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Ewald Frank 

Zürich, le 25 octobre 1981

ROMAINS 3 VERSET 4, 1 JEAN 5 VERSET 20

« DIEU RESTE VRAI, ET TOUS LES HOMMES SONT DES MENTEURS. NOUS SOMMES DANS LE VRAI EN SON FILS JÉSUS-CHRIST. 

C'EST LE VRAI DIEU ET LA VIE ÉTERNELLE »

(Retransmis le 04 novembre 2023)

À moins que la voix de Dieu, la voix de Sa parole révélée, ne pénètre haut et fort dans ton cœur et dans le mien sinon, nous passerons à côté de ce que Dieu fait, a fait, et fera encore. Que le Seigneur accorde la grâce, que Sa voix, la voix de Sa parole, soit toujours entendue à haute voix, clairement et distinctement. Paul dit : « Si la trompette rend un son indistinct, qui se préparera et se revêtira pour le combat ? ». Que la voix de la trompette de Dieu puisse produire un son vraiment distinct, un son parfaitement reconnaissable pour tous ceux qui ont été accordés spirituellement. 

Je vous le dis, un instrument a beau être joué avec précision, il y a toujours des gens qui chantent de travers. Il en va de même pour la proclamation de la parole de Dieu : elle peut être en accord avec les notes de la parole de Dieu aussi clairement que possible, et certains sont malgré tout quand même de travers, à côté de la plaque. Que Dieu me donne vraiment, ainsi qu'à nous tous, la grâce d'être en accord, d'être accordé comme le dit si bien frère Branham « en accord avec le compositeur », lorsque nous apportons et entendons ce qui est écrit. 

Donc, en tant qu'enfant de Dieu, nous devons être en harmonie avec Dieu, totalement accordés. Vous remarquez que les instruments sont accordés, et quand ils sont bien accordés, nous avons tous la douceur de la musique. Le peuple de Dieu doit être accordé, mais seulement, selon les notes de la parole de Dieu. Pas selon ce que dit une assemblée ou un homme, mais selon ce que Dieu a révélé par grâce. On peut organiser un service divin de la plus belle manière qu'il soit, le décorer de toutes sortes de choses, et passer malgré tout à côté de la chose elle-même, à moins d'avoir été accordé avec Dieu, et cela, conformément à ce qu'Il a révélé dans Sa parole.

Aujourd'hui, je voudrais parler de la véracité de Dieu en lisant quelques passages bibliques avec l'aide du Seigneur, et en m’y référant brièvement. Nous commençons par Romain chapitre 3, et lisons ici à partir du verset 1. Romain chapitre 3 à partir du verset 1 :

« Que reste-t-il donc de l'avantage des Juifs ou de l'utilité de la circoncision ? Beaucoup tout de même, à tout point de vue. Tout d'abord, les promesses de Dieu leur ont été confiées. Car n'est-ce pas si certains se sont montrés infidèles, leur infidélité annulera-t-elle la fidélité de Dieu ? Non, jamais ! Au contraire, cela reste vrai : Dieu est véritable, même si tout homme est un menteur, comme le dit l'écriture : Tu seras trouvé juste dans tes paroles, et tu resteras vainqueur quand on contestera avec toi ». 

Principalement cette pensée : « Dieu reste vrai ». Ces trois mots en disent plus que ce que nous pouvons comprendre sur le moment. L'homme dit quelque chose avec un cœur sincère ensuite, il ne peut pas le tenir. Il a de bonnes intentions, il ne peut pas les réaliser. Mais Dieu est tout autre. Avant la fondation du monde, Il a conçu Son plan de salut, et Il l'exécute. Il reste fidèle et véridique dans tout ce qu'Il fait, juste. Même si chaque homme était ou est infidèle, ou si chaque homme était ou est un menteur, nous pouvons nous appuyer solidement sur ce que Dieu a dit et nous y fonder. 

Ici, il s'agissait de savoir si les Juifs avaient un avantage par rapport aux païens. Et la première chose que l'apôtre constate, c'est qu'ils ont bien reçu la circoncision et aussi les promesses. Mais vous verrez que le même apôtre met tout à fait en lumière la vérité et la véracité de la chose, et il dit déjà ici dans Romains 2 verset 28 : 

« Car n'est pas Juif celui qui l’est visiblement, (ou bien extérieurement), et la circoncision ne consiste pas dans ce qui se fait extérieurement, dans la chair, non. N'est Juif que celui qui l'est intérieurement, et la circoncision doit s'accomplir dans le cœur par l'esprit, et non extérieurement selon la lettre ». 

Ici, l'apôtre parle d'une circoncision du cœur par l'Esprit, non pas une circoncision de la chair effectuée extérieurement selon la lettre ; mais une circoncision du cœur qu'aucun homme, mais que Dieu seul peut effectuer en toi et en moi. 

