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ACCOMPLISSEMENT DE L'ÉCRITURE

Krefeld le 03 juin 1981

(Retransmit le 13 septembre 2023)

Le frère Russ vous a déjà souhaité la bienvenue, et nous espérons que cela trouve un véritable écho dans votre cœur et que vous vous sentiez le bienvenu. Parfois, quelqu'un peut dire : « bienvenue », mais il ne le pense pas nécessairement. Mais, parce que le frère Russ a fait mention de la maison de Salzbourg, c'était il y a exactement dix ans quand la sœur est venue pour la première fois. Je ne veux pas dire comment, mais cette dame est venue à un service divin et a été sauvée. Et quand elle est rentrée chez elle, elle était une personne transformée. Et vous savez comment c'est avec les enfants spirituels : On se réjouit de tout cœur avec eux.

Et lorsque nous y sommes allés avec le frère Russ et d'autres, alors que nous prenions le café, cela me vint tout simplement et je devais dire : « L'amour de Dieu ne finit jamais ». En une personne en qui l'amour de Dieu est présent, on le remarque, on le ressent quand elle vous sert le café dans la tasse. Amen ! On le remarque lorsqu'il prend la crème et l’y ajoute. L'amour de Dieu ne reste pas caché. Il se manifeste, on le remarque, on le voit, on l'entend, on le perçoit.

Il en est de même avec chacun de nous. Si nous avons l'occasion de le manifester entre nous, ou de nous le montrer mutuellement ou non ; mais c'est ainsi : l'amour de Dieu se manifeste en tout chez les croyants. Mais, premièrement, il doit, doit être répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit.

J'ai eu des journées très fatigantes. Ceux qui étaient avec nous le savent. Et un service divin, quand on y participe vraiment, avec tout ce qui en fait partie, un service divin est plus fatigant qu'une journée de travail dans le champ ! Et mon seul souhait est que le Seigneur puisse bénir d'une manière toute particulière les jours qui sont devant nous. Qu'Il puisse Se frayer un chemin et Se manifester comme Il l'a promis dans Sa parole.

Et comme nous l'avons considéré lors de la dernière réunion de Zurich le dimanche dernier, le commencement de l'évangile était comme c’est écrit dans le prophète Ésaïe et dans le prophète Malachie. Marc l'a développé dans son premier chapitre, et toutes les choses qui ont suivi étaient toujours et simplement l'accomplissement des écritures. Rien n'arrive dans le royaume de Dieu à moins que ce ne soit l'accomplissement des écritures !

Le ministère de Jean Baptiste était l'accomplissement des écritures. En lui, la parole que Dieu avait donnée par le prophète Ésaïe avait pris forme ; cette parole qui dit : « une voix crie dans le désert : frayez un chemin au Seigneur, aplanissez une route pour notre Dieu ». (Esaïe 40, verset 3).

Pendant longtemps, cette parole était juste une parole. Pendant plus de huit cent ans, elle n'est pas devenue réalité. Mais quand le temps était là, la parole a pris forme, elle s'est réalisée : l'homme a apparu, le chemin fut préparé ! La route de Dieu était là. Ce qui était élevé fut abaissé, et ce qui était bas fut élevé, et l'écriture s'est accomplie.

Le Nouveau Testament a commencé par l'accomplissement des écritures, et le Nouveau Testament se termine avec l'accomplissement des écritures. Il n'en peut être autrement. Dieu a un plan et tous ceux qui ne se laissent pas introduire dans ce plan sont en dehors de la volonté de Dieu. On peut faire autant d'actions pieuses que l'on veut, on peut être bien intentionné… et frère Branham dit dans un sermon qu'ils rendent un service à Dieu sans que ce soit dans Sa volonté. Et dans Sa volonté, il n'y a que ce qu'Il a dit ici, dans Sa parole.

Et nous n'avons pas honte de dire que dans Sa parole, Il a aussi donné les promesses pour ces derniers jours. Et tout est l'accomplissement de la parole. Et ainsi nous devenons une partie de la parole.

