Ewald Frank
PSAUMES 45 VERSET 4
28 décembre 1981, Krefeld, Allemagne
(Retransmis le 20 août 2023)
Nous allons maintenant méditer la parole de Dieu. Nous avons en effet spécialement prévu ces journées pour nous plonger dans la parole de Dieu. Et nous ne cachons pas que nous confessons ouvertement et librement que la parole de Dieu n'est pas l'affaire de tout le monde, mais que Dieu avait Ses serviteurs, qu'Il les a eus jusqu'à notre époque, et qu'Il a parlé par eux de manière contraignante.
J'ai dû traverser des épreuves difficiles uniquement parce que je n'avais pas écouté attentivement ce que Dieu avait dit. Et je pense que Dieu a de bonnes intentions pour nous tous. Il veut que nous soyons préservés de toute douleur, autant que possible ; et cela arrivera comme le dit le psalmiste quelque part : « si tu te tiens à sa parole ». Si nous nous en tenons seulement à la parole de Dieu, alors le Seigneur nous préservera et sera avec nous.
Nous savons que Dieu a parlé, et qu'Il ne l'a pas fait dans un coin caché de la terre, mais qu'Il a répandu Sa parole dans le monde entier. Et si dans les siècles passés il fallait beaucoup de temps pour que les choses soient écrites et diffusées, aujourd’hui nous vivons à une époque où tout peut être diffusé très, très rapidement, jusque dans le monde entier. Vous serez étonnés. Je ne sais pas où je l'ai dit, mais l'un des frères de la Russie, qui vient en fait d'Ukraine, m'a dit : « frère Frank, nous avons entendu parler des grandes choses que Dieu a faites par William Branham, avant même que la Seconde Guerre mondiale n'éclate ». Et j'ai été émerveillé par cela. Et il a donné des détails de l'année 1933, et je savais très bien qu'il savait de quoi il parlait.
Les choses ne sont pas non plus tombées à l'eau, mais ont fait leur tour. Bien sûr, tout le monde ne l'a pas appris, mais frère Branham dit bien qu’il n’y avait qu’un petit pourcentage qui savait que Christ était autrefois sur terre ; il n'y en avait que quelques-uns à qui Dieu pouvait effectivement Se révéler. Et maintenant, nous pouvons faire partie de ce petit nombre dans cette génération.
Je voudrais aujourd'hui poser principalement la base des soirées suivantes, et je voudrais que nous nous rendions compte une fois pour toutes que les saintes Écritures ne permettent aucune interprétation personnelle, et que ce que Dieu a dit par la bouche de frère Branham est déjà révélé, et nous engage, et que personne ne peut non plus y interpréter quoi que ce soit, ou le modifier. C'est seulement parce que la Parole de Dieu est qualifiée « d’Épée » dans les Écritures, que je voudrais lire quelques passages bibliques et vous en parler brièvement. Je voudrais lire le Psaume 45, à partir du verset 3, en référence à notre Seigneur :
« Tu es si beau comme aucun autre homme sur la terre. Le charme est répandu sur tes lèvres. C'est pourquoi Dieu t'a béni pour toujours. Ceins ton épée à tes côtés, héros, ainsi que ta magnifique armure étincelante. Bonne chance ! Pars victorieux pour la cause de la vérité, pour la protection du droit ; et que ton bras te fasse voir des actes terribles ».
Jusqu’ici pour cette précieuse et chère parole de Dieu. Le verset 4 dit : « Ceins ton épée à ton côté, héros, ainsi que ta magnifique armure étincelante », ton armure de protection. Bonne chance ! Pars victorieux pour la cause de la vérité, pour la protection du droit. Nous savons que notre Seigneur est Lui-même la vérité. Il a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie », et Il a dit : « Ma parole est la vérité... sanctifie-les dans Ta vérité, Ta parole est la vérité ». Ici, la marche triomphale pour la cause de la vérité, devait être accomplie pour protéger le droit ; et l'épée devrait être utilisée à cet effet. Dans le Psaume 149, nous lisons à partir du verset 4 :
« Car le Seigneur prend plaisir à son peuple. Il donne la victoire à ceux qui sont courbés. (5) Que les hommes droits se réjouissent avec fierté ; qu'ils poussent des cris de joie sur leur couche. (6) Des louanges de Dieu dans la bouche, et une épée à double tranchant dans la main ».
En particulier ce dernier verset, et peut-être aussi la première partie ou même tout le quatrième verset : « Car le Seigneur prend plaisir à Son peuple ». Nous devons voir cela dans le sens que Dieu a exprimé Son bon plaisir en Christ, et que nous avons le bon plaisir de Dieu en Christ, non pas en dehors de Christ, mais en Christ. Et nous savons qu'Il nous a déjà élus en Lui avant la fondation du monde. Tout comme Ève était en Adam, l'Épouse a été en Christ, et a été retirée de Lui. C'est pourquoi on peut déjà dire d'avance (verset 4) :
« Car le Seigneur prend plaisir à son peuple. Il donne la victoire à ceux qui sont courbés. (5) Que les hommes droits se réjouissent avec fierté ; qu'ils poussent des cris de joie sur leur couche. (6) Des louanges de Dieu dans la bouche, et une épée à double tranchant dans la main ».
Nous lisons le premier chapitre d'Apocalypse. Apocalypse chapitre 1. Ici, le Seigneur est montré au milieu des sept chandeliers d'or. Il est décrit... Peut-être lisons-nous à partir du verset 12 :
« Je me suis alors retourné pour voir la voix qui me parlait. Et m’étant retourné, j'aperçus sept chandeliers d'or et, au milieu des chandeliers, quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme. Il était vêtu d'une robe et avait une ceinture d'or autour de la poitrine. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme la neige, et ses yeux étaient comme une flamme de feu. Ses pieds ressemblaient à de l'airain doré, comme s'ils avaient été enflammés dans une fournaise, et sa voix était comme le bruit de nombreuses eaux. Dans sa main droite, il tenait sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguisée à double tranchant, et son visage brillait comme le soleil brille dans sa puissance ».
