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Ewald Frank

L’ŒUVRE ACCOMPLIE DE LA RÉDEMPTION

Zurich, le 26 avril 1981

(Retransmit le 16 septembre 2023)

Avant de prier, lisons le Psaume 33 à partir du verset 4 :

« Car la parole du Seigneur est véritable, et dans toutes ses actions, il est fidèle. Il aime la justice et le droit ; de la grâce du Seigneur, la terre est pleine. Par la parole du Seigneur, les cieux ont été créés, et toute leur armée par le souffle de sa bouche. Il amoncèle les eaux de la mer comme un rempart, il met les flots en réserve. Que toute la terre craigne le Seigneur ! Que tous les habitants du monde tremblent devant lui, car il a parlé, et la chose est arrivée ; il a ordonné, et elle a existé. Le Seigneur a brisé les desseins des nations, Il a mis en échec les projets des peuples. Le dessein du Seigneur subsiste éternellement, les pensées de son cœur, de génération en génération. Heureux le peuple dont le Seigneur est le Dieu, le peuple qu'il s'est choisi pour propriété ! ».

Jusqu'ici, cette précieuse et sainte parole du Seigneur, avant que nous ne nous prosternions pour prier. Il est écrit ici : « Le Seigneur a brisé les desseins des nations, Il a mis en échec les pensées des peuples ». Lorsque notre Sauveur a été crucifié, les hommes ont cru que leur conseil avait été réalisé et que leur plan avait été mis à exécution. Mais au fond, le conseil de Dieu a été réalisé, et ici, le plan de Dieu a trouvé son accomplissement.

Dieu utilise les hommes de telle ou telle manière pour accomplir Son dessein. Le verset 4 dit :  « La parole du Seigneur est véritable, et Il est fidèle dans toutes Ses actions ». Je voudrais à haute voix dire cela d'une manière particulière à ceux qui sont ici cet après-midi pour avoir une rencontre avec Dieu, ceux qui sont ici cet après-midi pour expérimenter la puissance de Dieu, recevoir la guérison et être béni : La parole du Seigneur est véritable !

Et je sais qu'il y a aujourd'hui un cas de maladie très grave parmi nous, mais je sais que Celui qui est au-dessus de tous les médecins est présent : C'est le Médecin-Chef, celui qui n'a jamais vu un patient glisser d'une manière ou d'une autre sous Ses mains ou qui n'aurait pas pu aider un homme. L'aide terrestre est limitée, les capacités terrestres sont limitées, le savoir humain est limité : mais Dieu est tout-puissant et fidèle dans tout ce qu'Il fait !

Il y a une semaine, j'ai été très fortifié en voyant les mains de ceux qui ont été guéris par Dieu. Et je pense que la sœur ne m'en voudra pas si je mentionne ici qu'elle avait un cancer au pire degré, que même un morceau d'os avait été rongé, et que la dernière radiographie a montré que non seulement le cancer a été guéri, mais que l'os s'est résorbé, s'est reformé, et que Dieu n'a pas seulement fait une guérison, mais un miracle de la création.

Et nous sommes ici aujourd'hui pour faire confiance à notre Dieu. Parfois, en tant que croyants, nous sommes plus liés par les circonstances, et nous ne faisons pas confiance à notre Dieu comme cela devrait être le cas. Et toi aussi, chère sœur, qui a besoin aujourd'hui d'une manière particulière de la prière d'intercession, mais plus particulièrement de la guérison. Je ne veux pas toujours citer des noms. Dieu le sait, je le sais, d'autres le savent aussi.

Le Seigneur est ici, présent, pour confirmer Sa parole. Il parle dans Sa parole et dit : « Je suis le Seigneur, ton médecin, le Seigneur qui te guérit ». Et ça, c'est oui et amen ! Si nous le croyons, nous verrons la gloire de Dieu. Et surtout, lorsque les médecins ne savent plus comment faire, c'est alors que frère Branham a dit un jour : « allons voir le Médecin principal, le Médecin-chef, et parlons Lui ». Il est capable de faire toutes choses.

Passons de l'enseignement à la pratique, et laissons libre cours à notre foi, afin que le bras du Seigneur puisse être déplacé, et que les droits de notre Dieu, la victoire de Golgotha parmi le peuple de Dieu, puisse être manifestée. Aujourd'hui, nous voulons croire, et selon notre foi, cela se fera.

Le conseil des nations, le dessein des nations a été anéanti, mais le dessein, le conseil de notre Seigneur subsiste éternellement ! Et Paul écrit dans Actes des Apôtres chapitre 20 : « Je vous ai annoncé tout le conseil de Dieu, tout le dessein de Dieu ». C'est dans ce dessein, dans ce conseil de Dieu, que se trouve le plein salut, la rédemption totale selon l'esprit, l'âme et le corps.

Chère sœur, quelle que soit ta plainte aujourd'hui, quel que soit le chagrin qui pèse sur ton âme, nous ne sommes pas ici seulement pour entendre une prédication. Nous sommes ici pour rencontrer Jésus, pour croire, pour le croire, pour Lui faire confiance.

Je l'ai déjà dit plusieurs fois récemment : il y a beaucoup de gens qui croient en Dieu. Et si vous avez lu attentivement l'épitre de Jacques, vous y trouverez ce verset écrit que même les démons croient en Dieu et tremblent ! Il ne suffit pas de croire en Dieu. Nous devons croire Dieu, nous devons croire ce qu'Il a dit.

En Lui croient des millions sur toute la terre. Mais qui Le croit ? Qui croit ce qu'Il a dit ? Qui croit aux promesses qu'Il a faites ? Et c'est ce qui compte aujourd'hui : Nous voulons Le croire et Lui faire confiance.

Le Sauveur demandait à tous ceux qui venaient à lui : « Crois-tu ? ». Et, à condition qu'ils répondent : « Oui, je crois » ; puis il a disait : « Qu'il te soit fait selon ta foi ». Qu'il nous soit fait aujourd'hui comme nous croyons ! Et si nous croyons conformément à l'Écriture, nous recevrons de Dieu une réponse conforme à l'Écriture.

Puisse le Seigneur être présent aujourd'hui d'une manière si agréable que nous soyons vraiment transportés près de Lui dans Sa présence directe, et que nous puissions le vivre et l'expérimenter à nouveau. Heureux le peuple, comme le dit ce verset que nous avons lu, dont le Seigneur est le Dieu, le peuple qu'il s'est choisi pour propriété 

Lorsque nous avons vu lors de la visite là-bas en Israël, le monument du prophète Élie qui doit rappeler qu'il était l'homme qui s'est tenu parmi le peuple et a crié : « Jusqu'à quand boiterez-vous des deux côtés ? Si Baal est dieu, servez-le ! Mais si le Seigneur est Dieu, servez-Le ! ». Comme nous pouvons être reconnaissants de ne pas avoir besoin d’ériger un monument au Dieu d'Élie ! Le monument est un objet mort que nous pouvons contempler, mais nous croyons que le Dieu d'Élie est aussi notre Dieu, et qu'Il répond de la même manière, car il est écrit : « Élie était un homme comme nous, il pria pour qu'il ne plût pas, et il ne tomba point de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois ». Élie, un homme comme vous, un homme comme toi et moi, pas un monument, pas un objet mort ; un homme qui a entendu la parole de Dieu et qui y a cru, un homme qui a fait confiance au Seigneur, qui l'a invoqué et qui a reçu la réponse. Le Dieu qui répond par le feu, c'est le vrai Dieu, le Dieu vivant. Il veut témoigner aujourd'hui au milieu de nous qu'Il est vivant. Levons-nous, et prions ensemble.