Aujourd'hui, on ne demanderait pas qui est vraiment Juif. Aujourd'hui, on demanderait qui est donc vraiment chrétien aux yeux de Dieu, et alors, les gens diraient : « Nous le sommes, car nous avons vécu un baptême et ainsi de suite », même s'il ne s'agissait que d'une aspersion extérieure d'eau ; mais les gens s'en réclament, et pensent qu'ils sont chrétiens parce qu'un acte soi-disant chrétien a été accompli sur eux, qui n'est même pas biblique ! Mais extérieurement, ils disent qu'ils sont chrétiens. 

Ici, la question est : Qui est un vrai Juif ? Nous pouvons demander aujourd'hui : Qui est un vrai, un authentique chrétien ? Non pas celui sur lequel un acte a été posé et accompli extérieurement, mais celui qui l'est intérieurement, qui a vécu et subi dans son cœur la circoncision par l'Esprit avec l'épée de la parole.

Vous savez que la circoncision était déjà une chose douloureuse et que, par elle, les hommes se sont toujours souvenus du péché originel, et l'ont porté avec eux. Mais ici, dans le Nouveau Testament, il s'agit de reconnaître que la chute a été transformée en résurrection pour nous par Jésus-Christ notre Seigneur. Nous ne pouvons pas seulement regarder en arrière jusqu'à Adam et dire que nous sommes tombés avec lui. Nous devons regarder à Christ Jésus notre Seigneur, et dire dans la foi : par Lui, le second Adam, nous avons été amenés à une vie nouvelle par la grâce de notre Dieu.

Ici, l'apôtre dit très clairement : « N'est Juif que celui qui l'est intérieurement, et la circoncision doit s'accomplir dans le cœur par l'esprit et non extérieurement, selon la lettre ». Nous venons de le dire : une circoncision par l'Esprit de Dieu avec l'épée tranchante de l'esprit, et l'épée de l'Esprit, c'est la parole de Dieu. Et, plus l'épée est aiguisée, moins on ressent la douleur. Un couteau émoussé ne sert à rien. Mais s'il est aiguisé comme un cheveu, comme une lame de rasoir, il coupe facilement, et la coupure est presque imperceptible. Dieu a révélé Sa parole d'une manière merveilleuse. 

Et combien de fois l'avons-nous entendu de la bouche de frère Branham, à savoir la citation d'Hébreux chapitre 4 verset 12 : « Car la parole de Dieu est plus tranchante et plus efficace que toute épée à deux tranchants ; et elle pénètre jusqu'à ce qu'elle ait séparé l'âme et l'esprit, la moelle et les os ».  Quand perce-t-elle ? Quand elle est tranchante et que le Saint-Esprit Lui donne sa force de pénétration. 

Le jour de la Pentecôte, c'est le Saint-Esprit qui a utilisé l'annonce pour que les hommes soient transpercés, comme d’un coup de poignard dans le cœur. Et là où, sous la proclamation de la parole de Dieu, le Saint-Esprit transforme les paroles en une épée de l'Esprit et les fait pénétrer dans ton cœur et le mien, dans ton âme et la mienne, là seulement peut se produire quelque chose de durable qui sera valable pour l'éternité. Sinon, nous sommes des auditeurs oublieux et nous ne deviendrons jamais des gens qui mettent la parole de Dieu en pratique.  Ensuite, l'apôtre a dit en conclusion dans Romains 2 verset 29 : 

« La louange d'un tel homme ne vient pas des hommes, mais de Dieu ». 

Un homme en qui Dieu a fait quelque chose ne se glorifie pas comme s'il avait lui-même accompli la chose, mais comme il est écrit : « si quelqu'un veut se glorifier, qu'il se glorifie dans le Seigneur ». (1 Corinthiens verset 31). « La louange d'un tel homme ne vient pas des hommes », lisons ici dans le dernier verset de Romains chapitre 2 : « Mais la louange de cet homme vient de Dieu ». Dans cette traduction, il est écrit entre parenthèses « la reconnaissance d'un tel homme ». Un tel homme sera reconnu. Dieu nous a reconnus, nous a connus en Christ. Il nous a acceptés comme Sa propriété. Nous sommes à Lui par la foi en Jésus-Christ notre Seigneur. 

Maintenant, mettons encore une fois l'accent sur ce verset de Romains 3 verset 3 :

« Car n'est-ce pas, si certains se sont montrés infidèles, leur infidélité annulera-t-elle la fidélité de Dieu ? Non, jamais ». 

Ô, frères et sœurs bien-aimés dans le Seigneur, Dieu demeure vrai, et ce qu'Il a promis, Il le tient certainement, car avant de faire la promesse, Il savait qu'Il pouvait l’accomplir. Si certains sont devenus infidèles, nous devons dire qu'ils n'ont pas encore fait l'expérience de la fidélité de Dieu au plus profond de leur cœur. Ils ont peut-être été assis sous l'écoute de la parole de Dieu, mais la question est de savoir si la parole de Dieu a pu accomplir ce pour quoi elle a été envoyée. Ce n'est pas seulement la proclamation qui compte, mais l'effet de la révélation divine dans ton cœur et dans le mien sous la proclamation inspirée de Sa précieuse et sainte parole. C'est là, et seulement là, que le Seigneur pourra Se glorifier. 