En particulier ce verset ici : « Dans sa main droite, Il tenait sept étoiles. De Sa bouche sortait une épée aiguisée à double tranchant ». Nous savons que l'Épée de l'Esprit est la parole de Dieu. Nous pouvons le lire. En effet, nous connaissons tous les saintes Écritures. Et, lorsque le Seigneur révèle Sa parole et la transmet à Ses serviteurs, elle conserve la même efficacité, elle ne peut pas perdre de sa puissance.
Et je pense à l'expérience de frère Branham qu'il décrit dans la prédication : « Debout dans la brèche », tenue juste après l'ouverture des sept sceaux, lorsque la puissante épée a été placée dans sa main. Et nous devons comprendre... je vais lire quelques passages avant d'y arriver. Je ne suis absolument pas habitué à lire des citations. Il me faudra du temps pour m'y habituer. Mais si je les lis toutes, je trouverai aussi ce qu’il y a en dessous. Soyez patients, s'il vous plaît.
Nous voyons le Seigneur au milieu des sept chandeliers d'or. Nous l'avons vu dans Sa description, mais cela ne suffit pas. Il avait sept étoiles dans Sa main droite, et les sept étoiles sont les sept anges des sept églises. Et de Sa bouche sortait une épée aiguisée à deux tranchants : Sa parole éternellement valable est sortie de Sa bouche, et Il l'a adressée à Ses messagers, lesquels ont transmis Son message, et il est devenu une épée de l'Esprit, car l'Esprit a rendu la parole vivante. La lettre tue, mais l'esprit vivifie.
Tous les hommes, toutes les assemblées avaient la Bible sous forme de lettres, mais le Saint-Esprit a donné vie à la lettre, et nous a fait voir les contextes ; et la parole qui n'était auparavant qu'une lettre, est devenue une parole vivante, une épée de l'Esprit, et plus précisément de l'Esprit de Dieu. Toute parole que l'Esprit de Dieu révèle devient une épée de l'Esprit. Toute parole qui n'est pas révélée ne peut pas devenir une telle épée pour toi et pour moi, parce que tu n'en connais pas le tranchant et ce qui en fait partie. C'est pourquoi la révélation de la parole de Dieu est si importante.
Et frère Branham n'était pas un prophète comme Agabus ou comme il est dit dans Actes 13 qu'il y avait différents apôtres et prophètes dans l'église, mais il était un prophète de la parole, un prophète de la parole, comme Moïse. Moïse était un prophète de la parole. La Bible dit en effet que le Seigneur s'adresse à Moïse et lui dit : « S'il y a un prophète au milieu de vous, Moi, le Seigneur, Je lui parlerais et Je Me révèlerais à lui par des songes et par des visions, ainsi de suite. Mais il n'en est pas ainsi avec Mon serviteur Moïse, car avec lui, je parle face à face ». Moïse était un prophète parole. Il vivait à une époque où les promesses que Dieu avait faites au peuple d'Israël s’accomplissaient.
Et à l’époque où les promesses de Dieu s'accomplissent, qui sont en effet, des promesses de la parole, personne n'a besoin de venir avec des songes, mais avec le « Ainsi parle le Seigneur » de la Parole de Dieu, afin de pouvoir dire au peuple de Dieu ce que Dieu a à lui dire. Il ne s'agit donc pas d'une interprétation. Et vous le savez bien : Moïse n'avait pas d'interprétation. Il avait la révélation de la parole et de la volonté de Dieu. Le Seigneur lui dit : « J'ai vu la détresse de Mon peuple, J'ai entendu sa misère et ses cris, et Je suis descendu pour le faire sortir à main forte ». Que s'était-il passé ? Il arriva que le Seigneur Se révéla à lui dans la colonne de feu ; et cette colonne de feu a été avec tout le peuple d'Israël pendant tout le voyage. Le Seigneur n'est pas seulement apparu à Moïse et S'est ensuite retiré. Le Seigneur est apparu à Moïse, et a guidé et dirigé tout Son peuple qu'Il a fait sortir, dans la même illumination de la colonne de feu, et Il a pris soin d'eux.
Et nous devons reconnaître la même chose avec Paul. Lorsque le Seigneur lui est apparu dans la colonne de feu, ce n'était pas seulement comme un éclair qui allait et venait, mais la lumière de Dieu et l'illumination dont cet homme avait bénéficié, ont accompagné le peuple de Dieu à travers le temps.
Il en va de même de nos jours. Nous pouvons dire : « Oui, le Seigneur est apparu à frère Branham ! ». Nous le savons, les photos ont été prises. Mais qu'en est-il aujourd'hui ? Nous devons parvenir à croire et à être des hommes comme Josué et Caleb, que nous ne regardions pas les circonstances sinon, nous pourrions dire, comme les dix espions : « écoutez, cela n'a aucun sens et aucun but. Nous n'y arriverons pas ». C'étaient Josué et Caleb... Je veux dire qu'ils ont probablement déchiré leurs vêtements et se sont présentés au peuple en disant : « Avec l'aide de Dieu, nous sommes plus que capables de prendre le pays ». Qu'est-ce que c'était ? Ils étaient des porteurs croyants de la promesse divine pour le pays qu'ils venaient de visiter, et ils n'étaient revenus que pour renforcer la foi des autres et traverser ensemble pour y entrer.
Nous savons que Dieu a organisé ces choses de cette manière et aussi pour cette période dans laquelle nous sommes. Nous n'avons pas suivi des fables habilement conçues, mais vraiment la révélation divine de Sa Parole et de Sa volonté en ce temps. Et si nous avons compris cela, alors devraient venir les heures et aussi le jour où Dieu nous aide à regarder au-delà de toutes les circonstances, et à regarder vers le Seigneur qui a fait la promesse, par grâce. Mais, la foi doit être déposée dans notre cœur par la révélation de la parole et de l'Esprit.