Père céleste, de tout mon cœur, je Te remercie ô Dieu, de nous permettre d'être réunis aujourd'hui en ce lieu dans la foi dans le nom cher et saint de notre Seigneur Jésus-Christ. Que nous puissions déposer tous nos soucis et nos besoins aux pieds de celui qui a pris soin de nous, qui S'est vidé de Son sang pour nous sur la croix à Golgotha.

Sauveur bien-aimé, Tu connais les demandes de prière, les intercessions, les besoins, les maladies. Tu sais avec quelle intention chacun est venu ici aujourd'hui. Et nous savons et nous sommes convaincus, ô Dieu, que tu es le même hier, aujourd'hui et éternellement. Tu attestes que Tu es Le Vivant. Tu en rends témoignage ; et qu'en raison de l'autorité de ta parole, de l'autorité du nom de Jésus-Christ de Nazareth, il doit se produire qu'une foi vivante entre dans le cœur des auditeurs et que toi, ô Seigneur du ciel et de la terre, Tu confirmes cette foi, et que Tu réalises Ta parole et que Tu accomplisses Tes promesses, que Tu sauves, guérisses et libères.

Toi, le vainqueur de Golgotha, révèle aujourd'hui Ta victoire dans ma vie et dans notre vie à tous. Je Te remercie. Tu as vaincu, Tu es ressuscité, Tu es vivant ! Alléluia ! Merci ô Dieu.

Éloigne de nous tout fardeau, tout esprit qui voudrait nous distraire, et tout ce qui Te fait obstacle. Oins moi, comme Aaron l’a été, de sorte que l'huile d'onction pénètre jusqu'au bord de son vêtement, ô Dieu dans le ciel, et oins toute l'assemblée d'une manière puissante par Ton Saint-Esprit, et glorifie pour nous Ta parole, Ton nom, et parle nous d'une manière spéciale. Nous Te disons merci au Dieu, dans le saint nom de Jésus. Alléluia ! Amen.

Nous nous asseyons. Nous entrons maintenant directement dans la parole tirée du premier chapitre des Actes des Apôtres, directement du premier au troisième verset :

« J'ai écrit, cher Théophile, mon premier rapport de tout ce que Jésus a fait et enseigné depuis le commencement, jusqu'au jour où il donna ses ordres par le Saint-Esprit aux apôtres qu'il avait choisis, puis il fut enlevé. Après qu'il eut souffert, il leur apparu vivant et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant avec eux des choses qui concerne le royaume de Dieu ».

Jusqu'ici, ces paroles. Si nous nous référons au calendrier, nous nous situons, selon le temps, entre la résurrection et la montée au ciel du Christ, où le Seigneur Jésus a eu l'occasion de parler à Ses disciples du royaume de Dieu, de leur dire tout ce qu'Il avait à leur dire, et S'est révélé à eux pendant les quarante jours qui ont séparé la résurrection de la montée au ciel. Si nous regardons spirituellement, nous ne nous trouvons pas entre la résurrection et la montée au ciel, mais tout juste avant le retour de Jésus-Christ.

Mais cela nous fait du bien de considérer ces choses, de nous replonger dans ce que le Seigneur a fait autrefois, car il s'agit bien de la rédemption qui est valable éternellement et pour ceux qui ont été élus avant la fondation du monde.

Et nous allons très brièvement effleurer l'histoire qui est liée à la crucifixion et aussi aller dans l’Ancien Testament, puis revenir au Nouveau. Ici dans l'évangile de Jean : nous lisons le verset 28 du chapitre 19 :

« Puis, sachant que tout était désormais accompli, Jésus dit, afin que l'écriture soit pleinement accomplie : j'ai soif. Il y avait là un vase rempli de vinaigre. Ils ont donc enveloppé d’hysope une éponge imbibée de vinaigre et l'ont mise à la bouche de Jésus. Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : tout est accompli. Puis, il baissa la tête, et rendit l'esprit ».

Ce qui me frappe ici de manière particulière dans cette parole de l'écriture, c'est le mot « pleinement » : « afin que l'écriture soit pleinement accomplie ». En dernier lieu, pas une seule prophétie, pas une seule déclaration que Dieu a faite par la bouche du prophète David et par la bouche de tous Ses prophètes ne devait rester sans accomplissement afin que l'écriture reste en vigueur, reste valable.

Et ici, afin que l’écriture soit pleinement accomplie, notre Seigneur dit : « J'ai soif ! ». Et puis cette parole puissante : « Tout est accompli ». Puis, Il a incliné la tête, et a rendu l'Esprit. Nous savons que le Seigneur Jésus a accompli sur la croix à Golgotha une rédemption valable éternellement. Je voudrais lire… je voudrais laisser parler directement la parole elle-même à ce sujet. Hébreux 10 à partir du verset 11 :

« Et tout sacrificateur, il est vrai, se tient là jour après jour, accomplissant son service, et offrant toujours les mêmes sacrifices qui ne sont jamais capables d'ôter les péchés et de laver du péché. Celui-ci, au contraire, n'a offert qu'un seul sacrifice pour les péchés, puis s'est assis pour toujours à la droite de Dieu. Il attend maintenant jusqu'à ce que ses ennemis soient placés sous son mâche-pied. Car, par une seule offrande, il a amené au but pour toujours ceux qui se sont laissés sanctifiés. L'Esprit Saint nous en rend aussi son témoignage ; car selon les paroles : Voici l'alliance que je conclurai avec eux après ces jours (Jérémie 31, 33, 34), le Seigneur poursuit : Je mettrai mes lois dans leur cœur, et je les écrirai dans leur esprit, et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités. Mais là où ils ont trouvé le pardon, aucune offrande n'est plus nécessaire pour le péché ».

Jésus, notre Seigneur, en tant que l'Agneau de Dieu, a versé Son sang sur la croix, et ce, une fois pour toutes, pour toi et pour moi, pour tous ceux qui sont inclus dans ce plan de rédemption de notre Dieu. Dans cet esprit, nous trouvons les ombres en images de diverses manières.

Dans Exode, au chapitre 12, nous trouvons déjà la référence au moment où Moïse a été chargé par Dieu d'ordonner au peuple d'égorger la Pâque, d'appliquer le sang sur les montants des portes, et de voir ensuite le premier-né préservé. Permettez-moi de me référer très brièvement, même si je préférerais ne donner que les références bibliques pour gagner du temps et que vous pourriez en fait les lire chez vous. Je voudrais néanmoins lire maintenant le verset 3, puis le verset 7, puis le verset 12. Donc, Exode 12 verset 3 :

« Donne à toute l'assemblée d'Israël les instructions suivantes : Le dixième jour de ce mois, prenez chacun un agneau, un agneau pour chaque famille. Il doit s'agir d'agneaux sans défaut, mal, âgé d'un an. Ils prendront ensuite un peu de son sang, et l'appliqueront sur les deux montants de la porte et sur les linteaux des maisons où ils prendront leur repas ».

Puis, nous lisons à partir du verset 13.

« Le sang sera alors sur les maisons où vous vous trouverez un signe pour votre protection ; car, quand je verrai le sang, je passerai sur vous avec ménagement, et vous ne serez pas atteints d'une destruction mortelle quand je frapperai le pays d'Égypte ».

Nous avons ici dans l’Ancien Testament, l'institution de la Pâque. Et nous savons que lorsque le Seigneur Jésus a célébré le repas de la Pâque, Il a pris le pain, et a institué le souper. Il a rendu grâce pour le pain, l'a rompu, l'a donné à Ses disciples, a pris la coupe et a dit : « Ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance qui est répandu pour beaucoup pour la rémission des péchés ». Il a présenté le Nouveau Testament, la nouvelle alliance, comme valable par Son sang.