Ensuite, à la question de savoir si l'infidélité des hommes pourrait, par exemple, annuler la fidélité de Dieu, vient la réponse au verset 4 de Romains 3 : 

« Non, jamais, au contraire, cela reste vrai : Dieu est véritable, même si tout homme est un menteur ». 

Dieu est vrai. Il ne peut pas être autre chose. Et nous, en pensant en toi-même : « Oui, je ne suis pas un menteur », écoute, cette pensée, (le fait) de penser que tu n'es pas un menteur, est déjà un mensonge ! Si la Bible dit que tout le monde, tout homme est un menteur, c'est vrai ! Et si nous l'admettons, alors nous serons aidés. Et nous admettons que nous sommes tous à côté de la plaque ; mais nous témoignons tout aussi bien que Dieu reste vrai, et que l'infidélité des hommes n'annule pas Sa fidélité. Nous pouvons compter sur le fait qu'Il sera fidèle jusqu'à la fin. Et nous aussi, nous sommes invités à être fidèles jusqu'à la mort ; pas seulement jusqu'à la mort, mais jusque dans la mort. Nous y entrons avec fidélité. Pour quelle raison ? Parce que celui qui est la vie est descendu, et a été fidèle en tout.

Que lisons-nous dans l'Épitre aux Hébreux ? Moïse, en tant que serviteur, était fidèle dans la maison de Dieu ; et Christ, en tant que Fils de Dieu, est fidèle dans Sa propre maison, et Sa maison, c'est nous. Sa fidélité se manifeste parmi Son peuple. 

Vous savez, les non-croyants aiment bien parler de l'injustice de Dieu. Et quand on leur demande s'ils croient en Dieu, ils répondent : « Non ». Mais auparavant, ils ont dit que Dieu est injuste s'Il permet cette catastrophe, et là, un tremblement de terre, et là, des famines, ici, des peines de cœur, des douleurs et ainsi de suite ; alors ils disent qu'Il est injuste. Et ensuite, ils disent qu'ils ne croient pas du tout qu'Il existe, qu'ils ne croient pas du tout en Lui. Non. 

Mais pour nous qui croyons Dieu de tout notre cœur, Il est juste dans toutes Ses actions. Nous pouvons ne pas le comprendre et peut-être dire : « Pourquoi cela doit-il être ainsi maintenant, pourquoi ne pourrait-Il pas en être autrement ? » ; ne te fais pas de soucis : Il connaît le chemin, Il connaît le temps, Il est Conseil, Puissance, Père Éternel, Prince de la paix. Il nous a pris par la main et nous guide. Verset 4, Romain 3 :

« Non jamais ! Au contraire, cela reste vrai : Dieu est véritable, même si tout homme est un menteur, comme le dit l'écriture : Tu seras trouvé juste dans tes paroles, et tu resteras vainqueur quand on contestera avec toi ». 

Une personne qui a vécu la justification par la foi en Jésus-Christ, a été déclarée juste par Dieu Lui-même. Et je ne sais pas si je l'ai déjà mentionné ici, mais c'est dans un sermon qui a été traduit maintenant dans un passé récent que frère Branham parle de quelqu'un qui est venu le voir et a prononcé les mots suivants : « J'aimerais être aussi innocent que cet enfant qui vient d'être béni et consacré » ; et frère Branham le regarde et dit : « frère tu n'as pas compris cela. Tu es plus innocent que ce bébé qui vient d'être consacré au Seigneur ». Et l'homme est, bien sûr, complètement abasourdi, et il a vraiment perdu la parole et dit : « oui, mais comment cela ? J'ai pourtant fait tant de choses dans ma vie ». Et il dit : « frère, écoute-moi : ce bébé est né dans le péché, et a aussi besoin de la grâce de Dieu. Et toi, la grâce de Dieu t'as déjà été accordée. Tu as été lavé dans le sang de l'Agneau ». 

C'est ce que nous devons comprendre. La rédemption n'est pas une chose qui est encore devant nous : Elle a été accomplie sur la croix à Golgotha pour toi et pour moi, par grâce. Maintenant cette phrase ici au verset 4 de Romains 3 : 

« Tu seras trouvé juste dans tes paroles, et tu resteras vainqueur quand on contestera avec toi ». 

Nous savons que Jacob a lutté avec Dieu, et qu'il a été vainqueur. Il était un héros, un combattant, un prince de Dieu. Nous devons sortir vainqueurs par Jésus-Christ notre Seigneur qui a glorieusement vaincu sur la croix à Golgotha. Et si nous faisons partie de la troupe qu'Il a rachetée, nous sortirons vainqueurs. Nous nous tiendrons au bord de la Mer de Cristal, nous chanterons le cantique nouveau, nous offrirons à notre Dieu la louange et la gloire. Toi et moi, nous ne pourrions jamais sortir vainqueurs. Je l'ai compris et nous l'avons tous compris depuis longtemps. 