Avant, j'avais beaucoup du mal à comprendre lorsque frère Branham, chaque fois, utilisait l'expression : « Moïse était la parole de son temps. Noé était la parole de son temps ». Moi j'avais toujours traduit : « Noé avait la parole de son temps » et non : « Noé était la parole ». J'avais toujours traduit : « Moïse avait la parole de son temps » parce que je n'avais pas clairement saisi toute l'étendue de la chose. Mais plus le temps passe, plus on se rend compte de la signification de l'expression que frère Branham avait utilisé en disant : « L'épouse est une épouse-parole ». Elle est une épouse-parole. Et si elle est une épouse-parole, alors elle doit être quelque part ici dans la parole, alors elle ne peut pas être à l'extérieur ! elle doit être ici, dans la parole de toute manière.

Et qu'est-ce que Moïse était ? Moïse était un homme comme les autres, et soudain devait s'accomplir une promesse que Dieu avait donné à Abraham. Et à partir de ce moment-là, Moïse n'était plus Moïse, mais il était un prophète ; et la parole du Seigneur lui fut adressée, et la promesse s'est accomplie. Car Dieu avait dit à Abraham : « Après quatre cent ans, Je ferai sortir ta descendante du pays ». Et les quatre cent ans étaient passés. Maintenant, la parole de Dieu s'est faite chair. Elle a pris forme. Et Dieu a fait l'histoire du salut. Et c'est ainsi que nous pouvons parcourir toute la Bible jusque dans le Nouveau Testament, oui, jusque dans notre temps.

Et j'aimerais poser la question : Qu'est-ce que les gens ont pensé quand Paul a soudain dit « qu'il est écrit : Dieu a fait de nous la lumière des nations jusqu'aux extrémités de la terre ? ». Si quelqu'un avait dit cela –je ne sais pas si je le trouverais du premier coup le verset dans la Bible… il me vient justement cette comparaison. Cela pourrait être dans Actes des Apôtres chapitre 13. Je n'en suis pas tout à fait sûr. Actes des Apôtres chapitre 13 verset 47 :

« Car ainsi nous l'a ordonné le Seigneur : Je t'ai fait devenir la lumière des nations, afin que tu deviennes un salut jusqu'aux extrémités de la terre. Lorsque les païens entendirent cela, ils se réjouirent et glorifièrent la parole du Seigneur, et tous ceux qui étaient destiné à la vie éternelle crurent ».

Qu'est-ce que c'était ? Les hommes de Dieu du Nouveau Testament se sont fondés sur la parole prophétique. Pierre a tout de suite commencé en disant : « il est écrit : l'un va se retirer, et l'autre prendra sa place » (Actes 1 verset 20), en ce qui concerne Judas. Et dès le commencement, les choses ont été ordonnées bibliquement. Il n'y a pas une seule chose qui ait été ordonnée, décidée ou faite de soi-même, mais tout ce qui a été fait dans le royaume de Dieu, tout a été fait conformément à la parole de Dieu.

Et c'est ainsi que l'Église est devenue une partie de la parole. La parole a pris forme en elle, elle a été réalisée, accomplie en elle. Elle n'était pas seulement quelque chose, mais elle était un organisme vivant, le Corps du Seigneur par lequel Dieu agit sur cette terre jusqu'aujourd'hui.

Si nous avons reconnu ce que Dieu a fait dans ces derniers jours, alors nous devons aussi reconnaître que c'est Sa grâce, qu'Il a tourné Sa face vers nous, qu'Il nous a accordé la lumière. Ce n'est pas une évidence, car nous serions tous je ne sais où.

Et cela aussi, je l'ai dit dimanche à Zürich, et peut-être que notre frère le sait tout aussi bien : Tant que Frère Branham n'avait pas justifié son ministère dans l'Écriture, et ne l'avait pas prouvé à partir de l'Écriture, et n'avait pas dit que par ce ministère, la parole de l'Écriture s'est accomplie, Malachie tel et tel, Luc, tel et tel, et toutes les différentes Écritures...

Pendant si longtemps, frère Branham était un évangéliste convoité. Les gens se sont bousculés pour le rencontrer. Plus de trois cent invitations, dit-il lui-même, et ils l'ont appelé des pays les plus divers. Mais, lorsque soudainement, il a ouvert la bouche, les choses ont tout de suite changé : les gens s'offusquaient, non pas de son ministère en tant que tel, mais parce qu'il connaissait son ministère dans la Bible. Il le connaissait et pouvaient dire que c'était l'accomplissement de ceci, de cela et de cela. Et je dis aujourd'hui que s'il n'avait pas pu prouver son ministère dans la Bible, alors nous serions bien misérables aujourd'hui.