Nous arrivons aujourd'hui à une question très concrète, et c'est celle-ci : Devons-nous encore ajouter quelque chose à notre rédemption, ou bien, Dieu a-t-Il parfaitement opéré et accompli la rédemption pour toi et pour moi ?

Si nous regardons le peuple d'Israël et les ombres en image de l'ancien Testament, nous savons que pas un seul israélite n'a pu ajouter quoi que ce soit de son côté, si ce n'est de prouver l'obéissance de sa foi. Le sang des agneaux avait coulé par procuration, donc coulé à la place de leur sang ; mais les israélites devaient, par la foi, peindre le sang versé sur les montants de la porte.

Il en va de même dans le Nouveau Testament : Nous ne pouvons rien ajouter par nos propres œuvres, mais, nous pouvons par la foi, regarder Jésus sur la croix, et Le voir saigner là, le contempler comme celui qui a reçu une épée dans le côté, dont le sang a jailli pour le pardon de tes péchés et des miens. C'est fait une fois pour toutes. Il l'a accompli. Accepte-le.

Précieuse âme, combien de fois les israélites l'ont-ils fait ? Non, c'était un acte de salut de notre Dieu ! Et cet acte de salut s'appliquait au peuple de Dieu une fois pour toutes !

Ce qui s'est passé à Golgotha est valable pour tous les enfants de Dieu qui ont vécu depuis cette époque et qui vivront jusqu'au retour de Jésus-Christ. C'est un acte de rédemption accompli par Dieu. C'est pourquoi nous lisons dans l'épître aux Colossiens : « En lui nous avons la rédemption, c'est-à-dire le pardon de nos péchés par son sang ». (Colossien 1 verset 14). C'est une œuvre de rédemption accomplie dont toi et moi pouvons nous prévaloir dans la foi.

Et je me souviens de la prédication de frère Branham lorsqu'il a parlé de cela, et la question ou le dialogue qu'il a mené était à peu près comme ceci : Le fils dans cette maison a bien entendu le cri. Il a poursuivi en demandant ainsi : « Papa, serons-nous les prochains à être frappés par ce coup mortel ? » ; et le père a pu dire à son fils en toute tranquillité : « Mon fils, il n'arrivera aucun mal à cette maison. L'ange étrangleur n'aura pas le droit de te frapper, car nous avons peint le sang sur les montants de la porte, conformément au décret de Dieu ».

Et l'ange étrangleur doit passer avec toute sa rage, toute sa rancœur, toute sa colère. Même la mort devait passer sans frapper là où le sang était sur la maison. Et ceux qui étaient sous la protection du sang ont été en sécurité comme le chante un cantique : « être en sécurité dans les bras de Jésus, en sécurité sous sa poitrine, il y a du repos pour le peuple de Dieu ».

Pour le bien de qui le sang a-t-il été peint sur les montants des portes ? Pour le bien de qui ? Vers qui se dirigeait la colère de l'ange étrangleur ? Se dirigeait-elle vers toutes les filles ou même vers les pères ? Se dirigeait-elle vers tous les fils ? Vers qui se dirigeait-elle ? Dites-moi très vite, s'il vous plaît. J'attends la réponse. Merci mon cher frère : vers le premier-né ! Retenez bien cette parole : Christ est le Premier, et nous sommes les prémisses. Lui, le Premier né, nous les premiers nés. Lui, le fils de Dieu, et nous, les fils et les filles de Dieu qui étaient visés par le coup, qui devaient être touchés, qui devaient être tués. Les premiers-nés devaient être tués, car Dieu a placé une bénédiction toute particulière sur les premiers nés.

Lorsque nous lisons dans Apocalypse au chapitre 12, à propos du fils mâle, il est écrit : « Le dragon avait ouvert sa gueule pour dévorer le fils mâle dès qu'il naîtrait ». Nous savons très bien que la colère de Satan n'est pas dirigée contre ceux qui le servent. La colère de Satan est dirigée contre les premiers-nés qui ont échappé à l'ennemi pour toujours par le prix payé précieux du sang de l'Agneau sur la croix à Golgotha.

Mais, les premiers-nés ne pouvaient rien y ajouter. Tout d'abord, eux-mêmes n'ont pas le droit d'être les premiers nés. Ce n'est pas eux qui ont pris cette décision. Remarquez que Dieu a déterminé toutes les choses ; et Paul le développe dans Romain chapitre 8 : « Ceux qu'Il a vus d'avance, Il les a aussi appelés, et ceux-là, Il les a désignés pour qu'ils voient la gloire de Dieu ». (Romain 8 : 30). Jean écrit : « Ce que nous serons n'a pas encore été manifesté, mais quand cela sera manifesté, alors nous serons semblables à lui ». 1 Jean 3 : 2 ».

Je voudrais aujourd'hui mettre l'accent sur l'heure de la rédemption accomplie pour tous les fils et filles de Dieu, afin que nous puissions enfin trouver le repos en Dieu, demeurer dans le repos de la foi en notre Dieu et savoir que le sang de l'agneau est le prix qui a été payé. C'est ta protection et la mienne, ta rédemption et la mienne.

Mais il n'y avait pas que cela. Il y avait aussi la réconciliation. Lévitique 23 parle du grand jour de réconciliation parmi le peuple de Dieu. Lévitique 23 verset 26 :

« Le seigneur donna encore à Moïse l'ordre suivant : Le dixième jour de ce septième mois, ce sera le jour de réconciliation. Vous aurez une assemblée solennelle au sanctuaire. Vous jeunerez et vous offrirez un sacrifice par feu au seigneur. Vous ne ferez aucun travail ce jour-là, car c'est le jour de réconciliation où l'on fera pour vous le rite d'expiation devant le seigneur, votre Dieu ».

Nous savons que dans l’Ancien Testament, le grand sacrificateur entrait une fois par an dans le lieu très saint avec le sang des expiations, avec le sang de la réconciliation, afin d'obtenir l'expiation devant Dieu pour lui-même et pour le peuple. Dans le Nouveau Testament, Jésus-Christ, le Souverain Sacrificateur, est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire céleste avec Son propre sang, afin de réaliser une rédemption valable éternellement, et de réconcilier, d'accomplir l'expiation.

Le grand jour de réconciliation de notre Dieu. 2 Corinthiens 5, le verset 19 : « Dieu était un Christ réconciliant le monde avec lui-même ». L'ennemi peut encore avoir une telle rage. Il peut parcourir les pays, porter des coups et en tuer certains. Mais là où est le sang de l'Agneau, là où les hommes, dans l'obéissance de la foi, se sont appropriés ce sang de la rédemption et de la réconciliation et du pardon, il doit passer avec toute sa fureur, car le châtiment qui devait nous frapper, toi et moi, a frappé notre Seigneur comme il est écrit dans Ésaïe 53 : « Il a pris sur Lui toutes nos fautes et a porté le châtiment afin que nous ayons la paix et soyons guéris dans Ses meurtres ».

Revenons maintenant très vite aux Actes des Apôtres au premier chapitre. Il est très important que nous retenions ici ce qui suit : Après Sa résurrection, le Seigneur S'est révélé aux disciples et leur a donné les derniers ordres par le Saint-Esprit.

Oh, si toi et moi avions vécu à cette époque, si nous avions eu la chance d'être présents, quel grand privilège cela aurait été, cher enfant de Dieu ! Nous avons un grand privilège en ces jours que nous vivons maintenant. Que nous ayons été parmi les onze ou les douze, que nous ayons été parmi les soixante-dix, les septante ou les trois mille, cela n'a aucune importance. L'important c'est que nous soyons là aujourd'hui, maintenant, en ce temps où l'Esprit de Dieu révèle ce que le Seigneur peut dire, ce qu'Il a demandé à Ses serviteurs de faire. Il s'agit ici des ordres, des missions que Dieu a données. La parole est écrite ici, et il est dit :

« Après qu'il eut souffert, il leur a paru vivant et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours et parlant avec eux des choses qui concernent le royaume de Dieu ».

