Psaumes 133
Le 19 avril 1981
(Retransmit le 12 avril 2023)
Ewald Frank
Loué et remercié soit le Seigneur, pour le grand privilège que nous avons et que nous pouvons croire que ce temps prendra fin un jour, et que nous serons alors auprès du Seigneur pour toujours ; alors, il n'y aura plus de dernière réunion, plus de séparation ; alors, pour toujours, nous serons auprès du Seigneur. Et les Saintes Écritures disent : « Consolez-vous les uns les autres par ces paroles » ; et c'est ainsi que nous pouvons nous consoler aujourd'hui aussi.
Et comme nous l'avons entendu dans la parole d'introduction : « Comme il est doux de voir des frères habiter ensemble, unis », mais cette union ne peut se réaliser qu'en présence de Dieu, et alors, seulement quand nous nous taisons, et que Dieu seul parle ! Si deux ou trois parlent, il n'y a pas d'union ! Il y a déjà des désaccords qui peuvent être manifestés. Mais si Dieu seul parle, alors l'union se fait, nous entendons et comprenons tous la même chose.
Lisons deux passages des Écritures, l'un tiré de Philippiens chapitre 3 versets 10 et 11 ; et le second passage, dans les Actes des Apôtres. Philippiens chapitre 3 versets 10 et 11. Ici, l’apôtre Paul écrit :
« Car je désire le connaître, lui et la puissance de sa résurrection, et la participation de ses souffrances, étant conforme à sa mort, pour parvenir, si je puis en quelque manière, à la résurrection des morts ».
Paul était un homme de Dieu qui souhaitait participer à la première résurrection ; et il s'agissait donc pour lui de participer à la puissance de la résurrection, avant que la résurrection elle-même n'ait lieu.
Et je crois que cela vaut aussi pour toi et pour moi, que nous participions à la puissance de la résurrection avant que la résurrection elle-même n'ait lieu.
Nous remarquons ici comment il l’exprime : « Je voudrais le connaître » c’est-à-dire, le Seigneur. Bien qu'Il Se soit révélé à lui, il n'en restait pas moins dans son cœur néanmoins un profond désir de connaître son Seigneur et Maître, de le connaître plus intimement, plus profondément, mieux. Oui : « Je veux le connaître et connaître la puissance de Sa résurrection et la participation à Ses souffrances ».
Vous savez, nous aimerions tous avoir la puissance de la résurrection. Mais, la deuxième partie, celle de participer à Ses souffrances, c'est un tel point, n'est-ce pas ? Mais nous savons que les afflictions produisent la patience, la persévérance.
Je crois que je l'ai déjà dit une fois, c'était probablement le grand évangéliste Moody, chez qui une sœur est venue et a dit : « Prie pour que le Seigneur me donne de la patience » ; et il répondit : « Je le ferai, volontiers » ; et ils se mettent en prière, et Moody prie : « Seigneur, donne à cette sœur des tribulations ! » ; et elle l'interrompt et dit : « Écoute, tu m'as mal compris, je prie pour la patience, j'ai déjà assez d'affliction comme ça ! ». « Oui », dit-il, « ma sœur, tu ne connais pas les Saintes Écritures. Il est écrit que les tribulations produisent la patience ! ».
Oui, nous prions parfois à côté des choses, et nous pensons que quelqu'un nous a mal compris. Non, pensons… Non.
Cet homme connaissait les Saintes Écritures, et s’est laissé conduire par le Saint-Esprit ; et cette sœur l'a interrompu et lui a dit : « Tu m'as mal compris ! ». Ce n'était pas un malentendu, c'était l’Écriture sainte !
Et vous savez, parfois, nous voulons atteindre les choses par nos propres voies, et nous ne les atteindrons jamais ainsi, à moins de suivre le chemin de Dieu. Et la voie de Dieu peut être tout à fait différente de ce que nous pourrons imaginer.
Ainsi, si c'est ce que Paul exprime ici : « Car je veux le connaître, lui et la puissance de sa résurrection, et la participation de ses souffrances, étant conforme à sa mort, pour parvenir, si je puis en quelque manière, à la résurrection des morts ».
Vous savez que l'expression « résurrection des morts », est utilisée de manière générale, mais Paul ne priait pas seulement pour participer à la dernière résurrection. On n'a pas besoin de prier pour ça, car tous ressusciteront de toute manière ! Mais il priait pour avoir part à la première résurrection, à l'enlèvement, et au festin des noces de l'Agneau, à la gloire. C'est ainsi notre prière ! Que Dieu veut nous l’accorder.