Mais le fondement biblique d'un ministère est justement la nécessité, la condition pour ce que Dieu fait dans Son Église. N'importe quel facteur ou qui que ce soit peut venir faire n'importe quoi. Mais, quand Dieu envoie quelqu'un, alors la situation est toute autre. Comme c'est beau ! Et pas seulement dans notre temps... et vous savez que la Bible dit que personne ne rend témoignage de lui-même. Mais si quelqu'un dit la vérité, laissez-le parler.

Qu'est-ce que Jean a fait dans Jean chapitre 1 ? Les pharisiens envoyèrent demander à Jean : « Es-tu celui qui doit venir ? ». Il dit : « Non, je ne le suis pas ». Puis ils demandèrent : « Es-tu Élie ? » ; il dit : « Non, je ne le suis pas ». Et alors, il vient au fait, au but, il vient au point. Oui, il le dit véritablement. Vous pouvez le lire ici. Lorsqu'il les a renvoyés, les gens qui lui ont été envoyés... et même lorsqu'ils lui ont demandé :

« Es-tu le prophète ? Non, leur a-t-il dit. Alors ils lui demandèrent : Qui es-tu donc ? Nous devons apporter une réponse à ceux qui nous ont envoyés ».

(Jean 1 versets 19 jusqu'à 22). C'étaient des personnes qui avaient été envoyées, et ils devaient apporter une réponse à ceux qui les avaient envoyés. Puis il est dit, dans la suite du verset de Jean 1 :

« Pour qui te fais-tu passer ? Alors il répondit : Je suis la voix de celui qui crie dans le désert ».

Alléluia ! gloire à Dieu ! « Je suis la voix de celui qui crie dans le désert ». Où se trouve cette parole ? Dans le prophète Ésaïe 40 verset 3. C'est là que l'homme s'exprime. Il aurait dû dire : « Oui, attendez, s'il vous plaît, qu'est-ce que c'est ? ». Il confesse librement et ouvertement : « Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Aplanissez le chemin du Seigneur, comme l'a ordonné le prophète Esaïe ». C'est avec cela qu'il a renvoyé les gens. Il n'a pas dit : « Venez une autre fois, et j'essaierai de vous expliquer les choses ». Non, il a dit clairement : « Je suis la voix qui crie ».

Les gens voulaient savoir parce qu'ils ne recevaient pas de réponse, et ils ne pouvaient pas rendre compte à ceux qui les avaient envoyés, et ils voulaient avoir une réponse, et ils l'ont reçue. La question est de savoir si ceux qui les ont envoyés ont reçu cette réponse ! C'est ça la question. Beaucoup de gens posent des questions, mais quand ils reçoivent la réponse, la réponse ne leur convient pas parce qu'elle n'est pas adaptée à leur manière de penser.

Je dis aujourd'hui que celui qui est né de Dieu et qui est dans la parole de Dieu, recevra et respectera la réponse de Dieu ! Si nous ne pouvons pas respecter la réponse de Dieu, alors nous pouvons nous oublier nous-mêmes ainsi que tout le reste. En effet, le plus simple est de décorer les tombeaux, de leur apporter de temps en temps des bouquets de fleurs, de les blanchir quand ils doivent être blanchis. Mais la question est toujours celle du présent.

Combien de fois frère Branham a-t-il dit sérieusement que : « les croyants remercient toujours Dieu pour ce qu'Il a fait ? Oui, c'était grand. Et ils regardent à ce qu'Il va faire ; mais ils passent à côté de ce qu'Il fait maintenant ».

Et c'est là la grande difficulté. Ces gens voulaient la réponse et ils l'ont reçue, claire, courte et brève, sans tourner : « Mais, je suis la voix qui crie dans le désert : frayez le chemin du Seigneur ». La parole prophétique avait pris forme. La proclamation telle qu'elle avait été prédite a eu lieu dans le désert.

