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Ewald Frank

LE PRÉCURSEUR JEAN-BAPTISTE

Prêché à Krefeld le 07 mars 1981

(Retransmit le 10 septembre 2023)

Louange et remerciements au Seigneur. Nous avons déjà entendu une prédication qui nous a touché le cœur. Il n'y a pas grande chose à ajouter. Ce sont quelques pensées qui deviennent toujours grandes. Lorsqu'il est écrit : « afin que ce qui a été annoncé par Esaïe s'accomplisse » ; nous savons que tout ce que Dieu fait est l'accomplissement de l'Écriture. Tout le Nouveau Testament, et je ne parle pas seulement des quatre évangiles, des Actes des Apôtres ou des épîtres, mais de toute la période du Nouveau Testament, n’est rien d'autre que l'accomplissement de ce que Dieu a dit à l'avance. Toutes les choses doivent se dérouler comme Il l'entend.

Dans l'évangile de Luc, au septième chapitre, Jean envoie des messagers au Seigneur Jésus, et le Seigneur donne alors la réponse ; et c'est toujours la bonne réponse quand elle sort de la bouche du Seigneur. Dans Luc 7, il est écrit... je ne veux pas lire beaucoup, vous connaissez le contexte du verset 27. Luc 7, verset 27 :

« C'est celui au sujet duquel il est écrit : Voici que j'envoie mon messager devant toi pour préparer ton chemin devant toi. Oui, je vous le dis : parmi ceux qui sont nés de femmes, il n'y a pas de plus grand que Jean. Mais le plus petit dans le royaume de Dieu est plus grand que lui. Et tout le peuple qui l'a entendu, même les publicains ont suivi la volonté de Dieu en se faisant baptiser du baptême de Jean. Mais les pharisiens et les docteurs de la loi ont rejeté le conseil du salut de Dieu pour leur personne en ne se faisant pas baptiser par lui ».

Cette parole est en accord avec ce qui a été lu dans Matthieu 3. Et si nous lisons les quatre évangiles, nous avons une vue d'ensemble de ce qui s'est réellement passé. Dieu a fait en sorte que chacun de ces évangélistes soit conduit pour mettre par écrit ce que l'Esprit de Dieu lui a inspiré. Et si nous résumons cela, nous avons une vue d'ensemble de ce qui s'est passé.

Et nous voyons que tout le peuple qui est sorti, même les publicains, les douaniers, ont suivi la volonté de Dieu en se faisant baptiser par le baptême de Jean. Mais, les pharisiens et les docteurs de la loi, eux, ne sont pas venus pour écouter avec un cœur sincère. Ils sont venus pour trouver quelque chose, et ensuite pour informer le peuple plus tard qu'il n'avait pas besoin de sortir au désert.

Et comme on l'a déjà souligné, c'est arrivé dans le désert. Pourquoi cela s'est-il passé dans le désert ? Parce que l'Esprit de Dieu a parlé par l'intermédiaire du prophète Ésaïe : « Une voix s'élève dans le désert pour préparer le chemin du Seigneur, pour planifier une route pour notre Dieu ». S'il avait été dit : « une voix se fait entendre à Jérusalem », elle se serait fait entendre à Jérusalem. S'il avait été dit à Jéricho, elle aurait été à Jéricho ! Mais il est écrit : « dans le désert ». (Ésaïe 40, 3 à 4).

Et c'est ce qui s'est passé. Ainsi, nous voyons que la parole de Dieu s'accomplit jusqu'au dernier point. Et, c'est en fait la certitude que nous pouvons avoir en tant que croyants, que chaque parole de Dieu est la vérité absolue.

Lorsqu'il est écrit dans Miché 5 verset 5 : « Tu es la plus petite (des villes de Juda), Bethléem, mais c'est de toi que sortira pour moi celui qui sera le Seigneur en Israël », alors, il savait parfaitement que le Messie naîtrait à Bethléem. Tout ce que les prophètes ont dit, Dieu l'a dit à travers eux. C'est Dieu qui l'avait dit à travers eux. Et le Seigneur parle ici et dit : « Qui vouliez-vous voir quand vous êtes sortis pour entendre Jean ? Un homme vêtu de velours et de soie ? ils sont dans les palais royaux ! Vouliez-vous voir un roseau agité par le vent ? ».