Bien que je l'ai déjà fait récemment, je voudrais lire et dire quelques mots de cette prédication, la première à avoir été prononcée après l'ouverture des sept sceaux. Ici, à la page 22, je vois le paragraphe :
Citation. [Brochure « Debout dans la brèche ». N.D.L.R.].
Ce matin-là, je priais dans les ravins de Sabino Canyon, me demandant ce qui allait arriver. J'ai levé les mains vers Dieu, là, sur la montagne, l'Épée est tombée dans ma main, avec une poignée de perles, une garde et une longue lame d’environ trois pieds (soit quatre-vingt-seize centimètres). C’est ce que je dis maintenant. Longue, brillante comme l'acier inoxydable ou le chrome, tranchante comme une lame de rasoir. Je ne savais pas ce que cela signifiait, et j'ai dit : « J'ai peur de ces choses ». À ce moment-là, une voix ébranla tout le canyon et dit : « Celle-ci est l'Épée du Seigneur, et l'Épée du Seigneur est la Parole du Seigneur ». « La parole de Dieu est plus tranchante qu'une épée à double tranchant ».
Voilà pour cette citation. Ce n'était pas une simple expérience. Il entendit la voix puissante qui ébranla tout l'environnement, qui dit : « Celle-ci est l'Épée du Seigneur ! ». Si nous sommes placés dans le combat divin, nous pouvons tout au plus, avec notre propre équipement et notre propre épée, couper l'oreille de quelqu'un d'autre. C'est tout ce que nous pouvons faire. Pierre, ou qui que ce soit d’autre, était capable de le faire. Mais il s'agit de tout autre chose. Nous ne sommes pas dans notre combat ! Nous n'avons pas été placés dans notre cause ! Nous avons été placés dans le royaume de Dieu ! Notre combat n'est pas contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les puissances qui règnent dans les airs, mais qui, au fond, ont déjà été vaincues par le Seigneur sur la croix à Golgotha !
Il est dit ici : « Celle-ci est l'Épée du Seigneur, et l'épée du Seigneur est la parole du Seigneur ». Frère Branham a dit dans une autre prédication : « La meilleure épée ne peut rien faire si elle est laissée à l'abandon. Elle doit être prise et actionnée par une main forte de la foi, et alors, l'Épée de l'Esprit peut accomplir ce pour quoi Dieu l'a conçue ».
Certains d'entre nous se souviennent du 31 décembre 1965-1966 juste après que frère Branham était rentré dans la gloire, quand le Seigneur, sur la salle qui est dans la rue Hubert, à peu près à minuit, alors que nous étions en prière, a soudain fait dire par révélation que l'Épée du Seigneur avait été remise dans ma main. Je suis franc avec vous : à l'époque, je n'ai pas voulu l'accepter parce que je savais déjà ce que frère Branham avait dit, à savoir que le Seigneur avait mis l'Épée dans sa main. Et je pensais en moi-même : « L'Épée du Seigneur est dans la main de frère Branham » ; et pour moi, l'affaire était réglée à ce moment-là, mais pas pour Dieu ; car je ne savais pas que frère Branham était déjà rentré dans la gloire, et que Dieu, dans Sa sage prévoyance, avait donné cette révélation par grâce le 31 décembre 1965.
La raison pour laquelle je reviens sur ce point est la suivante : Lorsque j'étais à Palerme, et cela s'est passé après le deuxième service divin, une vieille femme, une vieille sœur ; je dirais qu'elle avait une soixantaine d'années, elle est arrivée avec le prédicateur à un bras et le traducteur à l'autre, et les larmes coulaient sur ses joues ; et elle était secouée de tout son corps et tremblait, et elle a dit ce qu'elle avait vu. Vous savez que j'ai de nombreuses raisons d'être prudent, mais j'aurais du mal à imaginer que cette vieille femme ait besoin de dire quoi que ce soit qui ne soit pas ainsi. Et elle a dit avec des mots balbutiants mais des mots certains : Pendant la prédication, elle a vu en esprit comment une épée puissante a été placée dans ma main droite, et comment je l'ai saisie. Puis, elle a levé les yeux et a vu une lumière éclatante briller, et j’ai levé cette épée. Et comme je l'ai dit, elle tremblait de tout son corps. Je n'ai pas non plus accordé trop d'importance à cette affaire.
Je sais une chose avec certitude : c'est que la responsabilité de la parole révélée n'est pas l'affaire de tout le monde, mais qu'elle nécessite une autorité, une permission et un appel divin pour manier l'Épée de l'Esprit.
Et je crois que, comme je l'ai dit tout à l'heure, Dieu, dans Sa sage prévoyance, a déjà annoncé les choses et les a aussi en partie réalisées. Que cela soit arrivé à ce moment précis, et vous pouvez me croire, j’ai pu me décharger d’une partie de ma détresse et de mon fardeau, et j'ai dit : « Seigneur, si c'était Toi, si c'est Toi qui veut me parler encore une fois et me montrer une fois de plus que Ta décision n'a pas changé, mais qu'elle en est restée là, alors, je suis prêt à accomplir ce ministère. ». D'un point de vue terrestre, il faut faire abstraction de tout. Spirituellement, nous regardons au Seigneur et savons que Sa parole accomplira ce pour quoi Il l'a envoyée.
