lui, et vous dites que vous êtes dans le juste et lui il est faux et que nous puissions comprendre cela !
Ici, il ne s'agit pas de paroles, il ne s'agit pas de mots, d'expressions. Il s'agit que, dans les derniers jours, les vérités divines de la parole du Dieu sont placées encore une fois sur le chandelier, pour être portées par l'Église. Et si une vérité manque, alors un maillon manque. Et un jour, cela ne suffira plus ! Alors, Dieu veut aller de l'avant avec nous, et nous accorder la grâce pour que nous reconnaître Ses voies dans ces jours, et y marcher.
Est-ce que frère Branham n'aurait-il pas pu aller dans un chemin large avec tous les autres ? Pourquoi est-ce qu'il devait entreprendre un chemin si difficile, épineux, montagneux, difficile, pierreux ? Ils ont dit : « Mais, enseigne-nous sur les dons spirituels, etc. », mais vous ne connaissez même pas encore votre ABC ! Et cela doit avoir lieu avec nous. Nous, nous devons connaître notre ABC. Dieu doit pouvoir compter sur nous. Et nous devons de tout notre cœur croire que le Seigneur, par Son serviteur et prophète, a parlé dans notre génération.
Si quelqu'un pense qu'il est un prophète, qu'il est spirituel, qu'il a des dons, qu'il a l'onction du Saint-Esprit, alors, qu'il puisse reconnaître que ce qui est écrit ici vient de Dieu. Si quelqu'un prétend, dit l'homme de Dieu, qu'il est spirituel, qu'il a l'Esprit, qu'il a l'onction, il doit reconnaître que ce qui a été créé ici est un commandement du Seigneur. Et autrefois, ils se sont moqués de Paul, et ils ont dit : « Il est puissant dans ses écrits, il est dur ; mais dans sa présence, son discours est faible ! Il ne sait même pas parler ! ». Qu'est-ce que c'était ? Les gens, autrefois aussi, n'ont pas reconnu que Dieu avait parlé par Paul, et que l'histoire du salut aussi, autrefois, était en train de se dérouler.
Nous sommes reconnaissants au Seigneur de ce que, dans ces jours, nous avons la grâce de reconnaître que Dieu amène l'histoire du salut à sa fin, et qu'Il a envoyé Son Serviteur le prophète, pour nous ramener à la parole et à la volonté de Dieu originelle, abandonnant tout ce qui vient de nous, et que la sagesse, l'amour, la puissance de Dieu nous soit accordée, et que nous puissions lever nos mains, nous rendre, et dire : « Seigneur, je veux être un prisonnier, un prisonnier de Jésus-Christ. Me voici ! Fais avec moi ce qui Te plaît ».
Et vous voyez, vous, jeunes hommes, vous, jeunes frères, prenez pour vous la parole que Paul a adressée à son ami et à son compagnon d'œuvre, à Philémon. Que votre témoignage et les choses pour lesquelles Dieu vous utilise soient bénédiction pour les autres saints, pour les autres croyants. Si des personnes âgées rendent un témoignage, c'est naturel. Mais, quand des jeunes hommes, des jeunes frères et sœurs rendent un témoignage, comment est-ce qu'ils ont expérimenté le Seigneur, et ce qu'ils ont reçu de Lui, c'est quelque chose d'autre. C'est impressionnant de voir déjà des jeunes gens. Les vieilles personnes ont une expérience de vie, mais les jeunes aussi peuvent rendre un témoignage, s'ils ont fait des expériences avec le Seigneur.
Moi, je consacrerai encore ma vie au Seigneur. Quand je pense, aucun jour, aucune heure, aucune occasion, toutes ces cinquante années que j'ai passées, pas un seul jour, une seule heure ne reviendra. Tout est passé pour toujours. Oh ! Alors je voudrais dire, comme frère Branham : « Seigneur, aide-moi, fais-moi grâce, que le reste de ma vie, que je puisse vraiment l'utiliser pour Toi et vivre pour l'honneur de Ton nom, dans Ta parfaite volonté ».
Prisonniers de Jésus-Christ, des gens qui se sont rendus à Dieu, qui croient Dieu et qui font confiance à Dieu. Pas des paroles religieuses, mais la réalité divine, les réalités divines dans ta vie et dans ma vie. Aujourd'hui, le Seigneur nous appelle à Le suivre, à Lui appartenir, à Lui consacrer entièrement notre vie ; et Il est ici pour nous prendre entièrement captifs, et nous bénir de la plénitude de Sa grâce. À Lui soit l’honneur pour cela ! Amen ! Levons-nous pour la prière.
Père céleste, comme Ta parole est glorieuse, merveilleuse ! Mais comme elle est sérieuse, ô Dieu ! Seigneur, Tu nous vois tous. Tu nous connais, et Tu connais nos pensées et nos cœurs. Seigneur, que nous puissions vivre pour Toi, être là pour Toi, à Ta disposition. Que nous ne puissions plus vivre pour nous-mêmes, mais pour Toi, parce que nous T'appartenons.
Seigneur fidèle, Tu as un reste, qui se sont reniés, qui ont levé les mains, et qui se sont rendus, qui veulent T'appartenir en tant que prisonniers. Accepte-nous ! Nous nous rendons en tant que Tes prisonniers. En tant que Tes prisonniers, nous sommes libres, libérés, Seigneur, et nous pouvons nous réjouir de la liberté des enfants de Dieu. Oh Seigneur ! Agrée-nous. Prends-nous prisonniers, jeunes et âgés, petits et grands ; que nous sachions beaucoup, peu de choses ou rien du tout, que nous puissions trouver grâce devant Toi ce soir.
Que Ta gloire puisse revenir parmi nous. Ressuscite-nous les années passées. Fais-nous grâce à cause de Ton merveilleux et de Ton saint nom.
À Toi la louange, la reconnaissance pour tout, dans le précieux nom et saint nom de Jésus-Christ ! Amen !