Le Seigneur Jésus avait dit dans l'évangile de Jean : « J'aurais encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les supporter ». Après la résurrection, il en fut tout autrement. Il a pu Se révéler aux Siens, Il a pu leur parler de ce qu'Il ne pouvait pas dire auparavant, Il a pu le dire plus tard.

Cher et très cher enfant de Dieu, ce que le Seigneur n'a pas pu dire il y a cent, deux, trois, quatre cent cinq, cinquante ans, Il l'a dit dans notre génération. Toujours la bonne parole au bon moment, la parole juste pour le peuple de Dieu, selon le plan de salut de notre Dieu.

Nous savons que Jean a eu sa période, le Seigneur Jésus a eu la Sienne, les apôtres ont eu la leur. L'Église a également cette période prophétique par laquelle elle doit passer et est passée. Nous sommes à la fin du dernier âge de l'Église, à Laodicée, et c'est là qu'il nous est dit qu’elle est la situation, l'état au fond.

Et cela, je dois me le faire dire, je dois aussi et toi aussi et nous devons donner raison à Dieu en toutes choses.

C'est ici que le Seigneur a donné Ses derniers ordres, et a envoyé Ses disciples dans le monde entier. Il faut en effet lire la fin de l'évangile de Matthieu, de Marc, de Luc et de Jean, pour savoir ce que le Seigneur Jésus a dit à Ses disciples à la fin des quarante jours. Dans l'évangile de Jean, il s'agit d'une parole très particulière. Nous lisons le verset 19 du chapitre 20 de Jean :

« Le soir étant venu, en ce jour, premier jour de la semaine, et les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermés par crainte des juifs, Jésus entra, se tint au milieu d'eux et leur dit : la paix soit avec vous. Après ces paroles, il leur montra ses mains et son côté. Alors, les disciples se réjouirent parce qu'ils voyaient le Seigneur. Puis, il leur dit de nouveau : la paix soit avec vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. Après ces paroles, il souffla sur eux et leur dit : recevez le Saint-Esprit. Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés ; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus ».

C'est une parole très étrange qui est, en effet, mal comprise par les personnes qui n'ont pas reçu le Saint-Esprit. Je suis heureux qu'il soit écrit ici : « et il souffla sur eux en disant, recevrez le Saint-Esprit ». Si cela ne s'était pas passé, ils auraient peut-être compris comme certaines personnes le comprennent à notre époque, à savoir qu'il y a simplement rémission des péchés à volonté du cœur.

Non, cela n'existe pas chez Dieu.

Nous devons d'abord recevoir le Saint-Esprit pour savoir dans quel contexte cette parole a été prononcée, et à quel endroit elle a sa place.

Remarquez-vous que dans chaque parole de Dieu, chaque phrase, tout ce qui est écrit est d'une importance capitale ? Tout d'abord, il dit : « que la paix soit avec vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi, Je vous envoie ». Après cette parole, après cette parole, Il souffla sur eux et leur dit : « Recevez l'Esprit-Saint. Tous ceux à qui vous remettrez les péchés, il leur seront remis ». Maintenant, nous allons au verset 24.

Au verset 47, il est décrit :

« et à cause de son nom, il faut que la repentance pour la rémission des péchés soit prêchée à tous les peuples, mais d'abord à Jérusalem. Vous êtes témoin de ces choses. Et sachez bien que je fais descendre sur vous les biens de la promesse de mon Père, mais vous, restez ici dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en-haut ».

Ce n'est pas comme si un prédicateur de la parole de Dieu pouvait agir à sa guise. Non, et encore non. Mais là où la rédemption est annoncée, nous pouvons dire à ceux qui viennent à la fois : « crois au Seigneur Jésus-Christ, et tu seras sauvé, toi et de ta maison ». Ainsi, tous ceux qui croient de tout leur cœur recevront le pardon de leurs péchés. Le pardon des péchés est lié à la proclamation de l'évangile de Jésus-Christ, non pas un acte officiel que n'importe qui serait capable de faire, mais avec la proclamation de l'évangile de Jésus-Christ, notre Seigneur.

Les hommes l'ont mal compris, et continueront à le faire ; mais c'est Dieu qui a donné l'ordre ! Il dit ici : « Que la paix soit avec vous ! Comme le Père m'a envoyé, Moi aussi Je vous envoie ». Ici, il y a un envoi divin, et nous le savons très bien, un envoi. L'Église a un mandat divin, et ce mandat divin doit être exécuté. Les prophètes avaient leur mandat, les apôtres avaient leur mandat, et cela, au sein de l'Église du Nouveau Testament.

Et donc, à notre époque, nous devons pouvoir constater conformément à la parole de Dieu, de quelle manière l'ordre divin a été accompli. Et nous ne pouvons pas nous en empêcher, mais nous devons tout simplement dire qu'à cette époque, le Seigneur a envoyé Son serviteur et prophète avant que le grand et terrible jour du Seigneur n'arrive. Et pour vous montrer que les hommes de Dieu avaient le Saint-Esprit, je vais vous lire la parole que j'ai déjà brièvement effleurée hier à Salzbourg, tirée d'Actes des Apôtres 2 ; et vous verrez que les hommes de Dieu dans le Nouveau Testament ont cité la parole de l'Écriture de l'Ancien Testament, et cela différemment de ce qui est écrit dans l'Ancien Testament. Actes des Apôtres chapitre 2, je lis ici le verset 19 :

« Et je ferai paraître des signes miraculeux dans le ciel en haut, et des signes sur la terre en bas, du sang, du feu et des nuages de fumée. Le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant l'arrivée du jour du Seigneur, de ce jour grand et glorieux ».

Dans l'Ancien Testament, il est écrit : « le grand jour, terrible et redoutable », mais ici, il dit : « le grand et glorieux jour ». L'incrédule, lui, dira : « oui, qu'est-ce que c'est ? Cet homme de Dieu n'a-t-il donc pas su comment le prophète Joël a écrit et parlé par l'inspiration du Saint-Esprit ? ».

Oui, vous savez, les Apôtres n'étaient pas des perroquets qui ne faisaient que lire. Quelque part, nous ne savons même pas si ce Pierre a vu la parole. Mais je sais, je vais vous dire une chose : le Saint-Esprit l'a conduit ! En effet, ce jour est à la fois terrible et glorieux. C'est le terrible et le glorieux. Pour les non-croyants, c'est un jour terrible, un jour de vengeance, un jour de représailles, un jour qui brûlera comme une fournaise, un jour où les méchants, où les hommes sans Dieu seront comme de la paille, un jour qui brûlera. Et c'est là ce que dit le même Pierre, le même Pierre le dit dans 2 Pierre chapitre 3 verset 10 : « Mais le jour du Seigneur viendra en ce jour où les cieux se fondront avec fracas et les éléments se dissoudront dans le sang de la flamme ». Mais ici, dans les Actes des Apôtres, il dit : « avant que le jour grand et glorieux vienne ».

L'enlèvement est ce jour grand et glorieux pour toi et pour moi, c'est le jour que le Seigneur a fait pour les croyants, un jour glorieux. Un jour glorieux. Le jour que nous attendons tous et que nous souhaiterions voir arriver dès aujourd'hui. Mais, lorsque ce grand et glorieux moment est arrivé, ce jour où le matin éternel se lèvera pour tous ceux qui ont attendu le retour de Jésus, ensuite, le soleil se couchera. Pour les croyants, il se lève.

Mais ce sera la fin de la grâce.