Je voudrais citer Actes des Apôtres 2, ou lire le sermon de Pierre à partir du verset 22.
« Homme d'Israël, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, homme qui, comme vous le savez vous-même, s'est révélé devant vous comme l'envoyé de Dieu par des actes de puissance, des miracles et des signes que Dieu a accomplis par lui au milieu de vous ; cet homme qui, selon le dessein arrêté et la prédestination de Dieu, vous a été livré, vous l'avez cloué à la croix par la main des impies, et vous l'avez mis à mort.
Dieu l'a ressuscité, ayant dissipé les douleurs de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il fût retenu par elle.
Car David dit de lui : je voyais constamment le Seigneur devant moi, parce qu'il était à ma droite de sorte que je ne chancelle pas. C'est pourquoi, mon cœur s'est réjoui et ma langue a tressailli d'allégresse ; de plus, mon corps aussi se reposera dans l'espérance, car tu ne laisseras pas mon âme dans le royaume des morts, et tu ne permettras pas que ton saint voie la corruption.
Tu m'as fait connaître des chemins de vie, tu me rempliras de joie devant ta face ».
De quelle merveilleuse manière, l'Esprit de Dieu a parlé à travers David, du Fils de David, de Jésus-Christ, et a prophétisé : « Je ne laisserai pas Son âme en enfer, et je ne permettrai pas qu'Il voie la corruption ! ».
Certains s'affligent de ce que le Seigneur n'ait pas passé trois jours et trois nuits entières dans la tombe. Cela ne pouvait pas être le cas, sinon, au bout de soixante-douze heures, Son corps serait entré en décomposition ! Pour que les Écritures s'accomplissent, il fallait qu'Il ressuscite avant que Son corps ne soit touché par la corruption !
Mais tous ceux qui lisent la parole de Dieu avec l'intelligence, ils s'arrêtent ici, et ils s'arrêtent là. L'homme à qui Dieu S'est révélé ne se laisse absolument pas arrêter. Il va de l'avant, car les chemins de la vie lui ont été révélés.
De quelle manière merveilleuse il est dit ici… il vaut mieux peut-être que je lise sans lunettes, je pourrais ainsi mieux comprendre ou bien alors suivre les choses, sinon je vois double. (Verset 6) :
« C'est pourquoi, mon cœur s'est réjoui et ma langue a tressailli d'allégresse ; de plus, mon corps aussi se reposera dans l'espérance ».
Quel témoignage merveilleux ! Quelle grâce que Dieu ait parlé par Ses serviteurs, et qu'Il a ensuite réalisé et mis en œuvre ce qu'ils ont dit de Sa part ! « Tu ne me permettras pas que Ton saint voie la corruption », puis vient le verset merveilleux, le verset 28 : « Tu m'as fait connaître des chemins de vie, tu me rempliras de joie devant ta face ».
La mort n'était pas la fin, mais le chemin de la vie nous a été révélé. La mort devait seulement être éliminée et vaincue, mais le chemin de la vie nous a été révélé. Ensuite, Pierre continue ici à partir du verset 29 :
« Homme frère, qu'il me soit permis de vous dire en toute liberté au sujet du Patriarche David, qu'il est mort, et qu'il a été enseveli, et que son sépulcre est parmi nous jusqu'à ce jour ».
Il ne dit pas que David est là, mais que « son tombeau est là ». Le tombeau peut rester longtemps debout ; celui qui veut le visiter n'a qu'à le faire, se rendre sur place. Il dit au verset 30 :
« Comme il était prophète, et qu'il savait que Dieu lui avait juré par serment que l'un de ses descendants dans la chair s'assiérait sur son trône, ainsi il a parlé à l'avance de la résurrection du Christ, à savoir qu'il n'a pas été livré au royaume des morts, et que son corps n'a pas vu la corruption ».
De quelle manière merveilleuse David a anticipé, a pu voir à l'avance. Oui, les prophètes avaient une vision large de l'avenir. Leurs yeux étaient « oints ». Et comme nous l'avons dit dans les jours précédents, ils ont écrit l'histoire du salut, et cela, à l'avance !
Quand je pense que Pierre était un pêcheur… Nous étions il y a quelques semaines au bord du lac de Tibériade, à Capernaüm, à l'endroit même où Pierre et les trois autres disciples ont été appelés par le Seigneur. Ce n'étaient pas des savants ; ils ne savaient même pas où se trouvait quoi, où ils pouvaient le trouver, où ils pourraient le chercher.