Et ces jours-ci, nous allons traiter un certain nombre de prédications de frère Branham. Et je vous le dis dès aujourd'hui que le secret n'est pas d'accepter à quatre-vingt-quinze ou quatre-vingt-dix pourcent ce qui lui a été révélé par Dieu, mais d'accepter à cent pour cent ce qu'il a dit, et c'est vraiment le cas. Et je pense à toutes sortes de choses sur lesquelles on a pensé différemment, en croyant connaître les Écritures, et le diable nous mène par le bout du nez, sans que nous nous en rendions compte. Dieu n'a pas envoyé un prophète pour que nous nous imaginions mieux connaître les Écritures, mais Dieu l'a envoyé pour nous faire entrer dans les Écritures. Et cela devra donc être une épée à double tranchant pour moi, et pour toi, et pour nous tous. Et nous pouvons encore nous réjouir lorsque cela nous touche, lorsque le Seigneur circoncit, lorsqu'il corrige, lorsqu’Il parle. Nous voulons Lui en être reconnaissants. Sans Lui, et sans cela rien ne va plus du tout.
De quoi le Seigneur s’est-Il servi pour affronter l'ennemi ? Lui a-t-Il dit : « Tu ne sais pas qui Je suis ? ». Non. Il le frappait continuellement avec la parole, et Il disait : « Il est écrit ». Et quand l'ennemi est arrivé et a commencé lui aussi à dire : « Il est écrit », alors le Seigneur a utilisé cette expression : « Il est encore écrit ». Il n’est entré dans aucune discussion avec lui, mais Il l'a frappé deux fois, trois fois et cent fois, et l’a frappé jusqu’à la fin et a écrasé la tête du serpent.
Ce que Dieu a dit par l'intermédiaire de frère Branham n'a besoin d’aucune discussion ni d’aucune interprétation ! Il faut seulement que cela nous soit révélé dans la même lumière de Dieu, dans la même clarté par le Saint-Esprit. Et nous attendons que ces choses, qui ne sont peut-être pas encore très claires, deviennent claires pour nous. Nous savons, en effet, que tout vient en son temps. Et Dieu nous donnera l'illumination pas à pas sur le chemin que nous suivons, selon le besoin d’illumination que nous avons.
Et pensez à l'histoire de frère Branham. Il utilise parfois des histoires très simples que nous pouvons aussi comprendre. Il a parlé de l'homme qui est venu à la réunion avec une lanterne. Cela doit peut-être remonter à un certain temps et aussi à une ville éloignée ; mais ce vieil homme avait une lanterne à la main et savait qu'après le service divin, il ferait nuit et qu’il devait rentrer chez lui. Et quand cet homme l'a abordé et lui a dit : « Écoute, je ne vois pas tout ça, etc. » et il lui a demandé : « Qu'est-ce que tu as dans la main ? » ; « Oui, dit-il, une lanterne ». Il a dit : « Allume-la ! » Et il a demandé : « Tu vois déjà ta maison ? » Il a dit : « Non. Mais cette lumière, cette lanterne que je porte avec moi, éclaire chacun de mes pas jusqu'à ce que j'arrive à ma maison. Je ne vois pas encore la maison. Elle est peut-être à des kilomètres du lieu où je suis ». Mais il avait la lumière avec lui. « Ta parole est lampe à mes pieds et une lumière sur mon chemin ».
Nous ne voyons peut-être pas encore très loin. Ce n'est d’ailleurs pas nécessaire ! Ce qui est important, c'est de voir où nous allons et où nous marchons, où nous mettons les pieds en ce moment. Ainsi, nous pouvons apprendre beaucoup, beaucoup de choses à partir d'exemples simples. Et quand nous entrerons dans ces prédications, c'est certainement avec une seule intention : que ce que Dieu a dit nous soit présenté une fois de plus et nous aille droit au cœur.
Ici, à la première page, il est question de l’abandon au Seigneur, se consacrer au Seigneur. Et il dit :
Citation. [Brochure « Debout dans la brèche ». N.D.L.R.].
C'est le désir de notre cœur : de Te servir avec révérence et avec un cœur véritable, afin que Tu puisses tirer le meilleur parti de notre vie. Que notre conduite soit chaque jour telle que Tu prennes plaisir aux choses que nous avons faites ce jour-là.
Ici, il s'agit de la consécration, de l’abandon de notre vie au Seigneur. Et ensuite, il exprime quelque chose qui me vient naturellement du cœur.
Citation.
Nous sommes reconnaissants envers nos amis. Mais ici, il s’agit des amis particuliers qui se sont tenus à nos côtés pendant que nous traversions des moments difficiles. Il n'y a pas de remplaçants pour de tels amis.
C’est ce qu’il a vécu. Il avait des amis qui étaient avec lui, qui l'ont accompagné dans des moments difficiles. Et il dit : « J'ai beaucoup d'amis dans le monde entier, mais il n'y a pas de comparaison avec les amis qui ont traversé les épreuves avec moi ». Puis il poursuit :
Citation :
En quoi consiste une assemblée ? Non pas le bâtiment, mais des personnes qui s'y rassemblent pour adorer Dieu. Nous en sommes reconnaissants. Comme nous l'avons souvent dit, l'église doit être un organisme vivant. L'Église doit être le corps du Seigneur, par lequel Dieu peut Se manifester sur cette terre.
Ici, il continue en disant : (Citation)
Dieu ne pouvait pas passer outre Moïse. Cela a toujours été un mystère pour moi jusqu'au jour où, dans une révélation de l'Écriture, cette pensée m'est venue : Moïse a agi par procuration. De toutes les manières possibles, il était un type de Jésus-Christ. Mais comme Jésus a donné le sang de Dieu, le sang créé de Dieu, Dieu a remis à toute l'humanité ses péchés (a pardonné les péchés de toute l’humanité), car tout était placé sur Lui. Nous devons comprendre que l'Agneau de Dieu a accompli une rédemption valable éternellement ! Il n'y aura pas d'autre rédemption ! C’est une rédemption éternelle qui a eu lieu sur la croix à Golgotha. Le sang de l'Agneau a été versé. Il est écrit ici : « Il est aujourd'hui le seul Médiateur entre Dieu et les hommes ». Nous avons été librement pardonnés et… pardonnés. Oui. Dieu ne sait même pas que nous avons péché. Nos péchés sont jetés dans la mer de l'oubli et on ne s’en souviendra plus jamais !