Récemment, quelque part, une sœur a dit : « frère Frank, je ne savais pas que j'étais capable de faire de telles choses ». Un homme est, et reste un homme ; mais Dieu est et reste Dieu. Et c'est ainsi que nous pouvons nous appuyer solidement sur Lui et sur Sa parole. Romains 3 verset 4, la deuxième partie du verset 4 :

« Tu seras trouvé juste dans tes paroles et tu resteras vainqueur quand on contestera avec toi ». 

Parfois, l'ennemi veut tout nous contester et disputer. Il te dit : « Si tu étais un enfant de Dieu, si tu avais vraiment la foi », et il vient à chacun d'une manière très différente et commence lentement mais sûrement à semer en nous quelques doutes. Et puis, tout à coup, nous ne voyons plus le Vainqueur de Golgotha, et nous sommes sûrs que la défaite doit venir. Mais si nous regardons à Jésus, le Vainqueur de Golgotha, nous reconnaissons que Sa victoire est devenue notre victoire, par grâce. Nous avons été rendus vainqueurs, mais nous devons rester des vainqueurs. Nous devons nous accrocher à la victoire qui nous a été donnée par grâce à Golgotha. 

À ce sujet, je voudrais lire le verset 37 du chapitre 8 de Romains. Romains chapitre 8 verset 37. Paul y avait énuméré beaucoup de choses par lesquelles il était passé, et il termine par ces paroles. Romains 8 verset 36 : 

« Selon ce qu'il écrit : c'est à cause de toi qu'on nous met à mort tous les jours, qu'on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Mais dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés ». 

Paul donne ici la source, l'origine de la victoire qui nous a été accordée à toi et à moi. « En tout cela, nous sommes largement vainqueurs ». Une autre traduction dit : « nous sommes largement supérieurs à tout », et Dieu nous relève de la poussière, mais maintenant « par celui qui nous a aimés ». C'est tout de même l'alpha et l'oméga ici, le A et le Z. Non pas en nous attribuant notre propre capacité, mais en disant : « Seigneur, c'est par Toi que mon salut est arrivé, ma libération, ma délivrance, ma rédemption, ma victoire, tout ce que j'ai, Seigneur, vient de Toi. Merci pour cela ». 

Et, plus nous serons reconnaissants, plus Dieu pourra Se glorifier et confirmer Sa parole. « Dans tout cela, nous sommes largement vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés ». Il nous a aimés, toi et moi, et tu peux dire : « Oui, toutes mes défaites... » je peux aussi dire la même chose, et tous les hommes de Dieu et tout le peuple de Dieu auraient pu confesser la même chose ; mais aujourd'hui, il ne s'agit pas que toi et moi regardions à nos échecs. Aujourd'hui, nous regardons Celui qui a été tenté par le diable comme personne ne l'a été, et qui est sorti vainqueur pour saigner pour toi et pour moi sur la croix à Golgotha, pour nous consacrer, toi et moi, comme vainqueurs. Alléluia ! Nous sommes rachetés et nous serons vainqueurs par la grâce de notre Dieu. 

Tu diras : « Oui, mais comment et quand cela se fera-t-il ? Comment ? ». C'est ce que je vous ai lu. Et : « Par qui ? Par qui ? » ; c'est-à-dire, à savoir, « par Celui qui nous a aimés ». C'est par Lui que cela se fera. Quand ? Il le sait mieux que quiconque. Il ne se laissera pas fixer l'heure par nous. Ensuite, nous avons encore une parole précieuse et sainte ici dans Romains chapitre 4 verset 11 :

« Et le signe extérieur de la circoncision, il l'a reçu alors comme un sceau de la justice de la foi qu'il possédait dans l'état d'incirconcision ». 

Ici, il est question d'Abraham à qui la justice de la foi a été imputée, et qui a reçu comme sceau, le signe de la circoncision extérieure. Aujourd'hui, il s'agit du sceau de Dieu qui est la circoncision intérieure du cœur, et le sceau de Dieu, c'est le Saint-Esprit. Et le Saint-Esprit n'est pas représenté par quelque chose qui est affiché à l'extérieur et qui est montré à l'extérieur, non, mais c'est au plus profond de notre cœur que la nature de Jésus Lui-même est formée et qu'elle se manifeste dans ta vie et dans la mienne. 

Ici, chez Abraham, c'était une circoncision extérieure, un sceau extérieur de la justice intérieure de la foi. Chez nous, dans le Nouveau Testament, c'est une circoncision intérieure et un signe intérieur dans notre cœur que Dieu nous a accepté en Christ et qu'Il a imprimé Son sceau sur nous. Paul l'a exprimé ici dans l’épître aux Corinthiens en ces termes. 2 Corinthiens 1 verset 21 :

« Mais celui qui nous a affermis nous et vous dans le Christ, et qui nous a oints, c'est Dieu. C’est lui qui a mis son sceau sur nous, et nous a donné l'Esprit comme gage dans nos cœurs ».

