Ewald Frank
Krefeld le 21 avril 1982 à 19 heures 30
CLASSIFICATION CORRECTE DES PASSAGES BIBLIQUES CONCERNANT LES ÉPÉES ET LES SOCS !
(Retransmis le 25 décembre 2024)
[Introduction]
2 Pierre chapitre 3 verset 1 :
« Voici, bien-aimés, la deuxième lettre que je vous écris. Dans les deux, je cherche à éveiller votre saine intelligence par des avertissements, afin que vous gardiez en mémoire les paroles annoncées d'avance par les saints prophètes, et le commandement de notre Seigneur et Sauveur enseigné par vos apôtres ; vous devez avant tout savoir que, dans les derniers jours, il y aura des moqueurs avec des railleries, des hommes qui marchent selon leur propre convoitise, et disent : Où est donc son retour promis ? Depuis que les pères se sont endormis, tout est resté tel que cela était depuis le commencement de la création. En affirmant cela, ils veulent ignorer, en effet, que les cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, et de même qu'une terre tirée de l'eau est formée au moyen de l'eau, et c'est précisément pour cela que le monde d'alors a péri, submergé par l'eau, tandis que, par la même parole, le ciel et la terre actuels sont réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies ».
Peut-être jusqu'ici, cette précieuse et sainte parole de Dieu. Pierre, un homme de Dieu, dit ici que c'était déjà sa deuxième lettre, et nous trouvons toujours lorsque nous lisons, qu'il voulait tenir les croyants en éveil, et leur rappeler de se souvenir et de s'accrocher à ce qui leur avait été donné par le Saint-Esprit, ce qui leur avait été dit par les saints prophètes, par les apôtres, ce qui leur avait été communiqué, qu'ils ne devaient pas l'oublier, oublier toutes les paroles qui leur avaient été données.
Lorsque j'ai lu tout ceci, j'ai dû réfléchir et penser que nous aussi, frères et sœurs, nous ne pouvons pas nous accrocher à quelque chose d'autre, si ce n'est à ce que Dieu a placé sur le chandelier de manière particulière en ces jours par Ses serviteurs et Ses prophètes. Ça, c'est la vérité.
Et Pierre aussi, ici, s'il n'avait pas trouvé cela nécessaire, il n'aurait pas eu besoin de l'écrire, mais il a interpellé les croyants à prêter attention à la parole prophétique, à la parole que les prophètes ont annoncée. Oui, cette parole s'est déjà accomplie en partie en leur temps, lorsque les apôtres étaient sur la terre, lorsque le Seigneur Jésus est venu. Et bien des choses se sont accomplies, et beaucoup de choses se sont encore produites jusqu'à nos jours, et d'autres sont encore à venir.
Mais, nous devrions également être attentifs à ce que ces hommes de Dieu, poussés par l'Esprit, ont dit. Il se peut qu'en ces jours-là, lorsque ces hommes devaient apporter ces prophéties, ils aient eu l'impression de parler de quelque chose qui n'existe pas du tout, qui ne s'accomplit pas du tout, qui ne pouvait pas se manifester. Mais, nous devons garder une chose à l'esprit, frères et sœurs : Dieu fait ce qu'Il veut, et Il a fait connaître Sa volonté. Et, quand est-ce qu'Il l'accomplit ? Ça dépend uniquement de Lui ! Et aucun homme ne peut y ajouter ou retirer quoi que ce soit, mais le Seigneur S'est réservé de décider des temps.
Mais, nous devrions… je crois aussi que les apôtres ont regardé avec des yeux ouverts à ce que les prophètes avaient dit. Le Seigneur Lui-même a lu dans les livres des prophètes, et a dit : « Aujourd'hui cette parole de l'Écriture est accomplie devant vos yeux ». N'est-ce pas glorieux, frères et sœurs ! Nous avons tellement des raisons d'être reconnaissants à Dieu, que nous n'avons besoin de personne. Nous n'avons besoin que de ce que Dieu nous donne : C'est Sa parole. Et les hommes qu'Il a envoyés, nous devons les aimer, les estimer et être attentifs à ce qu'ils ont dit depuis les temps anciens jusqu'à nos jours.
Ainsi, nous sommes heureux et reconnaissants. Bien sûr, si nous en parlions même de nos jours, cela semblerait ridicule pour beaucoup. Il en était probablement de même au temps des apôtres, cela paraissait ridicule pour beaucoup. Mais Pierre dit ici que : « Dans les derniers jours, il y aura des moqueurs avec leur railleries, ils diront : Où est donc Son retour promis ? Tout reste comme c'était avant ! » Mais ils ne savent pas ce que Dieu fait ou ce qu'Il veut faire, et ils ne voient pas non plus le plan de Dieu. Mais Dieu a conçu un plan.