Mais c'était après la Pentecôte ; il a été conduit par le Saint-Esprit vers le bon passage biblique, au bon moment, et guidé et conduit. Le même Esprit qui était sur les prophètes qui ont annoncé l'histoire du salut à l'avance, était sur les apôtres, pour qu'ils puissent, dans leur accomplissement de manière juste et conforme à l'Écriture, écrire l'histoire du salut. Pour cela, il n'y a pas besoin d'une grande érudition (ou connaissance), mais seulement de la conduite de l'Esprit Saint dans toute la vérité.
Pierre n'a certainement pas eu besoin d'aller une seule fois chez un scribe pour y chercher un renseignement. Il avait en lui Celui qui avait inspiré l'Écriture !
Nous ne savons pas s'il savait lire ou écrire. Frère Branham fait parfois la remarque suivante : « Pierre, un homme totalement inculte, totalement illettré, qui ne savait ni lire ni écrire ». Nous voulons laisser cela en suspens, mais nous remarquons une chose : S'il savait lire, ou s'il savait écrire, nous ne voulons pas en juger, car il a écrit des lettres. Nous supposons qu'il l'a fait lui-même. Paul a fait écrire quelques lettres. Mais, frère Branham voulait dire par là qu'il n'était pas un homme érudit, instruit, mais un homme du peuple. Et nous savons tous lire et écrire, même si cela nous manque un peu avec lacune. Bon, mais ça va jusqu'ici.
Dieu a eu besoin de cet homme. Il l'a inspiré et conduit par Son Esprit pour dire la bonne parole au bon moment, prononcer la parole au bon moment ! Quand je pense à l'expérience de la Pentecôte… mais nous y reviendrons. À la Pentecôte… nous en parlerons.
Pierre a, lui aussi, trouvé la bonne parole au bon moment. Il dit : « Ces hommes ne sont pas ivres, comme vous le pensez, mais ici s'accomplit ce que Dieu a dit par la bouche du prophète Joël ».
Pour s'en tenir à cette parole, David a vu d'avance la résurrection de Jésus, et a prophétisé.
Qu'est-ce que les gens ont pu penser quand il a dit dans le Psaume 22 : « Ils m'ont percé les mains et les pieds » ! Les gens auraient pu venir le trouver et lui dire : « David, tu as dit : mes mains et mes pieds, ils les ont percés. Voyons s'il y a quelque chose à trouver, des traces ».
Qu'est-ce que c'était ? David était un prophète ! Il ne parlait pas lui-même, mais c'était Dieu qui parlait, et cela, à la première personne, par lui, comme s'il s'agissait de lui-même.
Dieu S'est manifesté dans les prophètes de telle sorte que les prophètes n'ont plus parlé eux-mêmes ; mais c'est Dieu Lui-même qui a parlé par eux. Dieu a parlé à travers eux. Et cela, nous ne le voyons pas seulement ici chez David. Nous voyons toujours de nouveau que Dieu a parlé à travers eux de différentes manières. Nous continuons à lire. Actes des Apôtres 2 verset 32 :
« ce Jésus que Dieu a ressuscité ; nous en sommes tous témoins. Ayant donc été élevé par la droite de Dieu et ayant reçu du Père le Saint-Esprit, promis, il l'a maintenant, comme vous le voyez et l'entendez vous-mêmes, répandu ici ».
Dans l'effusion du Saint-Esprit, il y avait quelque chose à voir et à entendre. Et un cher frère m'a dit aujourd'hui : « Frère Frank, nous avons entendu la parole de Dieu, maintenant, nous voulons en faire l'expérience ». Nous voulons vivre la puissance surnaturelle de notre Dieu. Nous ne voulons pas créer une ambiance, une atmosphère, nous ne voulons pas que le peuple s'enthousiasme ou bien qu'il soit conduit dans un enthousiasme, mais attendre qu'un bruit vienne du ciel, attendre que la réponse vienne de Dieu, que Dieu donne la réponse. Si les hommes font quelque chose, cela sera bientôt terminé de toutes manières. Mais quand Dieu fait quelque chose, c'est bien fait, et cela dure pour toujours !
C'est si merveilleusement dit ici : « Comme vous le voyez et l'entendez vous-même répandu ici ». Par l'effusion de Saint-Esprit, il n'y avait pas seulement quelque chose à entendre, il y avait aussi quelque chose à voir.