Dans l'Ancien Testament, c'était un sceau indiquant que cette justice de la foi était acceptée par Dieu. Mais dans le Nouveau Testament, c'est Son sceau qu'Il imprime sur l'œuvre accomplie à Golgotha qui se réalise en toi, et c'est pourquoi le chemin de la foi en Jésus-Christ mène à la repentance, au baptême d’eau, à l'accomplissement, et ensuite à être rempli du Saint-Esprit et être scellé du Saint-Esprit. Paul l'exprime ici : « C'est Lui qui a aussi imprimé Son sceau sur nous ». Pas seulement « un sceau », mais « Son sceau ». 

Frères et sœurs, comprenons-le aujourd'hui une fois pour toutes : C'est Sa grâce, c'est Sa parole, c'est Son sang, c'est Sa vie, c'est Son Esprit. Tout est à Lui, mais Il nous l'a donné à toi et à moi, et nous Lui en sommes reconnaissants. Maintenant, nous sommes devenus participants de toutes ces choses. 2 Corinthiens 1 :21 « celui qui nous a fondés fermement en Christ et qui nous a oints nous aussi ». Nous devons être si fermement établis sur Christ, que les pires tempêtes ne peuvent nous renverser. Nombreux sont ceux qui pensent avoir une assise solide, et qui soudain, sont ballottés ou même renversés.

Même si nous ne représentons rien et ne signifions rien de l'extérieur, une qualité divine intérieure peut être trouvée dans ton cœur et dans le mien, quelque chose qui ne peut pas être mesuré avec des critères humains, qui ne vient vraiment que de Dieu. 2 Corinthiens 1 : 21 

« Celui qui nous a solidement établis, nous et vous, sur le Christ et qui nous a oints, c'est Dieu, lui qui nous a aussi marqués de son sceau ». 

N'est-ce pas là une parole merveilleuse ? « Il nous a marqués de Son sceau, Il nous a solidement établis », Il veut oindre de Son onction, remplir de Sa puissance, vivifier par Son Esprit. Il veut pouvoir imprimer Son sceau sur ton cœur et sur le mien, après avoir rendu la parole efficace dans ta vie et dans la mienne. 

Nous lisons encore rapidement sur la véracité de Dieu dans Apocalypse 15. Apocalypse 15, c'est ici au troisième verset que chante la troupe rachetée de l'ancienne et de la nouvelle alliance. Il est écrit ici dans Apocalypse 15 verset :

« Ils chantaient le cantique de Moïse, le serviteur de Dieu, et le cantique de l'Agneau en disant : Grandes et admirables sont tes œuvres, Seigneur, Dieu Tout-Puissant, tes voies sont justes et véritables, ô Roi des peuples ». 

Dieu est vrai, Sa parole et tout ce qu'Il fait sont et restent vraies. Mais nous aussi, nous devons être imprégnés de cette véracité de Dieu. Il n'y a pas d'autre chemin, et je vous le lis dans les Saintes Écritures, afin que vous sachiez que nous avons été transférés en Christ. 1 Jean 5, à partir du verset 18 :

« Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pêche pas, mais celui qui est né de Dieu se garde, et le malin ne le touche pas ».

Maintenant, vous pouvez dire : « Oui, si ceci est vrai », et vous pouvez vous passer de si. C'est vrai parce que la parole de Dieu le dit. Que tu le vois ainsi ou que tu ne puisses pas encore le voir ainsi, cela n'a aucune importance. Il est écrit ici qu'il sera préservé et que le malin ne le touchera pas. 

Vous savez que lorsque Satan s'est présenté devant le Seigneur et lui a parlé de Job, Dieu le Seigneur a donné à Satan la permission de frapper Job, mais il ne devait pas toucher à son âme, à sa vie. Nous y voilà. Paul dit qu'un ange de Satan le frappe à coup de poing et qu'il a déjà demandé trois fois au Seigneur d'éloigner cette affaire de lui, et le Seigneur lui donne une réponse en disant : « Laisse-toi suffire à Ma grâce ». Il ne lui a pas du tout donné d'explication et a dit : « Paul, parce que ceci ou parce que cela », Il n'a rien dit d'autre que ceci : « Laisse-toi satisfaire par Ma grâce ». Un homme que Satan avait frappé à coup de poing, son âme ne devait pas être touchée.

Bien-aimés, nous pouvons nous aussi croire et dire la même chose, même si le diable se jette sur nous comme un lion rugissant, et si nous ressentons des poings, une chose est sûre : celui qui est né de Dieu a été transféré spirituellement en Christ Jésus, et Satan ne peut pas nous toucher parce que nous sommes en Jésus-Christ notre Sauveur. Il peut nous accuser, c'est vrai, mais le Seigneur le pousse, Il nous protège, Il nous abrite, Il est notre Intercesseur. Mais voici maintenant quelque chose de très glorieux. 1 Jean 5 verset 19 :

« Nous savons que nous sommes de Dieu ».

Oh, n'est-ce pas là une glorieuse connaissance, un glorieux savoir ? Il dit :

« Nous savons que nous sommes de Dieu, alors que le monde entier est sous la puissance du malin ». 