Alors, il fera nuit sur cette terre, alors commence le terrible jour du Seigneur. Qu'est-ce qui est écrit ? Qu'est-il écrit dans le prophète Esaïe ? « Sentinelle, quelle est l'heure de la nuit ? ». Et la réponse est : « le matin vient, et la nuit aussi ». (Esaïe 21, 11 à 12 ». Les deux viennent : le matin et la nuit. Pour les uns vient le matin glorieux, le jour glorieux, le jour de l'enlèvement, du changement, de la transformation, le jour que nous attendons ; pour les autres vient le jour terrible qui brûlera comme une fournaise, où tous les méchants, les hommes sans Dieu seront comme de la paille.

Remarquez-vous que Pierre se tenait dans la liberté du Saint-Esprit, qu'il ne se concentrait pas nécessairement sur une seule chose ? Il voyait le contexte, il voyait l'Église sur la terre et il savait qu’avant que ce grand jour n'arrive, quand le soleil s'obscurcira et que la lune perdra son éclat, et il n'osait pas prononcer la parole jour terrible, car il voyait l'Église et il a dit : « jour glorieux ». Pourquoi ? Il pensait au retour du Christs, à la transformation, au changement, à l'enlèvement qui doit en effet avoir lieu, et qui aura lieu avant que la grande tribulation ne s'abatte sur cette terre.

Remarquez-vous de quelle manière merveilleuse le Saint-Esprit aurait été.

Il aurait inspiré, conduit et dirigé les hommes de Dieu.

Les professeurs de théologie incrédules pourraient dire que : « ce pauvre Pierre n'a même pas su citer correctement la parole du prophète Joël ». Ne vous inquiétez pas du tout, il aurait pu la citer encore mieux que le professeur ! Ici c'était le Saint-Esprit qui était là, et il a vu transfigurer qu'avant que le soleil ne s'obscurcisse, avant que la lune ne perde son éclat, Jésus reviendra, et ce jour glorieux que les croyants attendent se lèvera, et nous serons enlevés pour pouvoir être avec le Seigneur tout le temps.

N'est-ce pas là quelque chose de merveilleux ? Ne remarquons-nous pas que le Saint-Esprit fait partir les personnes inscrites et les sages comme des fous parce qu'ils sont intelligents en eux-mêmes et qu'ils n'ont pas la direction divine, la conduite divine pour trouver en toute manière le bon contexte dans la parole de Dieu ? A l'époque, autrefois, le Seigneur avait des hommes inspirés qui savaient exactement ce qui était écrit. Et certes, l'un des croyants aurait peut-être pu venir et dire : « Pierre, un instant. Le prophète Joël a cependant dit : Avant que le grand et terrible jour du Seigneur n'arrive ». « Oui, aurait-il, je le sais tout aussi bien, et je le crois aussi ! Mais avant que le jour grand et terrible ne se lève, vient le jour grand et glorieux, le jour pour les croyants, pour les enfants de Dieu, le jour que toi et moi attendons ».

Ne vous inquiétez pas, les hommes de Dieu ne sont pas dans l'embarras, même si cela peut sembler être le cas sur le moment. Mais Dieu connaît les Siens, et nous pouvons toujours compter sur Lui, et Il nous conduira de manière juste jusqu'à ce que nous passions de la foi à la vue.

Ici, dans les Actes des Apôtres au premier chapitre, nous avons lu que le Seigneur a donné aux apôtres, à ceux qu'Il avait choisi. Non pas ceux qui seraient venus ou qui auraient dit : « Seigneur, je voudrais faire quelque chose », mais ceux qu'Il avait choisis. C'est à eux qu'Il a donné, par le Saint-Esprit, Ses derniers ordres, et a ensuite été enlevé au ciel. C'est aussi à eux. Dans Actes des Apôtres 1 verset 3 :

« Après qu'il eut souffert, il leur apparu, vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours et parlant avec eux des choses qui concernent le royaume de Dieu ».

Frères et sœurs, chers amis, le Seigneur Jésus est ressuscité, Il est vivant, Il a vaincu la mort, Il a vaincu l'enfer. Paul pouvait dire en s'exclamant : « Mort, où est ton aiguillon ? Enfer, où est ta victoire ? ». Et je sais une chose : ce qu'un enfant de Dieu, au moment où le jour de la mort doit être franchi, une paix si profonde et une certitude absolue entre dans son cœur, dans ton cœur, que rien ni personne ne peut t'ébranler !

Ce qui m'importe aujourd'hui, c'est que nous établissions une fois pour toutes, nous affermissions une fois pour toutes notre appel et notre élection. Que nous n'entrions pas et ne sortions pas, que nous ne croyions pas une fois et ne nous demandions pas une autre fois : « sommes-nous croyants, ne sommes-nous pas croyants ? ». Non, aujourd'hui, nous voulons que Dieu nous réponde. Et c'était aussi la question d'hier après-midi, à savoir s'il est nécessaire que nous soyons remplis du Saint-Esprit.

Oh bien aimé frère dans le Seigneur, c'est une grande promesse, et c'est absolument nécessaire. Et nous lisons dans Match 3 que lorsque le Seigneur Jésus a été baptisé par Jean, les cieux se sont ouverts, et le Saint-Esprit est descendu, et la voix a retenti : Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui j'ai mis toute mon affection, en qui j'ai trouvé tout mon bon plaisir. La Pentecôte n'est pas encore dans le calendrier, mais la Pentecôte est dans la Bible. La Pentecôte peut devenir dans ton cœur et dans le mien, entrer dans ta vie et dans la mienne, et devenir une réalité.

Vous savez, le baptême d'eau est ce que nous faisons pour notre part, en obéissant à Dieu dans la foi. Le baptême de l'Esprit est la réponse de Dieu qu'Il nous accorde par grâce à toi et à moi en raison de l'obéissance de la foi.

Vous savez que le Sauveur voulait que Jean le baptise et que Jean a dit : « Seigneur, seulement pas, non. Et le Seigneur a dit : « Il nous convient d'accomplir toute justice qu'il en soit ainsi pour cette fois ! ».

Et Jean s'aida et baptisa notre Sauveur. Il n'avait pas de faute, il n'avait pas de péché, mais il a dit : « Il nous convient d'accomplir toute justice ». Une personne qui devient croyante en Christ, se fait baptiser, car il est écrit : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ». Le baptême est une démarche d'obéissance de la foi, que les croyants font en suivant Jésus. Le baptême de l'Esprit est la réponse de Dieu à celui qui est devenu croyant et qui lui obéit en poursuivant ce chemin dans la foi. Et il ne peut en être autrement que si un désir très profond et très sérieux se manifeste en nous, que nous prions pour être remplis du Saint-Esprit.

Mais nous arrivons maintenant au point très important sur lequel je voudrais insister aujourd'hui, et je me réfère ici à une déclaration du frère Branham. Il a dit avant un service de guérison : « Si vous veniez à moi et que le Seigneur Jésus pouvait revêtir mon costume et que vous alliez à lui et le prierez, et que vous le voyiez vraiment en chair et en os devant vous et que vous disiez : Seigneur, guéris-moi, il vous dirait : Alors, mon fils, ma fille, je ne peux pas le faire car je l'ai déjà fait lorsque je me suis vidé de mon sang sur la croix à Golgotha ! ».

Vous voyez de quoi il s'agit ? Il s'agit d'une œuvre de Dieu qui ne doit pas seulement se produire maintenant mais qui est déjà faite, qui est déjà accomplie. Tu viens, certes aujourd'hui, pour recevoir cette œuvre de Dieu comme un cadeau. Si tu demandes pardon aujourd'hui, et c'est ainsi que frère Branham a poursuivi, tu pries pour ton pardon, tu viens aujourd'hui pour accepter ton pardon dans la foi. Mais ton pardon a eu lieu, est déjà accompli lorsque le sang a coulé sur la croix à Golgotha. Ta réconciliation, ta rédemption, elles ont eu lieu une fois pour toutes là-bas. Mais maintenant, nous venons par la foi, nous venons au Seigneur, et acceptons ce don de la grâce qu'est le salut, la guérison et la délivrance.