Frère Branham l'explique. Il explique cela. Il dit : « avec les méthodistes, ils sont méthodistes ; avec les baptistes, ils sont baptistes, etc. et ils boivent de tous côtés ». Non. Vouliez-vous voir un tel homme ? Non. Un tel homme n'était pas à voir là-bas. Non, pas un homme semblable à un roseau qui pouvait être emporté par n'importe quel vent ; mais un homme envoyé de Dieu avec un message de Dieu pour le peuple de Dieu. Et tous ceux qui étaient destinés à la vie éternelle ont écouté l'appel qui a été lancé autrefois.

Et je peux imaginer de manière si vivante le jour où Jean a dit : « L'ami de l'Époux entend déjà le cri de joie de l'épouse ». (Jean 3, verset 29). Qu'est-ce que c'était ? C'était le début du cri de sortie de l'épouse pour l'Époux ; c'était le début du Nouveau Testament, le passage, le pont de l'Ancien vers le Nouveau. Jean se considérait comme l'ami de l'Époux. Et il a dit au verset 29 :

« Celui à qui appartient l'épouse, c’est l'époux. Mais l'ami de l'Époux qui se tient là et qui L'écoute se réjouit de tout son cœur au cri de joie de l'Époux. Cette joie qui est la mienne est maintenant parfaite ».

Nous entendons donc ici que Jean a été envoyé. Mais nous arrivons maintenant à nos jours. Vous savez qu'on peut parler des jours de Noé, de Moïse et de tous les jours, et voir ce qui s'est passé autrefois. Et vous savez, si vous lisez ou traduisez un peu plus clairement les prédications de frère Branham, vous remarquerez qu'il met l'accent sur le fait que rien n'a changé, mais que tout se répète comme c'était autrefois. C'est aussi ainsi aujourd'hui. Et il dit tout simplement dans cette prédication :

« Oui, aujourd'hui vous dites que : si j'avais vécu à l'époque où Jésus était sur terre, alors j'aurais... alors j'aurais... Il dit : Ce que vous faites aujourd'hui, vous l'auriez fait à l'époque et rien d'autre ! Si vous croyez aujourd'hui, vous auriez cru autrefois. Si vous ne croyez pas aujourd'hui, vous n'auriez pas cru non plus autrefois ». Il est facile de dire quelque chose avec la bouche mais le cœur doit aussi suivre.

Comme c'est merveilleux de lire : « et tout le peuple qui l'a entendu, même les douaniers, les publicains ont suivi la volonté de Dieu en se faisant baptiser du baptême de Jean ». Un complément de ce que nous avons lu dans Matthieu 3 : « c'est en effet à ce dernier que se réfère la parole du prophète Ésaïe : Une voix crie à haute voix dans le désert ».

Eh bien, à partir de demain, nous serons en effet à nouveau dans le pays de la Bible pendant quatorze jours. Cette fois, nous serons dans le désert de Judée, nous serons au bord du Jourdain, nous verrons tous ces lieux, et avec l'aide de Dieu, nous rendrons grâce, nous remercierons pour tout ce qu'Il a fait. Ce ne sont pas les lieux qui comptent, mais vous savez que quand on se tient par exemple sur le mont des Oliviers ou qu'on est au bord du Jourdain, cela m'a beaucoup impressionné de voir le débit du Jourdain, la manière dont il sort d'un massif rocheux, d'une montagne, avec une force tout à fait merveilleuse.