L'accomplissement de l'Écriture était au début du Nouveau Testament, l'accomplissement de l'Écriture sera à la fin de l'Église du Nouveau Testament. Pas ton programme, pas le mien. Pas ta volonté, pas la mienne. Rien du tout. Nous n'avons pas été consultés, et nous ne le serons pas non plus à l'avenir ; mais Dieu qui a conçu Son plan de salut avant la fondation du monde, veillera à ce qu'il soit exécuté. Et heureux l'homme qui trouve sa réponse dans la Bible et la respecte selon la parole. C'est seulement là que nous sommes une partie de la parole de Dieu.

Si aujourd'hui nous –et je l'ai souvent entendu– si nous parlons avec les hommes du plein évangile, et nous arrivons à la question sur le frère Branham, ils disent tous à l'unanimité, : « C’est le plus grand homme de Dieu depuis les jours de Jésus-Christ ». Et tout aussi bien, ils disent : « mais depuis qu'il a commencé à parler de lui et à penser qu'il était le prophète qui devait venir avant le retour, alors nous ne pouvons plus le suivre ! ». Et qu'avons-nous dit ? Là où ces gens s'arrêtent, là où leur chemin s'arrête, c'est-à-dire là où la Bible nous est clairement présentée, c'est là que notre chemin commence. Notre chemin commence avec l'accomplissement de la parole de Dieu, et c'est là que le chemin des autres s'arrête. Je ne les ai pas entendus une fois, je les ai entendus très souvent.

Et aussi frère Nelson, dont parle cet homme, où nous avions des émissions radio ; pendant des heures, nous avons raconté et ils étaient pleins de reconnaissance. Et il dit : « frère Branham m'a dit par révélation : construis les stations radio ici et là, et Dieu te fera réussir ». Et nous sommes heureux, Dieu l'a fait réussir et nous avons eu les émissions radio en anglais, en allemand et en russe pendant tout ce temps. Et voici des auditeurs du fond de l'Alaska, et combien d'autres encore écoutent ? Je ne sais pas, mais Dieu le sait !

Mais, que s'est-il passé ? Oui, un homme de Dieu merveilleux. J'étais avec lui, il me l'a dit à Minneapolis : « J'ai vu tous les miracles, mais... », et puis vient le « mais ». Frères et sœurs, ne nous trompons pas : Là où la prophétie biblique s'accomplit visiblement sous nos yeux, Dieu nous met face à un choix. Et c'est là que se décide si nous allons à droite, à gauche ou si nous allons en arrière ou alors si nous allons de l'avant avec Dieu.

Lorsque Jean a commencé son ministère, la question lui a été posée, car il se passait quelque chose. Les gens ont demandé, car il y avait soudain quelque chose qui n'existait pas auparavant. Et ensuite la question : « qui es-tu ? ». Tous ceux qui étaient de Dieu, ont été reconnaissants pour la réponse biblique. Ils savaient que la parole du prophète Ésaïe s'accomplissait là : « Une voix crie dans le désert : frayez un chemin au Seigneur ». Ils n'avaient plus de questions, ceux qui étaient de Dieu ; mais ce sont les scribes et tous les autres qui avaient des questions, mais pas le peuple de Dieu ! Le peuple de Dieu avait la réponse. Pourquoi avaient-ils la réponse ? Parce qu'ils étaient prêts intérieurement à suivre Dieu pour se retrouver eux-mêmes dans la parole.

Ça, c'est pour nous. Juste dire... mais il y a beaucoup de personnes qui le disent, juste dire : « l'épouse est une épouse-parole », et puis, vous ne savez même pas ce que cela veut dire, et quelle ampleur la chose a ! C'est juste dans la tête. Non, non. Épouse-parole signifie bien plus que cela !

Dans Jean, la parole a pris forme, l'écriture s'est accomplie. C'était une partie de la prophétie biblique. L'Église n'est pas Épouse-parole jusqu'à ce que la partie de la parole qui a été promis pour elle, pour un temps précis, trouve son accomplissement.

Comprenez-vous cela ? Que la parole peut devenir chair, qu'elle peut prendre forme, qu'elle peut devenir visible ? C'est ce qui s'est passé à l'époque, c'est ce qui se passe aujourd'hui, et c'est ainsi que tout se terminera, par la grâce de Dieu.