Nous devons aussi le comprendre : En tant qu'êtres humains, nous pouvons nous martyriser et nous affliger, et ne plus être heureux de notre vie, si nous pensons à nous-mêmes ou à ce qui nous accable. Si nous regardons le Seigneur et que nous savons qu'Il est l'Agneau de Dieu, qu'Il a versé Son sang, et que toutes nos fautes et nos péchés ont été placés sur Lui, alors la question du péché est résolue une fois pour toutes ! La réponse est : Le péché est pardonné et jeté dans la mer de l’oubli. Alors il est dit ici encore : (Citation)
Si l'amour de Dieu a déjà frappé votre cœur dans la douceur de Jésus-Christ, alors vous êtes tellement unis à Lui par l’amour que le monde est aussi mort que votre péché ! C'est à cela que vous reconnaîtrez si vous avez le Saint-Esprit. Non pas que vous puissiez crier, pousser des cris de joie, parler en langues ou quoi que ce soit d'autre, mais lorsque le péché est mort et que vous êtes vivants en Jésus-Christ. Ô amour de Dieu, si riche et si pur !
C'est aussi une pensée très précieuse. Ce paragraphe, je l'ai lu récemment. Il dit : (Citation N.D.L.R)
Je ne suis pas appelé à prier pour les bébés, etc. mais à prendre l'épée et à pénétrer sur la ligne de front dans les combats contre le paganisme, contre les démons et les puissances des ténèbres. J'ai combattu avec la parole de Dieu jusqu'à ce que je voie l'ennemi vaincu. Souvent, j'ai été profondément blessé.
Eh bien, c'est une pensée tout à fait glorieuse. Il n’est pas appelé pour bénir les bébés, et toutes ces formalités qui doivent aussi être, mais il y a suffisamment de choses pour cela. Dieu avait besoin d’un homme qui va au front, d'un homme comme David, capable de faire face à Goliath, et rempli de l'Esprit de Dieu et de foi. Vous savez qu'à l'époque, il y avait toute une armée d'Israélites, et quand David est arrivé, ses frères lui ont dit : « Nous avons toujours su que tu étais effronté ! Mais que tu viennes encore ici maintenant, c'est vraiment trop ! ». Et qu'est-ce que c'était ? Il n’était pas effronté ! L'Esprit de Dieu était en lui, et il ne pouvait pas faire autrement. Après tout, il ne venait qu'apporter de la nourriture à ses frères. Et lorsqu'il était là pour leur apporter le ravitaillement, il a vu et entendu les Philistins incirconcis.
Nous ne sommes pas seulement là, et le frère Branham n'était pas seulement là pour nous apporter le ravitaillement, pour nous apporter la nourriture. Il était là pour prendre l'Épée de l'Esprit, la parole révélée de Dieu. Et, comme il le dit ici : « Pour pénétrer dans la ligne de front et combattre contre le paganisme, contre les démons et contre les puissances des ténèbres ». Mais cela ne s'arrête pas là. Il dit ici, et je pense que c'est quelque chose de semblable à ce que Paul a exprimé autrefois, quand il a dit : « J'ai combattu le bon combat et j'ai gardé la foi jusqu'à ce que je voie l'ennemi vaincu », et non pas : « jusqu'à ce que j'aie vaincu l'ennemi ». Non. L'ennemi est déjà vaincu, mais le Seigneur attend qu'il soit mis sur son marchepied. Et pour cela, Dieu nous a donné l'Épée de l'Esprit. Et je pense que le Seigneur prendra plaisir à ce que nous élevions de nouveau la croix de Golgotha et le Crucifié au milieu de nous, et que nous acceptions dans une foi totale tout ce qui nous a été donné par Golgotha, et que nous ne laissions plus l'ennemi nous le disputer. Et puis il dit ici : (Citation. N.d.l.r).
Souvent, j'ai été profondément blessé. Oui, cela arrive au combat, mais cela en valait la peine. Cela en valait la peine pour lui, et cela en vaudra la peine pour toi et pour moi. Et vous savez quoi ? Peu après, il dit les mots suivants : (Citation. N.d.l.r)
Et je me suis dit : « Ô mon Dieu, pourquoi n'as-Tu pas appelé quelqu'un d'autre qui aurait pu le faire ? Je suis désolé, mais j'ai échoué. Les gens ne veulent tout simplement pas m'écouter. J'ai échoué et je n'ai pas fait ce que j'aurais dû faire quelque part ; parce qu'ils ne veulent pas m'écouter ».
Il n'y a qu'un côté de différence : D'une part, vu du point de vue divin et, d'autre part, vu avec des yeux terrestres. Il a vu les grandes foules qui étaient venues lorsque les grandes réunions de guérison ont eu lieu ; et puis, il a vu qu'il y en avait de moins en moins, de moins en moins. Et il se demandait alors : « Ai-je échoué ? Pourquoi les gens n'entendent-ils pas, Seigneur ? Tu aurais dû choisir quelqu'un d'autre ».
Je n’ai pas dit cela qu’une seule fois, je l'ai déjà dit assez souvent ! Il est dit ici : (Citation. N.d.l.r).
Au retentissement du message du septième ange, tous les mystères de Dieu seraient connus. Je le crois de tout mon cœur.
Personne ne peut venir dire, pas même le frère Frank ou qui que ce soit, (personne ne peut venir dire) que Dieu m'a maintenant révélé ceci ou cela. Tout ce que Dieu a révélé est déjà contenu dans les paroles révélées de Dieu. Il suffit que nous les trouvions, et qu’ils nous soient révélés par l'Esprit. C'est tout ce dont nous avons besoin.
Et je pense que cela fait sans doute partie de mon mandat, si je peux le dire en toute modestie : de faire entrer le peuple de Dieu dans ces mystères. Et vous remarquerez que parfois, il nous arrive de lire par-dessus. Je l'ai fait aussi. Mais il semble maintenant que le temps soit venu de ne plus passer outre ou de ne plus lire à côté, mais de nous y plonger afin de donner à Dieu la possibilité de nous conduire plus loin vers le but, jusqu'à ce que nous soyons couronnés. Ici, il est maintenant écrit plus loin : (Citation. N.d.l.r).
