Ewald Frank
TENTATION DE JÉSUS-CHRIST
Zürich, le 30 janvier 1982
(Retransmis le 11 novembre 2023)
Nous croyons de tout notre cœur ces paroles que nous venons de chanter, et en particulier toujours à nouveau dans le chœur où cet auteur de chant exprime : « Jésus est mort pour toi, Jésus est mort pour moi ». Oui, le Seigneur est mort pour nous tous. Dieu soit loué ! Il est mort pour moi.
Et vous savez, avant de mourir, Il a fait une prière, et nous aimerions la lire maintenant dans Jean 17. L’évangile selon Jean, chapitre 17. C'est la prière de notre Seigneur Jésus-Christ. Il est dit ici dans Jean 17 verset 1 :
« Jésus parlait ainsi, puis, levant les yeux au ciel, il priait : Père, l'heure est venue ! Glorifie ton Fils, afin que le Fils te glorifie, selon que tu lui as donné pouvoir sur toute chair, afin qu'il donne la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donné. Or, en ceci consiste la vie éternelle : qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. Je t'ai glorifié ici sur la terre, et j'ai achevé l'œuvre que tu m'as demandé d’accomplir. Et maintenant, Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que je possédais auprès de toi, avant que le monde soit. J'ai révélé ton nom aux hommes que tu m'as donné du milieu du monde. C'est à toi qu'ils appartenaient, et c'est à moi que tu les as donnés, et ils ont gardé ta parole. Maintenant ils ont reconnu que tout ce que tu m'as donné vient de toi. Car les paroles que tu m'as données, je les leur ai données ; et ils les ont reçues, et ils ont reconnu en vérité que je suis sorti de toi, et ils ont acquis la foi que c'est toi qui m'as envoyé. Je prie pour eux. Je ne prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m'as donnés, car ils sont ta propriété. Et tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi ; et j'ai été glorifié en eux. Et moi, je ne suis plus dans le monde, mais eux, ils sont encore dans le monde. Pendant que je vais vers toi, Père saint, garde-les en ton nom que tu m'as donné, afin qu'ils soient un comme nous le sommes. Tant que j'ai été au milieu d'eux, je les ai gardés dans ton nom, ceux que tu m'as donnés, et aucun d'eux n'a été perdu, sauf le fils de la perdition, afin que l’écriture soit accomplie. Mais maintenant je vais vers toi, et je dis encore ceci dans le monde, afin qu'ils aient parfaitement en eux ma joie. Je leur ai donné ta parole, et le monde les a haïs, parce qu'ils ne sont pas du monde, comme moi, je ne suis pas du monde. Je ne te demande pas de les enlever du monde, mais de les préserver du mal. Ils n’appartiennent pas au monde, comme moi, je n’appartiens pas au monde. Sanctifie-les dans ta vérité, ta parole est la vérité. Comme tu m'as envoyé dans le monde, moi aussi je les ai envoyés dans le monde. Et pour eux, je me sanctifie, afin qu'eux aussi soient sanctifiés dans la vérité. Je ne prie pas seulement pour eux, mais aussi pour ceux qui, par leur parole, viendront à la foi en moi, afin que tous soient un comme toi, Père, tu es en moi, et que je suis en toi, qu'ils soient aussi un en nous, afin que le monde croit que tu m'as envoyé. Je leur ai aussi donné la gloire que tu m'as donné, afin qu'ils soient un comme nous sommes un, Moi en eux, et Toi en Moi, afin qu'ils parviennent à une unité parfaite pour que le monde connaisse que tu m'as envoyé, et que tu les as aimés comme tu m'as aimé. Père, je veux que là où je suis, ceux que tu m'as donné soient aussi avec moi, afin qu'ils voient ma gloire que tu m'as donné, car tu m'as aimé dès avant la formation du monde. Père juste, le monde ne t'a pas connu ; mais moi je t'ai connu, et ceux-ci ont connu que tu m'as envoyé. Je leur ai fait connaître ton nom, et je continuerai à le leur faire connaître, afin que l'amour dont tu m'as aimé soit en eux, et moi en eux ».
Que le Seigneur soit loué et remercié pour Sa précieuse et sainte parole, pour la prière que le Seigneur a faite ! Il a pris soin des Siens jusqu'au bout, et a fait monter ces paroles vers Dieu, vers Son Père, comme c'est écrit ici. Il a dit tout ce qui était nécessaire. Dès le commencement, Il savait ce qui allait arriver, et Il savait aussi que le fils de la perdition était là. Oui, Il savait tout. C'est ainsi qu'Il a prié et qu'Il S'est engagé pour les Siens. Oui, Il dit : « non seulement pour eux, mais encore pour ceux qui, par leurs paroles, croiront en Moi ».