Jean était au bord du Jourdain. Il est entré dans le désert, il est allé dans le désert, mais il est aussi allé là où il y avait beaucoup d’eau, car il devait baptiser. Oh, Dieu s'occupe de tout. Vous voyez ? Quelqu'un m'a dit un jour : « frère Frank, est-ce qu'il suffit d'être baptisé dans la baignoire ? ». Je répondis : « non, cela ne suffit pas. Il faut plus d'eau ». Voilà, comme c'est merveilleux. Jean est amené au Jourdain. Assez d'eau pour être correctement immergé. Oui, il faut que cela soit ainsi.

Et puis, la parole du Psaume. Comme c'est merveilleux ! Quand j'y pense, je souris un peu en ce moment, mais dans le langage populaire, on dit que « c'est de l'humour de potence ». Mais pas seulement cela, je crois et je sais en qui je crois, et je sais aussi ce que je crois. Même si le monde entier disparaît, ce que Dieu a fait reste éternel. De toute façon, personne ne peut le nier.

Mais la pensée qui m'est venue quand on a lu le Psaume est la suivante : David, qui a dû passer par tant de misères et de difficultés, a toujours trouvé le temps de prendre son instrument, sa harpe, et de chanter des psaumes, malgré toutes les misères par lesquelles il est passé. Et c'est une chose que je lui demanderais certainement quand nous nous rencontrerons au ciel, comment cela était possible, dans l'ancienne alliance, qu'il puisse traverser tant de difficultés et d'épreuves, et avoir encore un Psaume dans son cœur ?

Je ne pense pas que David ait chanté uniquement avec ses lèvres. Je pense que l'Esprit de Dieu a composé ces Psaumes dans le cœur de David, et c'est pourquoi ils sont la parole du Dieu. S'ils étaient sortis de la réflexion, de la tête, ils auraient été la parole de David, et on n'aurait pas eu besoin de les considérer comme la parole de Dieu. Mais Dieu les a produites dans le cœur, par l'inspiration du Saint-Esprit. Nous connaissons sa vie et à quel point elle était mouvementée. Et puis il est dit ici dans le Psaume 31 verset 20 :

« Qu’elle est grande ta bonté que tu réserves à ceux qui te craignent, que tu montres à ceux qui se réfugient en toi ouvertement à la vue du monde ».

David était un homme qui ne jouait pas à cache-cache avec sa foi. Il s'est confessé à Dieu et Dieu S'est confessé à lui. Et pourtant, quand on pense qu'on lui a craché dessus, qu'on lui a jeté de la boue, que cet homme-là qui a prononcé directement des paroles de malédiction contre David quand il gravissait le mont des Oliviers comme si de rien n'était ; et quelqu'un qui voulait se battre pour lui, il (David) lui dit : « Laisse-le, le Seigneur le lui a ordonné ainsi ». Et il a continué sa route jusqu'en haut du mont des Oliviers, et là, il a pleuré.

Et lorsque nous écoutons ensuite le sermon de frère Branham, il dit : « Combien de centaines d'années plus tard, le Fils de David était au même endroit sur le mont des Oliviers, rejeté par Son propre peuple, regardant Jérusalem et disant : Combien de fois ai-Je voulu te rassembler comme une poule peut rassembler ses poussins, mais tu n'as pas voulu ? Et maintenant, l'heure du jugement vient sur toi ». Notre Seigneur pleura sur le mont des Oliviers, à l'endroit même où se trouvait David. Il avait, en effet, été appelé « Fils de David ».

Si l'un d'entre nous aurait donné le nom de David au Sauveur du monde, ça je voudrais le savoir. Si l'un d'entre nous, et parmi tous les théologiens du monde, aurait osé appeler le Messie, le Dieu en forme humaine, du nom de David, comme Fils de David, j'en doute, j'en doute volontiers.

Mais, comme nous l'avons déjà entendu, Dieu fait des choses merveilleuses qui dépassent ta compréhension et la mienne. Des savants « sans péchés », ceux qui n'ont rien, viennent à Jean et s'en vont, avec l'annonce du jugement, ils doivent s'en aller. Et les publicains arrivent, se frappent la poitrine et vont dans l'eau.