Passons maintenant au point suivant. Faut-il demander et mendier un don, un cadeau ? Ou alors un don est-il quelque chose qui nous est donné déjà librement, qui nous est offert ? Pierre a dit : « Et vous recevrez le don du Saint-Esprit ». Et je dois souligner cet après-midi que la raison pour laquelle nous ne vivons pas encore le baptême du Saint-Esprit, c'est simplement parce que, et cela est à chercher et à trouver dans le fait que nous n'avons pas du tout reconnu Golgotha dans toute sa signification divine.

Nous nous efforçons d'améliorer ceci ou cela et peut-être d'ajouter ou de faire quelque chose à notre rédemption. Ce n'est pas possible. Nous devons comprendre une fois pour toutes : Il est notre rédemption. Il est notre réconciliation. Il est Dieu manifesté dans la chair. Il nous a rachetés. Il nous a réconciliés avec lui-même. Il nous a pardonnés. Nous sommes Sa propriété pour ce temps et pour toute l'éternité, sinon, nous nous tourmenterons toute notre vie et nous ne deviendrons jamais des enfants de Dieu joyeux. Nous aurons un long visage. Nous marcherons autour et nous ne pourrons pas être une bénédiction pour les gens.

Mais, à partir du moment où nous aurons compris, comme les hommes de Nachet-Sama, la puissance du sang de la réconciliation, nous chantons.

Toujours, n'est-ce pas, il y a de la puissance, il y a de la puissance dans le sang du Seigneur. Et c'est vrai.

Mais avons-nous revendiqué cette puissance dans notre vie par la foi, comme l'ont fait les premiers nés d'Israël, dans chaque maison, dans tous les pays, dans tous les lieux, partout où le sang a été peint sur les montagnes des portes, où l'agneau a été immolé et où l'on a obéi à la foi, où l'on a obéi à la foi ? Dieu a tenu Sa main protectrice. C'est là que se trouvaient ces élus, ces premiers-nés auxquels tout son cœur est attaché. C'est là que se trouvaient les premiers nés.

Frères et sœurs, par la grâce de notre Dieu, nous faisons partie des appelés, des élus, de ceux qui entendent maintenant ce que l'Esprit dit aux églises. Et nous devons vraiment entrer maintenant dans le repos de Dieu en ces jours, et reconnaître le sang de l'Agneau dans toute sa puissance de réconciliation, de rédemption et de pardon, et nous reposer une fois, et entrer dans le repos de notre Dieu, par la foi.

Bien sûr, il se passera encore beaucoup de choses, mais pour cela nous avons un Intercesseur auprès du Père. Si cela ne pouvait pas être le cas, et je ne voudrais donner à personne un oreiller de repos, je souhaiterais moi-même pouvoir défaire bien des choses, en particulier, ce qui s'est passé ces deux dernières années. Je voudrais vraiment pouvoir défaire bien des choses, et incliner souvent ma tête vers la poussière dont j'ai été enlevé, en disant : Seigneur, je ne suis pas digne de Ta grâce ». J'aimerais bien m'enfoncer dans la terre, ne plus être entendu ni vu. Mais lorsque je me présente devant la face de Dieu dans une telle position intérieure, je sens comment la foi devient efficace en moi, et comment une voix me dit : « Tu n'as pas besoin de regarder vers toi, tu n'as pas besoin de regarder vers le bas, vers la poussière de laquelle tu as été enlevé. Lève les yeux vers ton Seigneur, car tu vivras, car Il est mort pour toi ». Et il entre dans le cœur d'un croyant, une telle certitude, qui est au-dessus du péché, qui est au-dessus de la mort, qui est au-dessus de tout, et nous voyons en Jésus-Christ le véritable vainqueur sur le péché, sur l'enfer, sur la mort et sur le diable. Non pas que nous puissions nous frapper à la poitrine et être forts en nous-mêmes, non, pas du tout.

Mais, combien de temps allons-nous déshonorer Dieu par notre incrédulité ? Ce n'est que par la foi que nous pouvons honorer Dieu. Et la foi est une puissance de victoire, et Jean écrit : « La foi, c'est la victoire qui a vaincu déjà le monde ». Cette foi vivante que Dieu a mise en œuvre en toi et en moi, en la pleine rédemption et en la puissance de la réconciliation avec Dieu, dans le sang de l'Agneau.

Je comprends de mieux en mieux pourquoi Paul a souligné : « Je prêche le Christ crucifié qui est un scandale pour les juifs et une folie pour les païens. Mais pour nous qui croyons… » 1 Corinthiens 1 : 2, 3 écrit Paul dans sa lettre "Il est précieux", c'est-à-dire la précieuse pierre angulaire, rejetée par ceux qui la bâtissent, mais posée par Dieu lui-même comme pierre d'angle, comme pierre angulaire, afin que toutes les autres pierres continuent à être édifiées sur lui.

Cher enfant de Dieu, cher ami, regardons aujourd'hui avec foi vers Golgotha. Regardons-y l'Agneau de Dieu Se vider de Son sang avec la couronne d'épines sur la tête. Reconnaissons que ce sont tes fautes et mes péchés qui l'ont amené là, sur la croix.

Et comme je l'ai expliqué à Krefeld à propos des jours de Pâques, Abraham n'a-t-il pas chargé Isaac du bois sur lequel il a été crucifié ? et ensuite, lui-même a pris le feu avec lui. Mais Isaac a porté le bois sur lequel il a été placé.

Si nous lisons l'évangile de Jean, il est écrit qu'on a chargé le Seigneur de la croix, et qu'Il l’a portée jusqu'à la colline de Golgotha. Un jour, un Joseph d'Arimaté l'a aidé à le faire. Cher ami, c'est celui qui a été crucifié sur la croix qui l’a porté pour toi et pour moi, afin que nous qui aurions dû mourir, obtenions la vie éternelle, par grâce. Non pas que tu dois faire ceci ou cela : crois au Seigneur, fais-Lui confiance. Nous devons une fois sortir de ce qui nous est propre et entrer dans le divin.

Et que disent les saintes écritures ? « Celui qui s'est reposé en Dieu, se repose en Dieu de la même manière que Dieu S'est reposé le septième jour de toutes ses œuvres qu'Il avait créées ».

Il y a parfois tant d'agitation dans ton cœur et dans le mien, tant d'agitation parmi le peuple de Dieu, et c'est alors que s'accomplit la parole du prophète Esaïe : « Fais ceci, fais cela, encore un peu ici, encore un peu là » (Esaïe 28 : 10). Non, cela est fini. Nous nous reposons dans l'œuvre rédemptrice de Jésus-Christ accomplie sur la croix à Golgotha. Nous sommes l'œuvre de Dieu, Son ouvrage créé en Christ Jésus, notre Seigneur. Il a fait de nous des fils et des filles de Dieu, afin que nous soyons quelque chose à la louange de Sa glorieuse grâce.

Mais, si nous continuons à nous regarder, nous n'arriverons jamais jusqu'à nos derniers jours sur la terre, dans cette position où Dieu peut nous bénir. Nous devons regarder au Seigneur, vers le Seigneur. Et celui qui fait cela est rafraîchi, revigoré. Il reçoit une force nouvelle. Il peut se lever comme un aigle, il courra et ne se fatiguera pas.