Frères et sœurs, nous croyons de tout notre cœur que Dieu était en Christ, et qu'Il a racheté le monde. Et comme nous l'avons chanté ici, « Jésus est mort pour toi, Jésus est mort pour moi ». Oui, le Seigneur est mort pour nous tous. Loué soit-Il ! Il est mort pour moi. C'est merveilleux. Louanges et remerciements à Son nom ! Maintenant, nous voulons nous lever et prier ensemble.
Père céleste, nous Te remercions aussi de tout cœur pour cette heure de grâce de ce soir. Nous Te remercions pour cette réunion. Nous Te remercions Seigneur d'avoir ramené notre cher frère en bonne santé parmi nous. Nous en sommes heureux, Seigneur. Nous Te donnons l'honneur, la louange et l'adoration ô Dieu.
Nous sommes si reconnaissants, Seigneur, les uns envers les autres, de pouvoir nous tenir ici ensemble, car Seigneur, Tu nous as appelés avant la fondation du monde. Nous avons été choisis. Seigneur, Tu as prié aussi pour nous avant même que nous soyons là. Tu as déjà vu, Seigneur, que nous viendrions, que nous serions là. Tu as aussi vu cette heure du soir. Tu nous as tout donné, Seigneur. Même Ta parole en ces derniers jours, Tu nous l'as fait connaître d'une manière puissante. Et nous aussi, Seigneur, nous pouvons croire comme ceux qui ont cru, Seigneur, que Tu as été envoyé. Et nous aussi, nous pouvons voir que Tu as envoyé Ton serviteur en ces jours, Ton messager et Ta parole, et qu'en ces jours aussi, Tu as des messagers que Tu envoies, Seigneur, pour distribuer Ta parole à Ton peuple.
Nous Te remercions et nous Te rendons gloire ce soir. Dieu fidèle, nous Te prions de venir à ce qui Te revient de plein droit en cette heure du soir dans nos vies à tout au milieu de Ton peuple.
Bénis mon cher frère que Tu as ramené à la maison. Bénis-nous tous, Seigneur, nous qui voulons entendre Ta parole, ô Dieu. Nous ne sommes réunis ici que pour écouter Ta parole et T'apporter la gloire et l'adoration, Seigneur. Seigneur, nous Te prions aussi d'éloigner de nous tout ce qui ne T'est pas agréable. Tout ce qui dérange, enlève-le, ô Seigneur. Nous ne voulons entendre que Tes paroles, celles que Tu as à nous dire.
Seigneur, nous savons que Tu es monté, mais Tu nous as laissé Ta parole, Seigneur, et nous en sommes heureux et reconnaissants. Dieu fidèle, nous voulons aussi T'apporter directement d'emblée, les requêtes pour la sœur. Seigneur, Tu connais sa détresse, Tu sais, Seigneur, ce qui ne va pas dans sa vie ; mais Tu es le grand Médecin et Tu es le grand Secouriste. Nous T'adorons et Te prions, Seigneur, de vouloir toucher la sœur en ce moment même, Seigneur ; et Tu voudrais Te montrer comme le grand Médecin, Seigneur.
Seigneur, Tu n'as pas de frontières et Tu ne les connais pas, que ce soit en RDA, en Russie, ou ailleurs. Tu es le même Dieu. Alléluia. Gloire à Ton merveilleux et glorieux nom de Jésus. Alléluia. Amen.
Amen. Nous nous asseyons.
Rendons grâce au Seigneur pour le privilège que nous avons d'être ici pour adorer et pour apporter à notre Dieu la reconnaissance que nous Lui devons pour tout ce qu'Il fait dans les enfants des hommes. Ce que les hommes font passera. Ce qu'Il fait demeure éternellement. Et nous pouvons dire qu'Il fait de grandes choses. Ce ne sont pas toujours les masses, c'est la qualité.
Dieu cherche les Siens partout où Il peut les trouver. Il ouvre des portes, sauve, bénit et Se révèle à ceux qui le cherchent. Je voudrai être très bref, ne lire qu'une seule parole.
Vous savez que si l'on revient, on entend bien sûr des choses, et cela ne fait pas du bien. Le mieux c'est de ne rien entendre, de ne rien voir, de s'occuper seulement avec Dieu, de plonger dans Sa parole, et d'aller de ville en ville, de réunion en réunion pour servir le Seigneur. C'est ce qu'il y a de mieux. Pour autant que l'on entend quelque chose, tout homme est encore un homme, on est quand même ému, d'une certaine manière, et on se demande quand le diable va lâcher prise.