Et cela ne s'arrête pas à cette connaissance. « Connaissance bénie, Jésus est à moi », alléluia ! C'est un fait divin, acceptez-le tel qu'il est, et ne laissez pas l'ennemi vous enlever le regard et remettre en question ce qui nous a été si chèrement acquis sur la croix à Golgotha. Voici une deuxième connaissance, un deuxième savoir et je le lis à partir du verset 20. 1 Jean 5 verset 20 :

« Or, nous savons que le Fils de Dieu est venu et nous a donné la compréhension afin que nous connaissions le Véritable, et nous sommes dans le Véritable, dans son Fils Jésus-Christ. Celui-ci est le vrai Dieu et la vie éternelle ».

N'est-ce pas là une parole glorieuse ? Oh, dites au moins dans votre cœur : « amen, oui c'est ainsi ! » même si vous n'osez pas le dire à haute voix. Nous avons parfois un peu de mal à nous exprimer, n'est-ce pas, quand il s'agit de donner à notre Dieu l'honneur et la gloire. Mais de temps en temps, notre cœur devrait déborder, et nos lèvres ne devraient plus se taire, mais offrir un remerciement au Seigneur. 

« Nous savons que nous sommes de Dieu. Nous savons que le Fils de Dieu est apparu et qu'Il nous a donné l'intelligence, la compréhension », alléluia ! Ça, nous le savons. Il n'est pas seulement mort sur la croix à Golgotha autrefois, et ressuscité, et monté au ciel. Il marche au milieu des sept chandeliers d'or, et Il Se révèle sur cette terre, bien qu'Il soit au ciel. Et là, il vous suffit de lire l'évangile de Jean 3 verset 13, pour que cela devienne un peu plus clair pour vous. Il est en effet écrit ici dans l'évangile selon Jean au chapitre 3, verset 13 :

« Et personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel ». 

Il marchait sur la terre avec Ses deux pieds, et Il vient sur ses lèvres, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. Il remplit l'univers entier. Il est présent là où deux ou trois sont réunis en Son nom. Et si nous pouvions être au ciel maintenant, nous L’y verrions. Et parce que nous sommes sur la terre, nous Le voyons et L'entendons ici sur la terre. 

Et j'en viens maintenant au texte final que je voudrais encore lire. Mais ici, nous n'oublions pas ce savoir béni de 1 Jean 5 verset 19 : « Nous savons que nous sommes de Dieu. Or, nous savons que le Fils de Dieu est venu et qu'il nous a donné la compréhension afin que nous connaissions le véritable ». 

L'as-tu connu ? Alléluia ! Il ne peut en être autrement. Il S'est révélé à nous, et nous sommes dans le Véritable. Oui, si tu es en Lui, c'est qu'Il S'est fait connaître à toi, c'est que tu L'as connu et que tu as été connu de Lui. Alors, vous remarquez que cela devient progressivement de plus en plus puissant. « Nous savons que nous sommes de Dieu. Nous savons que le Fils de Dieu est venu. Nous savons que nous sommes dans le véritable, dans son Fils, Jésus-Christ. Celui-ci est le vrai Dieu et la vie éternelle ». 

Beaucoup de gens savent beaucoup de choses, mais s'ils n'ont pas ce savoir, cette connaissance, il leur manque tout ! Et si je ne savais rien d'autre que ce que nous venons de lire, oh ! Béatitude à mon Dieu ! alors, j'aurais assez su que le Fils de Dieu est venu me racheter et que je peux être en Lui, le Véritable, et que le méchant, le malin, le mauvais ne peut nous toucher. Il peut nous frapper à coups de poing. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un à qui Satan aurait dit des choses qui plaisent à la personne ou qu'il ait traité cette personne avec délicatesse.

Jésus-Christ est venu pour nous donner la vie, et cela, en abondance ; tandis que Satan est venu pour voler, pour tuer, pour assassiner. Ce sont les caractéristiques de Satan. Autrefois, je n'ai jamais compris le texte qui dit ici : « Celui qui n'aime pas son frère est un meurtrier » (1 Jean 5.15). Je n'ai jamais pu le comprendre. Aujourd'hui, je peux plus que le comprendre. Il faut être passé par la pratique pour connaître le goût de la chose, et savoir ce qu'il en est réellement. 

Ici, c'est la dernière parole de l'écriture sainte dans ce service divin, si Dieu le veut. Apocalypse 22. J'aimerais bien avoir encore toute une réunion devant moi pour ce passage biblique. Apocalypse 22 à partir du verset 6 :

« Puis il me dit : Ces paroles sont sûres et véritables. Et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour faire connaître à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt ». 

Arrêtons-nous un peu sur ce texte ici. Nous avons lu dans Romains 3 que Dieu est vrai, bien que tout homme soit un menteur. Dieu reste vrai et Dieu reste fidèle. Ensuite, nous avons lu que Jésus-Christ est apparu pour que nous connaissions Celui qui est Vrai, qui est le Véritable. Puis, il nous est dit : « nous sommes dans le véritable, dans son fils Jésus-Christ. Celui-ci est le vrai Dieu et la vie éternelle ». Nous verrons ici de quoi il s'agit maintenant. Au verset 6, 

« Puis il me dit : Ses paroles sont sûres et véritables ». 