Dieu a fait une alliance avec Son peuple par le sang versé de l'Agneau. Et tous ceux qui ont été choisis et élus avant même la fin du monde pour contempler la face de Dieu, leur pardon a été accordé une fois pour toutes. Le péché que tu as commis hier a déjà été pardonné il y a près de deux mille ans. Si tu viens vers le Seigneur et tu Lui dis : « Seigneur, pardonne-moi », et si tu l'entendais vraiment répondre, Il te dirait : « mon fils, ma fille, J'ai pardonné quand J'étais là-bas, sur la croix. J'ai guéri quand j'étais sur la croix. J'ai vaincu la mort, J'ai tout accompli quand J'étais là-bas cloué à la croix ; quand j'ai pris ta place, J'ai porté ta faute, J'ai pris ton péché sur Moi. Je suis mort alors que tu aurais dû mourir. J'ai pris ta place. Oh mon fils, ma fille, prends courage. Je suis mort pour que tu puisses vivre, pour que tu puisses vivre éternellement ! ».

Et lorsque nous voyons et entendons Jean sur l'île de Patmos, lorsque le Seigneur l'a rencontré, il est tombé comme mort à Ses pieds ; le Seigneur a dit : « Je vis ! J'étais mort, mais voici que Je vis et que Je détiens les clefs de la mort et de l'enfer ». (Apocalypse 1, verset 18). Comme c'est merveilleux de savoir que nous croyons en un Sauveur, un Rédempteur, qui a tout accompli.

Et nous sommes désolés quand nous échouons. Nous sommes désolés lorsque des choses qui ne plaisent pas à Dieu entrent dans notre vie. On se retournerait la tête si on le pouvait. Peux-tu défaire quelque chose ? Est-ce que tu peux défaire quelque chose et faire comme si tu n'aurais rien commis ? Peux-tu laver ton péché plus blanc que la neige ? Le peux-tu ? Ni moi, ni toi ! Il l'a fait quand Il était sur la croix. Et si ton péché est rouge de sang, il deviendra blanc de neige. « Il pardonne le péché et ne se souvient plus des transgressions ». Psaumes 103 verset 3 : « Lui qui pardonne toutes tes fautes et guérit toutes tes infirmités ».

Esaïe 53 n'est pas au futur, mais au passé : « Il a porté nos péchés, Il s'est chargé de nos maladies, Il était blessé… » ; et tout était déjà fait auprès de Dieu il y avait encore bien huit cent ans avant que le Christ ne meure lorsque l'Esprit du Seigneur parla par l'intermédiaire du prophète Esaïe. Mais aux yeux de Dieu, la rédemption était déjà accomplie.

Comment Paul voit-il l'Église ? Il la voit devant le trône de Dieu dans la gloire, déjà sans tâches et sans rides. Maintenant, je te demande : une telle église sera-t-elle là ou ne sera-t-elle pas là ? Sera-t-elle là-bas ou ne sera-t-elle pas là-bas ? Elle sera là-bas ! Amen et encore une fois, amen ! Elle sera là-bas.

Mais, la question est de savoir si nous serons là, toi et moi. Pas si nous nous rafistolons et disons : « oui ceci, cela et un peu ici, un peu cela ». Non, regarde une fois le Seigneur. Viens te reposer en ton Dieu. Repose-toi dans le repos en Lui, dans l'œuvre de rédemption accomplie, alors tu deviens joyeux, alors tu deviens heureux intérieurement, et alors l'Esprit peut descendre, et alors Il tombe, Il Se répand, alors Il remplit les croyants ; alors il n'y a plus de tiraillements, plus de cris, comme s'il fallait encore arracher quelque chose, non, faire descendre quelque chose. Non, alors nous pouvons dire comme Étienne : « Je vois les cieux ouverts ».

Lorsque Jésus a été plongé, a été baptisé, le ciel s'est ouvert. Depuis lors, il est resté ouvert pour toi et pour moi. Vous savez que le rideau du temple s'est déchiré : Le chemin est ouvert pour toi et pour moi. Tu peux venir, tu peux venir, je peux venir.

Mais nous ne serons jamais joyeux et heureux dans notre Seigneur que lorsque nous aurons reconnu la pleine rédemption accomplie en Jésus-Christ notre Seigneur, et que nous l'aurons accepté par la foi pour notre vie. Je vous le dis, même les plus grands prophètes, les plus grands hommes de Dieu et tout le peuple de Dieu tout comme nous le sommes ici, auront besoin de dire à nouveau chaque jour : « Seigneur, si une parole, une pensée, un acte quelconque ne T'a pas été agréable, pardonne-le-moi ». Et encore, si nous pouvions L'entendre, Il dirait : « Mon fils, Ma fille, quand Je suis mort, Je t'ai tout pardonné ! ».

« Bénis l'homme à qui les péchés sont pardonnés, à qui la faute n'est pas imputée ». Bénis soit l'enfant de Dieu ! Certes, nous ne voulons pas enjoliver le péché. Nous ne voulons en aucun cas le préconiser. Au contraire, nous souhaitons le jour et l'heure où Dieu voudrait nous placer au-dessus de tout. Que préférerions-nous ? Mais devrions-nous, si nous avons échoué, si nous avons eu trop des manquements, voulons-nous abandonner ? Non, et encore une fois, non. Nous avançons dans la foi avec notre Seigneur, car nous savons en qui nous croyons. Nous savons qu'Il est fidèle et qu'Il tiendra Sa promesse dans ta vie et dans la mienne.

Il a donné à Ses disciples les dernières missions. Nous vivons dans les derniers temps et nous savons que le dernier mandat dans l'Église est en train d'être exécuté, et que les dernières promesses sont en train de s'accomplir. Dieu a envoyé Son Serviteur et prophète avant que ce grand jour du Seigneur n'arrive. Pour les uns, un glorieux jour ; pour les autres, un jour terrible. Pour les uns, un matin ; pour les autres, la nuit. Les deux viendront. Où seras-tu dans l'éternité ?

Dieu a envoyé Son prophète pour nous faire connaître les dernières choses, pour nous révéler les derniers mystères, pour nous parler maintenant à la fin des jours, à la fin du temps, et pour nous faire savoir ce qu'Il veut nous dire en ce temps.

Cher enfant de Dieu, ne passe pas à côté de cela à la légère. Approfondissons-nous dans les prédications de frère Branham. Ne les lisons pas une seule fois, mais plusieurs fois, et vous verrez que plus nous nous approchons du but, plus elles deviennent importantes pour nous, plus elles nous parlent, plus nous comprenons clairement ce dont il a été question dans le ministère de frère Branham, qu'il a reçu de Dieu, et nous reconnaîtrons que ce sont des jours de préparation, des jours de grâce que Dieu nous offre encore à la fin. Avant que le jour du salut ne s'achève, Dieu nous offre Sa grâce.

Aujourd'hui, dans toute son ampleur, aucun de ceux qui ont confiance en Dieu, qui font confiance au Seigneur, ne seront confondus. Personne n'a besoin de quitter cette pièce en disant : « Je suis un homme, Dieu ne peut plus rien faire avec moi, j'ai trop péché ». Non, aujourd'hui, Dieu veut t'accorder Sa grâce. Aujourd'hui, Il veut te donner le pardon. Aujourd'hui, Il veut te bénir. Aujourd'hui, Il veut sauver. Aujourd'hui, Il veut guérir.

Si le Seigneur pouvait vraiment me placer ainsi que nous tous sur un terrain plus élevé, si le ciel sur la terre pouvait être dans les assemblées des croyants, si nous étions sous un ciel ouvert, et si la bénédiction pouvait descendre et le Saint-Esprit être répandu ! Ce sont tous des faits de l'histoire du salut qui doivent s'accomplir dans ta vie et dans la mienne.