Et nous, en tant qu'enfants de Dieu, nous pouvons voir comment tout s'accomplit, et nous sommes reconnaissants et allons de l'avant avec foi ; car nous savons, comme en ces jours-là, nous l'avons lu ici, que le monde a été détruit par les eaux et ainsi de suite ; qui l'a dit ? Dieu ne l'a-t-Il pas fait connaître à l'avance ? Et ça s'est produit, ça s'est produit, c'est devenu une réalité ! Lorsque Noé et peut-être beaucoup d'autres travaillaient, les gens ont peut-être ri en disant : « Oui, quand cela arrivera-t-il ? », et l'arche n'était pas prête du jour au lendemain ! Mais ils ont peut-être aussi parlé et ri ainsi en ces jours-là, et peut-être aussi de nos jours.
Pierre dit que dans les derniers jours, les moqueurs se manifesteront et diront, : Où est Son retour promis ? mais que personne ne se trompe. Le verset 7 dit : « Tandis que par la même parole le ciel et la terre actuels sont réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies ». Oui, est-ce que c'est ce qui est dit ? C'est ce que dit cet homme de Dieu ! Et d'où le tient-il ? D'où le tient-il ? L'a-t-il pris en l'air, pour remplir la parole ? Non. Oui, nous n'avons pas à nous inquiéter. L'heure vient, le moment vient, le temps vient où ça aussi sera accompli, et l'heure est proche.
Nous avons tous lu dans les prédications de frère Branham, et en particulier l'enlèvement de l'épouse, c'est quelque chose de merveilleux. Pour moi personnellement, cette prédication était merveilleuse. J'ai toujours imaginé quelque chose de différent par rapport à cette ville, à quoi elle pourrait ressembler, mais vu la manière dont cela nous a été présenté, et la manière dont cet homme de Dieu l'a reçu par l'Esprit de Dieu, nous pouvons nous en réjouir. Oh ! Nous sommes si reconnaissants à Dieu ! Beaucoup de choses seront peut-être différentes de ce que nous avons pensé, mais ce n'est pas grave ! Vous savez, notre joie sera d'autant plus grande. Nous pouvons laisser tomber nos propres opinions, nos propres pensées et ce que nous pouvons avoir, et nous voulons nous appuyer entièrement sur la parole, Sa parole et Son discours. Et c'est pour cela que nous sommes ici ensemble aujourd'hui, frères et sœurs, pour adorer notre Seigneur et notre Sauveur, pour Lui rendre hommage, pour Le louer pour toutes les paroles de vie qu'Il nous a adressées en ces derniers jours. Ce ne sont pas des paroles en l'air, ce sont Ses paroles, et elles s'accompliront.
Oui, au verset 7, il est dit si merveilleusement… c'est un verset très puissant ! Si on le disait aux gens, ils en riraient aussi, ils diraient que ça ne peut pas être le cas. Comment cela pourrait-il arriver ? Peut-être que tout est déjà dans l'air et que tout va bientôt s'accomplir ; et les gens, ils sont toujours insouciants, ils disent : « L'essentiel, c'est que cela ne me touche pas ». Cela peut toucher peut-être un autre, et c'est peut-être ainsi que les choses sont, mais personne ne doit se tromper, car il est dit : Si quelqu'un sème, il moissonnera aussi.
Et je voudrais dire : Semons sur la parole de Dieu, et appuyons-nous sur la parole immuable de Dieu. Frères et sœurs, je ne sais pas, mais nous devrions rendre gloire à Dieu, et le remercier ce soir encore pour tout ce qu'Il nous a fait connaître, car cela n'a pas été révélé à beaucoup, frères et sœurs, mais seulement aux Siens, ceux qu'Il a choisis. Nous le voyons déjà en ces jours-là : Il a parlé à tous en parabole, mais à ceux qu'Il a choisis, Il les a mis à part, et Il leur a parlé clairement, de manière compréhensible. C'est merveilleux. Il en va de même pour nous : Il a parlé de manière à ce que nous puissions le comprendre.
Gloire à Son merveilleux nom ! Maintenant, levons-nous pour la prière.
Seigneur, nous Te remercions de tout cœur également pour cette heure du soir, pour cette réunion en Ton précieux et glorieux nom. Seigneur, nous savons que le ciel et la terre passeront, mais Tes paroles ne passeront jamais. Ce que Ta sainte bouche a dit, ce que Tes apôtres ont dit, ce que Tes prophètes ont dit s'accomplira, Seigneur, car Tu n'as pas prononcé les paroles trompeuses. Non, Seigneur, Tu as prononcé les paroles de la vie éternelle, des paroles de consolation, et des paroles de jugement, et des paroles de rédemption. Seigneur, Tu as donné tout ce qui est nécessaire pour la rédemption. Tu as tout donné. Nous T'adorons ce soir.