Pourquoi ? Pour quelle raison ? Parce que la bouche du Seigneur les a prononcées ! Du Véritable, ne peut sortir que ce qui est véritable. De Celui qui est vrai, ne peut que sortir ce qui est vrai. Ses paroles sont fiables, sont sûres et véritables et vraies. Alléluia ! Si nous n'avons rien d'autre sur cette terre pour nous réjouir, alors réjouissons-nous en Dieu et en Sa parole conformément à ce que dit l'écriture : « La joie dans le Seigneur est ma force ».

« Ses paroles sont sûres et véritables, et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour faire connaître à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt ». 

Il ne s'agit pas ici d'un ange ou d'une assemblée ou d'un serviteur, mais « Il a envoyé Son ange pour indiquer à Ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt ». Nous savons, en effet, par la parole d'Amos, que « le Seigneur Dieu ne fait rien sans avoir révélé Ses mystères, Ses secrets à Ses serviteurs, les prophètes ». 

Et, bien-aimés, comme nous l'avons dit au début de cette heure, partout l'évangile est annoncé, les uns omettent le baptême, laissent le baptême d'eau, les autres laissent le baptême du Saint-Esprit, les autres laissent la guérison des malades, et chacun laisse et omet quelque part, ici ou là, une chose ou une autre. Mais Dieu ne peut rien omettre, ne peut rien laisser. Et si nous regardons dans les cercles, dans les groupes des soi-disant plein évangile –et ce n'est pas par critique. Je peux en faire suffisamment sur moi-même car j'ai beaucoup de raison de le faire– Mais je peux dire une chose : nous vivons maintenant dans un âge prophétique. Nous avons besoin d'une orientation divine, et cette orientation divine ne nous a été donnée que par le ministère prophétique. 

Et il se peut qu'il y en ait encore qui pensent en eux-mêmes : « Eh bien, s'il n'y avait pas eu frère Branham, nous aurions été sauvés malgré tout ! ». Je ne souhaite pas m'étendre sur ce sujet. En effet, on pourrait alors aller plus loin et dire : « S'il n'y avait pas eu Jean sur l'île de Patmos, j'aurais été aussi béni. Et s'il n'y avait pas eu le prophète Elie, je le serais aussi ». Et pour finir, nous les aurions tous mis de côté et nous voudrions alors malgré tout être bénis. Les hommes devraient avoir honte s'ils ne peuvent pas respecter les décisions de Dieu, et s'ils passent outre les choses que Dieu a faites. 

Avec les messagers de Dieu, nous n'avons tout de même pas affaire à un homme, mais au Dieu vivant Lui-même qui a envoyé quelqu'un parce que c'était nécessaire pour nous remettre en place et nous aider. Bien sûr, si l'on veut danser à tous les mariages en même temps, une telle annonce n'est pas très agréable pour de telles personnes. Mais il faut tout de même le dire une fois en toute clarté : Ce que Dieu a promis, il faut bien qu'Il l'accomplisse. Et lorsqu'Il dit : « Voici que Je vous envoie Elie, le prophète, avant que n'arrive le jour grand et terrible du Seigneur », qui es-tu pour dire : « Ah, nous n'avons pas besoin d'un prophète ! ». De quoi avons-nous donc besoin ? Alors nous avons besoin d’onction pour les yeux pour reconnaître que c'était nécessaire. Oui ou non ? 

Et je vous le dis : ce n'était pas seulement nécessaire, c'était très, très nécessaire, sinon, Dieu ne l'aurait pas promis et ne l'aurait pas fait s'accomplir. Ce qui est beau ici, c'est le début du verset 6 : « Alors il me dit ». Vous voyez ? Le Seigneur ne parle pas aux autres, Il me parle, Il te parle. L'as-tu entendu ? L'as-tu compris ? Il est dit ensuite ici au verset 7 (Apocalypse 22 verset 7) :

« Et sachez ceci : Je viens bientôt. Béni celui qui garde fermement les paroles de la prophétie de ce livre ». 

Et vous remarquez ce qui est écrit ensuite au verset 10, à savoir que les paroles ne doivent plus être scellées ? Pourquoi ne pas le faire ? Parce que les sceaux ont été brisés, les secrets, les mystères de Dieu ont été révélés, et le Seigneur a parlé aux Siens. Au verset 9, peut-être le verset 8 en premier :

« C'est moi, Jean, qui ai entendu et vu ces choses. Et quand j'ai entendu et vu, je tombais aux pieds de l'ange qui me les montrait pour l'adorer. Mais il me dit : garde-toi de le faire. Je suis ton compagnon de service et celui de tes frères, les prophètes, et de ceux qui gardent fermement les paroles de ce livre. Adore Dieu ». 