Et je ne veux pas dire que Jean avait des vêtements de baptême, ou qu'il pouvait se changer : Ils sont entrés dans l'eau comme ils étaient, mais ils en sont sortis différemment ! Oui, ils sont sortis différemment. La parole les avait touchés. Et grâce à cette obéissance, la bénédiction de Dieu a reposé sur eux.

Et puis, la glorieuse promesse faite par Jean : « Je vous baptise d'eau pour la repentance ». Un homme peut baptiser dans l'eau, mais dans le Saint-Esprit, Seul Dieu peut baptiser ! Puis il dit : « Celui qui vient après moi est plus grand que moi ». Dans un autre passage, il dit : « Celui qui m'a précédé est plus grand que moi, et je ne suis pas digne de délier les courroies de Ses souliers ou de porter Ses chaussures. C'est Lui qui vous baptisera du Saint-Esprit et de feu ».

Et là, je n'ai pu m'empêcher de penser à ce chant : « Sainte onction, repose sur moi. Divin Consolateur, guide, conduis toutes mes actions ». Et c'est notre désir et notre effort d'être réellement remplis du Saint-Esprit afin que Dieu puisse recevoir tout ce qui Lui revient de plein droit, et prendre la première place ; et que nous ne prêchions pas seulement le salut, mais que le Sauveur Lui-même puisse être présent pour sauver les pécheurs ! Que nous ne prêchions pas seulement la guérison, mais que le Guérisseur peut être présent pour effectuer la guérison ! Que l'Évangile peut devenir une réalité par la grâce.

Et vous savez, si nous insistons sur ce point, chacun pourrait témoigner lui-même de la manière et du lieu où il a fait l'expérience de Dieu. Mais je pense que si le Seigneur doit faire un début, un commencement, ce doit être un commencement biblique, un début biblique.

Nous avons tous vécu des expériences avec Dieu, et personne ne peut le nier.  Je n'oublierai jamais mon voyage à Hambourg il y a trente ans. Il y aura exactement trente ans, à la Pentecôte. Il fallait y aller à vélo, d'ici à Hambourg ; oui d'ici à Hambourg, en passant par Kassel, par le Hatz, en remontant les montagnes et en descendant vers Hambourg. Mais je me souviens encore aujourd'hui de la rue du Courant, la Barge Tracée, et de la cave où nous avons prié jusqu'à tard dans la nuit. Et je me souviens encore aujourd'hui de la Barge Tracée à Hambourg, vers minuit, lorsque le Saint-Esprit s'est réprimandé sur moi aussi, et pas seulement sur moi, mais en moi. Et quand la sainte onction était tout simplement là, on sait l'heure, on sait le jour. Ce n'était pas seulement la Pentecôte sur le calendrier, c'était la Pentecôte dans mon cœur. Cela doit devenir ainsi. Il n'en sera pas autrement. Et j'étais tout étonné.

Hier j'ai lu un article d'un homme d'une communauté religieuse. Et cet homme d'une communauté religieuse écrit l'article suivant. Je l'ai sur mon bureau. Et il dit : « Nous devons appliquer des critères bibliques. Nous avons si longtemps mesuré le témoignage de la Pentecôte à travers des préjugés. Maintenant, nous devons appliquer le témoignage de la Bible et prononcer notre jugement en conséquence ».

Vous savez, il faut tout simplement en arriver là : que nous laissions la Bible parler en toutes choses. Et quand cela se produira, Dieu entrera dans Ses droits et recevra ce qui Lui revient du plein droit, par grâce.

Je n'ai qu'un désir, c'est qu'Il fasse. Je ne sais pas comment, mais qu'Il achève Son Église pour le jour glorieux du retour de Jésus Christ. Et quand nous verrons que toutes les choses iront vraiment vers la fin et s'effondreront comme le dit frère Branham, et que tout cela sera partout sur la terre comme un asile de fou. Nous savons que plus il se passe de choses, plus le retour du Seigneur est proche, et soudain, le jour sera là, et la trompette sonnera, et ceux qui se sont endormis en Christ ressusciteront premièrement, et alors, nous serons changés et enlevés ensemble dans la gloire, élevés, élevés, enlevés en douceur. Je n'ai jamais su comment l'imaginer. Aujourd'hui je sais comment ce sera. Aujourd'hui je sais comment ce sera. C'est quelque chose de glorieux.