Je ne sais pas, mais je suis tellement subjugué intérieurement par toutes ces choses, par les derniers jours. Je ne peux le dire à personne, non pas qu'on en ait besoin, mais à l'heure de l'affliction, c'est quand même quelque part un réconfort, de voir arriver une mère qui dit : « Frère Frank, il y a trois ans, j'ai consacré ma vie à Dieu ici dans cette salle. Et il y a d'autres personnes, on s'est réjouis avec eux, nous nous réjouissons les uns avec les autres. Qui a appelé ? Dieu a appelé. Et parce qu'Il nous a appelés, Il va nous conduire jusqu'à ce que nous passions de la foi à la vue.

Je suis reconnaissant que le ministère de frère Branham soit dans la parole de Dieu. S'il n'était pas dans la parole de Dieu, toi et moi, nous ne serions pas non plus dans la parole de Dieu, alors, nous suivrions des fables habilement conçues. Mais, du fait qu'un ministère a été prédit dans la parole, et qu'il trouve ensuite son accomplissement, et que nous recevons le ministère comme venant de Dieu, et que nous sommes fondés sur la parole de Dieu, ainsi nous devenons une partie de la parole, et Épouse-parole, chair de Sa chair, et esprit de Son Esprit.

C'est bien de cela qu'il s'agit, non pas d'une chose qui nous tourne dans la tête, mais d'une chose que l'on peut voir. Dans Jean, on pouvait le voir : il se tenait là. Esaïe 40, verset 3, Malachie 3 chapitre verset 1, se sont accomplis en lui. Et je me demande aujourd'hui, quand Marc a commencé à écrire, il est écrit dans Marc chapitre 1 : « évangile de Jésus-Christ » :

« L'évangile de Jésus-Christ a eu le commencement suivant comme il est écrit dans le prophète ».

Et il cite les deux passages : le passage du prophète Malachie et le passage du prophète Esaïe ; et ensuite, vient le témoignage :

« Alors parut un homme envoyé par Dieu. Son nom était Jean ».

Pourquoi : « envoyé par Dieu ? ». Parce que c'était l'heure de Dieu où la prophétie biblique s'accomplissait ! Un homme de Dieu avec la parole de Dieu. C'est ce que nous avons expérimenté dans notre génération par grâce. Et ça, c'est l'épouse-parole.

Tout le reste sera quelque part à un moment donné, soit à droite, soit à gauche, soit en arrière. Mais, à partir du moment où nous reconnaissons quelque chose dans l'écriture, alors tous les doutes sont levés. Nous pouvons alors envoyer qui nous voulons et poser les questions que nous voulons, la réponse est donnée par les écritures.

On pourrait dire aujourd'hui : « Jean a parlé de lui-même ». Ah, qu'est-ce que nous voulons dire ? A-t-Il donc parlé de lui-même? A-t-Il parlé de la part Dieu ? Car la parole de Dieu s'est accomplie par lui. Que pouvait-il dire à cela ? Il n'a pas simplement dit : « Je suis Jean, et j'avais l'intention de faire ceci et cela », mais il a dit : « Ici s'accomplit la parole du prophète : Une voix crie dans le désert : frayez un chemin au Seigneur ».

Puissent les jours qui sont devant nous être simplement des jours où nous saisissons encore plus profondément la grâce qui nous a été accordée en ces derniers jours : faire partie de la parole, et vivre ainsi l'accomplissement de la prophétie biblique. Ne pas rester à côté, mais être au milieu de la chose. Et c'est la chose glorieuse.

Si seulement Dieu, pendant ces jours-ci, pouvait nous ouvrir les cœurs et les oreilles, la compréhension et tout ce que nous sommes, et tout ce que nous avons, et que le ciel aussi soit ouvert sur nous, et que le Saint-Esprit puisse descendre d'une manière puissante. Ah! Nous devons tant de reconnaissance à Dieu.

Et quand notre précieux frère qui retourne en Tchécoslovaquie a dit qu'il emportera avec lui ce qu'il a entendu et vécu ici lors des services divins, c'est quelque chose de grand. Nous devons pouvoir emporter quelque chose de chaque service divin. Amen. Nous devons faire une nouvelle expérience avec Dieu.

Puisse le Seigneur nous bénir tous puissamment ce soir aussi. Amen.