J'ai dû m'arrêter. Après tout, j’ai parlé avec mon frère Arthur. Et quand on entend des choses qui nous touchent si directement et qui sont parfois très méchantes, parfois absolument fausses, parfois des demi-vérités, c'est en quelque sorte douloureux ; et on se rend compte que Satan laisse probablement beaucoup d'autres en paix. Mais d'une certaine manière, il ne veut pas se calmer. Si je lui fais ainsi grand mal... Je ne lui fais pas de mal. Je ne fais qu'appeler ceux que Dieu a appelés à sortir avant même la fin du monde. Je ne fais rien d'autre. Je ne prends aucun des siens. Il pourrait, en fait, me laisser tranquille. Est-ce vrai ? Je ne prends aucun des siens. Je ne fais qu'appeler, comme tous les autres serviteurs de Dieu, les enfants de Dieu, mais pas les autres. Ils n'entendent même pas.
Et nous avons lu et entendu dans l'évangile de Jean que le Seigneur notre Dieu a aimé les Siens, et les a destinés avant la fin du monde à contempler la gloire de Dieu. Et selon Matthieu 13, il y a deux semeurs. L'un a semé la bonne semence, c'est-à-dire les fils du royaume. Et pendant que les gens dormaient, l'autre a semé la mauvaise semence, c'est-à-dire les fils de l'ennemi. Il s'agit donc de deux semences différentes et elles germent toutes les deux.
Jamais, que nous parlions de milliers, de centaines ou de dizaines, peu importe, nous ne ferons pas sortir quelqu'un qui n'a pas été appelé par Dieu. Ce n'est pas possible.
Nous avons la parole de Dieu, et la parole de Dieu est un appel divin. Et les autres ne peuvent pas... ils peuvent peut-être entendre de temps en temps avec leurs oreilles, mais ils ne peuvent pas croire dans leur cœur et ne peuvent pas faire tout le chemin avec Dieu.
Quand j'ai lu l'histoire de la tentation du Seigneur aujourd'hui, il est écrit dans les derniers versets de Matthieu chapitre 4, les versets 10 et 11 :
« Alors Jésus lui répondit : Va-t’en, Satan ! car il est écrit : tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu le serviras lui seul. Le diable l'abandonna alors. Et voici que des anges s'approchèrent de lui, et lui rendirent service ».
Je devais ainsi me rappeler que l'histoire de la tentation du Seigneur avait un début et qu'elle avait aussi une fin. Le diable s'était jeté sur le Seigneur avec une grande puissance et voulait, bien sûr, le renverser d'une manière ou d'une autre. Mais à la fin, le Seigneur lui a dit : « Satan, éloigne-toi de Moi ! car il est écrit : tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu le serviras Lui seul ».
Je pense que le Seigneur peut réussir, et que ce sera à Lui de réprimander l'ennemi, car il ne s'agit pas de moi, vous pouvez me croire. Il pourrait s'agir de Müller ou de Mayer. Si Dieu avait appelé Müller ou Mayer à accomplir son mandat en ce temps, ce Müller ou ce Mayer, qui que ce soit que le Seigneur aurait appelé, serait la cible de Satan. Et c'est pourquoi, vous pouvez me croire : il ne s'agit pas d'un homme. Il s'agit de l'œuvre de Dieu ; et c'est un combat spirituel ; et ce combat n'est pas seulement dans les airs, mais il se déroule ici, sur la terre.
Dans ce onzième verset, il est écrit ici : « Le diable l'abandonna alors ». Et j’ai beaucoup aimé cette parole. « Alors le diable le quitta, et voici que des anges s'approchaient de Lui et le servirent ». C'est ce que je souhaite en fait, que le diable renonce, qu'il comprenne que cela ne sert à rien, et que les anges viennent rendre des services.
C'était la fin de l'histoire de la tentation. La fin de l'histoire de la tentation de notre Seigneur, c'est que Satan a renoncé à Lui, et que les anges sont venus Lui rendre service.
Et cette parole est devenue en quelque sorte une consolation pour moi. Mais la nostalgie est bien sûr présente. Chaque être humain n'a qu'un seul jeu de nerfs, et à un moment donné, l'épreuve de rupture est tout de même sur le fil du rasoir, et ne tient qu'à un fil, nous voulons bien l'admettre. Mais que l'ennemi se calme ! Qu'il comprenne qu'il ne pourra rien faire au saint du peuple de Dieu. Il peut faire beaucoup de mal, c'est vrai, mais il ne manquera aucun de ceux que Dieu a destinés avant la fondation du monde à contempler Sa gloire.