La pierre de faîte n'a jamais été posée sur la pyramide. J'étais au Caire, en Égypte, l’achèvement n'est jamais venu, car c'était la pierre angulaire, qui est en même temps la pierre de faîte.
Dans l'Église, Il est la Pierre angulaire ; dans l'Église achevée, Il est la dernière Pierre, la Pierre de faîte. Au début, Il était la pierre angulaire. À la fin, Il est la Pierre de faîte, la dernière Pierre. Il est l'Alpha et l'Oméga, le Premier et le Dernier, celui qui est, qui était et qui vient. Nous pourrions lire bien choses. Ici, il se réfère aux sept sceaux et dit : (Citation. N.d.l.r).
En fait, cela a arraché les roches des montagnes. Il est connu que, pendant le temps des sept anges en forme de pyramide… j’ai vu des anges qui sont descendus en hâte, et ils m’ont enlevé. J'ai été amené à l'Est pour ouvrir les sept sceaux pour Dieu. Si vous ne les avez pas encore lus, si Jésus tardait et que mes petits-enfants, les petits enfants de Paul, ce serait toujours la vérité éternelle du Dieu vivant.
Il s'agissait de déterminer ce qui était scellé à l'intérieur de cette montagne et qui n'était pas écrit. Il fallait l'interpréter. Et quand je suis revenu, le premier ange, le premier soir, a ouvert le premier sceau. Et c'était contraire à tout ce que nous avions entendu dans notre vie. Tous les sept ont été donnés de la même manière, vous le savez. Vous étiez présents lorsque cela s’est produit. Beaucoup d'entre vous.
Qu'est-ce que c'était ? C'était une action surnaturelle de Dieu. Ce n'était pas un homme qui ruminait quelque part pour interpréter les sept sceaux, mais le Seigneur qui avait indiqué à Ses prophètes dans une vision ce qui allait arriver, et qui l'a ensuite accompli. Dieu fait, en effet, toutes choses de manière surnaturelle. C'est à cela que nous reconnaissons qu'elles sont de Dieu.
Il donne une description plus détaillée de ce qu'il a vu et de ce qui lui a été accordé. Ensuite, en se référant à lui, il est dit ici :
« Celui-ci est mon serviteur. Je l'ai appelé à être un prophète pour cette âge, qui doit guider le peuple comme Moïse l'a fait ».
L'autorité divine lui a été donnée. Il peut dire des choses et les appeler à l'existence. C’est une révélation que Dieu a faite à un autre à son sujet, qu'il était envoyé comme Moïse en tant que prophète pour cet âge ; et nous n'en avons pas honte ! Il y a des gens qui disent : « Pour nous, il suffit de croire en Jésus-Christ ». Et je vous dis qu'il y en a beaucoup qui croient, mais ils ne croient pas ce que Dieu leur dit, ils croient ce qu'ils veulent croire !
Et je veux dire que j'ai reçu ma plus grande déception et ma pire leçon au congrès de Berlin. Quand j'ai assisté à tout cela, je ne savais même pas de quoi il s'agissait. Je n'étais qu'un spectateur parmi environ deux mille cinq cent personnes. J'ai vu l'évêque protestant, j'ai vu et entendu certaines personnes, et j’ai ressenti toute l'atmosphère. Et vu de l'extérieur, il ne se passe rien ici parmi nous. Les gens bougeaient de droite à gauche et de gauche à droite, leurs mains, tout était en mouvement ; ils marchaient en hauteur, ils chantaient dans des langues anciennes et nouvelles, et cela semblait être comme une immense harmonie divine.
Le fait que je n’étais qu'un observateur et que je n’ai pas participé aux applaudissements, ou que tout cela était peut-être bon et juste ; mais que la personne qui se tenait devant était en fait un médium, je ne l'aurais jamais imaginé de ma vie ! Et quand cet homme, John Todd, qui s'appelait Collins auparavant, un homme qui a travaillé pendant tant d'années dans les cercles spirites américains, qui a même été le chef de treize états et de tous ces groupes, et qui connaissait toutes ces personnes qui sont en haut et entre autres aussi la dame qui était l'oratrice principale au congrès charismatique de Berlin. J'ai vu cette dame, j’ai su dans mon cœur que ce n'était pas bien. Elle n’était pas à sa place là-bas ! À quoi me servent vos larges manches là-bas, et tout le spectacle ? Dans mon cœur et dans mon estomac aussi, tout a tourné !
Mais que cet homme, John Todd, déclare dans son témoignage que cette femme est l'une des principaux médiums, et qu'elle va et est appelée dans les plus hauts cercles spirites d'Amérique… Quand j'ai entendu cela, tout s'est presque arrêté. J'ai perdu tout mon air. Comme je l'ai dit, j’ai ressenti le mal en moi-même ! La femme a certes parlé de l'apparition d'un mort, et ainsi de suite, mais je n'ai rien compris de tout cela. Et l'homme à côté de moi dit en anglais : « She’s a witch ! », ce qui signifie en français : « C'est une sorcière ». Et je n'ai pas accordé d'importance à tout cela. Et j’entends toutes ces choses plus tard.
Pourquoi je dis ça ? Ces gens ont effectivement, si l'on regarde de l'extérieur, une action du Saint-Esprit que l'on pourrait désirer, et peut-être y aller à pied pour l'amener ici. Et ensuite, on apprend qui se tenait là devant, et ce que tout cela représentait. Toute l'histoire était enchantée, ensorcelée. Et vous constaterez, à la fin du voyage, combien il était important de prendre la Parole révélée de Dieu comme seul critère pour tout ce que nous voyons et entendons.