Christ ne mourra pas une deuxième fois sur la croix. Il est mort une fois pour toutes ! Il a payé le prix. Toi et moi, nous sommes rachetés. Il est ressuscité, Il est vivant, Il a vaincu, Il a triomphé ; pas seulement pour Lui-même, mais pour toi et pour moi. Nous aussi, nous pouvons chanter : « Jésus est vivant, et moi aussi avec Lui ! Mort, où sont maintenant ta terreur ? ». Il est vivant, et Il me ressuscitera aussi d'entre les morts.

La grâce est encore la grâce. Dans l’Ancien Testament, la loi et le jugement ; dans le Nouveau Testament, la grâce et le salut ! Accepte-le. La condamnation de Dieu m'a frappé durement, ainsi que nous tous, mais Son salut, Son pardon et Sa grâce nous ont frappé d'autant plus fort que nous pouvons accepter ce don par la foi.

Fais-le aujourd'hui. Fais-le pleinement dans la foi comme Dieu te l'a offert, comme Il te l'a présenté ; et tu deviendras un enfant de Dieu joyeux ; et tu sentiras que le ciel est ouvert, que la bénédiction coule puissamment. Loué et exalté soit Son merveilleux et saint Nom. Amen !

Levons-nous et prions.

Je sais que personne ne pêche volontairement, mais je sais que, par désespoir ou dans certaines circonstances, il se passe des choses que les autres ne peuvent pas comprendre. Nous ne sommes pas ici aujourd'hui pour nous juger les uns les autres. Nous sommes ici aujourd'hui pour laisser le jugement divin s'exercer sur nous ; et pas seulement le jugement, mais aussi l'acquittement !

Mais, l'acquittement ne signifie rien pour une personne qui est en liberté. Mais, si quelqu'un a été jeté en prison, condamné, emprisonné à vie, et que, soudain, l'acquittement est prononcé, un tel homme sait l'apprécier ! Il sait en apporter la reconnaissance et ne l'oubliera plus jamais.

Nous avons tous été condamnés pour la vie, voire pour l'éternité ! Le jugement de Dieu nous a durement touchés. Le châtiment était le salaire du péché, et c'était la mort. Mais, parce que le Seigneur a pris le péché sur Lui, Il devait aussi en assumer les conséquences et souffrir la mort pour nous. C'est ce qu'Il a fait.

Maintenant, l'acquittement est accordé à tous ceux qui ressentent la condamnation de Dieu. Et les Saintes Écritures disent : « qu'ils ont tous péché et ont été privés de la gloire que Dieu donne. Mais de même que la mort est entrée dans le monde par un homme, de même, le don de la grâce de Dieu et la vie éternelle sont entrées dans ce monde par un homme, par Jésus-Christ », qui était révélé en tant qu'homme dans ce monde pour toi et pour moi. Accepte-Le aujourd'hui. La plus grande offre que Dieu puisse faire à un homme, c'est le salut, le pardon, la grâce et la vie éternelle en Jésus-Christ, notre Seigneur.

Alors que toutes les têtes sont inclinées et tous les yeux fermés, et que nous restons devant notre Seigneur dans une prière silencieuse, je voudrais demander si certains ici aujourd'hui n'ont pas encore consacré leur vie à Dieu. En cette heure, en ce moment, il doit arriver que la main de Dieu vienne sur vous et que vous ayez le courage de prendre la décision pour Jésus-Christ, et cela, maintenant même. Aurez-vous le courage de lever la main pour que nous sachions pour qui nous devons prier ? Vous pouvez rester là où vous êtes. Merci. Nous vous remercions. Merci à vous tous. Merci à vous. Merci à vous tous.

Que Dieu vous bénisse. Le Seigneur voit les mains, et Il voit les cœurs. Regardons au Seigneur. Ne nous méprenons pas sur Sa parole ni sur Sa grâce, mais donnons-Lui foi et confiance pour qu'aujourd'hui, dans ta vie et dans la mienne, Il puisse prendre un nouveau départ, un départ glorieux par la puissance du sang de l'Agneau, par la puissance de la parole et de l'Esprit de Dieu. Il peut et va le faire en ceux qui Lui donnent foi et confiance. Prions.

Père Céleste, Tu as vu toutes les mains. Ô Dieu, j'aimerais pouvoir proclamer Ton évangile comme un message de liberté et de joie, comme cela T'est agréable, d'une manière puissante, ô Dieu. Tu connais mon cœur. Tu nous connais tous.

Ô Seigneur, Tu as vu aussi les mains de ceux qui étaient levées, et nous venons ensemble à toi, ô Seigneur. Tu pardonnes le péché et Tu ne Te souviens plus de la transgression. Tu sauves, Tu guéris, Tu Te révèles comme le même hier, le même aujourd'hui et le même dans toute éternité.

Seigneur bien-aimé, fais que cet après-midi, en cette heure, il devienne évident que nous n'avons pas entendu une parole d'homme, mais la parole de Dieu. Et que tous ceux qui ont la foi sachent que Tu es présent et que Tu Te tournes vers eux ; que Ta main est posée sur nous pour nous protéger, car Ton sang couvre nos vies, le sang de l'Agneau versé sur la croix à Golgotha.

Seigneur, nous savons que l'ennemi rôde comme un lion rugissant. Il veut dévorer, mais il ne peut pas nous dévorer. Nous sommes protégés et préservés sous le sang de l'Agneau. Alléluia !

Merci Seigneur fidèle pour la puissance de Ton sang, de Ta parole et de Ton Esprit. Puisses-Tu agir puissamment en moi et en nous tous, et laisser se répandre Ton sang, Ton Esprit. Donne-nous le regard de la foi vers le haut afin que nous puissions voir le ciel ouvert, car il est ouvert ! Le rideau s'est déchiré, le chemin est libre ! Dieu est réconcilié avec les hommes. Je Te remercie pour cela.

Pardonne à tous ceux-là. Pardonne-moi et pardonne-nous tous, ô Maître fidèle. Et par la foi, nous savons que Tu as déjà pardonné, et que Tu dis : « Mon fils, Ma fille, J'ai versé Mon sang, J'ai expié, J'ai pardonné. Va, et ne pêche plus ».

Seigneur, tourne-Toi aussi vers les malades. Dis un mot, une parole, et ils seront guéris ! Les lépreux seront purifiés et les aveugles verront, et le démon du cancer sortira, il doit sortir au nom de Jésus-Christ de Nazareth ! Toutes les maladies causées par les démons doivent être guéries en ce que le démon est chassé et que la guérison des malades ait lieu.

Seigneur fidèle, en Ton nom, au nom de Jésus-Christ de Nazareth, qu'il soit fait en sorte que l'autorité soit donnée de chasser les démons et qu'ils sortent ; de guérir les maladies, et d'annoncer l'évangile comme il se doit, afin que Tu puisses le confirmer par des signes et des prodiges qui accompagnent Ta parole. Seigneur, je Te remercie pour les personnes qui ont été guéries.

Ô Dieu, Tu es le même. Alléluia à Ton nom glorieux ! Que Ta puissance remplisse maintenant cette pièce, cette salle, et que notre foi s'élève et parvienne jusqu'à Ton trône, et que les prières soient exaucées par Toi, afin que Tu puisses répondre. Et ta réponse est : « Je t'ai pardonné, Je t'ai guéri ! Va, tout est accompli sur le bois du calvaire, à Golgotha ».

Je Te remercie Sauveur, parce que Ton sang ne s'est pas perdu dans le sable, parce que Tu l'as pris et que Tu es allé en tant que Souverain Sacrificateur sur le trône de la grâce pour intercéder en notre faveur. Nous Te remercions de tout cœur pour cela, et Te prions de faire en sorte que Ta parole ne revienne pas vide sans effets, mais qu'elle accomplisse ce pour quoi Tu l'as envoyée.

Alléluia à Ton merveilleux et saint nom de Jésus ! Amen!