Nous Te prions, Seigneur, d'être puissamment au milieu de nous ce soir, Seigneur. Puisses-Tu nous bénir de la richesse de Ta grâce. Seigneur, nous croyons Tes paroles, nous avons confiance en Tes paroles, nous savons que Tu les accompliras.
Ô, sois remercié, Seigneur, de ce que nous pouvons lever les yeux vers Toi ce soir encore ! Tu continueras à nous bénir, Seigneur, et Tu seras avec nous ! Bénis-nous, Seigneur, pendant que nous écoutons Ta parole. Bénis Ton serviteur, notre frère, pendant qu'il ouvrira sa bouche pour apporter Ta parole, ô Seigneur.
Accorde-nous grâce, ô Seigneur, de recevoir avec un cœur et des oreilles ouvertes, Seigneur, puis de pousser des cris de joie et d'allégresse vers Toi avec grande joie, une joie totale. Gloire à Ton saint nom de Jésus ! Alléluia ! Amen !
[Frère Frank]
Nous nous asseyons. Que le Seigneur soit remercié pour le privilège que nous avons d'être ici pour adorer ; et nous ne pouvons que dire : « Seigneur, apprends-nous à prier ». En ce qui concerne la foi, nous savons que là où il n'y avait rien à espérer, Abraham a persévéré dans la foi, parce qu'il avait une promesse de Dieu. Et ça, c'est la différence entre l'espérance et la foi : Là où il y a encore un point d'appui, nous avons de l'espérance ou de l'espoir. Là où il n'y a plus rien à espérer, c'est là qu'intervient la foi. Et la foi est une ferme assurance dans les choses qu'on ne voit pas, mais que Dieu a promises.
Et ce soir, nous sommes ici pour prier, pour prier pour que Dieu arrive à ce qui Lui revient de droit. Nous ne voulons pas Lui dire ce qu'Il doit faire, car Il le sait ! Dieu sait exactement ce qu'Il veut faire et ce qu'Il va faire ! Quand nous prions, c'est uniquement pour que nous puissions arriver dans la position où Dieu peut faire à travers nous et en nous ce qu'Il veut faire.
J'ai été particulièrement touché par les versets qui expriment que les apôtres et les prophètes ont parlé au nom du Seigneur, et que leurs paroles devaient nous être rappelées, et que ces paroles ce sont les paroles du Seigneur, les paroles de Dieu. Et puis, il y a aussi ce verset qui a été lu en dernier, le verset 7 de 2 Pierre chapitre 3 : « Par la même parole », oui, pas par une autre parole. Il n'y a pas d'autre parole ! « Par la même parole », la même parole par laquelle le ciel et la terre ont été créés, [la parole] par laquelle le visible et l'invisible ont été faits, par la même parole le ciel et la terre actuel seront embrasés, par la même parole un nouveau ciel et une nouvelle terre seront créés. Tout se passe par l'unique, la seule parole de Dieu. Et ça, c'est quelque chose de merveilleux ! Toutes les choses qui ont été faites, ont été faites par elle, et sans elle rien de tout ce qui existe n'a été fait si ce n'est par elle.
En fait, les paroles des hommes ne comptent pas du tout, et le Seigneur dit : Si le souffle leur manque, leurs projets sont anéantis (Psaume 146). Dieu n'a pas de commencement, Dieu n'a pas de fin ; Son plan est conçu de toute éternité, et Il le mettra à exécution. Lorsque nous lisons ces paroles qui font partie de notre temps, alors nous nous demandons à quel point nous sommes proches de tout cela, et nous comprenons, à la lumière des signes des temps, que c'est à la porte. Chaque jour est un jour de grâce, un cadeau de Dieu. Chaque heure devrait être utilisée d'une manière ou d'une autre pour la préparation personnelle, et si possible, pour la bénédiction des autres. Le psalmiste a déjà dit ceci dans le Psaume 102 verset 26 :
« Autrefois tu as fondé la terre, et les cieux sont l'ouvrage de tes mains. Ils passeront, mais toi tu demeures ; ils tomberont tous en ruine comme un vêtement ; Tu les changeras comme un vêtement, et ils seront transformés. Mais toi, tu demeures le même, et tes années ne finiront point ».
N'est-ce pas merveilleux ! Verset 26 : « Autrefois tu as fondé la terre, et les cieux sont l'ouvrage de tes mains. Ils passeront, mais Tu demeures ». Et, en effet, cela a déjà été exprimé dans la prière : Le ciel et la terre passeront, mais la parole de Dieu demeure éternellement ; et nous pouvons nous y fier.
Nous vivons dans une époque où les gens cherchent la paix, et on entend parler du nouveau mouvement de paix ; et à cela la parole de l'Écriture qui dit : « De leurs épées, ils forgeront des hoyaux » ; à l'Ouest, à l'Est, en Europe et en Amérique. Et tout à l'heure, j'ai relu les deux passages qui en parlent. Et les gens passent outre le programme de Dieu, et prennent une parole qui s'applique à une toute autre période, et veulent l'appliquer maintenant, au temps actuel. Je vous lis premièrement la parole où il est dit que de leurs épées ils forgeront des hoyaux. Cette Écriture en parle justement, et aujourd'hui encore la radio en a fait mention [de l'Écriture selon laquelle de leurs épées ils forgeront des hoyaux].