D'après l'extérieur, on pourrait dire que c'était fantastique. Elle pouvait dire : « Je vous apporte les salutations de mon frère, l’ex président des États-Unis », qui devait être à l'époque le président, et cela a fait une grande impression sur tout le monde. Mais qu'est-ce que c'était ? Ce n'était pas de Dieu.
Et c'est là que nous en arrivons : Les gens qui rejettent ce que Dieu a prévu et donné pour cette époque, ils ont beau avoir beaucoup de choses à montrer à l'extérieur... Pourquoi nous a-t-on toujours dit de donner à la chose le test de la parole ? d’examiner toutes choses à la Parole ? Et nous entrerons dans cette affaire au cours des soirées à venir, et vous verrez que nous pouvons tous nous tromper, mais la parole de Dieu est la vérité éternelle. Et si nous prenons la parole de Dieu comme critère et comme pierre de touche, c’est seulement à ce moment-là que nous serons sûrs. Combien de fois l'avons-nous entendu ? De l'extérieur, les deux choses seront si semblables l'une à l'autre que s'il était possible même les élus seraient séduits. Mais cela n'est pas possible, car les élus ont la parole de Dieu, qui leur a été révélée par l'Esprit de Dieu, et ils ne sont pas emportés par un quelconque enthousiasme, mais ils demeurent sur la parole de Dieu.
Et quand on a dit ici à frère Branham : (Citation. N.d.l.r).
C'étaient les prophètes de l'Ancien Testament. Tu as été appelé à un ministère beaucoup plus élevé. En outre, tu as reçu plus de dons. Tu as été appelé à prier pour les malades et à prêcher l'Évangile de manière apostolique.
C’est ce que je me souhaite, et c’est ce que je souhaite à chacun d'entre nous, que nous reconnaissions ce que Dieu a fait à travers frère Branham en tant que messager ; c’est ce qu'il veut faire et atteindre par son message parmi ceux qui lui ont donné la foi et qui ont reçu la parole révélée. Ici, il dit : (Citation. N.D.L.R) :
Il a dit : « Retourne ! Ne t'ai-je pas dit au début, quand je t'ai appelé là-bas près du fleuve, comme Jean-Baptiste »
Nous connaissons en effet toutes ces choses très, très bien. Ce qui me tient à cœur, c'est qu'en ces jours, la Parole de Dieu devienne plus grande et plus importante pour nous que jamais auparavant, et que nous examinions toute action de l'Esprit sur la base de la Parole de Dieu.
Et vous constaterez au cours de prochaines soirées qu'il n'y a pas d’examens, ni même d'épreuve des esprits sans la mesure, le critère de la Parole de Dieu. Tout doit être examiné par la parole de Dieu. Et si toi et moi, si nous pensons... et il y a des gens qui disent simplement : « Ah, j'ai le don de discernement », et qu'est-ce qu'ils distinguent ? Qu’est-ce qu’ils discernent ? Ils ne peuvent même pas distinguer la lumière des ténèbres et ils se font eux-mêmes des réflexions sur les choses qu’on leur présente ! Non. Une décision et un discernement corrects ne peuvent être faits que sur la base de la Parole de Dieu. Ce n'est qu'alors que nous savons quel esprit est actif, qui parle ; car ce que Dieu fait est toujours conforme à Sa parole. Et si cela ne correspond pas à Sa parole, nous pouvons l'oublier. Cela peut paraître si bon que possible à nos yeux.
Donc, ma décision est ferme : avec l'aide de Dieu, de fermer mes oreilles et tout ce qui est en moi à tout, à moins que je ne le voie clairement dans la Parole de Dieu ! Et à partir de là, nous reconnaissons l'importance du message que Dieu nous a donné dans ce temps. Non pas que nous continuions à avancer en pensant que nous avons les choses en main. Nous avons constaté que ce n'est pas nous qui contrôlons les choses, mais que ce sont les choses qui nous contrôlent.
Et c'est pourquoi nous, nous sommes, moi peut-être, un peu émus intérieurement. Et je voudrais que Dieu puisse faire une conclusion complète, et qu'Il Se révèle vainqueur à la fin, et que nous sortions comme la troupe croyante, comme une troupe victorieuse dans cette dernière génération.
« De Sa bouche sort une épée aiguisée à double tranchant » : C'est Sa parole sainte et précieuse. Et c'est cette parole que nous avons reçue dans la foi.
Et permettez-moi de dire dès aujourd'hui : l'Esprit de Dieu agira toujours en accord avec la Parole de Dieu. S'il se passe quelque chose qui n'est pas en accord avec la parole de Dieu, que nous ne trouvons nulle part ici dans les Saintes Écritures, alors il est déjà grand temps que nous fassions silence et que nous sondions les Écritures pour savoir si cela est exact. Et vous constaterez que tout ce qui vient par l'Esprit sera vérifié et vérifiable par l'Écriture.
Si Dieu le veut, nous continuerons demain. Et j'espère que la parole de Dieu accomplira ce pour quoi le Seigneur l'a envoyée, car le temps est avancé, et le retour du Seigneur est proche. Que Sa parole révélée soit une Épée tranchante à double tranchant, et que l'ennemi en fasse les frais. Même si nous sortons parfois blessés mais en fin de compte, nous pourrons nous aussi dire que nous avons vu l'ennemi vaincu, et non pas que nous l'avons vaincu. C’est le Seigneur qui l'a vaincu. Il a écrasé la tête du serpent, Il a ôté le pouvoir de la mort, Il est ressuscité d'entre les morts le troisième jour ; mais maintenant, Sa victoire doit être menée à son terme par nous, par grâce. Sans nous, le Seigneur ne peut pas le faire. Que Dieu nous aide.
Pour finir, il n’y a que cette parole ici. Citation :
Souvent, Dieu a permis que Ses serviteurs fassent des choses, commettent des erreurs, afin que ces choses soient prouvées. Or, nous savons que les hommes peuvent faire des erreurs. Mais Dieu, Lui, ne peut pas faire d'erreurs.