Nous avons suivi la lecture. Le Seigneur dit : « Je ne prie pas pour le monde ». Il entend par là ceux qui ne sont pas destinés à la béatitude, « mais pour ceux que Tu M'as donnés avant que le monde ne soit fondé ». Et nous savons combien de fois il a été souligné qu'avant la fondation du monde, nous avons été choisis par Dieu pour être des fils et des filles de Dieu, et pour contempler la gloire du Seigneur.
Mais faisons-en une requête commune, et prions pour que ce passage biblique s'accomplisse rapidement, pour que le diable s'en aille et que les anges viennent nous rendre service. Vous diriez : « Les anges doivent-ils s'approcher et rendre service ? ». Oui, qu'ils le fassent tranquillement. Cela ne leur fera aucun mal, ni à nous. Il est écrit dans Hébreux 1, et je voudrais vous le lire, il est écrit sans doute littéralement que les anges sont envoyés pour la volonté de ceux qui doivent hériter de la béatitude. Hébreux chapitre 1 verset 12, peut-être même les versets 13 et 14 :
« En outre, à quel ange aurait-il jamais dit : assieds-toi à ma droite jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied ? Ne sont-ils pas tous des esprits de service envoyés pour rendre servir à cause de ceux qui doivent hériter du salut (ou de la béatitude) ? ».
Donc, le verset 14 dit : « Ne sont-ils pas tous des esprits de service envoyés pour des services ? ». Le mot « service » est un mot traduit très librement. « Envoyé pour le service ». Un service étant, selon nos termes, quelque chose de différent. Mais « envoyés pour le service à cause de ceux qui doivent hériter du salut ».
Ces deux paroles me sont venues après avoir ainsi réfléchi à ce que l'ennemi a bien pu avoir en tête. L'ennemi ne saura certainement. Je ne sais pas s’il sait tout, mais Dieu sait tout. Ça, je le sais ! Mais l’ennemi ne saura certainement que ce qu’il sait, et rien de plus. Mais il devrait prendre connaissance d'une chose : Dieu a un troupeau racheté par le sang, et l’ennemi a perdu son droit à cette troupe rachetée par le sang pour toujours et à jamais. Il peut accuser, il peut faire ce qu'il veut, il sera avec tous les siens, le marchepied des pieds du Seigneur, et le Seigneur sortira vainqueur de tout avec les Siens.
Si j'étais une personne privée, je pourrais m'asseoir, et le diable s'assiérait aussi. Mais si quelqu'un se lève, et cela au nom du Seigneur, alors le diable se lève aussi. Et cela n'a rien d'étonnant au fond si l'on considère la Bible. Cela n'a rien d'étonnant.
Croyons et prions ensemble pour que Dieu réponde aux prières. Et le pire qui puisse nous arriver, c'est quand même en ce tout dernier temps, si nous avons déjà parlé des dernières heures ou des derniers jours, nous pouvons maintenant parler des dernières minutes, des dernières secondes avant la venue du Seigneur.
Et si nous n'utilisons pas correctement ce temps, ce temps le plus précieux, et si nous ne pouvons peut-être pas le racheter comme il devrait l'être pour que les derniers soient appelés, qu'avons-nous gagné alors ? Qu'avons-nous gagné en tant que croyants à nous rendre la vie difficile les uns aux autres ? Qu'avons-nous à gagner en tant que croyants à faire ce qui est fait ? Qu'avons-nous à y gagner ? Celui qui se moque de nous, c'est le diable qui a la partie facile.
Et j'ai reçu ces derniers jours –ce qui n'est peut-être pas tout à fait à sa place ici– des écrits sur des choses que l'on ne peut pas du tout dire ici. Avec quel raffinement l'esprit du mal, le mauvais esprit, agit sous une forme religieuse ! On ne peut pas le dire ici, mais dans le monde entier, et je crois que Dieu, comme je l'ai dit tout à l'heure, peut sortir vainqueur de tout.
Mais nous devons vivre le moment où nous sentons la main de Dieu de telle manière et où le Seigneur Lui-même crée une issue pour que nous puissions le servir librement, sans soucis. Si je dois faire face à tout, que me reste-t-il à faire ? Comment puis-je me mettre à la disposition de Dieu ? Comment puis-je Le servir ? Je le fais ! Bien sûr que je le fais, mais la douleur, personne ou presque ne peut la ressentir.