C'est presque une moquerie que des athées, des personnes qui ne croient pas, c'est vraiment une moquerie de voir qu'ils prennent et se parent, se décordent de quelques versets bibliques quand ça passe dans leur programme ! Et s'ils n'ont pas en eux la paix, à qui veulent-ils l'apporter ? S'ils ne reçoivent pas Celui qui a apporté la paix, alors ils n'ont pas la paix, car il est écrit : « Il n'y a pas de paix pour les méchants, dit le Seigneur ». C'est ainsi que c'est écrit dans Ésaïe 48 verset 22. Dans Joël chapitre 3, verset 10, nous lisons :
« De vos hoyaux forgez des épées, et de vos couteaux de vigneron des lances ! Que le faible dise : Je suis fort ! Hâtez-vous, venez tous, peuple des nations d'alentour, et rassemblez-vous ! Là, Seigneur, fais descendre tes héros ! Que les peuples se lèvent, et montent vers la vallée de Josaphat ! Car c'est là que je siégerai pour juger tous les peuples des nations d'alentour. Prenez la fossile, car la moisson est mûre ! Venez et foulez, car le pressoir est plein, oui, les cuves débordent ! Car leur impiété est grande, des multitudes de multitudes arrivent dans la vallée du jugement ; car le jour du Seigneur est proche, dans la vallée du jugement. Le soleil et la lune s'obscurcissent, et les étoiles perdent leur éclat. Le Seigneur rugit de Sion, et fait retentir sa voix de Jérusalem, de sorte que les cieux et la terre tremblent. Mais pour son peuple, le Seigneur est un refuge, et une forteresse pour les enfants d'Israël ».
Le même Dieu peut être terrible et Juge pour les uns, mais pour les autres, miséricordieux et Rédempteur. Tout dépend de quel côté les hommes sont positionnés. Nous lisons ici tout d'abord ce qui vient en premier, à savoir que les hoyaux devraient être transformés en épées, et les couteaux de vigneron en lances ; et ce n'est qu'après que Miché 4 s'accomplit. Dans Miché 4 il est dit, peut-être je lis seulement le verset 3 :
« Alors il jugera un grand nombre de peuples, et il rendra justice à des nations puissantes et lointaines. Alors, de leur épée ils forgeront des hoyaux, et les pointes de leurs lances des couteaux de vigneron. Aucune nation ne lèvera l'épée contre une autre, et n'ira plus en guerre. Ils seront aussi chacun sous sa vigne et sous son figuier, sans que personne ne les fasse trembler ; car la bouche du Seigneur des armées l'a promis. Que toutes les nations marchent chacune au nom de son dieu, nous, nous voulons marcher au nom du Seigneur, notre Dieu, pour toujours et à jamais ».
Quelle merveilleuse parole ! Le parallèle à ces paroles se trouve dans Ésaïe chapitre 2, et on peut y voir la période à laquelle cette parole se réfère. Ésaïe chapitre 2, il est dit ici à partir du verset… peut-être seulement à cause du temps, lisons à partir du verset 4 :
« Alors il jugera entre les peuples, il jugera beaucoup de nations. Alors de leurs épées ils forgeront des hoyaux, et des pointes de leurs lances des couteaux de vigneron : Aucune nation ne lèvera l'épée contre une autre nation ».
En fait, c’est littéralement écrit comme dans le prophète Miché, et nous voyons quand cela s'accomplira. Lisons le verset 2 d'Ésaïe 2 :
« Au temps de la fin, la montagne de la maison du Seigneur sera fondée sur le sommet des montagnes, et s'élèvera au-dessus des collines, alors toutes les nations y afflueront. Et de nombreuses nations s'y précipiteront en disant : Venez, montons à la montagne du Seigneur, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu'il nous instruise dans ses voies, et que nous marchions sur ses sentiers. Car de Sion sortira l'enseignement, et de Jérusalem la parole du Seigneur ».
Oui, ça, ce sera le temps où les épées seront transformées en hoyaux, le temps où Satan sera lié, et où il y aura mille ans de paix sur la terre. Tant que Satan est libre, tout forgeron peut s'occuper à transformer des hoyaux en épées ; oui, car Satan concocte quelque chose, mais ça ne marchera pas. Mais lorsqu'il sera lié, les choses seront différentes.