Et puis il continue à dire ici :
Certes, si cela est déjà en soit la chose par laquelle l'immense victoire dans l'amour divin doit être accomplie, alors c'est l'amour divin qui est Dieu. Vous voyez ? Il faut l'amour divin pour s’avancer sur la ligne de front et s'engager dans la brèche pour le peuple.
C'est ce que je me souhaite de tout mon cœur, qu'il ne reste absolument aucune trace de quoi que ce soit d'autre que l'amour divin manifesté sur la croix à Golgotha. Et je vous le dis que, dans le combat spirituel, nous n’avançons pas en donnant un coup de coude à l'un, et peut-être un coup de pied à l'autre ; mais le combat spirituel ne peut se faire qu'ensemble, c'est-à-dire se faire ensemble, et l'ennemi est notre seul adversaire, et nous sommes tous remplis de l'amour de Dieu. Oui, vous direz : « Cela fait-il partie de l'armure ? » Oui, cela fait justement partie de l'armure de Dieu. L'amour de Dieu. Il faut l'amour divin pour s'avancer sur la ligne de front et s'engager dans la brèche pour le peuple.
C'est ce que je me souhaite de tout mon cœur : Une effusion de l'amour divin. Non pas que nous devions faire des efforts pour aimer, mais que nous puissions dire : « L'amour de Dieu nous presse », comme Paul a pu le dire dans 2 Corinthiens 5 verset 14.
Et je suis convaincu que ces choses n'ont pas seulement été dites, mais elles vont se produire. Frère Branham n'a pas vécu assez longtemps pour voir tout cela se réaliser ; Paul n'a pas vu non plus certaines des choses qu'il attendait ; mais nous vivons dans le temps où ces choses trouveront leur conclusion et où l'immense victoire de notre Dieu sera révélée. Et alors, ce ne sera ni toi ni moi qui serons honorés, mais le Vainqueur de Golgotha, c’est Lui qui sera honoré et exalté parmi Son peuple, auquel Il accordera la victoire par grâce. Et nous croyons de tout cœur qu'Il l'a déjà fait, et nous le verrons de nos propres yeux.
Loué et exalté soit le nom du Seigneur ! Amen ! Levons-nous et prions.
Père céleste, je Te remercie de tout mon cœur de ne pas nous avoir oubliés, de ne pas nous avoir négligé. Tu Te souviens de Ton peuple maintenant, comme aux jours de Moïse. Tu entends nos cris et nos appels, ainsi que l'esclavage et tout ce qui ne Te plais pas. Créé pour nous une délivrance digne de Toi, pour que Ton nom soit glorifié, pour que Ta droite soit élevée, pour qu'elle révèle la victoire et la conserve jusqu'à la fin. Nous le croyons de tout notre cœur et de toute notre âme.
Seigneur bien-aimé, je Te remercie de ce que Tu nous as envoyé un prophète et que, par lui, Tu as remis Ta parole ancienne sur le chandelier ; de ce que Tu nous as donné l'instruction, l'enseignement, l’avertissement, le rappel à l’ordre et tout ce dont nous avions besoin.
Seigneur bien-aimé, c’est maintenant notre désir : Fais-nous reconnaître en particulier les choses dont nous avons besoin maintenant, Seigneur, pour faire le prochain pas, pour avancer dans la foi ; et éclaire-nous à chaque nouveau pas. Je Te remercie de tout cœur de faire de Ta parole révélée une Épée tranchante à deux tranchants, de l’appliquer, de l'utiliser, et d’y ajouter Ta grâce. Alléluia !
Tu as triomphé glorieusement à Golgotha. Amen ! Alléluia ! Seigneur, prends-nous et bénis aussi tous ceux qui viendront encore. Incline les cieux vers cette terre pour nous. Mon Dieu, fais-moi comprendre, ainsi qu'à nous tous en ces jours, ce que Tu as prévu pour nous. Fais qu’ensemble, dans la foi, nous reconnaissions et suivions le chemin que Tu veux nous faire prendre. Accorde-nous à moi et à nous tous, des cœurs obéissants et un esprit volontaire. Seigneur, glorifie Ton nom et couronne-nous de grâce et de miséricorde. Fraye-Toi un chemin, ô Esprit du Seigneur, et agis, ô Dieu de manière puissante en chacun de nous ; et que nous n'ayons pas seulement entendu Ta parole avec des oreilles terrestres, mais que nous l'ayons reçue dans notre cœur.
Seigneur bien-aimé, nous ne sommes qu'un petit reste qui ne peut être exprimé en pourcentage, et pourtant, nous avons trouvé grâce à Tes yeux. Je Te remercie pour cela. Tu nous as parlé. Nous sommes ici. Que l'œuvre de la rédemption se manifeste en nous, dans l'esprit, l'âme et le corps. Fais de nous de véritables enfants de Dieu, engendrés et nés de Ta parole et de Ton Esprit ; des personnes selon Ton cœur, que Tu peux bénir et établir en bénédiction. Seigneur, pose Tes mains transpercées sur tout Ton peuple que Tu as racheté, car il est écrit : « Nous sommes marqués dans la paume de Tes mains ». Sur la croix à Golgotha, Tes mains et Tes pieds ont été transpercés et Ton côté a été ouvert, et Ton sang, le sang pur, saint et divin, a coulé pour racheter Ta troupe qui verra la face de Dieu.
Satan, enlève tes mains sales de tout enfant de Dieu lavé ; car nous sommes libres par le sang de l'Agneau !
Sauveur, manifeste-Toi ! Créé une foi vivante dans nos cœurs, car nous avons entendu la parole vivante du Dieu vivant ; et Ta parole est esprit et elle est vie. Seigneur, que Ta victoire se manifeste en ces jours.
Nous T'en remercions dès maintenant, au nom saint de Jésus ! Alléluia ! Amen !