Missão Popular Livre

Jesus Cristo é o mesmo, ontem, e hoje, e eternamente. Hb. 13:8

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Lettre circulaire 12/2003 / Ewald Frank

6. LE THEME PARTICULIER




C’est dans les intentions de Dieu d’éclairer tout thème biblique uniquement par les Saintes Ecritures. Les machinations destructrices de l’ennemi, qui tord toute Parole dans chaque situation, consistent depuis toujours à créer la confusion. Il s’agit maintenant une fois pour toutes de s’éloigner de l’incertitude. Par grâce, au travers de l’enseignement et de la révélation, nous avons été amenés hors de toute confusion. Absolument chaque thème, que ce soit la Divinité, le baptême, le Souper du Seigneur, le retour de Christ, le mariage, etc., a été exposé clairement pour tous ceux qui sont de bonne volonté. Aucun homme — mais également aucun prédicateur — ne sait de lui-même ce qui est juste. Même si l’on connaît tous les passages bibliques, toutes les citations sur chaque thème, en réalité, à moins que cela ne nous soit révélé, on ne connaît rien. Si nous avions déjà connu toutes choses, alors le ministère d’un prophète n’aurait pas été nécessaire. Dieu n’aurait également pas eu besoin d’établir aucun de Ses serviteurs et chacun aurait pu être abandonné à soi-même. Sans aucun doute, la révélation par l’Esprit de Dieu ne peut être reçue uniquement que par les humbles, c’est-à-dire par ceux qui reconnaissent que Dieu a établi des ministères dans l’Eglise, les acceptent, et qui, de cette manière, se soumettent à Dieu.

Paul a été questionné par lettre sur ce thème particulier (1 Cor. 7.1), et il y a répondu. Mais de quoi est-il question dans les passages précédents? C’est ce que nous trouvons au chapitre 5. Il est question de quelqu’un qui a réellement pris pour femme la femme de son père. Ce n’était pas seulement un péché et une transgression, mais c’était une affaire qui était maudite de Dieu — c’était de l’impudicité, de la luxure. Car il est écrit: Maudit qui couche avec la femme de son père…” (Deut. 27.20). Que Paul livre un tel homme à Satan, et qu’il ordonne que personne ne mange avec lui, trouve notre pleine approbation. Cet homme était coupable d’impudicité et d’adultère. Ici convient le passage d’Hébreux 13.4: “Que le mariage soit tenu en honneur à tous égards, et le lit sans souillure; mais Dieu jugera les fornicateurs et les adultères”. Puis Paul développe cette pensée dans 1 Corinthiens 7.2: “… mais à cause de la fornication, que chacun ait sa propre femme, et que chaque femme ait son mari”.

Du temps de Jésus, c’était les pharisiens qui mettaient le Seigneur à l’épreuve. Maintenant, qui pose les questions? Est-ce quelqu’un dans le besoin ou bien est-ce pour échauffer la discussion? C’est avec hypocrisie que les scribes posèrent la question: “Est-il permis à un homme de répudier sa femme pour quelque cause que ce soit?” (Mat. 19.3). Dans Luc 16.17-18 notre Seigneur met l’accent à l’encontre du même esprit qui caractérise la propre justice des pharisiens: “Or il est plus facile que le ciel et la terre passent, qu’il ne l’est qu’un seul trait de lettre de la loi tombe”. Puis revenant sur leur propos Il dit: “Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet adultère; et quiconque épouse une femme répudiée par son mari, commet adultère. Dans Marc 10.10-12, il donne la même réponse à Ses disciples. Dans les trois Evangiles il s’agit véritablement des même circonstances: “Quiconque répudiera sa femme et en épousera une autre, commet adultère envers la première; et si une femme répudie son mari, et en épouse un autre, elle commet adultère”.

Le Seigneur dit catégoriquement quand l’époux peut se rendre coupable dans son propre mariage, c’est-à-dire: “Mais moi, je vous dis que quiconque répudiera sa femme, si ce n’est pour cause de fornication, la fait commettre adultère, et quiconque épousera un femme répudiée, commet adultère (Mat. 5.32). Un homme qui divorce sans la raison biblique occasionne l’adultère de son épouse, parce qu’elle se remarie. Comme les passages bibliques suivants le confirment, même si l’homme en général ne peut pas commettre adultère dans son propre couple, il porte la faute de l’adultère de son propre mariage si, de propos délibéré, il divorce, car il doit répondre du fait que sa femme se remarie.

Comme éclaircissement final, que les passages suivant soient encore cités, car: Ainsi dit le Seigneur: “Tu ne commettras point d’adultère… tu ne convoiteras point la femme de ton prochain…” (Ex. 20.14,17).