Nous sommes ici aujourd'hui pour adorer Dieu, pour l'adorer en esprit et dans la vérité. Et je crois que nous pouvons dire en toute bonne conscience, comme Jean l'a dit autrefois : « Et moi, Jean, je suis celui qui a entendu et vu toutes ces choses ». Moi, Ewald Frank, toi, qui que tu sois, c'est moi, c'est toi qui avons entendu et vu toutes ces choses. Il ne te suffit pas que Jean les ait vues. Toi, tu dois le voir. Il ne suffit pas que d'autres les aient entendues. Tu dois l'entendre. Il ne suffit pas que d'autres les aient vécues et reçues. Tu dois les vivre. Tu dois les recevoir. 

« C'est moi, Jean, qui ai vu et entendu tout cela ». Jean n'a pas dit cela en bombant le torse. C'est avec la plus grande humilité, nous le voyons bien, parce qu'il s'est prosterné pour adorer et rendre hommage. Il a dit, sous le coup de l'émotion intérieure, il fut saisi au plus profond de lui-même. Il était ému que ce soit lui, justement, qui ait eu la grâce. Parmi tous les autres apôtres, c'est lui qui a vu et entendu tout cela. 

Frères et sœurs, sur une période de presque deux mille ans, c'est nous, dans cette dernière génération, qui pouvons voir et entendre tout cela, par grâce. 

Tout à l'heure, quand on a chanté le chœur « Tu es digne, Tu es digne », je n'ai pas pu m'empêcher de penser qu'il y a des chœurs, des refrains même chantés assis... Mais vous savez dans quel contexte ces paroles ont été prononcées dans l'Apocalypse 5 ? C'est lorsque l'Agneau a pris le livre pour ouvrir les sceaux. Ce sont les vingt-quatre anciens, puis les quatre êtres vivants et toutes les dominations célestes qui se sont prosternés et qui ont rendu hommage à Dieu en disant : « Tu es digne de recevoir la louange, la gloire et l'honneur, car Tu T'es laissé égorger, et Tu nous as rachetés pour Dieu de toute langue, de tout peuple et de toute nation ». 

Souvenez-vous, bien-aimés, lorsque nous chanterons le chœur qui est directement lié à l'ouverture des sept sceaux offrant avec recueillement, avec respect, avec une profonde adoration, le remerciement dû à notre Dieu, car ce n'est pas une évidence que toi et moi ayons entendu ces choses, que nous puissions les voir. C'est la grâce de Dieu. Et c'est pourquoi la parole que nous avons lue est juste pour les Siens : « Il se lève comme une lumière dans les ténèbres, comme gracieux, miséricordieux et juste ». Psaume 112, verset 4. Il s'est levé pour toi et pour moi. 

Et si, en conclusion, nous soulignons encore une fois et exprimons notre reconnaissance que le Seigneur a envoyé Son serviteur, notre bien-aimé frère Branham, ce n'est pas pour présenter un homme que nous le mentionnons, ce n'est pas pour le mettre au centre, mais c’est seulement pour reconnaître l'ordre divin, et remercier Dieu de ce que nous aussi, nous avons été rendus dignes de nous présenter devant la face du Seigneur, et d'entendre et de voir toutes ces choses merveilleuses que Dieu a révélées à Son serviteur Jean autrefois, et à Son serviteur, frère Branham, en ce temps. 

Nous pouvons le voir, nous pouvons l’entendre. Béni sont nos yeux s'ils voient, nos oreilles si elles entendent, nos cœurs s'ils peuvent recevoir et croire comme l'écriture l'a dit. Qu'une bénédiction particulière de Dieu repose sur nous tous par grâce. 

Ne l'oubliez pas : « Nous sommes dans le Véritable, dans Son Fils, Jésus-Christ. Il est le vrai Dieu et la vie éternelle ». Tu as été placé en Lui, et tu as reçu Sa vie par grâce. Cela vaut la peine de remercier Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme pour cela, au nom de Jésus. Amen. Levons-nous, et prions. 

Père céleste, de tout mon cœur, je Te remercie pour Ta sainte et précieuse parole. Tu es vrai, Tu es véritable, Seigneur. Ta parole est vrai et véritable ; et nous sommes en Toi le Véritable fidèle Sauveur, insaisissable pour notre intelligence, ô Seigneur, et pourtant, nous la recevons et l'acceptons par la foi. Alléluia à Ton nom ô Seigneur. Ton côté a été ouvert à Golgotha, Ton sang a coulé pour notre rédemption et notre pardon. Nous sommes esprit de Ton Esprit. 

Et de même, pour tous les malades, Seigneur, Tu es notre Médecin, Tu es notre Rédempteur depuis toujours. Seigneur des armés est Ton nom. Nous T'adorons ensemble en louant la puissance de Ton sang, de Ta parole et de Ton Esprit. 

Que Satan se retire et abandonne chacun d'entre nous, car ici sont réunis des hommes que Jésus-Christ a rachetés, qui sont Sa propriété. Seigneur, purifie-nous par la puissance de Ton sang. Lave-nous, « sanctifie-nous dans Ta vérité, Ta parole est la vérité ». Bénis-nous, et nous serons bénis. Nous croyons que Tu as sauvé et que Tu as guéri, et nous Te rendons gloire dans le saint nom de Jésus. Alléluia ! Amen !