Et nous remercions Dieu de pouvoir classer les choses comme Dieu les a ordonnées. Nous voyons ce qui va se passer dans peu de temps, nous voyons ce qui se passera avant le début du millénium, nous pouvons déterminer quand, quoi, où cela doit se produire. Mais, si nous savons tout cela, et que nous n'avançons pas en tant qu'Église du Seigneur qui doit être enlevée, si nous savons tout cela et que nous n'avançons pas, alors tout cela ne nous servira à rien ! À quoi cela nous sert-il de savoir que nous avons tout ceci, vraiment toutes ces choses ? Et je crois que Dieu nous a fait la grâce de nous donner la vue d'ensemble comme celle des prophètes et des apôtres ; ces choses qui nous ont été si merveilleusement révélées par le message de la fin des temps et par l'Esprit de Dieu. Mais tout cela ne signifie pas encore ta préparation et la mienne, cela ne signifie pas encore que toi et moi serons présents lorsque le Seigneur reviendra.
Et dans les dernières prédications, nous en avons entendu parler, parler du signe, du cri de détresse, du fait de se mettre à la brèche. Et toutes ces prédications nous vont droit au cœur, et nous nous tenons là, nous nous asseyons, nous nous agenouillons, et nous disons : « Seigneur, Tu as promis, de Ta bouche est sortie la parole, et elle ne retournera pas à vide, mais elle accomplira ce pourquoi Dieu l'a envoyé ». La même bouche qui a fait retentir l'appel, la bouche du Seigneur, la même parole qui nous a atteint afin que nous croyions, la même parole qui contient les promesses pour notre préparation pour le jour du retour du Seigneur, c'est cette même parole que nous croyons de tout notre cœur.
Que ce soit les cieux, que ce soit la terre, que ce soit leur transformation, leur renouvellement, peu importe ; que ce soit les peuples, que ce soit le peuple d'Israël, que ce soit nous individuellement ou en tant qu'Église, c'est la même parole du Seigneur : La bouche de Dieu a parlé, et les promesses d'autrefois ne manqueront pas. Attendez-les. C'est ainsi que le prophète Habacuc le dit : Attendez jusqu'à ce qu'elles s'accomplissent. Habacuc 2 verset 3 : « Si elle tarde, attend-la, car elle s'accomplira certainement ».
C'est par la même parole que nous avons été appelés à l'existence, nés de nouveau par la parole vivante et éternelle de Dieu ; la même parole, la même semence, la même puissance que nous voyons ici en tout et en toute chose. Nous devons voir la même puissance à l'œuvre en nous dans la foi, et nous devons aussi l'exprimer.
Je crois que nous l'avons dit ce week-end : Il ne suffit pas de parler de la rédemption, elle doit être révélée, car le Rédempteur est venu ! Les prophètes ont parlé de la rédemption, mais avec Christ est venu le salut, la rédemption, le pardon et la grâce. Alors, pas seulement en parler, mais prendre possession des choses que Dieu nous a promises. Et c'est là ce qui me manque, et peut-être à certains d'entre nous aussi.
Je me suis posé la question suivante ces derniers jours : Quand est-ce que le Seigneur a-t-Il prêché sur la guérison des malades ? Il n'a pas fait de prédication sur la guérison des malades, mais Il a guéri tous les malades ! Je ne sais pas où Il a tenu une prédication sur le pardon des péchés, c'est possible, c'est possible ; mais je sais seulement une chose, ce qu'Il a dit à l'homme : « Tes péchés sont pardonnés ». Telle était Sa prédication ! Et les pharisiens étaient là, et pensaient en eux-mêmes : « Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu ? ». Ces pharisiens ne savaient pas qu'Il était Dieu manifesté sous une forme humaine ; et Lui, Il connaissait leurs pensées, et Il dit au verset 10 de Marc 2 :
« Mais afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a l'autorité pour pardonner les péchés sur la terre, je t'ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit, et rentre dans ta maison ».
J'ai cherché, je n'ai pas trouvé une prédication où Paul ou Pierre parle de la guérison des malades, ou même en détail de ces choses. Il s'agit aussi… ce sont des lettres qu'ils ont transmises aux églises. Mais ce qui est vraiment important, c'est que nous ne parlions pas seulement de ces choses, mais que nous expérimentions la parole parlée, et que les promesses deviennent une partie intégrante de notre vie de foi, que les malades soient guéris, que les pécheurs soient sauvés, que les perdus puissent être retrouvés, que la parole de Dieu puisse à nouveau accomplir ce pour quoi elle a été envoyée. C'est là, oui, c'est à cela que va tout notre désir, je crois.
Et nous voyons que lorsque le Seigneur est ressuscité, Il a dit à Ses serviteurs : « Je vous donne le pouvoir ». Il a dit littéralement dans Jean 20 verset 23 : « Tout homme à qui vous remettrez les péchés, ils lui seront remis ; et tout homme à qui vous les retiendrez, ils lui seront retenus ». Il a effectivement transmis Sa propre autorité, Il l'a transmise aux Siens, et a dit : « Celui qui vous écoute, m'écoute » (Luc chapitre 10 verset 16).