Ainsi dit le Seigneur: “Et un homme qui commet adultère avec la femme d’un autre…” (Lév. 20.10).

Et le Seigneur dit encore: “Si un homme a été trouvé avec une femme mariée…” (Deut. 22.22).

Dans la langue hébraïque, «la femme» au sens général est désignée par un mot particulier, comme en anglais celui de «women», femme, alors que le mot est différent pour celle qui est mariée, «wife». Pour cette raison, tous ceux qui connaissent la différence traduisent comme dans la traduction du Dr. Hermann Menge: “Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme mariée pour la convoiter, a déjà commis adultère avec elle dans son coeur” (Mat. 5.28).

Non seulement Moïse et le Seigneur Jésus, mais aussi Paul et Pierre ont consacré leur attention au thème du «mariage» et exposé la position différente de l’homme et de la femme. Paul écrit que, par exemple, une femme mariée — aussi pendant le temps de la grâce — est liée légalement à son mari aussi longtemps qu’il vit (Rom. 7.2-3; 1 Cor. 7:39). Il poursuit en disant: “Mais quand à ceux qui sont mariés, je leur enjoins, non pas moi, mais le Seigneur; que la femme ne soit pas séparée de son mari; (et si elle est séparée, qu’elle demeure sans être mariée, ou qu’elle se réconcilie avec son mari;) et que le mari n’abandonne pas sa femme (1 Cor. 7.10-11). L’unique exception est celle-ci: “Mais si l’incrédule s’en va, qu’il s’en aille; le frère ou la soeur ne sont pas asservis en pareil cas; mais Dieu nous a appelés à marcher dans la paix” (1 Cor. 7.15).

Dans Ephésiens 5.21-33 et 1 Timothée 2.11-15, les relations entre mari et femme sont longuement décrites. “Femmes soyez soumises à vos propres maris comme au Seigneur” (Eph. 5.22).

Pierre aborde rapidement ce thème, mais de manière énergique (1 Pier. 3.1-7). Nulle part nous ne trouverons dans un seul chapitre une vue d’ensemble sur ce sujet. Dieu a voulu cela afin qu’à chaque cas soient employés les passages correspondants se trouvant dans la Parole de Vérité. Une chose est sûre: tous ceux qui ont des problèmes et qui posent sincèrement des questions, reçoivent du Seigneur la réponse juste. Celui qui est animé par d’autres motifs et pense déjà tout savoir, ne connaîtra jamais ce qui est juste. Nous devons tous travailler à notre salut avec crainte et tremblement. Ne serait-ce pas propre partout si chacun balayait devant sa porte? Tous ceux qui sont demeurés épargnés du pire de ce qui peut arriver à un humain, ici sur cette terre, devrait chaque jour remercier Dieu à genoux.

Lequel d’entre nous aurait-il eu à la pensée que Dieu ait donné dans les Saintes Ecritures sur ce thème si important des instructions particulières aux hommes, auxquelles ils doivent se tenir, de même qu’Il a dit des choses aux femmes qui sont obligatoires pour elles? Les rôles ne doivent pas être échangés, parce qu’ils sont ordonnés de Dieu. Ainsi, la femme ne doit dans aucune condition s’arroger l’autorité sur l’homme (1 Tim. 2.11-15). Ce qui demeure est: “Mais je veux que vous sachiez que le chef de tout homme, c’est le Christ, et que le chef de la femme, c’est l’homme, et que le chef du Christ, c’est Dieu. … car aussi l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme (1 Cor. 11.3-9).

Même les prédicateurs n’ont pas pu établir l’ordre divin, mais ils ont jugé d’après les traditions reçues. Même frère Branham a dû reconnaître qu’il n’avait pas su la chose jusqu’à ce que le Seigneur ne la lui ait révélée.

Aujourd’hui encore, et même parmi les personnes dans le Message, beaucoup ont de la peine à accepter ce que le Seigneur, en accord avec l’Ancien et le Nouveau Testament, a révélé à Son serviteur et prophète. Les uns déduisent de l’exposé de frère Branham la doctrine absurde de la polygamie, les autres demeurent prisonniers d’anciennes traditions. Le thème a été traité d’une manière étendue et suffisamment claire dans la prédication «Mariage et Divorce» et n’a véritablement pas besoin d’explications supplémentaires. Je n’ai rédigé la brochure «Le mariage — Problème ancien» qu’en raison de questions qui m’avaient été posées sur des problèmes d’actualité liés à ce thème. Que celui qui est concerné lise dans la prière les deux traités, ainsi que les passages bibliques cités ici, et qu’il se laisse donner par Dieu la clarté nécessaire venant de Sa Parole.

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