Si aujourd'hui, il y a des effusions de l'Esprit, aujourd'hui il y a beaucoup à entendre ! On entend, mais que voit-on ? Que voit-on ? Là où Dieu Se manifeste vraiment, il n'y a pas seulement quelque chose à entendre, il y a aussi quelque chose à voir ! Là où Jésus-Christ marchait, il n'y avait pas seulement quelque chose à entendre, il y avait aussi quelque chose à voir : Dieu révélait Sa puissance de manière visible ! Là où la parole de Dieu s'accomplit, dans le peuple de Dieu, il y aura des signes et des prodiges, il y aura des choses à voir, il y aura quelque chose à entendre et à voir. C'est ce que nous entendons.
Entendre c'est une chose, une chose simple. On peut faire une grande chose avec des mots, et quand les mots sont terminés, il ne reste plus rien ; les mots s'éteignent, il ne reste plus rien de la grande chose qu'on a faite avec des mots, il ne reste plus rien.
Non. Là où Dieu agit, il y a quelque chose à entendre et à voir ! Il s'y passe quelque chose de durable, quelque chose de profond, quelque chose d'intime selon l'esprit, l’âme, et le corps.
Puisse Dieu, par grâce, confirmer Sa parole en toi, en moi, en nous tous par Sa grâce !
Aujourd'hui, nous voulons encore prier pour ceux qui sont venus pour qu'on prie pour eux avec l'imposition des mains, pour qu'ils puissent recevoir de Dieu ce qu'ils demandent.
Vous savez qu'il y a des gens qui peuvent le recevoir eux-mêmes dans la foi, et il y a d'autres qui ont dans leur cœur de prier pour eux. Et nous ne voulons pas clore ces réunions sans avoir donné l'occasion de prier pour quelques personnes qui sont venues pour la prière ; et peut-être aurons-nous alors la grâce non seulement d'avoir entendu la parole de Dieu, mais d'en avoir aussi fait l'expérience de son effet.
Combien peuvent croire que Dieu est fidèle à Sa parole, qu'Il tient Ses promesses, qu'Il les accomplit, qu'Il est le même hier aujourd'hui et éternellement ? Ayons confiance en Lui, croyons-Le de tout notre cœur, et sachons qu'Il est présent pour Se manifester à toi et à moi, pour faire en sorte que dans notre vie, Sa parole soit une réalité, et soit confirmée.
Nous ne pouvons pas faire autre autrement que de croire, car Dieu a mis la foi dans nos cœurs. Ce n'est pas une chose pour laquelle nous devons lutter. Elle nous a été donnée par grâce.
Et il est écrit dans Romain 10 : « La foi vient de la prédication, et la prédication vient de la parole », et la parole de Dieu est vraie ! « Le ciel et la terre passeront, mais la parole de Dieu demeure éternellement ».
Prends la promesse pour ta requête dans ton cœur. Si tu viens pour qu’on prie pour toi et dis : « Seigneur, je me place sur Ta parole, je crois à Ta promesse et je crois que Tu accomplis maintenant Ta parole en moi » ; et alors, cela se fera par grâce pour la confirmation de la parole du Seigneur, et pour la gloire de notre Dieu.
Qu'Il fasse naître, par grâce, une foi vivante, dans ton cœur et dans le mien. « Tu m'as fait connaître les chemins de la vie, et tu me rempliras de joie devant Ta face ». C'est ce que je souhaite, c'est ce que je te souhaite. Que Dieu puisse nous le donner à tous. Il nous a montré le chemin de la vie.
Et si je peux revenir à la parole d'introduction juste pour quelques moments. C’était dans le Psaume 133 :
« Qu’il est doux et beau de voir des frères réunis d'un commun accord, ensemble ».
Je dis ici sans vouloir faire du mal à personne, une telle unité, une telle union telle que nous en avons eues dans ces réunions par la grâce de Dieu, nous ne l'avons guère connu pendant toutes ces années ! C'était, en effet, une belle amitié, un amour fraternel intime, une union inspirée par Dieu ; et nous avons ressenti de quelle manière les prières s'élevaient vers le trône de Dieu.
Or, il est fait ici une comparaison étrange, particulière, dans le deuxième verset. Le Psaume 133, le verset 2 maintenant :
« C'est comme l'huile précieuse sur la tête, qui descendait dans la barbe d'Aaron, qui s'abaissait sur le bord de son vêtement ».
Nous savons qu'Aaron était le premier sacrificateur à être consacré, à être oint d'huile. Et lorsque nous oignons les gens avec de l'huile, c’est un peu d'huile sur le front, et cela suffit !