Oh ! Que Dieu puisse parler à travers nous ! Qu'Il puisse agir à travers nous, que nous fassions abstraction de nous-mêmes, et que nous comprenions qu'Il est le Tout-Puissant, qu'Il ne peut pas changer, et qu'Il doit Se tenir à Sa parole. Quand je dis qu'Il doit, vous devez le comprendre correctement, non pas que nous obligeons Dieu, cela n'est pas possible, mais Il ne peut pas se renier Lui-même, Il ne peut pas retirer Sa parole. C'est ce que je veux dire par là. Oh ! Si nous pouvions croire, nous verrions la gloire de Dieu !
Ce soir, nous voulons nous approcher de la face de Dieu avec supplication, avec des prières, avec des actions de grâces, avec foi, avec des requêtes, et avec tout ce que Dieu met dans notre cœur ; et nous voulons tout Lui dire et Lui faire confiance. Celui qui prie doit croire que Dieu est là, et qu'Il est le rémunérateur de celui qui Le cherche, et qu'Il lui donnera ce qu'il demande. Dans la prière, Dieu veut nous rencontrer, Il veut nous bénir, Il veut être avec nous et Se révéler à nous. Je pense que le cri de détresse sera certainement grand, et que toute indifférence et toute tiédeur doit tomber avant que Dieu ne puisse Se manifester. Nous devons y pénétrer avec puissance, et Dieu Se fera connaître comme le même hier, aujourd'hui et pour toute éternité.
Pouvons-nous le croire ? Pouvons-nous croire que Dieu est fidèle à Sa parole ? C'est difficile, je vous le dis, mais nous devons faire confiance à Dieu. C'est une chose difficile à faire par nous-mêmes. Et pour frère Branham, c'était un peu plus facile quand il voyait en vision et que Dieu lui montrait que la personne pour laquelle il voulait prier était déjà guérie ; et à chaque fois qu'il voyait cela en vision, il pouvait dire cela avec une foi totale, dire que cette personne était guérie. Et il dit par la suite : « Si nous demandons à Dieu, sur base de la promesse de Sa parole, ne devrait-Il pas faire la même chose sans que nous n'ayons besoin d'avoir des visions ? ». Nous ne pouvons pas tous être prophètes, mais nous croyons tout ce que Dieu a dit par les prophètes, ce qu'Il a dit par les apôtres, ce qui a été mis par écrit dans l’ensemble ; et nous avons une grande nuée de témoins dans l'Ancien et le Nouveau Testament qui pourraient témoigner de la puissance de Dieu, de l'amour de Dieu, du salut, de la grâce et de tout. Et si tous ceux qui ont été sauvés et guéris dans cette génération pouvaient être rassemblés quelque part ici pour rendre témoignage, mais l'espace ou la pièce ne pourrait pas les contenir !
Dieu a fait de grandes et glorieuses choses pour beaucoup. Ne devrait-Il pas le faire encore une fois pour ceux qui crient à Lui jour et nuit ? Permettez-moi de lire le Psaume que je voulais lire avant que d'autres passages ne viennent et que je ne l'oublie. Psaume 123 verset 1 :
« Je lève mes yeux vers toi, qui trône dans les cieux. Voici les yeux des serviteurs [sont fixés] sur la main de leur maître, et les yeux de la servante sur la main de sa maîtresse, ainsi nos yeux se tournent vers le Seigneur notre Dieu, jusqu'à ce qu'il ait pitié de nous… jusqu'à ce qu'il ait pitié de nous. Aie pitié Seigneur, aie pitié de nous ! Car nous sommes fatigués de mépris ; notre âme est fatiguée de la moquerie des orgueilleux, du mépris des hautains ».
N'est-ce pas là à peu près mon état, notre état ? N'est-ce pas là mon cri et ton cri, notre situation, la situation du peuple de Dieu en général ? Et nous avons une vue claire de ce qui arrive à Israël, et de nombreux croyants ont effectivement cette vue claire. Il y a suffisamment de croyants qui ont suffisamment sondé la parole prophétique par leurs propres recherches, même si ce n'est pas par révélation de l'Esprit ; mais ils ont fait des recherches, ils ont vu et assemblé certaines choses, mais ils ne voient pas ce que Dieu a fait avec l'Église. Ils n'ont même pas réalisé que Dieu a envoyé un message. Comment peuvent-ils comprendre ce que Dieu a l'intention de faire à travers l'ensemble du message ?
Mais je pense que Dieu nous a permis de voir et de reconnaître les choses par grâce, dans un juste équilibre, maintenant, au temps de la fin. Et pour cela, nous voulons le remercier. Et nous devons porter notre attention sur ce qui vient en premier, c'est-à-dire l'enlèvement. Ce n'est qu'après que le salut se tourne vers les Juifs. Et nous voyons qu'ils ne s'inclinent pas, ils ne baissent pas les bras. Ils ont du courage, ils savent que Dieu est avec eux.