Je voudrais pouvoir servir Dieu entièrement dans la toute dernière partie de ma vie, avec la consécration de mon cœur, et avec le don de mon cœur et avec tout ce qui est en moi ; et je voudrais voir l'achèvement de l'œuvre de Dieu, et assister à la victoire de Dieu en tant que le Juste, le Vrai. Assister à Sa victoire avec Son peuple. Lui, le vainqueur de Golgotha, n'a pas seulement remporté et donné la victoire : Il l'a remporté pour toi et pour moi. Il l'a offerte à toi et à moi. « Le salut complet », comme le chante un auteur de cantiques et nous enseigne la Bible ; et ce plein salut en Christ, le Crucifié, nous voulons l'avoir et aller de l'avant avec confiance, dans la foi.
J'espère seulement, comme je l'ai déjà exprimé, que dans un avenir proche, l'ennemi finira par lâcher prise, et que le Seigneur et même Ses anges, pourront nous servir. Tout est possible. Un ange est venu chez Zacharie. Il est venu. Nous ne l'attendons pas, et nous n'avons pas besoin de le demander, mais avec Dieu, tout est possible.
Et je ne serais pas étonné que Dieu fasse des choses extraordinaires parmi Son peuple en ce tout dernier temps. Mais pour cela, il est nécessaire qu'Il Se révèle, que nous puissions Le servir sans soucis.
Et je le souhaite encore une fois : j'espère que la prophétie que la vieille sœur Jackson a donnée il y a de nombreuses années en Afrique du Sud tout à coup après un service divin... pour eux c'était inhabituel là-bas, parce qu'ils avaient suivi l'ordre d'exercer les dons avant le service divin. Je l'ai certainement noté quelque part. En tout cas, il y était écrit que Dieu me rendrait et doublerait par grâce la joie que j’avais et tout ce que j'avais. Il me rendra tout, et cela, doublement. C'est ce que je me souhaite, et pas seulement pour moi. Croyez-moi, je le souhaite pour l'amour du peuple de Dieu. Plus Dieu peut donner à Ses serviteurs, plus ils peuvent transmettre ; et plus nous pouvons transmettre, plus les gens sont bénis.
Croyez-moi, je sais que Dieu a donné beaucoup, mais je sais tout aussi bien qu'Il en a encore plus. Et plus Il peut donner, plus nous pouvons transmettre. Il dit qu'Il veut nous donner l'abondance, et c'est pour cela que nous allons prier et que nous allons croire.
Je vous remercie de tout cœur pour vos prières. J'aurais pu et dû me reposer aujourd'hui, mais cela m'a été donné tout simplement, sans doute en cours de route. Je devais y penser : « Aujourd'hui, c'est samedi, tu vas te reposer et il y a une réunion. Non, ce n'est pas possible ». Je suis donc reconnaissant d'avoir été ici et je vous souhaite de tout cœur la bénédiction de Dieu. Amen. Levons-nous et prions.
Père, nous Te remercions de tout cœur pour cette heure de grâce. Seigneur, nous venons à Toi ensemble, ô Dieu. Seigneur, nous prions pour que le malin perde son droit. En ce moment, Seigneur, nous levons les yeux vers Toi, et nous ordonnons, Seigneur, à ce Satan, qu’il soit brisé au nom de Jésus-Christ. Alléluia !
Que Ton serviteur puisse servir en toute liberté, ô Seigneur, car tu l'as désigné, Seigneur, et Tu l'as choisi pour cela, Seigneur. À Ton nom soit la gloire ! Alléluia. Gloire à Toi, à l'Agneau, maintenant et pour toujours.
Nous te rendons aussi grâce, Seigneur, pour cette heure de grâce. Que Tu puisses conduire et diriger mon frère, Seigneur. Continue à faire de lui une bénédiction, Seigneur. Bénis Ton peuple, Seigneur, à Zürich de même aussi, ô Dieu. Bénis Tes élus, Seigneur, en tout lieu, Seigneur. Tu as fait grâce, ô Seigneur, et Tu continueras d'agir, Seigneur. Tu appelleras encore les derniers, Seigneur, même en Chine, Seigneur, et en Thaïlande ou ailleurs, ô Dieu. Tu appelleras les derniers, Seigneur. Tu feras retentir ton appel, Seigneur.
Merci pour cela, Seigneur. Adoration à Toi. Bénis tous ceux qui sont venus ce soir, Seigneur. Puissions-nous rester dans un lien d'amour, ô Seigneur, jusqu'à ce que nous passions de la foi à la vue. Seigneur, c'est ma prière, ô Seigneur. Alléluia à Ton nom. Amen.