Mais Dieu voulait que Ses sacrificateurs soient si oints avec abondance d'une huile, d'une onction sainte, qu'elle descende jusqu'au bas de leur robe, du vêtement ; que l'homme tout entier soit sous l'onction de Dieu, soit placé sous l'emprise de Dieu.
Et c'est là, à mon sens, une énorme référence à l'histoire du salut que nous rencontrons ici. Pas seulement un peu d'huile sur le front, un peu d’onction sur la tête, mais une onction divine qui touche tout l'homme, qui s'étend sur tout le corps. Une onction qui peut nous atteindre de la tête aux pieds.
Vous savez qu'Aaron qui a été oint en tant que sacrificateur… et je viens de le dire, et je l'ai dit les jours précédents : les choses de l'Ancien Testament ont leur référence et leur signification pour le Nouveau Testament. Nous lisons dans Apocalypse 1 : « Toi, Tu as racheté pour Dieu, et Tu as fait de nous des rois et des sacrificateurs ». Nous sommes un peuple de sacrificateurs et de rois pour notre Dieu. Nous devons exercer le sacerdoce. Mais, les sacrificateurs ont été oints avec l'huile d'onction sainte qui se voyait à l'extérieur.
Dans l'Ancien Testament, tout le service divin était visible, était perceptible extérieurement avec tous ses sacrifices etc. et c'était le même pour l'offrande de l'onction. Mais, dans le Nouveau Testament, nous devons recevoir l'onction du Saint-Esprit qui peut venir sur nous tous. Nous n'avons pas besoin maintenant d'attendre jusqu'à la Pentecôte ! nous pouvons la vivre aujourd'hui par grâce.
Et ensuite, il est dit dans le verset 3 du Psaume 133 :
« Elle est semblable à la rosée de l'Hermon qui tombe sur les montagnes de Sion ».
Nous savons, nous qui avons été à peu près à la distance de la haute Galilée où se trouve le mont Hermon, à l'extrémité des hauteurs du Golan, puis la montagne de Sion, la montagne de Morija de l'autre côté de Jérusalem ; mais c'est la seule montagne qui y est recouverte de nuages et qui se répand ensuite au le lever du soleil, se répand simplement et le brouillard descend alors partout.
Dieu a des voies et des moyens pour dire par des exemples ce qu'Il veut nous communiquer. Tout peut se répandre depuis la montagne d'Hermon sur tout le pays jusqu'à la montagne de Sion où tombe la rosée qui descend de l'Hermon.
Ô, si Dieu peut bénir en un lieu, cela ne reste pas seulement dans ce lieu, cela se répand, cela se manifeste partout que Dieu a fait quelque chose de puissant et d'extraordinaire !
« Car c'est là que l'Éternel a envoyé la bénédiction, la vie jusqu'à l'éternité ».
Alléluia soit apporté à notre Dieu ! Qu'Il fasse quelque chose de grand qui se répand, et que de nombreuses personnes puissent encore entrer dans cette gloire de Dieu. Qu'Il nous bénisse tous de la richesse de Sa grâce ! Amen !
Levons-nous et prions. Nous voulons chanter « Tel que je suis, sans rien de moi ». [L’assemblée chante le chœur : « Tel que je suis, sans rien de moi ». N.d.l.r]
Père céleste, nous Te remercions, ô Dieu, pour Ta précieuse et sainte parole. Seigneur, que Ta gloire se manifeste sur nous, ô Seigneur, partout comme l'avons entendu, comme le brouillard se répand, depuis le mont Hermon jusqu'aux montagnes de Sion, qu'ainsi, Seigneur, Ta gloire, Ton Saint-Esprit, vienne sur nous, vienne sur tous, ô Seigneur, sur les grands et sur les petits, sur les jeunes et les vieux. Ô Seigneur, nous avons tous besoin de recevoir quelque chose, non pas des hommes, mais de Toi, Seigneur.
Alléluia ! Nous T'adorons, nous louons Ta grâce qui a été accordée aux Tiens. Louange et honneur, gloire et adoration à Ton nom !
Nous Te remercions, Seigneur, pour Ta parole puissante ! Qu'elle demeure en nous, que nous la méditions, Seigneur ! Que nous la méditions, Seigneur, que nous la méditions, Seigneur ! et que nous restions unis, Seigneur, dans un lien d'amour, dans le lien d'amour, l'amour divin.
C'est ma prière, Alléluia ! Au nom de Jésus ! Amen !