Que Dieu puisse nous donner du courage, comme il est dit de notre Seigneur : « Domine au milieu de Tes ennemis ». Il y a quelques jours, nous avons parlé très brièvement avec notre frère Kalaïter ; et il était fait mention du fait que nous sommes entourés d'ennemis. Il est dit au verset 2 du Psaume 123 :
« Nos yeux sont tournés vers le Seigneur, notre Dieu, jusqu'à ce qu'il ait pitié de nous ».
Tout comme Israël est entouré d'ennemis, nous sommes entourés de puissances ennemies. Je ne parle pas des hommes en tant qu'ennemis, mais vraiment des puissances ennemies. Et nous regardons vers Dieu, notre Seigneur, qui est capable de nous aider. Il a déjà aidé beaucoup de personnes, Il nous aidera aussi par grâce dans notre détresse.
Le Serviteur sortit et fit son travail, et qu'en était-il de la Servante ? Ses yeux regardaient, étaient tournés vers sa maîtresse et disait : « Aujourd'hui, tu fais ceci et cela » ; c'est normal, nous le connaissons des années passées ; il est dit ici : « Ainsi nos yeux se tournent vers le Seigneur, notre Dieu ». Mais soyons maintenant tout à fait honnêtes : Où trouve-t-on encore aujourd'hui des serviteurs et des servantes ici sur la terre, qui se comportent de la sorte ? Où trouve-t-on une servante qui regarde sa maîtresse et dit : « Attends, est-ce que je vais recevoir quelque chose à faire ? ». Aujourd'hui chacun est son propre maître, le Serviteur est aujourd'hui le maître, la Servante la maîtresse, toute la condition sur la terre n'est plus du tout celle qu'elle était autrefois. Et qu'est-ce qui reste maintenant ?
Nous en arrivons maintenant à l'aspect spirituel. Qu'en est-il de notre regard vers le Seigneur, notre Dieu, jusqu'à ce qu'Il ait pitié de nous ? Certaines choses n'ont pas changé ! Ou, est-ce que tout est resté comme avant ? Nous sommes en train de traduire une prédication intitulée « Quelle est cette attraction sur la montagne ? » ; et le frère Branham montre que là-bas, ici, partout où il s'est passé quelque chose de spécial, les gens ont regardé, il y avait une attraction, parce que Dieu a fait quelque chose. Comment nos yeux regardent-ils le Seigneur ? Comme la Servante regarde aujourd'hui sa maîtresse, ou le serviteur, son maître ?
Dans ce cas, ce sera triste pour nous. Il faut que l'ancienne condition, la dépendance du Dieu soit de nouveau là ; et alors Il répondra. « Ainsi nos yeux se tournent vers le Seigneur, notre Dieu, jusqu'à ce qu'Il ait pitié de nous. Aie pitié, Seigneur, aie pitié de nous, car nous sommes fatigués du mépris ». Qui n'est pas fatigué ? Mais cela seul ne suffit pas, mais : « Aie pitié, Seigneur, aie pitié de nous ». Nous déshonorons-nous en priant comme il a prié ? En aucun cas ! Nous n'avons pas honte, et nous disons :
« Aie pitié, Seigneur, aie pitié de nous, car nous sommes fatigués du mépris. Notre âme est fatiguée, fatiguée de la moquerie des orgueilleux, du mépris des hautains ».
Vous savez, nous savons de quoi nous parlons. Nous sommes rassasiés de la moquerie des hautains. Combien y a-t-il de gens légers, pleins de railleries ? Combien sont orgueilleux et n'ont que du mépris ? Et ici, le psalmiste dit : « Notre âme est fatiguée ». Que Dieu puisse nous faire grâce de pouvoir faire monter vers Lui ce cri, poussé par l'Esprit :
« Aie pitié Seigneur, aie pitié de nous, car nous sommes fatigués de mépris. Notre âme est fatiguée, fatiguée de la moquerie des orgueilleux, du mépris des hautains ».
Que l'orgueil et la légèreté soient loin de nous, la moquerie, la raillerie aussi ; mais que Dieu mette dans notre cœur que nous puissions l'invoquer en disant : « Ô Seigneur ! Tu as fait la promesse, nous Te faisons confiance, nous faisons confiance que Tu nous la donneras, par grâce ». Ce n'est que lorsque Dieu nous aide, que nous sommes aidés. Ce n'est que lorsqu'Il bénit que nous sommes bénis.
Et tout cela, nous voulons vraiment le Lui apporter de tout cœur ce soir avec toutes les requêtes. Je ne sais pas si nous voulons nous agenouiller, ou si nous voulons nous avancer. Comment voulons-nous le faire ? Venir tous devant ? Alors très bien ! Avançons simplement, et prions.