Dieu n'est pas pressé. Et l'enlèvement ne sera pas comme une fusée, mais porté de manière glorieuse et charmante. C'est quelque chose de merveilleux à voir et à vivre. Il est encore dit ici au verset 22 du Psaume 31 :

« Loué soit le Seigneur parce qu'il m'a montré sa grâce d'une manière merveilleuse. Dans une ville forte, Il m'a prouvé sa grâce. Le nom du Seigneur est une forteresse. Nous nous y réfugions et nous restons réfugiés. Loué soit le Seigneur parce qu'il m'a prouvé sa grâce d'une manière merveilleuse ».

Ne pouvons-nous pas tous dire la même chose ce soir ? « Loué soit le Seigneur qui m'a prouvé Sa grâce d'une manière si merveilleuse », et Il nous la manifestera jusqu'à la fin. La différence est simplement que si des hommes nous avaient choisi, alors des hommes pourraient faire comme cela a été fait avec Saül. Vous savez, Saül n'était pas le choix de Dieu. David avait été choisi par Dieu. Saül l’a été à cause de la demande des hommes. On est venu voir Samuel et on lui a dit : « Écoute, tes fils ne suivent pas tes traces et ainsi de suite. Nous avons besoin d'un homme qui soit au-dessus de nous ». Et ils l'ont eu, ils l'ont reçu. Mais le choix de Dieu était différent.

Dieu n'a jamais renvoyé un seul de ceux qu'Il a choisi. S'Il a renvoyé quelqu'un, c'est quelqu'un que les hommes ont choisi ou qui s'est placé lui-même à une place ou à un poste quelconque. Mais tous ceux que le Seigneur a choisi... Et si vous lisez l'histoire de l'appel des douze disciples, alors trouvez-moi, s'il vous plaît, le verset où Judas a été appelé oralement par le Seigneur. Il était là tout simplement. Mais montrez-moi le verset, l'endroit. Je peux vous montrer où Matthieu, où Jacques où Pierre ont été appelés. Tout cela on peut le lire noir sur blanc. Oui, nous devons lire la parole de Dieu. Quand nous lisons, nous devons la lire correctement, et alors nous savons à quoi nous en tenir.

Pardonnez-moi si je cite encore une fois frère Branham. Il a dit : « Si Dieu te sauve aujourd'hui pour te perdre demain, c'est qu'Il ne savait pas ce qu'Il faisait hier en t'appelant ! ». Et c'est ainsi. Dieu ne nous sauve pas aujourd'hui pour nous perdre demain. Dieu nous a sauvé pour que nous Lui appartenions éternellement. Il nous a fait grâce pour toujours, et Sa grâce ne doit pas s'éloigner de nous. C'est ce que dit le prophète, « et l'alliance de paix qu'Il a faite ne sera pas détruite. Que les montagnes s'écartent, que les collines tombent, mais Ma grâce ne s'éloignera pas de toi ».

Dans l'Ancien Testament déjà, les prophètes ont prophétisé sur la grâce qui nous serait accordée dans le Nouveau Testament. Comme nous pouvons être reconnaissants. Ils ont prophétisé sur la grâce. Nous pouvons en faire l'expérience ! Comme nous pouvons être reconnaissants. Que le nom du Seigneur soit loué !

Avant de partir, je voudrais souhaiter de tout cœur à notre bien-aimé frère Schmitt, la bénédiction de Dieu pour ces quatorze jours où nous serons en partie absents ; et à tous les frères que vous servez ici, que Dieu vous bénisse. Nous nous souviendrons de vous et vous, vous souviendrez de nous. Que le Seigneur vous bénisse tous et soit avec vous tous. Amen !