Père céleste, je Te remercie moi aussi de tout mon cœur, pour Ta précieuse et sainte parole. « Au commencement était la parole ». Tu as appelé à l'existence toute chose par la parole ; le ciel et la terre actuels existent par Ta parole ; les nouveaux cieux et la nouvelle terre existeront par Ta parole.
Seigneur, nous sommes égaux selon Ta parole, pour devenir Ton Église, devenir une épouse-parole, Seigneur, par laquelle toute parole peut être accomplie. Ô Dieu, que les moqueurs ne se moquent plus ! Seigneur, que Tu puisses Te manifester comme le Vivant, le Véritable. Aie pitié de nous, aie pitié de moi. Ô Dieu ! Bénis de la richesse de Ta grâce. Nous T'adorons et Te remercions pour cela. Alléluia !
Fais de moi ce que Tes serviteurs ont été de tout temps, ô Seigneur, mon Dieu ! Ô Seigneur béni, mon Dieu ! Comme Tu l'as promis, fais en Ton peuple en ce temps, ce que Tu as promis. Tu ne fais rien sans avoir révélé Ton secret à Tes serviteurs, les prophètes ; et Tu as fait connaître le mystère de Ta volonté ; et Tu nous conduis maintenant par Ton Esprit dans tout le mystère de Ta volonté qui était resté caché depuis la fondation du monde ; maintenant, Tu le fais connaître à Ton peuple par l'ouverture des seaux, par la révélation de Ton Esprit.
Seigneur, nous ne sommes pas découragés. Seigneur, nous sommes fortifiés en Ta présence, nous sommes fortifiés dans la foi que Toi, Tu es immuable, Tu restes le même pour toujours. Le ciel et la terre passeront, et tous les hommes disparaîtront, mais Toi, Tu demeures, et Ton plan se réalise. Je Te remercie pour cela.
Seigneur, donne-moi, donne-nous la conduite de Ton Esprit ; et comme les serviteurs, au commencement et dans les temps anciens regardaient avec respect vers leur maître pour recevoir les ordres, les instructions pour le travail et le service, c'est ainsi que nous regardons vers Toi : Tu es notre Maître, tu es notre Seigneur. Seigneur, donne-nous les instructions, et donne-nous la force de les exécuter. Ô Dieu ! Nous Te le demandons : Donne-nous les deux au même moment. Mon Dieu qui est dans le ciel ! Transforme-moi intérieurement. Accorde-moi avec Ta parole et avec Ton Esprit. Mon Seigneur, que Tu puisses regarder à moi avec complaisance.
Seigneur, nous sentons que Tu es présent. Nous sommes ici un petit groupe, et cependant, il nous semble que Tu nous as appelés ; et comme une poule prend ses petits sous son aile, Tu nous as pris ce soir aussi sous Tes ailes. Mon Seigneur ! Nous Te remercions pour cela, et nous Te louons et nous T'adorons car Tu es près de nous.
Tu as parlé, nous l'avons reçu ; et Tu veilles sur Ta parole pour l'accomplir. Seigneur, fais que nous expérimentions la restauration totale de tout ce qui était perdu, et que nous voyions de nos yeux, que nous entendions de nos oreilles, et que nous palpions de nos mains la manifestation de la parole de vie. Bien-aimé Seigneur, nous Te prions de nous accorder des services divins comme au commencement, des services divins dans lesquels Tu peux venir à ce qui Te revient de droit. Adoration et gloire à Toi !
Nous Te confions tous les frères, toutes les sœurs, toutes nos connaissances, nos familles, nos proches. Nous déposons tout devant Toi, ô Seigneur ; même les requêtes, en particulier celles du frère Aloys de Salzburg, là-bas à l'hôpital : Seigneur, touche-le nous Te prions, ô Dieu ! Et tous les autres qui sont dans le besoin, qu'ils sentent que Ton bras n'est pas trop court, et que Ta puissance n'a pas diminué, mais que Tu es le même. Dieu fidèle, bénis Ton peuple, aie pitié de nous de Ta miséricorde éternelle et divine qui nous englobe entièrement.
Ô Dieu, et si nous avons trouvé grâce devant Toi, alors précède-nous, ô Seigneur, et accorde-nous la grâce et la force de Te suivre. Seigneur, nous Te prions encore une fois pour nous tous qui sommes ici et pour tous ceux qui ne sont pas ici ce soir : Ô Seigneur, ô Dieu, Tu connais les Tiens et les Tiens Te connaissent : Seigneur, ils écouteront Ta voix ! Et je Te remercie pour cela et je te loue. Fais-nous aussi grâce pour cela, et ce, en tout temps, surtout moi. Ô, unis-nous à Toi et les uns aux autres si intimement et avec amour, comme Tu l'as voulu.
Adoration et gloire à Ton saint nom ! Amen !